il y a 12 minutes, arwena a dit :

Juste précision, le tdah et l autisme ne sont pas des troubles mentaux mais des troubles neurodéveloppementaux. Ils ne sont pas considérés comme des maladies.

Je regarde le reportage sur M6, c'est plutôt interessant.

Je trouve ça très bien qu'on en parle de plus en plus, cependant, il y a un vrai soucis en France concernant la prise en charge psy. Entre ceux qui sont à fond (trop) dans une approche psychanalytique et ceux qui ne se mettent pas à jour, avoir un vrai diagnostique peut être un vrai parcours du combattant

 

 

 

Au départ c'est pourquoi je distinguais la bipolarité et la schizophrénie d'un côté des TSA ou TDAH. Mais le DSM est un manuel des troubles mentaux et il décrit les TDAH ou les TSA; en fait je ne vois pas réellement l'incompatibilité entre "troubles neurodéveloppementaux" et "troubles mentaux". Que ce ne soient pas des "maladies mentales", certes.

Il y a 14 heures, Easle a dit :

Mais comment éviter la contention ou l'isolement de patient délirant et/ou extrêmement dangereux ?

Et ce n'est donc pas que thérapeutique !

C'est surtout pas thérapeutique. Les patients dangereux, ça n'existe qu'en HP ? 

Si un HP ressemble plus à une prison qu'à un hopital, pas étonnant que la maladie mentale soit si mal vu non ? 

à l’instant, Leverkuhn a dit :

 

Si un HP ressemble plus à une prison qu'à un hopital, pas étonnant que la maladie mentale soit si mal vu non ? 

Tu as entièrement raison, et puis la dangerosité est bien plus rare que ce que vend le journal de 20h.

Certains chercheurs envisagent de classer par exemple les toc et la bipolarité dans la neuroatypie, qui inclut entre autres le HPI, mais il y a controverse à ce sujet. Les regards évoluent en tout cas...

Citation

Neuroatypie : quand le cerveau fonctionne différemment

La notion de neuroatypie regroupe des fonctionnements cérébraux qui diffèrent de ce que l’on considère comme « typique ». Autisme, troubles « dys », TDAH ou encore haut potentiel intellectuel en font partie. Cette diversité neurologique soulève de nouveaux enjeux en matière de santé, d’éducation et d’inclusion sociale. 

Les personnes neuroatypiques présentent souvent une hyperconnectivité cérébrale, influençant leur manière de penser, de ressentir et d’interagir. Contrairement aux profils dits neurotypiques, qui suivent une logique linéaire, les neuroatypiques associent les idées de façon plus intuitive et créative.

Ce fonctionnement peut être une grande richesse, en favorisant l’innovation ou l’analyse fine. Mais il peut aussi poser des défis dans un monde conçu pour les neurotypiques.[...]

https://www.sante-sur-le-net.com/neuroatypie-fonctionnement-cerveau/#:~:text=Il désigne des fonctionnements neurologiques différents de la,leur manière de penser%2C de ressentir et d’interagir.

Il n'y a pas si longtemps on lobotomisait plus particulièrement les femmes peu "dociles"...

Citation

Les femmes, victimes de 84 % des lobotomies effectuées entre 1935 et 1985

[...] Le père ou le mari faisait alors figure d’autorité et c’était lui qui décidait si une femme devait être opérée ou non. De plus, les stéréotypes ont renforcé ce pouvoir car il était mal vu qu’une femme ne se conduise pas comme elle devrait.[...]

https://dailygeekshow.com/lobotomies-femmes-sexisme/

Il y a 11 heures, CAL26 a dit :

La psychiatrie est une spécialité de la médecine et même en médecine générale la description des maladies n'est pas toujours simple, a évolué dans le temps, ne fait pas forcément consensus, mais ça ne suffit pas pour dire qu'on est tous malades.

