L'interdiction comme réponse aux problèmes de société

Un jeune vient de massacrer la seule camarade de classe avec laquelle il communiquait.

On manque de médecins, de psychiatres, de médicaments.

La réponse: interdire un objet que des générations d'hommes ont porté sur eux en permanence , le couteau.

Mais il faudrait aussi interdire les écharpes, les briquets, les lacets, les ficelles, les miroirs, les cailloux...

Tu bégayes ?

il y a une heure, apis 32 a dit :

Un jeune vient de massacrer la seule camarade de classe avec laquelle il communiquait.

On manque de médecins, de psychiatres, de médicaments.

La réponse: interdire un objet que des générations d'hommes ont porté sur eux en permanence , le couteau.

Mais il faudrait aussi interdire les écharpes, les briquets, les lacets, les ficelles, les miroirs, les cailloux...

C'est vrai ça, parce que entre entre une écharpe et un couteau il n'y a aucune différence.

Et puis avec une écharpe on peut tout autant peler un fruit ou la planter dans le dos de son voisin.

il y a 5 minutes, Phylou a dit :

Tu bégayes ?

Peut être, je suis très en colère. 

Mais, pourquoi ?

il y a 2 minutes, MadeleinedeProut a dit :

C'est vrai ça, parce que entre entre une écharpe et un couteau il n'y a aucune différence.

Et puis avec une écharpe on peut tout autant peler un fruit ou la planter dans le dos de son voisin.

Si on est pris de folie meurtrière et qu'on a une écharpe, on peut aussi l'utiliser...

il y a une heure, apis 32 a dit :

Peut être, je suis très en colère. 

Mais, pourquoi ?

Si on est pris de folie meurtrière et qu'on a une écharpe, on peut aussi l'utiliser...

La différence réside un tout petit peu dans l'utilisation à laquelle est destiné un couteau. Une écharpe est utilisée pour se parer du froid, un couteau est destiné à.... la découpe ou à être planté dans une matière.

Mais on peut détourner l'utilisation de base d'un dessous de plat un peu lourd en l'assénant sur le crâne de son voisin.  Par exemple, on peut...

Mais un couteau ...

Ah si!! un cure-dents !!

il y a 21 minutes, apis 32 a dit :

Un jeune vient de massacrer la seule camarade de classe avec laquelle il communiquait.

Pours se protéger des fous, la société en théorie, devrait les tuer avant pour s’en défaire…

Le petit problème c’est que nous n’avons connaissance des personnes atteinte de folie, qu’une fois leur méfait réalisé.

J’entends bien les belles âmes s’offusquer de ma remarque, sur l’abolition de la peine de mort et les mêmes  qui veulent légiférez sur l’euthanasie, mais sans état d’âme cette fois pour ce dernier cas !

Que celui ou celle qui n'a jamais de contradiction entre ses propos et ses actes, me jette la première pierre ! 
 

il y a une heure, apis 32 a dit :

Un jeune vient de massacrer la seule camarade de classe avec laquelle il communiquait.

On manque de médecins, de psychiatres, de médicaments.

La réponse: interdire un objet que des générations d'hommes ont porté sur eux en permanence , le couteau.

Mais il faudrait aussi interdire les écharpes, les briquets, les lacets, les ficelles, les miroirs, les cailloux...

Retirons toutes les interdictions établies en ce bas monde et voyons comme il fonctionnera

il y a 12 minutes, MadeleinedeProut a dit :

La différence réside un tout petit peu dans l'utilisation à laquelle est destiné un couteau. Une écharpe est utilisée pour se parer du froid, un couteau est destiné à.... la découpe ou à être planté dans une matière.

Mais on peut détourner l'utilisation de base d'un dessous de plat un peu lourd en l'assénant sur le crâne de son voisin.  Par exemple, on peut...

Mais un couteau ...

Ah si!! un cure-dents !!

A la campagne, on a toujours un couteau à portée de main et beaucoup d'homme l'ont dans leur poche. A table, ils sortent LEUR couteau, qu'ils utilisent plusieurs fois dans la journée.

Il y a toujours un bout de ficelle ou de bois à tailler...

il y a 2 minutes, MadeleinedeProut a dit :

Retirons toutes les interdictions établies en ce bas monde et voyons comme il fonctionnera

Une interdiction, c’est une règle, une loi, supprimez les interdictions c’est exposer les groupes humains à se faire justice eux-mêmes.
J’invite ceux qui sont favorable à supprimer les interdictions d’aller vivre en Haïti ou ailleurs, ce sont les bandes armées qui font la loi, c’est le bonheur absolu pour les trafiquants et les assassins en tous genres.
 

il y a 3 minutes, MadeleinedeProut a dit :

Retirons toutes les interdictions établies en ce bas monde et voyons comme il fonctionnera

Je ne parle pas de retirer toutes les interdictions, seulement de trouver des solutions en adéquation avec les problèmes. 

Il y a un grave problème de santé mentale en France, qui a considérablement augmenté depuis le COVID et notre système de santé est dans un état déplorable. 

