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Le Christ avait prédit l'islam ?

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Membre, Anarchiste épistémologique, 51ans Posté(e)
kyrilluk Membre 7 694 messages
51ans‚ Anarchiste épistémologique,
Posté(e)

Les apôtres avaient prédit que des apostats, des antéchrists, surgiraient et nieraient la divinité du Christ en tant que Fils de Dieu (2 Jean 6-11). Ces chrétiens étaient appelés à les éviter comme la peste.

Il se trouve qu’une de ces sectes chrétiennes, qui affirmait que le Christ n’était qu’un prophète et que les chrétiens devaient suivre les interdits alimentaires juifs (comme l’interdiction de consommer du porc) ou se faire circoncire, était présente au moment où Mohamed a fondé l’islam (ebionites).

À moins de croire que Mohamed a effectivement reçu une révélation divine, le fait que l’islam reprenne environ 60 % des enseignements de cette secte chrétienne (notamment la position de Jésus, les récits de Joseph et d’autres grandes figures du judaïsme, les interdits alimentaires, le strict monothéisme, etc.) indique, au minimum, des contacts étroits entre Mohamed et cette secte chrétienne.

Ainsi, oui, l’islam est mentionné dans la Bible… mais pas pour les raisons que tu crois.

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Membre, 72ans Posté(e)
Cochise 90 Membre 3 260 messages
Mentor‚ 72ans‚
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Il y a 3 heures, Anatole1949 a dit :

L'empereur Constantin s'est servi du christianisme montant pour installer son pouvoir sur la totalité l'empire romains et ainsi asseoir son pouvoir total, celui d'empereur et celui de représentant de dieu, bref, le pouvoir absolu...

" Les chrétiens étaient persécutés car ils refusaient le culte aux empereurs, faut dire que ces connards d'empereurs Romains se proclamaient dieu et que lorsque leurs statues passaient dans les rues le peuple devait se prosterner, ce que les chrétiens refusaient de faire, le seul Dieu qu'ils révéraient c'est Jésus."

Ben voyons !

Parce que par la suite ce ne sont pas les chrétiens qui ont massacré terrorisé et massacré en masse tous ceux qui refusaient le christianisme ?

La seule chose que l'on croit savoir concernant Constantin, c'est qu'il a reçut le baptême sur son lit de mort et rien d'autre, un mourant est manipulable à souhaits !

Constantin a fait du christianisme la religion de l'Empire, comme Mahomet chef de guerre, a imposé l'islam à ses conquêtes, vous savez ce que cela veut dire ?

 

 

L'Eglise primitive qui marchait vraiment par l'Esprit tout en endurant les persécutions était dans la volonté du Seigneur, malheureusement Constantin par son édit a fait rentrer dans la communauté chrétienne moulte personnes qui rentraient dans l'Eglise non par la nouvelle naissance ( œuvre du Saint-Esprit ), mais par une volonté humaniste qui a engendré ce que l'on connaît dans les siècles suivant , l'inquisition, les croisades, période de ténèbres spirituelles durant lesquelles les pires exactions ont été commises. Au jour du jugement dernier tous ces crasseux iront à la condamnation éternelle je précise que le purgatoire n'est pas mentionné dans la Bible. La réforme a fait revenir les personnes sur la voie du salut Luther avait reçu cela en lisant la Bible, le salut est gratuit il est donné par grâce.... Il n'a malheureusement pas comprit la place d'Israël dans ce plan du salut.

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Membre, Certaines profondeurs sont des miroirs, 44ans Posté(e)
Ptitissus Membre 747 messages
Forumeur expérimenté‚ 44ans‚ Certaines profondeurs sont des miroirs,
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il y a 6 minutes, Cochise 90 a dit :

L'Eglise primitive qui marchait vraiment par l'Esprit tout en endurant les persécutions était dans la volonté du Seigneur, malheureusement Constantin par son édit a fait rentrer dans la communauté chrétienne moulte personnes qui rentraient dans l'Eglise non par la nouvelle naissance ( œuvre du Saint-Esprit ), mais par une volonté humaniste qui a engendré ce que l'on connaît dans les siècles suivant , l'inquisition, les croisades, période de ténèbres spirituelles durant lesquelles les pires exactions ont été commises. Au jour du jugement dernier tous ces crasseux iront à la condamnation éternelle je précise que le purgatoire n'est pas mentionné dans la Bible. La réforme a fait revenir les personnes sur la voie du salut Luther avait reçu cela en lisant la Bible, le salut est gratuit il est donné par grâce.... Il n'a malheureusement pas comprit la place d'Israël dans ce plan du salut.

Certe mais Jésus selon ma théorie c'est vif...Armure de broche ,..ballade, gaieté une provision de forme égale aux pleines !Traques et substrats.

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 39 902 messages
Grégairophobe...,
Posté(e)
il y a 2 minutes, Ptitissus a dit :

Certe mais Jésus selon ma théorie c'est vif...Armure de broche ,..ballade, gaieté une provision de forme égale aux pleines !Traques et substrats.

Excuse Me Wow GIF by Mashable

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Membre, 72ans Posté(e)
Cochise 90 Membre 3 260 messages
Mentor‚ 72ans‚
Posté(e)
il y a 12 minutes, Ptitissus a dit :

Certe mais Jésus selon ma théorie c'est vif...Armure de broche ,..ballade, gaieté une provision de forme égale aux pleines !Traques et substrats.

??????

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Membre, Certaines profondeurs sont des miroirs, 44ans Posté(e)
Ptitissus Membre 747 messages
Forumeur expérimenté‚ 44ans‚ Certaines profondeurs sont des miroirs,
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il y a 3 minutes, Cochise 90 a dit :

??????

Je m'interroge, donc je me nourrit..Cette vision non invasive et complète tombe en cascade .Que regarder de mieux 😉

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Membre, Certaines profondeurs sont des miroirs, 44ans Posté(e)
Ptitissus Membre 747 messages
Forumeur expérimenté‚ 44ans‚ Certaines profondeurs sont des miroirs,
Posté(e)
il y a 2 minutes, Ptitissus a dit :

Je m'interroge, donc je me nourrit..Cette vision non invasive et complète ,tombe en cascade .Que regarder de mieux 😉

 

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Membre, 57ans Posté(e)
Témoudjine Membre 1 358 messages
Mentor‚ 57ans‚
Posté(e)
Il y a 4 heures, Cochise 90 a dit :

Dommage que vous ne puissiez plus dire cela à ceux qui se sont fait manger par les lions ou ceux qui enduits de résine servait d'éclairage aux fêtes nocturnes de Néron..... C'est Constantin qui en se convertissant au christianisme a fait cesser les persécutions en en faisant une religion d'état il est mort en 337. Les chrétiens étaient persécutés car ils refusaient le culte aux empereurs, faut dire que ces connards d'empereurs Romains se proclamaient dieu et que lorsque leurs statues passaient dans les rues le peuple devait se prosterner, ce que les chrétiens refusaient de faire, le seul Dieu qu'ils révéraient c'est Jésus.

Il faut parfois se résoudre à considérer les choses sous l’angle de l’Histoire, la vraie, celle dont l’on a expliqué la réalité, et pas sous l’angle de la légende, même s’il s’agit de la légende chrétienne.

Nombre d’historiens, de vrais historiens qui dirigent les travaux de toutes les facultés d’Histoire, se sont spécialisés dans l’histoire de la chrétienté et ont publié leurs travaux récents en ce domaine.   

Tout ce que je vais écrire ci-dessous est de l’Histoire. La seule vraie, celle qui est prouvée et attestée par les spécialistes et que l’on peut retrouver dans tous les manuels destinés aux étudiants en Histoire qui se sont intéressés à l’Histoire des religions. Et plus particulièrement du christianisme.