Ce sont les malades mentaux qui sont les principales victimes des maladies mentales et il y a d'abord une souffrance exprimée. Il ne s'agit donc pas essentiellement d'une stigmatisation de singularités mais surtout de souffrances à soulager.

Justement je ne l'ai pas dis...je l'ai seulement écris rien ne fut dis rien ne fut entendu juste lu 

Cela parait tellement anecdotique et pourtant la ta visualisation personnelle c'est que j'ai dis et donc que tu a entendu.

A partir de la le schéma mental et les raisonnements partant déja sur une base qui est fausse ne peuvent que devenir plus "confus" surtout que tu sais que je n'ai rien dit.

Prenons un exemple.... que tu parle de cela a une tierce personne de vive voix tu lui relate que tu a vu un gars "dire" qu'il nous manquais tous une case (en gros).

La tierce personne te demande alors quelle était le ton de sa voix ? était il grave, solennel , sérieux ou humoristique ?

réponse: ... tu n'a rien entendu et en partant d'une base fausse que tu pensais vrai ton interlocuteur n'a donc put avoir les réponses a sa question et a lui-meme bati un schéma qui n'est pas réel dans ses interrogations. 

Tu vois c'est rien mais...

Ce qui est vraiment fou c'est que c'est ainsi continuellement dans nos sociétés et référence le malaise bien que léger reste et perdure et s'accumule sur des tas de choses et d'etres les confusions entre ce qui est et ce qu'on crois etre s'accroisse et on ne fait rien pour contrer cela.

On ne peut d'ailleurs pas y faire grand chose et la norme deviens que prendre des vessies pour des lanternes est la réalité commune et donc l'acceptable celle dans la quelle la référence fait de nous des gens normaux.

Il faut qu'il y ai souffrance exprimé et a soulager pour toi afin que tu puisse concevoir trouble mentaux et sa guérison... et a ton avis ceux par millions qui vont "parler" a un psy c'est pour quoi faire ? c'est pas pour exprimé et soulagé de vive voix ce qu'ils ne comprenne pas et/ou les accapare dans leurs réalité quotidienne peut-etre ?

Tous malade    et la l'insu de notre plein gré afin de ne pas souffrir nous ne remettons pas en cause ce qui est accepté par tous comme "réalité" meme si on sais que c'est pas tout a fait cela... voir pas du tout cela... mais on s'adapte pour ne pas perturber plus qu'il en était déjà le raisonnement baisé et faussée et bien sur l'image qui en sera ou en est faite.

Because... positivisme qui en image revient a ne pas souffrir et en se raccrochant a cela on oublie volontairement que ce qu'on perçois n'est pas vraiment ce qui a été relaté.

Si tu ne trouve pas cela fou ok très bien mais... ce sera ton avis pas le mien  

Il y a 13 heures, apis 32 a dit :

@Herver je pense que soit le meuble ne sera pas monté, soit tu ne vas pas manger...

Pffff....j'ai monter le meuble...a 23H30 j'ai fini et j'ai manger tout de suite après  elle dormais presque devant le film après, a un moment j'ai tourner la tete je l'ai plus vu sur le canapé et pas vu partir j'ai crié t'es ou tu fais quoi ?....silence je suis aller dans la chambre elle dormais   parait quelle ma dis 3 fois quelle allais se couché et ma dis de venir...pas souvenir rien entendu  

Il y a 14 heures, Laptite17 a dit :

C’est comme si on allait au marché et que l’on compare les tomates au pomme de terre, rien à voir 

 

 

Très mauvaise exemple, ce sont 2 plantes faisant parties de la même famille.

Celle des solanacées. 

Il y a 13 heures, soan a dit :

Tu as entièrement raison, et puis la dangerosité est bien plus rare que ce que vend le journal de 20h.

Le soucis est que bien trop souvent le malade "psy" est dangereux en tout premier lieu pour lui même . 

En empechant le suicide on replace le patient dans une souffrance intollerable .

