Rapport conscience / matrice

On nous a baladé.

La Voie Lactée n’est qu’un champ de crédibilité.

La matière nous raconte une histoire, à la fois crédible et séduisante.

La science ne jure que par la néguentropie de la matière, d'un plastique vulgaire.

Mais la thermodynamique n’est qu’un sous-ordre objectif.

Tout comme l’argent n’est qu’un sous-ordre fonctionnel.

Tout comme la biologie n’est qu’un sous-ordre vitaliste.

Notre matrice est informelle, c’est une notion, la notion du Bien.

Elle n’exploite ni notre énergie ni notre argent.

Elle nous échange de la crédibilité contre notre reconnaissance, de la séduction contre notre amour, de la transcendance contre notre subordination.

Le crime contre la matrice c’est l’indignité réaliste.

C’est par exemple le parricide, le crime contre la police,...

Mais le crime contre la conscience est un sacrilège du même ordre.

Le sadique est le maillon faible de la morale.

L’indignité que vous avez subie était une réciprocité.

Et le mal n’est souvent qu’une collision entre deux biens, l’un digne, l’autre non, comme dans les accidents de voiture.

Mais le neurone du mal n’a pas les moyens de transcender, il n’a pas de cohérence intrinsèque.

Le mal possède 49% des parts de marché à Hollywood, il fascine les ados en mal de puissance et de transgression, mais ce n’est alors qu’un épouvantail illustratif.

La réciprocité n’est pas une justice (on ne vole pas un voleur).

La réciprocité est une causalité (les forces vont par paires, et chaque bien, chaque mal, a un prix).

La matrice réelle n’est pas récursive, c’est-à-dire qu’elle n’a pas conscience d’elle-même, et qu’elle ne se pose pas de question.

Un peu comme ChatGPT.

Seules la conscience et la notion du Bien sont récursives.

C’est très facile à démontrer, je peux vous l’expliciter si vous le souhaitez.

Je l’ai déjà fait ici même.

Lorsque vous allumez la télé, lorsque vous sortez en boîte de nuit, lorsque vous assistez à un match de foot, vous êtes en immersion.

C’est ça la matrice : elle vous absorbe.

Mais lorsque vous êtes seuls pendant un certain temps, en cure d’austérité médiatique, votre conscience et votre esprit reprennent le dessus.

Et vous tendez alors vers le solipsisme.

La vérité est nocturne, alors que la matrice est diurne.

La vérité ne s’exprime qu’en 2ème partie de soirée, en tête-à-tête, sous une lumière tamisée.

La matrice a tendance à nous infantiliser, alors que le solipsisme a tendance à nous affranchir, à nous restituer notre divinité.

Un homme équilibré doit donner la parole à la matrice, mais il doit aussi affronter la solitude et son austérité affective et existentielle.

Pour le coup, je n'ai vraiment rien, mais alors rien de rien, compris.

Après, "la matrice", concept fumeux pour boutonneux des années 90, me fait doucement rigoler, mais ça n'engage que moi...

il y a 17 minutes, Auger a dit :

Pour le coup, je n'ai vraiment rien, mais alors rien de rien, compris.

Après, "la matrice", concept fumeux pour boutonneux des années 90, me fait doucement rigoler, mais ça n'engage que moi...

La série Matrix avait besoin d'objectiver et de personnifier notre contenant.

Mais ce n'était qu'un problème cinématographique.

Hollywood peut tout représenter, sauf la conscience.

La conscience n'est pas objectivable.

Elle n'est ni grande ni petite, ni lourde ni légère.

Elle n'est que conscience.

Pour savoir la conscience, il faut être conscient.

Pour savoir le rouge, il faut avoir des yeux.

Pour savoir l'amour, il faut avoir été amoureux.

Et pour comprendre notre matrice, il faut avoir des notions.

ChatGPT n'est qu'un mimétisme linguistique, il connait la longueur d'onde du rouge, mais ignore le rouge.

Il y a 12 heures, Fraction a dit :

Pour savoir la conscience, il faut être conscient.

Pour être conscient il faut, être, sans la matière.

C'est la matière, la matrice.

La matrice est la représentation que nous nous faisons de la matière, elle est donc fractionnée en petites bandelettes, petits carreaux, petits cubes... lorsque nous sommes avec la matière.

La véritable matière, elle est continue car elle est un, comme tout être, elle est, elle aussi, c'est notre contradicteur, l'adversaire, cet être qui bride notre être.

Il y a 7 heures, Apator a dit :

Pour être conscient il faut, être, sans la matière.

C'est la matière, la matrice.

La matrice est la représentation que nous nous faisons de la matière, elle est donc fractionnée en petites bandelettes, petits carreaux, petits cubes... lorsque nous sommes avec la matière.