N’importe qui peut retrouver ce qui suit dans ces manuels, qui figurent dans toutes les bonnes bibliothèques municipales des villes importantes. Et dans les bibliothèques de toutes les Facultés d’Histoire. Je rappelle que ces bibliothèques des Facs sont accessibles à tous ceux qui le souhaitent, sans qu’il soit nécessaire d’être inscrit dans ladite Fac.

En matière de religion, Rome a toujours été d’une tolérance rare que l’on n’a plus retrouvée que deux mille ans plus tard avec la laïcité dans les pays de l’Europe de l’Ouest l’ayant adoptée.  Il y avait durant l’Antiquité des multitudes de Dieux. La majorité des peuples en avaient plusieurs. Et systématiquement, Romme légalisait toutes les religions des pays que ses Légions avaient conquis. Au point d’ouvrir à Rome un Panthéon, un temple destiné à honorer tous les Dieux existants, sans distinctions ni réserves.

Entre l’an zéro de l’ère commune et l’an 70, en gros, les romains qui avaient battu les hébreux ont chassé une partie des juifs d’Israël qui sont partis installer des communautés dans nombre d’endroits, dont en Europe. Mais il y avait déjà des communautés juives en Europe, en Afrique du Nord, et jusqu’en Asie centrale. Il y avait une communauté juive attestée en Région Parisienne quelque mille trois cents ans avant que n’apparaisse le premier roi de France.

Il y avait également des communautés juives en Italie, dont une à Rome, mais les juifs étaient entrés dans l’époque rabbinique et s’effaçaient complètement devant les religions des pays ou des régions dans lesquelles se trouvaient leurs communautés.  

Il en est question dans une autre discussion, mais les chrétiens, et le nom de chrétien, n’apparaît sur le plan historique qu’au début du IV° siècle avec Constantin.
En 222 de notre ère, Rome a fait réaliser un recensement de tous les lieux de culte, de toutes les religions présentes dans l’Empire romain. Les historiens font remarquer que la moindre mare dotée d’une « aura » religieuse, la moindre source dont l’eau se voyait attribuer une vertu quelconque, est nommée et identifiée dans ce recensement qui a couvert  tout l’Empire romain. Et l’Administration romaine était particulièrement efficace et attentive aux ordres de Rome.

Or en 222, nulle part dans ce recensement qui a couvert tous les pays de l’Empire, n’apparaît le mot « christianisme ». Pour les historiens, la preuve est faite qu’il n’existait dans l’Empire romain en 222 aucun lieu de culte consacré au Christianisme. Le nom même de Christianisme y était inconnu. Ni ce qui aurait pu être ce mot traduit en une autre langue que le latin.  

Il n’existe strictement aucun document authentique, que ce soit un écrit, une gravure sur un monument, une tombe ou un linteau de Temple antique, qui porte le mot « Christ » et qui date des trois premiers siècles de notre ère.

Sur le plan historique, sur le plan de l’Histoire réelle et attestée, le premier établissement chrétien est apparu avec Constantin au début du IV° siècle. Pour les historiens, le Christianisme est apparu au IV° siècle.

L’Histoire des nouveaux chrétiens qui au début du IV° siècle se sont prévalus der la qualité de succession des hébreux et de continuateurs de la Bible, date de la même époque.

Le sujet soulevé par Cochise est celui des martyrs chrétiens. Mais Cochise s’en tient à la légende chrétienne qui reprend le catéchisme tel que le christianisme l’a enseigné aux enfants depuis le XII° siècle.

Mais Rome n’a jamais dans son Histoire pourchassé une religion. La seule chose qui était, vers la fin de l’Empire, demandée aux tenants des religions « exotiques » était de venir une fois par an rendre hommage à l’empereur, en venant s’incliner devant sa statue érigée dans chaque ville. Mais les citoyens de Rome, seuls astreints à cette obligation, pouvaient s’y faire représente par une tierce personne ou par un esclave. Seules les femmes ne pouvaient pas représenter un citoyen romain à cette cérémonie. Mais les femmes n’existaient pas sur le plan civil en droit romain. Et aucune religion n’acceptait les femmes. Et ceux qui manquaient de venir s’incliner devant le portrait ou la statue de l’empereur, se voyaient frapper d’une simple amende.
 
C’est même sur cette particularité que toutes les religions à Rome refusaient les femmes, que les premiers chrétiens ont démarré leurs activités. Les chrétiens ont accepté les femmes dans leur nouvelle religion. Particularité qui a séduit Hélène, la mère de l’Empereur Constantin et ancienne prostituée. Hélène qui est devenue l’intermédiaire entre Constantin à la recherche d’argent pour financer la nouvelle capitale qu’il voulait construire à Constantinople, et les chrétiens. Et auxquels les chrétiens ont proposé un deal que Constantin s’est empressé d’accepter.

Constantin décidait qu’il n’y avait plus qu’une seule religion officielle, le Christianisme.  Ce qui n’interdisait pas les autres religions, contrairement à la légende chrétienne, mais faisait que ces religions pouvaient être spoliées de leurs biens et de leurs grandes fortunes. Lesquelles mises à la disposition de Constantin lui ont permis de financer la construction de sa nouvelle capitale, Constantinople. Grâce aux chrétiens.

Le principe étant basé sur le fait que la grande richesse des religions était due au fait que chaque religion pouvant se targuer d’ancienneté et de leur existence du temps de l’Antiquité, pouvait bénéficier de la nomination d’un pontife et de ce fait d’être exemptés de tous impôts et taxes. Ce qui a permis à ces religions de devenir très riches au fil des siècles.  

Et justifie le phantasme accepté par Constantin de l’ancienneté du christianisme et de la succession par ses Évangiles de la Bible juive. Ce qui réglait la question de l’ancienneté bidon du Christianisme.

Pour en revenir aux martyrs. Les romains n’avaient jamais poursuivi les membres d’une religion au nom de leur participation aux rites de cette religion. Dans toute l’histoire de Rome, jamais personne n’a été poursuivis pour n’être pas de telle ou telle religion. Et pas davantage parce qu’ils n’étaient pas chrétiens. C’était d’ailleurs contre ce qu’étaient les principes religieux romains, et ce qu’ils ont été jusqu’à la fin de l’empire. D’où vient alors cette histoire totalement fantasmée des martyrs chrétiens ?  Les Historiens ont trouvé la réponse.  

Il convient de savoir et de considérer deux choses importantes en cette matière.

La première est que la Loi applicable par l’Administration romaine était rendue par un système de rescrits. Le gouverneur de Rome, ou l’Administrateur auquel se posait un problème écrivait à l’Empereur en lui exposant le cas et en lui demandant : que dois-je faire ?

Et le cabinet de l’Empire lui répondait au nom de l’empereur : tu dois répondre de telle manière. Et cette réponse devenait la Loi applicable dans tous les cas semblables.

 

Et la seconde chose à prendre en compte est, comme il en est de l’existence du Christ durant les trois premiers siècles de l’ère commune, qu’aucun document, aucune inscription, aucun auteur vivant à cette époque, c’est-à-dire durant les premiers siècles de notre ère, n’a cité nulle part de faits qui accréditeraient l’histoire des martyrs chrétiens. Tous les documents authentiques en parlant datent de bien plus tard, au mieux entre les VII° et IX° siècles. Tous les documents prétendant être plus anciens et dater de l’époque des faits, sont des faux ou des épisodes « améliorées » d’histoires datant de plus tard.

Pour l’essentiel, comme il en est de la majorité de la geste chrétienne en matière de persécution des chrétiens, ils datent du XII° siècle est des arguments destinés au peuple que l’église voulait recruter pour partir aux croisades. Dans le cadre de l’imagerie destinée aux foules sans culture qu’il fallait convaincre. Comme les instruments de la Passion qui n’existaient pas avant le XII° siècle et les prêches des Croisades.

Aucun document authentique qui daterait de l’époque de ces prétendues persécutions de martyrs chrétiens n’existe. Mais alors d’où vient l’histoire ? Les historiens ont fini par trouver.
 