Le geste ultime est avant tout pour mettre un terme à une souffrance que l’on ressent comme impossible à calmer . 

C’est pousser le bouton sur off pour un peu de répit.

En tous cas c’est ainsi que je le conçois.

Il y a 2 heures, Herver a dit :

Pffff....j'ai monter le meuble...a 23H30 j'ai fini et j'ai manger tout de suite après  elle dormais presque devant le film après, a un moment j'ai tourner la tete je l'ai plus vu sur le canapé et pas vu partir j'ai crié t'es ou tu fais quoi ?....silence je suis aller dans la chambre elle dormais   parait quelle ma dis 3 fois quelle allais se couché et ma dis de venir...pas souvenir rien entendu  

Tu dormais avant elle, donc...

il y a 13 minutes, apis 32 a dit :

Tu dormais avant elle, donc...

Non j'étais tellement concentrer a suivre le film que j'ai pas fait attention a elle...c'est mal je sais 

il y a 30 minutes, Herver a dit :

Non j'étais tellement concentrer a suivre le film que j'ai pas fait attention a elle...c'est mal je sais 

Oui, c'est mal : tu es un crapaud  !

Yeah ! !! Je fais peur à @Herver!

il y a 1 minute, apis 32 a dit :

Yeah ! !! Je fais peur à @Herver!

Je vais demander un bisou sur mes bubons de crapaud pour me transformé en prince 

il y a 8 minutes, Herver a dit :

Je vais demander un bisou sur mes bubons de crapaud pour me transformé en prince 

Elle est réveillée, la princesse ?

à l’instant, apis 32 a dit :

Elle est réveillée, la princesse ?

elle est meme au travail la et moi en vacances 

il y a 11 minutes, Herver a dit :

elle est meme au travail la et moi en vacances 

Ce n'est pas très normal!

D'habitude, ce sont les princesses qui dorment pendant 100 ans et les crapauds les princes charmants qui viennet leur faire un bisou pour les réveiller !

il y a 6 minutes, apis 32 a dit :

Ce n'est pas très normal!

D'habitude, ce sont les princesses qui dorment pendant 100 ans et les crapauds les princes charmants qui viennet leur faire un bisou pour les réveiller !

Je suis moderne et donc pour la parité 

Il y a 7 heures, Leverkuhn a dit :

C'est surtout pas thérapeutique. Les patients dangereux, ça n'existe qu'en HP ? 

Si un HP ressemble plus à une prison qu'à un hopital, pas étonnant que la maladie mentale soit si mal vu non ? 

Alors si ! prenons un TSA (autisme) grave et violent. La contention est thérapeutique. Le patient en a même besoin, il demande à être tenu fermement parfois lors de sortie (aération), pour être rassuré.

C'est aussi le cas pour des troubles bipolaires sévères pour l'isolement.

Un HP ressemble plus à un hopital qu'à une prison (ou alors va voir des prisons), par contre les UMD (pour malades difficiles) sont entre les deux si on veut. Et les UHSA, récentes pour des courts séjours de détenus psy (et les détenus qui y passent font bien la différence avec la prison).

Mais la grande majorité des patients ne vont même pas en HP, les services psy en milieu hospitalier accueillent la majorité de ceux-ci pour des séjours de 15 jours à 6 mois, rarement plus (addictions, dépressions, etc.). Et puis avant cela, tu as les CMP déjà pour réguler et travailler psychologiquement sur les cas légers ou modérés et leur régulation dans le cadre d'un vie quotidienne normale. C'est là d'abord que la majorité des gens doit se rendre sans songer à la folie, mais simplement au besoin d'être aidé ! Ce qui peut arriver à toutes et tous !

le principal problème des maladies "mentales" est de porter un diagnostic...disons fiable.
Parce qu'il est uniquement basé sur des critères cliniques, dont la part de subjectivité est réelle. Il n'y a pas de signes biologiques ou d'imagerie qui soient validés.