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L'émission néerlandaise qui fait polémique.

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Membre, 43ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
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il y a 3 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Concernant l’homosexualité, il y a pourtant, toujours, des thérapies de conversion...Quant à la dysphorie de genre, n’étant ni médecin, ni psy, je serais bien en peine d’avoir un avis pertinent. Mais nous avons tous nos sentiments, nos ressentis, et les miens sont bien loin d’être tranchés...

Avec la dysphorie de genre il existe également des thérapie de conversion mais dans l'autre sens, Et c'est pire, cela consiste à donner des bloqueurs de puberté et des traitement hormonaux pour soit disant «affirmer leur genre». Puis cela se termine parfois avec les «opérations de changement de sexe», avec mutilations générale, retirer les seins, voir parfois les organes reproducteurs. Et c'est bien là que se situe la monstruosité de la chose.

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 40 984 messages
Grégairophobe...,
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il y a 2 minutes, uno a dit :

Avec la dysphorie de genre il existe également des thérapie de conversion mais dans l'autre sens, Et c'est pire, cela consiste à donner des bloqueurs de puberté et des traitement hormonaux pour soit disant «affirmer leur genre». Puis cela se termine parfois avec les «opérations de changement de sexe», avec mutilations générale, retirer les seins, voir parfois les organes reproducteurs. Et c'est bien là que se situe la monstruosité de la chose.

La "légère" et très "subtile" différence, c’est le consentement...

Quant à ton "c’est pire", il est quand même question, dans les thérapies de conversion, de manipulations psychiques, contraintes, brimades, violences, viols... Qui traumatisent à vie.

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Membre, 37ans Posté(e)
Saturne06 Membre 3 522 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
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il y a 11 minutes, uno a dit :

Avec la dysphorie de genre il existe également des thérapie de conversion mais dans l'autre sens, Et c'est pire, cela consiste à donner des bloqueurs de puberté et des traitement hormonaux pour soit disant «affirmer leur genre». Puis cela se termine parfois avec les «opérations de changement de sexe», avec mutilations générale, retirer les seins, voir parfois les organes reproducteurs. Et c'est bien là que se situe la monstruosité de la chose.

Surtout pour obtenir les résultats que l'on voit ! Très rarement des améliorations psychiatriques, même taux de suicides avant qu'après transition etc ... Enfin, il parait que c'est un progrès sociétal ... Il existe dans de très rares cas de véritables problèmes d'identité. Mais certainement pas en si grand nombre, c'est plus une affaire de mode ou de 'tendance' chez les jeunes entre 15 et 30 ans. Le problème, c'est que ces transitions sont le plus souvent définitives avec leur lot de déceptions et d'échecs expliquant le taus de suicide inchangé. En tous les cas, pour en revenir au sujet, cette pathologie n'est certainement pas montrer aux enfants dans des émissions télévisées comme si c'était 'normal' et libérateur ou épanouissant.

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Membre, 43ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
Posté(e)
il y a 34 minutes, Mite_Railleuse a dit :

La "légère" et très "subtile" différence, c’est le consentement...

Quant à ton "c’est pire", il est quand même question, dans les thérapies de conversion, de manipulations psychiques, contraintes, brimades, violences, viols... Qui traumatisent à vie.

Un mineur ne peut pas consentir à un traitement aussi lourd et altérant sa santé physique et psychique à long terme. J'avais déjà posté cette étude sur cette question.

«In the past decade, there has been an extraordinary increase in the number of young people presenting with GD around the time of puberty. This new form of GD is usually of rapid onset and the majority are natal females. Among these children, there is a very high frequency of pre-existing social and psychological pathology. There is strong evidence that social and peer contagion contribute significantly in steering such young vulnerable people towards GD. All of this points in the majority of cases, to primary underlying psychological and social causes, from which the GD is secondary. Research shows that in most cases, with watchful waiting, the GD will naturally desist as the child grows older.» Puberty Blockers for Children: Can They Consent?