Les exégètes stipendiés du christianisme cherchent depuis des siècles une manière de détourner ce manque total de documents authentiques parlant des martyrs chrétiens. Et un jour, l’un d’eux qui après dix mille autres étudiait les rescrits dont je parle plus haut, tombe sur une réponse de l’Empereur Trajan à la question que lui posait un gouverneur :
-« Dois-je prendre en compte les déclarations anonymes ?».
Et l’empereur a fait répondre ; - «  oui, après les avoir faites vérifier ».

Là le prêtre chrétien qui avait trouvé la réponse dans les archives romaines s’est demandé :
-«  Quelle pouvait être la raison des dénonciations anonymes ? ».
Et il a eu une illumination ? :  C’est quelqu’un qui a dénoncé son voisin d’être un chrétien. Ce sont les dénonciations de chrétiens qui étaient anonymes, j’en suis sûr ! Donc si ils étaient dénoncés, c’est qu’il était interdit d’être chrétiens. Et que forcément ces chrétiens dénoncés étaient voués à être tués dans le Cirque. Comme les condamnés de Droit Commun.

Et c’est de là, et exclusivement de cette histoire venant des archives et des rescrits de l’empereur Trajan, qu’est née la légende des martyrs chrétiens livrés aux lions.

Il n’existe aucun document authentique datant de l’époque concernée qui parle des martyrs chrétiens. Ni documents romains, ni documents chrétiens, ni documents juifs, ni documents de n’importe quelle source, et datant de l’époque concertée, pas repris et copiés plus tard, qui citent cette histoire de martyrs chrétiens livrés au Cirque.

Des chrétiens ont pu être tués dans le cirque, mais en qualité de condamnés de Droit Commun. Pas en qualité de chrétiens. Aucun chrétien n’a été condamné au Cirque parce qu’il était chrétien.

Sinon il est évident que sur au moins deux ou trois siècles où se seraient passés ces faits, il se serait bien trouvé en Europe quelqu’un pour l’écrire quelque part. Pour le raconter à quelqu’un d’autre. Et ce n’est pas le cas. Les chrétiens martyrs livrés au Cirque sont une partie de la légende chrétienne, au même titre que l’existence du Christ.

Mais les chercheurs « objectifs », les vrais historiens, ont continué leurs recherches. Et il n’y a d’ailleurs pas très longtemps, un historien a trouvé. La traduction du rescrit de Trajan n’avait été rendu publique par le prêtre qui l’avait trouvée, que pour une partie du texte. Et si l’on prenait en compte la totalité de la traduction du document, l’on comprenait de quoi il retournait.

Les revenus imposables aux propriétaires terriens dans l’empire romain, comme d’ailleurs c’est toujours le cas en France, étaient déclaratifs.  Mais si un propriétaire était dénoncé par un tiers pour n’avoir pas déclaré la totalité de sa récolte, le percepteur, d’office et sans vérification, imposait une amende et un impôt supplémentaire. Et ces dénonciations, pour des raisons de voisinage qu’il fallait bien continuer à supporter après, étaient généralement anonymes. Et le gouverneur ne savait pas s’il devait continuer à imposer d’office le propriétaire dénoncé.  Jusqu’à la réponse à son rescrit envoyé à l’empereur.   

C’est sur cet élément, et exclusivement sur cette histoire et pour ces raisons qu’a été inventé cette histoire e martyrs chrétiens jetés aux lions.

Tous les manuels d’Histoire romaine récents consacrés aux religions, rapportent cela mieux que je ne sais le faire. Tous ceux voulant des détails peuvent les y trouver.

Quant à ceux qui préfèreraient mourir que mettre en doute les vieilles leçons de leur caté, c’est leur problème, pas le mien.

 

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Membre, Certaines profondeurs sont des miroirs, 44ans Posté(e)
Ptitissus Membre 747 messages
Forumeur expérimenté‚ 44ans‚ Certaines profondeurs sont des miroirs,
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il y a 9 minutes, Témoudjine a dit :

Il faut parfois se résoudre à considérer les choses sous l’angle de l’Histoire, la vraie, celle dont l’on a expliqué la réalité, et pas sous l’angle de la légende, même s’il s’agit de la légende chrétienne.

Nombre d’historiens, de vrais historiens qui dirigent les travaux de toutes les facultés d’Histoire, se sont spécialisés dans l’histoire de la chrétienté et ont publié leurs travaux récents en ce domaine.   

Tout ce que je vais écrire ci-dessous est de l’Histoire. La seule vraie, celle qui est prouvée et attestée par les spécialistes et que l’on peut retrouver dans tous les manuels destinés aux étudiants en Histoire qui se sont intéressés à l’Histoire des religions. Et plus particulièrement du christianisme.

N’importe qui peut retrouver ce qui suit dans ces manuels, qui figurent dans toutes les bonnes bibliothèques municipales des villes importantes. Et dans les bibliothèques de toutes les Facultés d’Histoire. Je rappelle que ces bibliothèques des Facs sont accessibles à tous ceux qui le souhaitent, sans qu’il soit nécessaire d’être inscrit dans ladite Fac.

En matière de religion, Rome a toujours été d’une tolérance rare que l’on n’a plus retrouvée que deux mille ans plus tard avec la laïcité dans les pays de l’Europe de l’Ouest l’ayant adoptée.  Il y avait durant l’Antiquité des multitudes de Dieux. La majorité des peuples en avaient plusieurs. Et systématiquement, Romme légalisait toutes les religions des pays que ses Légions avaient conquis. Au point d’ouvrir à Rome un Panthéon, un temple destiné à honorer tous les Dieux existants, sans distinctions ni réserves.

Entre l’an zéro de l’ère commune et l’an 70, en gros, les romains qui avaient battu les hébreux ont chassé une partie des juifs d’Israël qui sont partis installer des communautés dans nombre d’endroits, dont en Europe. Mais il y avait déjà des communautés juives en Europe, en Afrique du Nord, et jusqu’en Asie centrale. Il y avait une communauté juive attestée en Région Parisienne quelque mille trois cents ans avant que n’apparaisse le premier roi de France.

Il y avait également des communautés juives en Italie, dont une à Rome, mais les juifs étaient entrés dans l’époque rabbinique et s’effaçaient complètement devant les religions des pays ou des régions dans lesquelles se trouvaient leurs communautés.  

Il en est question dans une autre discussion, mais les chrétiens, et le nom de chrétien, n’apparaît sur le plan historique qu’au début du IV° siècle avec Constantin.
En 222 de notre ère, Rome a fait réaliser un recensement de tous les lieux de culte, de toutes les religions présentes dans l’Empire romain. Les historiens font remarquer que la moindre mare dotée d’une « aura » religieuse, la moindre source dont l’eau se voyait attribuer une vertu quelconque, est nommée et identifiée dans ce recensement qui a couvert  tout l’Empire romain. Et l’Administration romaine était particulièrement efficace et attentive aux ordres de Rome.

Or en 222, nulle part dans ce recensement qui a couvert tous les pays de l’Empire, n’apparaît le mot « christianisme ». Pour les historiens, la preuve est faite qu’il n’existait dans l’Empire romain en 222 aucun lieu de culte consacré au Christianisme. Le nom même de Christianisme y était inconnu. Ni ce qui aurait pu être ce mot traduit en une autre langue que le latin.  

Il n’existe strictement aucun document authentique, que ce soit un écrit, une gravure sur un monument, une tombe ou un linteau de Temple antique, qui porte le mot « Christ » et qui date des trois premiers siècles de notre ère.

Sur le plan historique, sur le plan de l’Histoire réelle et attestée, le premier établissement chrétien est apparu avec Constantin au début du IV° siècle. Pour les historiens, le Christianisme est apparu au IV° siècle.

L’Histoire des nouveaux chrétiens qui au début du IV° siècle se sont prévalus der la qualité de succession des hébreux et de continuateurs de la Bible, date de la même époque.