La véritable matière, elle est continue car elle est un, comme tout être, elle est, elle aussi, c'est notre contradicteur, l'adversaire, cet être qui bride notre être.

Est-ce que cette fleur est une fleur, ou une preuve de fleur ?

Rien dans la méthode scientifique ne permet d’en décider.

Si la preuve est notre atome, alors on ne peut plus rien prouver.

Et la méthode scientifique en devient caduque.

Toujours est-il que c'est la science qui axiomatise la première, et c'est elle qui est présomptueuse.

Nous avons besoin d’une autre forme d’évidence que la preuve.

Il y a 2 heures, Fraction a dit :

Est-ce que cette fleur est une fleur, ou une preuve de fleur ?

Rien dans la méthode scientifique ne permet d’en décider.

Si la preuve est notre atome, alors on ne peut plus rien prouver.

Et la méthode scientifique en devient caduque.

Toujours est-il que c'est la science qui axiomatise la première, et c'est elle qui est présomptueuse.

Nous avons besoin d’une autre forme d’évidence que la preuve.

 

 

 

 

Fleur est un mot.

Le mot sert à désigner un concept, et le concept sert à inventer le mot. 

Il s'agit d'une compréhension circulaire.

Pourtant la science décide. Elle y parvient en cassant cette circularité, c'est à dire qu'elle pose pour vrai certaines chose sans les démontrer, se basant sur le fait que tout être censé sait ces choses sans qu'il n'y ait besoin de les démontrer. C'est basé sur le bon sens, entre gens intelligents. L’intelligence pouvant être définie comme étant l'impression que nous avons qu'une chose est intelligente. L'intelligence ne se démontre pas, pas plus que la beauté, la liberté, et toute autre forme de sensation.

Pour en revenir aux différentes formes que la matière peut prendre, nous avons un grand nombre de mots pour désigner telle ou telle manifestation de celle-ci. Or il faut bien se rendre à l'évidence que nous ne parlons jamais de la chose en elle-même mais de la représentation que nous nous en faisons dans notre esprit. Ces représentations étant nécéssairement simplifiées, du fait de nos limitations, nous avons inventé la catégorisation. C'est la catégorisation qui permet de concevoir les concepts et ainsi les mots.

Un chat est un chat.

Mais en réalité il y a autant de chats qu'il n'y a de chats, et chaque chat disparait dans l'instant pour devenir un chat.

C'est l'histoire d'un bateau :

Citation

Le bateau de Thésée est une expérience de pensée philosophique concernant la notion d'identité. Elle imagine un bateau dont toutes les parties sont remplacées progressivement. Au bout d'un certain temps, le bateau ne contient plus aucune de ses parties d'origine. La question est alors de savoir s'il s'agit du même bateau ou d'un bateau différent.

Le problème est de savoir si le changement de matière implique un changement d'identité, ou si l'identité serait conservée par la forme, ou encore d'une autre façon. Il y a une autre question, corollaire : si on avait gardé les planches du bateau et qu'avec, on en avait reconstruit un autre, lequel serait le vrai bateau ; cette hypothèse est formulée par Thomas Hobbes (De corpore). Le bateau de Thésée n'aurait pu rester identique à lui-même que s'il était resté à quai, constamment entretenu, et dans ce cas, même si aucune pièce ne subsistait du bateau d'origine, c'est bien ce bateau-là qui aurait été le témoin de l'aventure de Thésée.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bateau_de_Thésée

il y a 23 minutes, Apator a dit :

Fleur est un mot.

Le mot sert à désigner un concept, et le concept sert à inventer le mot. 

Il s'agit d'une compréhension circulaire.

Pourtant la science décide. Elle y parvient en cassant cette circularité, c'est à dire qu'elle pose pour vrai certaines chose sans les démontrer, se basant sur le fait que tout être censé sait ces choses sans qu'il n'y ait besoin de les démontrer. C'est basé sur le bon sens, entre gens intelligents. L’intelligence pouvant être définie comme étant l'impression que nous avons qu'une chose est intelligente. L'intelligence ne se démontre pas, pas plus que la beauté, la liberté, et toute autre forme de sensation.

Pour en revenir aux différentes formes que la matière peut prendre, nous avons un grand nombre de mots pour désigner telle ou telle manifestation de celle-ci. Or il faut bien se rendre à l'évidence que nous ne parlons jamais de la chose en elle-même mais de la représentation que nous nous en faisons dans notre esprit. Ces représentations étant nécéssairement simplifiées, du fait de nos limitations, nous avons inventé la catégorisation. C'est la catégorisation qui permet de concevoir les concepts et ainsi les mots.

