Le bonheur vu par les yeux d'enfant.

Lorsque vous étiez enfant et que vous pensiez à quand vous seriez grand, ça ressemblait à quoi le bonheur ? Est ce qu il y avait pour vous des choses symboles de bonheur ?

Je pensais que c'était une légende et que ça n'existait pas.

Mais je me doute bien que ce n'est pas le genre de réponses auxquelles tu t'attends. 

Les enfants n'attendent pas le bonheur. Peut-être le plaisir ou le bien-être.

En cela, ils sont des sages.

Un foyer, un boulot choisi et une vie douce

il y a 40 minutes, Auger a dit :

Je pensais que c'était une légende et que ça n'existait pas.

Mais je me doute bien que ce n'est pas le genre de réponses auxquelles tu t'attends. 

c'est amusant de croire qu'on sait ce que les autres pensent.

j'aime bien votre réponse. elle raconte quelque chose de vous et me semble sincère.

il y a 9 minutes, Axo lotl a dit :

c'est amusant de croire qu'on sait ce que les autres pensent.

j'aime bien votre réponse. elle raconte quelque chose de vous et me semble sincère.

Tu as raison, on ne sait pas ce que les autres pensent (on a déjà parfois du mal à savoir ce que l'on pense soi-même...).

C'est juste que j'imaginais une attente de réponses plus "primesautieres" : L'enfance, le bonheur, toussa, toussa,...

il y a 1 minute, Auger a dit :

Tu as raison, on ne sait pas ce que les autres pensent (on a déjà parfois du mal à savoir ce que l'on pense soi-même...).

C'est juste que j'imaginais une attente de réponses plus "primesautieres" : L'enfance, le bonheur, toussa, toussa,...

pas de soucis. je n'attendais rien de particulier

Je crois que je n'ai jamais pensé à ça. Peut-être en terme de lendemain, juste...le jour d'après. Mais l'avenir, le "quand je serai grande", non. 

Il y a 1 heure, Axo lotl a dit :

Lorsque vous étiez enfant et que vous pensiez à quand vous seriez grand, ça ressemblait à quoi le bonheur ? Est ce qu il y avait pour vous des choses symboles de bonheur ?

A vrai dire je n'y pensais pas trop. J'étais surtout impatient d'avoir une voiture et conduire comme mon père. Oui pour moi c'était surtout le bonheur de conduire une voiture.

Je n'imaginais, je n'attendais rien de spécial.

Pas être à la rue me semblait déjà un bon objectif.

jusqu'à ce que je prenne vraiment conscience que la guerre était sale et que dedans les gens y mourraient pour de la vrai, je voulais être militaire comme feu mon pere. Je croyais que c'était comme au cinéma et pour moi tout le coté héroïque a l'americaine me fascinait....mais en rentrant dans l'adolescence je me suis très vite écarté de cet idéal de bonheur au garde à vous...

Eh bien moi, rien de bien original… je m’imaginais en princesse dans de belles belles robes comme dans les contes de fée ac un beau prince charmant et pleins d’enfants. 

Mon amoureux imaginaire à qui j'avais donné le prénom de François et qui était le papa de mes poupées symbolisait sûrement l'homme que je rencontrerai plus tard et qui serait le papa de mes enfants.

il y a 11 minutes, Elisa* a dit :

Eh bien moi, rien de bien original… je m’imaginais en princesse dans de belles belles robes comme dans les contes de fée ac un beau prince charmant et pleins d’enfants. 

passer le reste de ma vie en camping au bord du Chassezac avec ma famille et mes copains !

Bof pour certains mômes c'est un mot qui n'a pas vraiment de sens. 

On ne l'affirme visiblement jamais suffisamment, combien de fois a-t-il été dit ici que le bonheur d'un enfant réside dans son dialogue intime avec les éléments qui l'entourent avec l'innocence de la simplicité ; un dialogue constructif de la découverte de l'altérité qui s'exprimera principalement pour les garçonnets par tirer les paires de couettes de ces connasses de cousines, et autres inévitables paille-au-cul de casiment insaisissables diptères ...

Ouais, n'empêche ouais mon truc à moi consistait (en CM je crois), à tenter de regarder sous les jupes (en général, j'ai de méchants souvenirs, que la fille rabattait la jupe, ... oui, mais elle le faisait tout en me connaissant. je veux dire y avait pas de mépris, lié à une quelconque moralité, elle voulait pas, tout simplement).

Et oui, j'ai grandi avec le catéchisme (j'avais eu le malheur d'entendre, que l'au-delà c'était le paradis, et donc, enfin plus tard j'ai quand même réfléchi, mais enfin c'est vrai que "on ira tous au paradis" a peut-être influencé l'une ou l'autre de mes tentatives de suicide. La première, je crois. Bon après, l'infirmière à l'hôpital (je m'étais quand même menacé moi-même devant toute la famille), si je me souviens bien, avant d'aboutir à une conclusion de harcèlement scolaire (avec déménagement, comme solution....), enfin j'ai quand même fait une semaine d'hosto. Et en très bas âge.

il y a 3 minutes, moi et pas moi a dit :

Ouais, n'empêche ouais mon truc à moi consistait (en CM je crois), à tenter de regarder sous les jupes (en général, j'ai de méchants souvenirs, que la fille rabattait la jupe, ... oui, mais elle le faisait tout en me connaissant. je veux dire y avait pas de mépris, lié à une quelconque moralité, elle voulait pas, tout simplement).

Et oui, j'ai grandi avec le catéchisme (j'avais eu le malheur d'entendre, que l'au-delà c'était le paradis, et donc, enfin plus tard j'ai quand même réfléchi, mais enfin c'est vrai que "on ira tous au paradis" a peut-être influencé l'une ou l'autre de mes tentatives de suicide. La première, je crois. Bon après, l'infirmière à l'hôpital (je m'étais quand même menacé moi-même devant toute la famille), si je me souviens bien, avant d'aboutir à une conclusion de harcèlement scolaire (avec déménagement, comme solution....), enfin j'ai quand même fait une semaine d'hosto. Et en très bas âge.

 

quel rapport avec le sujet ?