Le sujet soulevé par Cochise est celui des martyrs chrétiens. Mais Cochise s’en tient à la légende chrétienne qui reprend le catéchisme tel que le christianisme l’a enseigné aux enfants depuis le XII° siècle.

Mais Rome n’a jamais dans son Histoire pourchassé une religion. La seule chose qui était, vers la fin de l’Empire, demandée aux tenants des religions « exotiques » était de venir une fois par an rendre hommage à l’empereur, en venant s’incliner devant sa statue érigée dans chaque ville. Mais les citoyens de Rome, seuls astreints à cette obligation, pouvaient s’y faire représente par une tierce personne ou par un esclave. Seules les femmes ne pouvaient pas représenter un citoyen romain à cette cérémonie. Mais les femmes n’existaient pas sur le plan civil en droit romain. Et aucune religion n’acceptait les femmes. Et ceux qui manquaient de venir s’incliner devant le portrait ou la statue de l’empereur, se voyaient frapper d’une simple amende.
 
C’est même sur cette particularité que toutes les religions à Rome refusaient les femmes, que les premiers chrétiens ont démarré leurs activités. Les chrétiens ont accepté les femmes dans leur nouvelle religion. Particularité qui a séduit Hélène, la mère de l’Empereur Constantin et ancienne prostituée. Hélène qui est devenue l’intermédiaire entre Constantin à la recherche d’argent pour financer la nouvelle capitale qu’il voulait construire à Constantinople, et les chrétiens. Et auxquels les chrétiens ont proposé un deal que Constantin s’est empressé d’accepter.

Constantin décidait qu’il n’y avait plus qu’une seule religion officielle, le Christianisme.  Ce qui n’interdisait pas les autres religions, contrairement à la légende chrétienne, mais faisait que ces religions pouvaient être spoliées de leurs biens et de leurs grandes fortunes. Lesquelles mises à la disposition de Constantin lui ont permis de financer la construction de sa nouvelle capitale, Constantinople. Grâce aux chrétiens.

Le principe étant basé sur le fait que la grande richesse des religions était due au fait que chaque religion pouvant se targuer d’ancienneté et de leur existence du temps de l’Antiquité, pouvait bénéficier de la nomination d’un pontife et de ce fait d’être exemptés de tous impôts et taxes. Ce qui a permis à ces religions de devenir très riches au fil des siècles.  

Et justifie le phantasme accepté par Constantin de l’ancienneté du christianisme et de la succession par ses Évangiles de la Bible juive. Ce qui réglait la question de l’ancienneté bidon du Christianisme.

Pour en revenir aux martyrs. Les romains n’avaient jamais poursuivi les membres d’une religion au nom de leur participation aux rites de cette religion. Dans toute l’histoire de Rome, jamais personne n’a été poursuivis pour n’être pas de telle ou telle religion. Et pas davantage parce qu’ils n’étaient pas chrétiens. C’était d’ailleurs contre ce qu’étaient les principes religieux romains, et ce qu’ils ont été jusqu’à la fin de l’empire. D’où vient alors cette histoire totalement fantasmée des martyrs chrétiens ?  Les Historiens ont trouvé la réponse.  

Il convient de savoir et de considérer deux choses importantes en cette matière.

La première est que la Loi applicable par l’Administration romaine était rendue par un système de rescrits. Le gouverneur de Rome, ou l’Administrateur auquel se posait un problème écrivait à l’Empereur en lui exposant le cas et en lui demandant : que dois-je faire ?

Et le cabinet de l’Empire lui répondait au nom de l’empereur : tu dois répondre de telle manière. Et cette réponse devenait la Loi applicable dans tous les cas semblables.

 

Et la seconde chose à prendre en compte est, comme il en est de l’existence du Christ durant les trois premiers siècles de l’ère commune, qu’aucun document, aucune inscription, aucun auteur vivant à cette époque, c’est-à-dire durant les premiers siècles de notre ère, n’a cité nulle part de faits qui accréditeraient l’histoire des martyrs chrétiens. Tous les documents authentiques en parlant datent de bien plus tard, au mieux entre les VII° et IX° siècles. Tous les documents prétendant être plus anciens et dater de l’époque des faits, sont des faux ou des épisodes « améliorées » d’histoires datant de plus tard.

Pour l’essentiel, comme il en est de la majorité de la geste chrétienne en matière de persécution des chrétiens, ils datent du XII° siècle est des arguments destinés au peuple que l’église voulait recruter pour partir aux croisades. Dans le cadre de l’imagerie destinée aux foules sans culture qu’il fallait convaincre. Comme les instruments de la Passion qui n’existaient pas avant le XII° siècle et les prêches des Croisades.

Aucun document authentique qui daterait de l’époque de ces prétendues persécutions de martyrs chrétiens n’existe. Mais alors d’où vient l’histoire ? Les historiens ont fini par trouver.
 
Les exégètes stipendiés du christianisme cherchent depuis des siècles une manière de détourner ce manque total de documents authentiques parlant des martyrs chrétiens. Et un jour, l’un d’eux qui après dix mille autres étudiait les rescrits dont je parle plus haut, tombe sur une réponse de l’Empereur Trajan à la question que lui posait un gouverneur :
-« Dois-je prendre en compte les déclarations anonymes ?».
Et l’empereur a fait répondre ; - «  oui, après les avoir faites vérifier ».

Là le prêtre chrétien qui avait trouvé la réponse dans les archives romaines s’est demandé :
-«  Quelle pouvait être la raison des dénonciations anonymes ? ».
Et il a eu une illumination ? :  C’est quelqu’un qui a dénoncé son voisin d’être un chrétien. Ce sont les dénonciations de chrétiens qui étaient anonymes, j’en suis sûr ! Donc si ils étaient dénoncés, c’est qu’il était interdit d’être chrétiens. Et que forcément ces chrétiens dénoncés étaient voués à être tués dans le Cirque. Comme les condamnés de Droit Commun.

Et c’est de là, et exclusivement de cette histoire venant des archives et des rescrits de l’empereur Trajan, qu’est née la légende des martyrs chrétiens livrés aux lions.

Il n’existe aucun document authentique datant de l’époque concernée qui parle des martyrs chrétiens. Ni documents romains, ni documents chrétiens, ni documents juifs, ni documents de n’importe quelle source, et datant de l’époque concertée, pas repris et copiés plus tard, qui citent cette histoire de martyrs chrétiens livrés au Cirque.

Des chrétiens ont pu être tués dans le cirque, mais en qualité de condamnés de Droit Commun. Pas en qualité de chrétiens. Aucun chrétien n’a été condamné au Cirque parce qu’il était chrétien.

Sinon il est évident que sur au moins deux ou trois siècles où se seraient passés ces faits, il se serait bien trouvé en Europe quelqu’un pour l’écrire quelque part. Pour le raconter à quelqu’un d’autre. Et ce n’est pas le cas. Les chrétiens martyrs livrés au Cirque sont une partie de la légende chrétienne, au même titre que l’existence du Christ.

Mais les chercheurs « objectifs », les vrais historiens, ont continué leurs recherches. Et il n’y a d’ailleurs pas très longtemps, un historien a trouvé. La traduction du rescrit de Trajan n’avait été rendu publique par le prêtre qui l’avait trouvée, que pour une partie du texte. Et si l’on prenait en compte la totalité de la traduction du document, l’on comprenait de quoi il retournait.

Les revenus imposables aux propriétaires terriens dans l’empire romain, comme d’ailleurs c’est toujours le cas en France, étaient déclaratifs.  Mais si un propriétaire était dénoncé par un tiers pour n’avoir pas déclaré la totalité de sa récolte, le percepteur, d’office et sans vérification, imposait une amende et un impôt supplémentaire. Et ces dénonciations, pour des raisons de voisinage qu’il fallait bien continuer à supporter après, étaient généralement anonymes. Et le gouverneur ne savait pas s’il devait continuer à imposer d’office le propriétaire dénoncé.  Jusqu’à la réponse à son rescrit envoyé à l’empereur.   