Un chat est un chat.

Mais en réalité il y a autant de chats qu'il n'y a de chats, et chaque chat disparait dans l'instant pour devenir un chat.

C'est l'histoire d'un bateau :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bateau_de_Thésée

Vous dites que les « gens intelligents » ont le droit d’axiomatiser, mais pas les autres.

C’est là l’archétype de l’argument d’autorité :

J’ai raison parce que je suis moi, tu as tort parce que tu es toi.

Alors oui, l’intuition d’un Darwin ou d’un Einstein est plus performante que celle d’un inculte.

Mais il n’en demeure pas moins que l’axiomatisation sectarise et confisque arbitrairement la sphère de la connaissance.

La science a une fâcheuse tendance à choisir ses adversaires.

Les zététiciens sont des marginaux qui croient aux OVNI et aux fantômes.

Mais en choisissant ses adversaires, on ne risque pas de se tromper.

Moi, je suis l’adversaire qui vous a choisi.

Il y a 3 heures, Fraction a dit :

Les zététiciens sont des marginaux qui croient aux OVNI et aux fantômes.

Il y a des marginaux partout alors pourquoi pas dans la " Zet "

Il y a 3 heures, Fraction a dit :

Vous dites que les « gens intelligents » ont le droit d’axiomatiser, mais pas les autres.

Je ne suis pas au courant.

Il y a 14 heures, Apator a dit :

Pour être conscient il faut, être, sans la matière.

C'est la matière, la matrice.

La matrice est la représentation que nous nous faisons de la matière, elle est donc fractionnée en petites bandelettes, petits carreaux, petits cubes... lorsque nous sommes avec la matière.

La véritable matière, elle est continue car elle est un, comme tout être, elle est, elle aussi, c'est notre contradicteur, l'adversaire, cet être qui bride notre être.

En clair ? ...

il y a 51 minutes, lumic a dit :

En clair ? ...

La conscience ne nécessite pas la matière, les choses ne se passent pas comme certains le supposaient : "le cerveau sécrète la pensée comme le foie sécrète la bile" et plus tard mais ça ne change rien fondamentalement à la doctrine matérialiste "c'est le cerveau qui produit la fonction de la pensée".

Au contraire, la conscience, la vue, l’ouïe etc, sont indépendants de la matière, et ils font partie de l'être de l'Homme, qui est lui immatériel. Par exemple si demain vous mourrez, votre pensée continue de fonctionner, et même mieux qu'avant car vous êtes de nouveau vous-même. Si vous êtes aveugle vous voyez, si vous êtes sourd, vous entendez et si vous êtes idiot ou fou... vous êtes à nouveau en pleine possession de vos facultés.

Par contre si votre esprit est "incarné" dans la matière, il est "bridé" par les possibilités de la matière comme dans un combat.

L'esprit est céleste et le démon est infra-céleste. La "matrice" est le résultat de ce que ça fait à l'esprit (céleste) immatériel lorsqu'il se confronte au démon (infra-céleste) matériel.

Le combat entre deux unités continues produit des points de liaison discontinus, et c'est pourquoi le monde est "quantique".

Il y a 2 heures, Apator a dit :

La conscience ne nécessite pas la matière, les choses ne se passent pas comme certains le supposaient : "le cerveau sécrète la pensée comme le foie sécrète la bile" et plus tard mais ça ne change rien fondamentalement à la doctrine matérialiste "c'est le cerveau qui produit la fonction de la pensée".

Au contraire, la conscience, la vue, l’ouïe etc, sont indépendants de la matière, et ils font partie de l'être de l'Homme, qui est lui immatériel. Par exemple si demain vous mourrez, votre pensée continue de fonctionner, et même mieux qu'avant car vous êtes de nouveau vous-même. Si vous êtes aveugle vous voyez, si vous êtes sourd, vous entendez et si vous êtes idiot ou fou... vous êtes à nouveau en pleine possession de vos facultés.

Par contre si votre esprit est "incarné" dans la matière, il est "bridé" par les possibilités de la matière comme dans un combat.

L'esprit est céleste et le démon est infra-céleste. La "matrice" est le résultat de ce que ça fait à l'esprit (céleste) immatériel lorsqu'il se confronte au démon (infra-céleste) matériel.

Le combat entre deux unités continues produit des points de liaison discontinus, et c'est pourquoi le monde est "quantique".

En fait il n ' y a rien de séparable ni matière,  ni esprit ...

Si demain je meurs il ne restera rien de moi mais qui sait peut être que l ' information continuera d ' exister pour un certain temps ...

Autrement dit la matrice se nourrit d ' elle même et de tout ce qui est appelé à disparaître ...