Dit autrement on engage des gamins sur la voie de traitement, voir de mutilations, à vie, au lieu de laisser leur puberté se dérouler normalement, et qui résulte dans la majorité des cas se solde par la résorption spontanée de la dysphorie de genre. Dit autrement ces traitement ne sont pas consentis et on utilise ces enfants comme cobayes en altérant, voir détruisant leur santé de manière définitive. C'est pour dire le caractère criminel de la procédure et l'ampleur de celle-ci est tout simplement monstrueuse on parle de milliers d'enfants ayant subit ces procédures expérimentales.

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 40 984 messages
Grégairophobe...,
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il y a 6 minutes, uno a dit :

Un mineur ne peut pas consentir à un traitement aussi lourd et altérant sa santé physique et psychique à long terme. J'avais déjà posté cette étude sur cette question.

«In the past decade, there has been an extraordinary increase in the number of young people presenting with GD around the time of puberty. This new form of GD is usually of rapid onset and the majority are natal females. Among these children, there is a very high frequency of pre-existing social and psychological pathology. There is strong evidence that social and peer contagion contribute significantly in steering such young vulnerable people towards GD. All of this points in the majority of cases, to primary underlying psychological and social causes, from which the GD is secondary. Research shows that in most cases, with watchful waiting, the GD will naturally desist as the child grows older.» Puberty Blockers for Children: Can They Consent?

Dit autrement on engage des gamins sur la voie de traitement, voir de mutations, à vie, au lieu de laisser leur puberté se dérouler normalement, et qui résulte dans la majorité des cas se solde par la résorption spontanée de la dysphorie de genre. Dit autrement ces traitement ne sont pas consentis et on utilise ces enfants comme cobaye en altérant, voir détruisant leur santé de manière définitive. C'est pour dire le caractère criminel de la procédure et l'ampleur de celle-ci est tout simplement monstrueuse on parle de milliers d'enfants ayant subit ces procédures expérimentales.

Il est évident que la prudence est de mise et qu’il faut prendre en compte tous les "désordres normaux", liés à l’adolescence. Et rester extrêmement vigilants. A te lire, il semblerait qu’il y ait pléthore de jeunes, subissant un traitement en vu de ce changement de genre. C’est le cas ? Avec étude circonstanciée et chiffres à l’appui ? En français de préférence...

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Membre, 37ans Posté(e)
Saturne06 Membre 3 522 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)
il y a 21 minutes, uno a dit :

Un mineur ne peut pas consentir à un traitement aussi lourd et altérant sa santé physique et psychique à long terme. J'avais déjà posté cette étude sur cette question.

«In the past decade, there has been an extraordinary increase in the number of young people presenting with GD around the time of puberty. This new form of GD is usually of rapid onset and the majority are natal females. Among these children, there is a very high frequency of pre-existing social and psychological pathology. There is strong evidence that social and peer contagion contribute significantly in steering such young vulnerable people towards GD. All of this points in the majority of cases, to primary underlying psychological and social causes, from which the GD is secondary. Research shows that in most cases, with watchful waiting, the GD will naturally desist as the child grows older.» Puberty Blockers for Children: Can They Consent?

Dit autrement on engage des gamins sur la voie de traitement, voir de mutations, à vie, au lieu de laisser leur puberté se dérouler normalement, et qui résulte dans la majorité des cas se solde par la résorption spontanée de la dysphorie de genre. Dit autrement ces traitement ne sont pas consentis et on utilise ces enfants comme cobaye en altérant, voir détruisant leur santé de manière définitive. C'est pour dire le caractère criminel de la procédure et l'ampleur de celle-ci est tout simplement monstrueuse on parle de milliers d'enfants ayant subit ces procédures expérimentales.

Heureusement que dans notre pays le cors médical freine des 4 fers dès qu'il s'agit réellement d'un enfant. Ce n'est malheureusement pas le cas au Canada, dans certains états des USA et en GB, avec les résultats auxquels on s'attendait. C'est pourquoi même dans ces pays à la pointe de ce 'progrès', il est maintenant conseillé d'attendre pour effectuer ces transitions l'âge minimum de 16/18 ans. Par contre, les enfants demandeurs et supposés dysphoriques doivent être entourés et bien suivis par les psychiatres et les familles évidemment. Ensuite, ce sera la décision du jeune adulte concerné.