C’est sur cet élément, et exclusivement sur cette histoire et pour ces raisons qu’a été inventé cette histoire e martyrs chrétiens jetés aux lions.

Tous les manuels d’Histoire romaine récents consacrés aux religions, rapportent cela mieux que je ne sais le faire. Tous ceux voulant des détails peuvent les y trouver.

Quant à ceux qui préfèreraient mourir que mettre en doute les vieilles leçons de leur caté, c’est leur problème, pas le mien.

 

Belle Histoire ;la foi ,le Christ indispensable.

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Membre, Certaines profondeurs sont des miroirs, 44ans Posté(e)
Ptitissus Membre 747 messages
Forumeur expérimenté‚ 44ans‚ Certaines profondeurs sont des miroirs,
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il y a 39 minutes, Ptitissus a dit :

Belle Histoire ;la foi ,le Christ indispensable.

Appétit certain ,l'errance dans le nom ,nulle communion dénonce 💛

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Cochise 90 Membre 3 260 messages
Mentor‚ 72ans‚
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il y a une heure, Témoudjine a dit :

Il faut parfois se résoudre à considérer les choses sous l’angle de l’Histoire, la vraie, celle dont l’on a expliqué la réalité, et pas sous l’angle de la légende, même s’il s’agit de la légende chrétienne.

Nombre d’historiens, de vrais historiens qui dirigent les travaux de toutes les facultés d’Histoire, se sont spécialisés dans l’histoire de la chrétienté et ont publié leurs travaux récents en ce domaine.   

Tout ce que je vais écrire ci-dessous est de l’Histoire. La seule vraie, celle qui est prouvée et attestée par les spécialistes et que l’on peut retrouver dans tous les manuels destinés aux étudiants en Histoire qui se sont intéressés à l’Histoire des religions. Et plus particulièrement du christianisme.

N’importe qui peut retrouver ce qui suit dans ces manuels, qui figurent dans toutes les bonnes bibliothèques municipales des villes importantes. Et dans les bibliothèques de toutes les Facultés d’Histoire. Je rappelle que ces bibliothèques des Facs sont accessibles à tous ceux qui le souhaitent, sans qu’il soit nécessaire d’être inscrit dans ladite Fac.

En matière de religion, Rome a toujours été d’une tolérance rare que l’on n’a plus retrouvée que deux mille ans plus tard avec la laïcité dans les pays de l’Europe de l’Ouest l’ayant adoptée.  Il y avait durant l’Antiquité des multitudes de Dieux. La majorité des peuples en avaient plusieurs. Et systématiquement, Romme légalisait toutes les religions des pays que ses Légions avaient conquis. Au point d’ouvrir à Rome un Panthéon, un temple destiné à honorer tous les Dieux existants, sans distinctions ni réserves.

Entre l’an zéro de l’ère commune et l’an 70, en gros, les romains qui avaient battu les hébreux ont chassé une partie des juifs d’Israël qui sont partis installer des communautés dans nombre d’endroits, dont en Europe. Mais il y avait déjà des communautés juives en Europe, en Afrique du Nord, et jusqu’en Asie centrale. Il y avait une communauté juive attestée en Région Parisienne quelque mille trois cents ans avant que n’apparaisse le premier roi de France.

Il y avait également des communautés juives en Italie, dont une à Rome, mais les juifs étaient entrés dans l’époque rabbinique et s’effaçaient complètement devant les religions des pays ou des régions dans lesquelles se trouvaient leurs communautés.  

Il en est question dans une autre discussion, mais les chrétiens, et le nom de chrétien, n’apparaît sur le plan historique qu’au début du IV° siècle avec Constantin.
En 222 de notre ère, Rome a fait réaliser un recensement de tous les lieux de culte, de toutes les religions présentes dans l’Empire romain. Les historiens font remarquer que la moindre mare dotée d’une « aura » religieuse, la moindre source dont l’eau se voyait attribuer une vertu quelconque, est nommée et identifiée dans ce recensement qui a couvert  tout l’Empire romain. Et l’Administration romaine était particulièrement efficace et attentive aux ordres de Rome.

Or en 222, nulle part dans ce recensement qui a couvert tous les pays de l’Empire, n’apparaît le mot « christianisme ». Pour les historiens, la preuve est faite qu’il n’existait dans l’Empire romain en 222 aucun lieu de culte consacré au Christianisme. Le nom même de Christianisme y était inconnu. Ni ce qui aurait pu être ce mot traduit en une autre langue que le latin.  

Il n’existe strictement aucun document authentique, que ce soit un écrit, une gravure sur un monument, une tombe ou un linteau de Temple antique, qui porte le mot « Christ » et qui date des trois premiers siècles de notre ère.

Sur le plan historique, sur le plan de l’Histoire réelle et attestée, le premier établissement chrétien est apparu avec Constantin au début du IV° siècle. Pour les historiens, le Christianisme est apparu au IV° siècle.

L’Histoire des nouveaux chrétiens qui au début du IV° siècle se sont prévalus der la qualité de succession des hébreux et de continuateurs de la Bible, date de la même époque.

Le sujet soulevé par Cochise est celui des martyrs chrétiens. Mais Cochise s’en tient à la légende chrétienne qui reprend le catéchisme tel que le christianisme l’a enseigné aux enfants depuis le XII° siècle.

Mais Rome n’a jamais dans son Histoire pourchassé une religion. La seule chose qui était, vers la fin de l’Empire, demandée aux tenants des religions « exotiques » était de venir une fois par an rendre hommage à l’empereur, en venant s’incliner devant sa statue érigée dans chaque ville. Mais les citoyens de Rome, seuls astreints à cette obligation, pouvaient s’y faire représente par une tierce personne ou par un esclave. Seules les femmes ne pouvaient pas représenter un citoyen romain à cette cérémonie. Mais les femmes n’existaient pas sur le plan civil en droit romain. Et aucune religion n’acceptait les femmes. Et ceux qui manquaient de venir s’incliner devant le portrait ou la statue de l’empereur, se voyaient frapper d’une simple amende.
 
C’est même sur cette particularité que toutes les religions à Rome refusaient les femmes, que les premiers chrétiens ont démarré leurs activités. Les chrétiens ont accepté les femmes dans leur nouvelle religion. Particularité qui a séduit Hélène, la mère de l’Empereur Constantin et ancienne prostituée. Hélène qui est devenue l’intermédiaire entre Constantin à la recherche d’argent pour financer la nouvelle capitale qu’il voulait construire à Constantinople, et les chrétiens. Et auxquels les chrétiens ont proposé un deal que Constantin s’est empressé d’accepter.

Constantin décidait qu’il n’y avait plus qu’une seule religion officielle, le Christianisme.  Ce qui n’interdisait pas les autres religions, contrairement à la légende chrétienne, mais faisait que ces religions pouvaient être spoliées de leurs biens et de leurs grandes fortunes. Lesquelles mises à la disposition de Constantin lui ont permis de financer la construction de sa nouvelle capitale, Constantinople. Grâce aux chrétiens.

Le principe étant basé sur le fait que la grande richesse des religions était due au fait que chaque religion pouvant se targuer d’ancienneté et de leur existence du temps de l’Antiquité, pouvait bénéficier de la nomination d’un pontife et de ce fait d’être exemptés de tous impôts et taxes. Ce qui a permis à ces religions de devenir très riches au fil des siècles.  

Et justifie le phantasme accepté par Constantin de l’ancienneté du christianisme et de la succession par ses Évangiles de la Bible juive. Ce qui réglait la question de l’ancienneté bidon du Christianisme.

Pour en revenir aux martyrs. Les romains n’avaient jamais poursuivi les membres d’une religion au nom de leur participation aux rites de cette religion. Dans toute l’histoire de Rome, jamais personne n’a été poursuivis pour n’être pas de telle ou telle religion. Et pas davantage parce qu’ils n’étaient pas chrétiens. C’était d’ailleurs contre ce qu’étaient les principes religieux romains, et ce qu’ils ont été jusqu’à la fin de l’empire. D’où vient alors cette histoire totalement fantasmée des martyrs chrétiens ?  Les Historiens ont trouvé la réponse.  