Interdire les couteaux ne résoudra pas le problème. 

il y a une heure, apis 32 a dit :

A la campagne, on a toujours un couteau à portée de main et beaucoup d'homme l'ont dans leur poche. A table, ils sortent LEUR couteau, qu'ils utilisent plusieurs fois dans la journée.

Il y a toujours un bout de ficelle ou de bois à taille...

 

Vous voulez avoir absolument raison sur cette question apis32? alors donnez d'autres exemples.

Il est question dans notre société actuelle, au vu des drames dont nous sommes hélas spectateurs, d'interdire avant tout d'avoir un couteau dans son sac d'écolier, de collégien, de lycéen.

Mais on peut aussi décider de couper les cheveux en 4, 8, 12, 16, 20..... pour justifier le port de l'ustensile en question.

il y a 6 minutes, MadeleinedeProut a dit :

Retirons toutes les interdictions établies en ce bas monde et voyons comme il fonctionnera

bonjour,

et toute vie en société deviendra ... impossible !

faire ce que l'on veut, comme on veut, quand on veut , en voilà un super programme , tentant face aux excès des interdictions mais au combien utopiste ne serait-ce que parce que l'Homme est Homme ( un animal dont la sociabilisation est limitée mais qui doit vivre en société par la force des chose car il est incapable de faire autrement ) .

et qui dit société, à moins de croire aux Bisounours, dit : règles ( dont des interdictions ) .

l'exemple de la consommation de drogue est le cas d'école : faut-il face aux excès interdire , non pas la vente, mais la consommation pour éviter les problèmes ou au contraire , faire en sorte que l'accès soit légalisé ( et donc permis ) ?

bonne journée.

Je suis une grand mère monstrueuse.

Mes petits enfants ont, des leur plus jeune âge, eu un couteau ( à beurre ) à table pour apprendre à l'utiliser.

Et j'ai offert sont premier canif, à bout rond, mais qui coupe vraiment, à l'aîné. Sa mère lui apprends à l'utiliser, à la maison et au jardin.

il y a une heure, apis 32 a dit :

Interdire les couteaux ne résoudra pas le problème. 

C'est la première chose à faire dans l'urgence.

La prise en charge est un long travail, d'abord savoir comment aborder le problème mais le COVID n'est certainement pas seul responsable.

Bon...

Quand on ne veut entendre que ce qu'on veut entendre...

La spécialité ORL serait elle aussi mal lotie que la psychiatrie ?

il y a 7 minutes, MadeleinedeProut a dit :

C'est la première chose à faire dans l'urgence.

La prise en charge est un long travail, d'abord savoir comment aborder le problème mais le COVID n'est certainement pas seul responsable.

 

Non, il y a bien sûr toujours une partie de la population touchée par des problèmes psychologique, pour des raisons diverses.

Mais le COVID a considérablement aggravé les choses .

En plus, bien sûr, de l'éco anxiété et l'incertitude pour leur avenir.

il y a une heure, apis 32 a dit :

Bon...

Quand on ne veut entendre que ce qu'on veut entendre...

La spécialité ORL serait elle aussi mal lotie que la psychiatrie ?

Non, il y a bien sûr toujours une partie de la population touchée par des problèmes psychologique, pour des raisons diverses.

Mais le COVID a considérablement aggravé les choses .

Surtout le contexte familial durant la période COVID.

il y a 23 minutes, apis 32 a dit :

A la campagne, on a toujours un couteau à portée de main et beaucoup d'homme l'ont dans leur poche. A table, ils sortent LEUR couteau, qu'ils utilisent plusieurs fois dans la journée.

Il y a toujours un bout de ficelle ou de bois à tailler...

La majorité des attaques au couteau se produisent en ville donc c'est un soucis d'éducation ou de culture

il y a 8 minutes, Placid88 a dit :

La majorité des attaques au couteau se produisent en ville donc c'est un soucis d'éducation ou de culture

Attaquer gratuitement quelqu'un au couteau relève à mon sens plus d'un problème de santé mentale que d'un manque d'éducation. 

Quand à la culture... les personnes qui travaillent dans les abattoirs n'égorgent pas leurs concitoyens, généralement. 

il y a 17 minutes, MadeleinedeProut a dit :

Surtout le contexte familial durant la période COVID.

Peu de contextes familiaux sont idéaux, peu aussi sont gravement pathogènes. 

Pour l'instant... parce que si la santé mentale continue de se détériorer...

il y a 7 minutes, apis 32 a dit :

A la campagne, on a toujours un couteau à portée de main et beaucoup d'homme l'ont dans leur poche. A table, ils sortent LEUR couteau, qu'ils utilisent plusieurs fois dans la journée.

Oui mais c'est parce qu'il s'agi(ssai)t d'un outil basique indispensable au quotidien pour casser la croûte en forêt ou dans les champs, pour effectuer une réparation de fortune sur un équipement agricole, etc.

Moi-même, quand j'avais dix ans, j'avais mon opinel dans la poche car je passais une bonne partie de mon temps libre dans le jardin ou dans les bois.

Même si le couteau de poche a encore aujourd'hui son utilité en pleine nature, sur un chantier ou dans un atelier, il n'a plus de place légitime dans la société urbaine où l'individu n'est plus autant exposé à des situations imprévues susceptibles d'être réglées à l'aide de cet outil.