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Membre, 43ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Il est évident que la prudence est de mise et qu’il faut prendre en compte tous les "désordres normaux", liés à l’adolescence. Et rester extrêmement vigilants. A te lire, il semblerait qu’il y ait pléthore de jeunes, subissant un traitement en vu de ce changement de genre. C’est le cas ? Avec étude circonstanciée et chiffres à l’appui ? En français de préférence...

J'ai déjà donné des chiffres ici, aux États-Unis on approchait déjà les 5'000 mineurs sous bloqueurs de puberté en 2021, et en Grande-Bretagne on dépasse les 1'000. Et cela que pour ces deux pays sans prendre encore les divers cas non-répertoriés à ce jour. Bref c'est massif.

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Membre, 37ans Posté(e)
Saturne06 Membre 3 522 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
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Il y a 15 heures, frunobulax a dit :

Ben oui, comme vous le dites vous-même, la dysphorie de genre est la non-accepation d'une réalité biologique.
(Vous considérez-donc - et selon quels critères ?-  que c'est totalement  inentendable/acceptable ??)

Tout comme l'homosexualité est la non-acceptation d'une (supposée) sexualité "normale".

Après, qu'il puisse y avoir (très éventuellement et de façon extrêmement minoritaire ??)  quelques "dérapages" évidemment condamnables, je ne le nie pas.

Mais ça n'est pas pour autant qu'il faudrait supposément "jeter le bébé avec l'eau du bain".

Je ne peux au passage que vous ramener aux "discours" de la droite de la droite ultra catho d'il y a pourtant peu, qui affirmait assez grotesquement que l'homosexualité ne serait supposément qu'une "mode" (perversion) instituée par "la gauche" ...
:mouai:

"la dysphorie de genre est la non-acceptation d'une réalité biologique" Là, je suis d'accord avec vous. Mais cette non-acceptation n'est pas aussi une tentative de tricher avec la biologie, avec la nature ? Car évidemment, le transgenre gardera (et heureusement) son caryotype à vie.

Je remarque que vous assimilez toujours la dysphorie de genre (qui n'est en aucun cas une sexualité !) avec l'homosexualité.

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 40 984 messages
Grégairophobe...,
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il y a 47 minutes, uno a dit :

J'ai déjà donné des chiffres ici, aux États-Unis on approchait déjà les 5'000 mineurs sous bloqueurs de puberté en 2021, et en Grande-Bretagne on dépasse les 1'000. Et cela que pour ces deux pays sans prendre encore les divers cas non-répertoriés à ce jour. Bref c'est massif.

Soit 0,0014% de la population. "Massif", c’est beaucoup dire...

Et en France ?

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Membre, Posté(e)
Demsky Membre 11 392 messages
Maitre des forums‚
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il y a 47 minutes, Saturne06 a dit :

"la dysphorie de genre est la non-acceptation d'une réalité biologique" Là, je suis d'accord avec vous. Mais cette non-acceptation n'est pas aussi une tentative de tricher avec la biologie, avec la nature ?

Dingue les gens feraient exprès d' aller contre leur nature nan mais allo quoi !  

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Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 40 984 messages
Grégairophobe...,
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il y a 4 minutes, Demsky a dit :

Dingue les gens feraient exprès d' aller contre leur nature nan mais allo quoi !  

Je sens que le prétexte de la "mode" va jaillir d’un chapeau...

Modifié par Mite_Railleuse
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Membre, 43ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
Posté(e)
il y a 34 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Soit 0,0014% de la population. "Massif", c’est beaucoup dire...

Et en France ?

Tu bottes en touche, si je disais 1000 enfants violés dans les hôpitaux britanniques par des infirmiers, tu relativiserais via le pourcentage de la population totale? On parle des milliers d'enfants dont la puberté et la santé sont altérés de manière irréversible et clairement tu cherche à en minimiser voir nier la gravité par une mauvaise foi idéologiquement motivée.

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Membre, 37ans Posté(e)
Saturne06 Membre 3 522 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)
il y a 49 minutes, Demsky a dit :

Dingue les gens feraient exprès d' aller contre leur nature nan mais allo quoi !  