Il convient de savoir et de considérer deux choses importantes en cette matière.

La première est que la Loi applicable par l’Administration romaine était rendue par un système de rescrits. Le gouverneur de Rome, ou l’Administrateur auquel se posait un problème écrivait à l’Empereur en lui exposant le cas et en lui demandant : que dois-je faire ?

Et le cabinet de l’Empire lui répondait au nom de l’empereur : tu dois répondre de telle manière. Et cette réponse devenait la Loi applicable dans tous les cas semblables.

 

Et la seconde chose à prendre en compte est, comme il en est de l’existence du Christ durant les trois premiers siècles de l’ère commune, qu’aucun document, aucune inscription, aucun auteur vivant à cette époque, c’est-à-dire durant les premiers siècles de notre ère, n’a cité nulle part de faits qui accréditeraient l’histoire des martyrs chrétiens. Tous les documents authentiques en parlant datent de bien plus tard, au mieux entre les VII° et IX° siècles. Tous les documents prétendant être plus anciens et dater de l’époque des faits, sont des faux ou des épisodes « améliorées » d’histoires datant de plus tard.

Pour l’essentiel, comme il en est de la majorité de la geste chrétienne en matière de persécution des chrétiens, ils datent du XII° siècle est des arguments destinés au peuple que l’église voulait recruter pour partir aux croisades. Dans le cadre de l’imagerie destinée aux foules sans culture qu’il fallait convaincre. Comme les instruments de la Passion qui n’existaient pas avant le XII° siècle et les prêches des Croisades.

Aucun document authentique qui daterait de l’époque de ces prétendues persécutions de martyrs chrétiens n’existe. Mais alors d’où vient l’histoire ? Les historiens ont fini par trouver.
 
Les exégètes stipendiés du christianisme cherchent depuis des siècles une manière de détourner ce manque total de documents authentiques parlant des martyrs chrétiens. Et un jour, l’un d’eux qui après dix mille autres étudiait les rescrits dont je parle plus haut, tombe sur une réponse de l’Empereur Trajan à la question que lui posait un gouverneur :
-« Dois-je prendre en compte les déclarations anonymes ?».
Et l’empereur a fait répondre ; - «  oui, après les avoir faites vérifier ».

Là le prêtre chrétien qui avait trouvé la réponse dans les archives romaines s’est demandé :
-«  Quelle pouvait être la raison des dénonciations anonymes ? ».
Et il a eu une illumination ? :  C’est quelqu’un qui a dénoncé son voisin d’être un chrétien. Ce sont les dénonciations de chrétiens qui étaient anonymes, j’en suis sûr ! Donc si ils étaient dénoncés, c’est qu’il était interdit d’être chrétiens. Et que forcément ces chrétiens dénoncés étaient voués à être tués dans le Cirque. Comme les condamnés de Droit Commun.

Et c’est de là, et exclusivement de cette histoire venant des archives et des rescrits de l’empereur Trajan, qu’est née la légende des martyrs chrétiens livrés aux lions.

Il n’existe aucun document authentique datant de l’époque concernée qui parle des martyrs chrétiens. Ni documents romains, ni documents chrétiens, ni documents juifs, ni documents de n’importe quelle source, et datant de l’époque concertée, pas repris et copiés plus tard, qui citent cette histoire de martyrs chrétiens livrés au Cirque.

Des chrétiens ont pu être tués dans le cirque, mais en qualité de condamnés de Droit Commun. Pas en qualité de chrétiens. Aucun chrétien n’a été condamné au Cirque parce qu’il était chrétien.

Sinon il est évident que sur au moins deux ou trois siècles où se seraient passés ces faits, il se serait bien trouvé en Europe quelqu’un pour l’écrire quelque part. Pour le raconter à quelqu’un d’autre. Et ce n’est pas le cas. Les chrétiens martyrs livrés au Cirque sont une partie de la légende chrétienne, au même titre que l’existence du Christ.

Mais les chercheurs « objectifs », les vrais historiens, ont continué leurs recherches. Et il n’y a d’ailleurs pas très longtemps, un historien a trouvé. La traduction du rescrit de Trajan n’avait été rendu publique par le prêtre qui l’avait trouvée, que pour une partie du texte. Et si l’on prenait en compte la totalité de la traduction du document, l’on comprenait de quoi il retournait.

Les revenus imposables aux propriétaires terriens dans l’empire romain, comme d’ailleurs c’est toujours le cas en France, étaient déclaratifs.  Mais si un propriétaire était dénoncé par un tiers pour n’avoir pas déclaré la totalité de sa récolte, le percepteur, d’office et sans vérification, imposait une amende et un impôt supplémentaire. Et ces dénonciations, pour des raisons de voisinage qu’il fallait bien continuer à supporter après, étaient généralement anonymes. Et le gouverneur ne savait pas s’il devait continuer à imposer d’office le propriétaire dénoncé.  Jusqu’à la réponse à son rescrit envoyé à l’empereur.   

C’est sur cet élément, et exclusivement sur cette histoire et pour ces raisons qu’a été inventé cette histoire e martyrs chrétiens jetés aux lions.

Tous les manuels d’Histoire romaine récents consacrés aux religions, rapportent cela mieux que je ne sais le faire. Tous ceux voulant des détails peuvent les y trouver.

Quant à ceux qui préfèreraient mourir que mettre en doute les vieilles leçons de leur caté, c’est leur problème, pas le mien.

 

 

il y a une heure, Témoudjine a dit :

Il faut parfois se résoudre à considérer les choses sous l’angle de l’Histoire, la vraie, celle dont l’on a expliqué la réalité, et pas sous l’angle de la légende, même s’il s’agit de la légende chrétienne.

Nombre d’historiens, de vrais historiens qui dirigent les travaux de toutes les facultés d’Histoire, se sont spécialisés dans l’histoire de la chrétienté et ont publié leurs travaux récents en ce domaine.   

Tout ce que je vais écrire ci-dessous est de l’Histoire. La seule vraie, celle qui est prouvée et attestée par les spécialistes et que l’on peut retrouver dans tous les manuels destinés aux étudiants en Histoire qui se sont intéressés à l’Histoire des religions. Et plus particulièrement du christianisme.

N’importe qui peut retrouver ce qui suit dans ces manuels, qui figurent dans toutes les bonnes bibliothèques municipales des villes importantes. Et dans les bibliothèques de toutes les Facultés d’Histoire. Je rappelle que ces bibliothèques des Facs sont accessibles à tous ceux qui le souhaitent, sans qu’il soit nécessaire d’être inscrit dans ladite Fac.

En matière de religion, Rome a toujours été d’une tolérance rare que l’on n’a plus retrouvée que deux mille ans plus tard avec la laïcité dans les pays de l’Europe de l’Ouest l’ayant adoptée.  Il y avait durant l’Antiquité des multitudes de Dieux. La majorité des peuples en avaient plusieurs. Et systématiquement, Romme légalisait toutes les religions des pays que ses Légions avaient conquis. Au point d’ouvrir à Rome un Panthéon, un temple destiné à honorer tous les Dieux existants, sans distinctions ni réserves.

Entre l’an zéro de l’ère commune et l’an 70, en gros, les romains qui avaient battu les hébreux ont chassé une partie des juifs d’Israël qui sont partis installer des communautés dans nombre d’endroits, dont en Europe. Mais il y avait déjà des communautés juives en Europe, en Afrique du Nord, et jusqu’en Asie centrale. Il y avait une communauté juive attestée en Région Parisienne quelque mille trois cents ans avant que n’apparaisse le premier roi de France.

Il y avait également des communautés juives en Italie, dont une à Rome, mais les juifs étaient entrés dans l’époque rabbinique et s’effaçaient complètement devant les religions des pays ou des régions dans lesquelles se trouvaient leurs communautés.  