Ce pourquoi les anges sont au paradis ( dans rien ) et les démons en enfer dans la condition humaine ou autre ...

Dans ce processus de création ce n ' est que mirage , miroir , illusion ...

L ' esprit développe tout ce qui peut être ,  apparaître , il est le miroir de tout , incontrôlable mais libre comme ci nous en faisions ce que nous en sommes dans nos états d ' âmes ...

Dans le premier opus de Indiana Jones , la scène finale est assez extraordinaire ...

Lorsque le nazi dit " c ' est merveilleux " en la présence des esprits ( des anges )  qui sortent de l ' arche , ceux la deviennent des  créatures très inquiétantes , menacantes  pour tantôt semer la terreur envers les " âmes " impurs ou plus précisément mauvaises , méchantes ...

L ' idée est que la matrice se nourrit de nos peurs , de nos craintes mais qu ' elle nous laisse libre heureux d ' espérer de rien ( car nous n ' avons rien à attendre ) ou se nourrir de tout ...

L ' illusion et si on peut se nourrir de tout il y ' a quand même une , des limites â tout ...

Il y a 6 heures, Apator a dit :

Je ne suis pas au courant.

Fraction 1

Réal de Madrid 0.

J'adore emmerder les scientifiques.

Je suis un chat sadique qui joue avec une souris.

Si j'avais du être jugé pour mes crimes ...

La conscience n'est pas objectivable.

Elle n'est ni grande ni petite, ni lourde ni légère.

Elle n'est que conscience

Ainsi quoiqu'il en soit la conscience n’est rien sans l’inconscience 

Il y a 5 heures, G6K972 a dit :

La conscience n'est pas objectivable.

Elle n'est ni grande ni petite, ni lourde ni légère.

Elle n'est que conscience

Ainsi quoiqu'il en soit la conscience n’est rien sans l’inconscience 

Nous ne transportons pas notre mémoire avec nous.

Notre mémoire s’inscrit dans la dimension du temps.

Elle est rétroactive.

Et ses a posteriori sont prioritaires sur ses aprioris.

Le dernier coup de pinceau a l’autorité sur les précédents.

L’intuition, c’est le parallélisme des mémoires.

Toutes les mémoires sont vigilantes par rétroaction.

On a l’impression que l’inconscient fait des milliards de calculs par seconde.

Mais en vérité, il ne s’agit que d’hypervigilance rétroactive.

L’ontogénèse de l’esprit est auto-suggestive.

J’ai touché aux paramètres.

J’ai dimensionné mon esprit par la singularité et la récursivité.

Elles sont innées, mais également acquises.

Quand on touche aux paramètres, il faut aller dans le même sens que la nature.

Il y a 17 heures, Apator a dit :

Je ne suis pas au courant.

Les rêveurs et les corrompus croient ce qu'ils veulent.

Les hommes de devoir et d'abnégation croient ce qu'ils doivent.

Mais tous croient ce qu'ils peuvent.

La plasticité de nos environnements n'a pas de limite.

Sa seule limite, c'est ce que la conscience peut croire.

Qui peut le plus peut le moins, qui peut l'idéalisme peut le réalisme.

Le réalisme n'est pas une science, c'est une discipline.

Tu cours trop vite, tu tombes, tu te cognes, tu as mal.

Tout a un prix, ce néant n'est qu'une tarification.

il y a une heure, Fraction a dit :

Les rêveurs et les corrompus croient ce qu'ils veulent.

Les hommes de devoir et d'abnégation croient ce qu'ils doivent.

Mais tous croient ce qu'ils peuvent.

 

La plasticité de nos environnements n'a pas de limite.

Sa seule limite, c'est ce que la conscience peut croire.

Qui peut le plus peut le moins, qui peut l'idéalisme peut le réalisme.

 

Le réalisme n'est pas une science, c'est une discipline.

Tu cours trop vite, tu tombes, tu te cognes, tu as mal.

Tout a un prix, ce néant n'est qu'une tarification.

 

Penses-tu réellement qu’il y ait une dichotomie entre l’inconscience et la conscience,  tout n’est il pas que je(u) de l’esprit et manipulation de l’égo dans un monde où tout ne fait qu’un avec rien

Beaucoup de charabia en tout qu'à 

L'inconscience à proprement parler n'existe pas.

C'est la mémoire de ce qui a été vécu "dans l'instant" (au moment de la conscience donc) qui ne se transmet pas nécéssairement d'un état de conscience à un autre. Le dormeur ou le comateux ne cesse pas subitement de penser, il pense dans un autre contexte, et seules certaines phase du sommeil, la phase paradoxale par exemple, peut se reconnecter et transmettre ce qui s'est passé pendant le sommeil vers l'état d'éveil.