Il en est question dans une autre discussion, mais les chrétiens, et le nom de chrétien, n’apparaît sur le plan historique qu’au début du IV° siècle avec Constantin.
En 222 de notre ère, Rome a fait réaliser un recensement de tous les lieux de culte, de toutes les religions présentes dans l’Empire romain. Les historiens font remarquer que la moindre mare dotée d’une « aura » religieuse, la moindre source dont l’eau se voyait attribuer une vertu quelconque, est nommée et identifiée dans ce recensement qui a couvert  tout l’Empire romain. Et l’Administration romaine était particulièrement efficace et attentive aux ordres de Rome.

Or en 222, nulle part dans ce recensement qui a couvert tous les pays de l’Empire, n’apparaît le mot « christianisme ». Pour les historiens, la preuve est faite qu’il n’existait dans l’Empire romain en 222 aucun lieu de culte consacré au Christianisme. Le nom même de Christianisme y était inconnu. Ni ce qui aurait pu être ce mot traduit en une autre langue que le latin.  

Il n’existe strictement aucun document authentique, que ce soit un écrit, une gravure sur un monument, une tombe ou un linteau de Temple antique, qui porte le mot « Christ » et qui date des trois premiers siècles de notre ère.

Sur le plan historique, sur le plan de l’Histoire réelle et attestée, le premier établissement chrétien est apparu avec Constantin au début du IV° siècle. Pour les historiens, le Christianisme est apparu au IV° siècle.

L’Histoire des nouveaux chrétiens qui au début du IV° siècle se sont prévalus der la qualité de succession des hébreux et de continuateurs de la Bible, date de la même époque.

Le sujet soulevé par Cochise est celui des martyrs chrétiens. Mais Cochise s’en tient à la légende chrétienne qui reprend le catéchisme tel que le christianisme l’a enseigné aux enfants depuis le XII° siècle.

Mais Rome n’a jamais dans son Histoire pourchassé une religion. La seule chose qui était, vers la fin de l’Empire, demandée aux tenants des religions « exotiques » était de venir une fois par an rendre hommage à l’empereur, en venant s’incliner devant sa statue érigée dans chaque ville. Mais les citoyens de Rome, seuls astreints à cette obligation, pouvaient s’y faire représente par une tierce personne ou par un esclave. Seules les femmes ne pouvaient pas représenter un citoyen romain à cette cérémonie. Mais les femmes n’existaient pas sur le plan civil en droit romain. Et aucune religion n’acceptait les femmes. Et ceux qui manquaient de venir s’incliner devant le portrait ou la statue de l’empereur, se voyaient frapper d’une simple amende.
 
C’est même sur cette particularité que toutes les religions à Rome refusaient les femmes, que les premiers chrétiens ont démarré leurs activités. Les chrétiens ont accepté les femmes dans leur nouvelle religion. Particularité qui a séduit Hélène, la mère de l’Empereur Constantin et ancienne prostituée. Hélène qui est devenue l’intermédiaire entre Constantin à la recherche d’argent pour financer la nouvelle capitale qu’il voulait construire à Constantinople, et les chrétiens. Et auxquels les chrétiens ont proposé un deal que Constantin s’est empressé d’accepter.

Constantin décidait qu’il n’y avait plus qu’une seule religion officielle, le Christianisme.  Ce qui n’interdisait pas les autres religions, contrairement à la légende chrétienne, mais faisait que ces religions pouvaient être spoliées de leurs biens et de leurs grandes fortunes. Lesquelles mises à la disposition de Constantin lui ont permis de financer la construction de sa nouvelle capitale, Constantinople. Grâce aux chrétiens.

Le principe étant basé sur le fait que la grande richesse des religions était due au fait que chaque religion pouvant se targuer d’ancienneté et de leur existence du temps de l’Antiquité, pouvait bénéficier de la nomination d’un pontife et de ce fait d’être exemptés de tous impôts et taxes. Ce qui a permis à ces religions de devenir très riches au fil des siècles.  

Et justifie le phantasme accepté par Constantin de l’ancienneté du christianisme et de la succession par ses Évangiles de la Bible juive. Ce qui réglait la question de l’ancienneté bidon du Christianisme.

Pour en revenir aux martyrs. Les romains n’avaient jamais poursuivi les membres d’une religion au nom de leur participation aux rites de cette religion. Dans toute l’histoire de Rome, jamais personne n’a été poursuivis pour n’être pas de telle ou telle religion. Et pas davantage parce qu’ils n’étaient pas chrétiens. C’était d’ailleurs contre ce qu’étaient les principes religieux romains, et ce qu’ils ont été jusqu’à la fin de l’empire. D’où vient alors cette histoire totalement fantasmée des martyrs chrétiens ?  Les Historiens ont trouvé la réponse.  

Il convient de savoir et de considérer deux choses importantes en cette matière.

La première est que la Loi applicable par l’Administration romaine était rendue par un système de rescrits. Le gouverneur de Rome, ou l’Administrateur auquel se posait un problème écrivait à l’Empereur en lui exposant le cas et en lui demandant : que dois-je faire ?

Et le cabinet de l’Empire lui répondait au nom de l’empereur : tu dois répondre de telle manière. Et cette réponse devenait la Loi applicable dans tous les cas semblables.

 

Et la seconde chose à prendre en compte est, comme il en est de l’existence du Christ durant les trois premiers siècles de l’ère commune, qu’aucun document, aucune inscription, aucun auteur vivant à cette époque, c’est-à-dire durant les premiers siècles de notre ère, n’a cité nulle part de faits qui accréditeraient l’histoire des martyrs chrétiens. Tous les documents authentiques en parlant datent de bien plus tard, au mieux entre les VII° et IX° siècles. Tous les documents prétendant être plus anciens et dater de l’époque des faits, sont des faux ou des épisodes « améliorées » d’histoires datant de plus tard.

Pour l’essentiel, comme il en est de la majorité de la geste chrétienne en matière de persécution des chrétiens, ils datent du XII° siècle est des arguments destinés au peuple que l’église voulait recruter pour partir aux croisades. Dans le cadre de l’imagerie destinée aux foules sans culture qu’il fallait convaincre. Comme les instruments de la Passion qui n’existaient pas avant le XII° siècle et les prêches des Croisades.

Aucun document authentique qui daterait de l’époque de ces prétendues persécutions de martyrs chrétiens n’existe. Mais alors d’où vient l’histoire ? Les historiens ont fini par trouver.
 
Les exégètes stipendiés du christianisme cherchent depuis des siècles une manière de détourner ce manque total de documents authentiques parlant des martyrs chrétiens. Et un jour, l’un d’eux qui après dix mille autres étudiait les rescrits dont je parle plus haut, tombe sur une réponse de l’Empereur Trajan à la question que lui posait un gouverneur :
-« Dois-je prendre en compte les déclarations anonymes ?».
Et l’empereur a fait répondre ; - «  oui, après les avoir faites vérifier ».

Là le prêtre chrétien qui avait trouvé la réponse dans les archives romaines s’est demandé :
-«  Quelle pouvait être la raison des dénonciations anonymes ? ».
Et il a eu une illumination ? :  C’est quelqu’un qui a dénoncé son voisin d’être un chrétien. Ce sont les dénonciations de chrétiens qui étaient anonymes, j’en suis sûr ! Donc si ils étaient dénoncés, c’est qu’il était interdit d’être chrétiens. Et que forcément ces chrétiens dénoncés étaient voués à être tués dans le Cirque. Comme les condamnés de Droit Commun.

Et c’est de là, et exclusivement de cette histoire venant des archives et des rescrits de l’empereur Trajan, qu’est née la légende des martyrs chrétiens livrés aux lions.

Il n’existe aucun document authentique datant de l’époque concernée qui parle des martyrs chrétiens. Ni documents romains, ni documents chrétiens, ni documents juifs, ni documents de n’importe quelle source, et datant de l’époque concertée, pas repris et copiés plus tard, qui citent cette histoire de martyrs chrétiens livrés au Cirque.

Des chrétiens ont pu être tués dans le cirque, mais en qualité de condamnés de Droit Commun. Pas en qualité de chrétiens. Aucun chrétien n’a été condamné au Cirque parce qu’il était chrétien.

Sinon il est évident que sur au moins deux ou trois siècles où se seraient passés ces faits, il se serait bien trouvé en Europe quelqu’un pour l’écrire quelque part. Pour le raconter à quelqu’un d’autre. Et ce n’est pas le cas. Les chrétiens martyrs livrés au Cirque sont une partie de la légende chrétienne, au même titre que l’existence du Christ.

Mais les chercheurs « objectifs », les vrais historiens, ont continué leurs recherches. Et il n’y a d’ailleurs pas très longtemps, un historien a trouvé. La traduction du rescrit de Trajan n’avait été rendu publique par le prêtre qui l’avait trouvée, que pour une partie du texte. Et si l’on prenait en compte la totalité de la traduction du document, l’on comprenait de quoi il retournait.

Les revenus imposables aux propriétaires terriens dans l’empire romain, comme d’ailleurs c’est toujours le cas en France, étaient déclaratifs.  Mais si un propriétaire était dénoncé par un tiers pour n’avoir pas déclaré la totalité de sa récolte, le percepteur, d’office et sans vérification, imposait une amende et un impôt supplémentaire. Et ces dénonciations, pour des raisons de voisinage qu’il fallait bien continuer à supporter après, étaient généralement anonymes. Et le gouverneur ne savait pas s’il devait continuer à imposer d’office le propriétaire dénoncé.  Jusqu’à la réponse à son rescrit envoyé à l’empereur.   

C’est sur cet élément, et exclusivement sur cette histoire et pour ces raisons qu’a été inventé cette histoire e martyrs chrétiens jetés aux lions.

Tous les manuels d’Histoire romaine récents consacrés aux religions, rapportent cela mieux que je ne sais le faire. Tous ceux voulant des détails peuvent les y trouver.

Quant à ceux qui préfèreraient mourir que mettre en doute les vieilles leçons de leur caté, c’est leur problème, pas le mien.

 

Les Romains, des mécréants, païens, idolâtres, il y a mieux comme référence.

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Membre, Debout les morts..., 75ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 007 messages
75ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
Il y a 3 heures, Cochise 90 a dit :

L'Eglise primitive qui marchait vraiment par l'Esprit tout en endurant les persécutions était dans la volonté du Seigneur, malheureusement Constantin par son édit a fait rentrer dans la communauté chrétienne moulte personnes qui rentraient dans l'Eglise non par la nouvelle naissance ( œuvre du Saint-Esprit ), mais par une volonté humaniste qui a engendré ce que l'on connaît dans les siècles suivant , l'inquisition, les croisades, période de ténèbres spirituelles durant lesquelles les pires exactions ont été commises. Au jour du jugement dernier tous ces crasseux iront à la condamnation éternelle je précise que le purgatoire n'est pas mentionné dans la Bible. La réforme a fait revenir les personnes sur la voie du salut Luther avait reçu cela en lisant la Bible, le salut est gratuit il est donné par grâce.... Il n'a malheureusement pas comprit la place d'Israël dans ce plan du salut.

Amen :dance:

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Membre, Certaines profondeurs sont des miroirs, 44ans Posté(e)
Ptitissus Membre 747 messages
Forumeur expérimenté‚ 44ans‚ Certaines profondeurs sont des miroirs,
Posté(e)
Il y a 2 heures, Ptitissus a dit :

Certe mais Jésus selon ma théorie c'est vif...Armure de broche ,..ballade, gaieté une provision de forme égale aux pleines !Traques et substrats.

Je fonctionne avec ma projection intime..Rien de farfelu dans le sujet passiflore 🥺

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Membre, Certaines profondeurs sont des miroirs, 44ans Posté(e)
Ptitissus Membre 747 messages
Forumeur expérimenté‚ 44ans‚ Certaines profondeurs sont des miroirs,
Posté(e)
Il y a 3 heures, Mite_Railleuse a dit :

Excuse Me Wow GIF by Mashable

Maintenant que j'y repense il me fait bien rire ton gars!

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Membre, Certaines profondeurs sont des miroirs, 44ans Posté(e)
Ptitissus Membre 747 messages
Forumeur expérimenté‚ 44ans‚ Certaines profondeurs sont des miroirs,
Posté(e)
il y a 8 minutes, Ptitissus a dit :

Maintenant que j'y repense il me fait bien rire ton gars!

Je le veut !Oui.

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Membre, 87ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 151 messages
Maitre des forums‚ 87ans‚
Posté(e)
Il y a 21 heures, Anatole1949 a dit :

"Et pourquoi cela ne concernerait que l'islam .... Depuis le Christ ça se fritent de par le monde ... les chrétiens  pour étendre leur doctrine n'ont pas été de main morte dans beaucoup de pays du monde !!!"

Un peu de sérieux, si les chrétiens ont massacré dans le passé et imposé leur dictature à bien des peuples, cela remontre loin, ce qui ne veut pas dire qu'il faut oublier !

Mais aujourd'hui, au XXIe siècle, ce n'est pas le christianisme qui est en cause, mais bien l'islam !

Contrairement à ce que vous dites, l'islamisme est issu de l'islam sinon, d'où viendrait-il ?

Certes, c'est de l'extrémisme de notre point de vue d'occidentaux, mais pas pour les adeptes, les convaincus, etc, pour eux ils agissent légitimement au nom de dieu !

Quand les chrétiens évangélisaient, torturaient, massacraient, colonisaient et imposaient leur dictature à des peuples, personne aujourd'hui nie la réalité qu'il s'agissait bien de chrétiens !

Dans les écrits religieux, sacrés ou ce que vous voulez, on trouve toujours un bon prétexte pour anéantir son voisin !

Les grandes religions n'ont pas bâtie leurs empires avec de beaux messages de paix et d'amour pour grands naïfs, mais bien par la force ! 

Monsieur Anatole je dis bien "a des périodes différentes" toutes les religions (pas que celles du Livre)pour étendre leur pouvoir et "convertir"  ont utilisé la violences, tué etc .... même la soit-disant religion de paix le bouddhisme ...

Modifié par ouest35
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Membre, Debout les morts..., 75ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 007 messages
75ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
il y a 55 minutes, ouest35 a dit :

Monsieur Anatole je dis bien "a des périodes différentes" toutes les religions (pas que celles du Livre)pour étendre leur pouvoir et "convertir"  ont utilisé la violences, tué etc .... même la soit-disant religion de paix le bouddhisme ...

On est d'accord.

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Membre, Posté(e)
Passiflore Membre 21 992 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 15 heures, Ptitissus a dit :

Je fonctionne avec ma projection intime..Rien de farfelu dans le sujet passiflore 🥺

 

S'il te plaît, pourrais-tu t'exprimer plus clairement quand tu rédiges tes posts ? La plupart de tes posts manquent de clarté c'est dommage, je suis sûre que tu as des choses intéressantes à dire.  ;)

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Membre, Certaines profondeurs sont des miroirs, 44ans Posté(e)
Ptitissus Membre 747 messages
Forumeur expérimenté‚ 44ans‚ Certaines profondeurs sont des miroirs,
Posté(e)
il y a 1 minute, Passiflore a dit :

 

S'il te plaît, pourrais-tu t'exprimer plus clairement quand tu rédiges tes posts ? La plupart de tes posts manquent de clarté c'est dommage, je suis sûre que tu as des choses intéressantes à dire.  ;)

Oui,oui bien reçu !j'en ai parlé un peu plus haut mais effectivement je me le suis fais dire , pourtant c'était à mon goût,je précise à mon goût et assez clarifié mais non donc à revoir..merci pour l info.

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