Non ! Ces gens ne vont pas contre LEUR nature ... Ils vont contre LA nature.

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Membre, Posté(e)
frunobulax Membre 17 584 messages
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Il y a 3 heures, Saturne06 a dit :

N'exagérons rien ! Vous sous-entendez que les 'jeunes' d'aujourd'hui sont plus tolérants que leurs parents concernant les transgenres ... Il est pourtant notoire que dans les collèges et les lycées, les élèves qui se disent transgenres ou tentent de le devenir sont la cible de nombreuses moqueries au pire, de mépris au mieux pour un grand nombre d'élèves non atteints par cette affection prise en charge par la sécurité sociale ... Mais bon, il parait que ce n'est pas une maladie ...

Qu'ils soient globalement plus tolérants ne signifient évidemment pour autant qu'ils le sont tous.

Après, personne n'ignore que les moqueries (voire harcèlements ou/et violences) de cour de récré (et sur les réseaux sociaux) ont pour victimes les enfants "différents", quelque soit cette différence.

Et sont le fait d'une minorité d'élèves, pouvant certes en entrainer d'autre par effet de groupe.

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Membre, Posté(e)
frunobulax Membre 17 584 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 4 heures, uno a dit :

Aux États-Unis en 2021 nous avions déjà un chiffre minimal de 4'780 mineurs sous bloqueurs de puberté.

Au passage, il est quand même bon de rappeler que les bloqueurs de puberté ne sont pas utilisés QUE dans les cas de dystrophie de genre ...
On pourrait aussi débattre de la proportion que représente 4.780 mineurs par rapport à la totalité des mineurs aux USA (en gros, semblerait il, 40 millions ..?)

Après, la dysphorie de genre n'est pas une "mode wokiste", il existe, par exemple, depuis plus de 20 une consultation dysphorie de genre au site Sainte-Anne / GHU Paris.

Il est quand même aussi utile de ne pas oublier que la dysphorie de genre est une pathologie reconnue pouvant provoquer des symptômes graves, et pas forcément que psychologiques.

Ceci dit, je vous rejoins en partie (en partie seulement du fait de vos affirmations totalement excessives comme, entre autres, "caractère criminel de la procédure") sur le fait qu'il y a probablement, principalement aux USA, une surmédicalisation dans le traitement de cette pathologie, alors qu'il y a malgré tout encore très peu de données scientifiques.
(Ceci dit, on rappellera aussi au passage que les USA détiennent aussi le triste "record" de jeunes enfants sous anti-dépresseurs).

Ceci dit, pour en revenir au sujet de ce topic, le fait qu'une émission fasse prendre conscience à de jeunes ados que les trans ne sont pas des "montres" mais des personnes comme les autres ne me parait en rien être une pseudo "incitation au trangenrisme".

Sauf a rejoindre l'idéologie droitière de démocratures comme, par exemple, la Pologne qui, dans le même "esprit", affirme que la "visibilité" d'homosexuels serait, assez grotesquement, une supposée "publicité/incitation à l'homosexualité", conduisant à la création de "zones anti LGBT" ..?

PS/
Il y a eu de nombreuses réactions de médecins, de rapports et d'audits dénonçant les dérives manifestes de la clinique de Tavistock (que vous citez), ayant d'ailleurs entrainé la fermeture du service consacré au traitement de la DG.

Un article très intéressant sur ce sujet, bien moins (heureusement ..!) exagérément excessifs que vos propres propos, mais dénonçant, sur le fond, très clairement les pratiques scandaleuses de cette clinique:
https://www.lexpress.fr/idees-et-debats/hannah-barnes-plus-de-1-000-enfants-se-sont-vu-prescrire-des-bloqueurs-de-puberte-a-tavistock-TFUQ22L2IFBN7GME6KMMJGVF7Y/

Au passage, on notera quand même que les "motivations" de cette clinique pour pratiquer autant de traitements hormonaux sur des ados ne relevaient un rien d'une quelconque "idéologie wokiste" ... mais très clairement de l'appart du gain ..!
:mouai:

Après, on rappellera aussi quand même que ça ne sont pas les exceptions qui font la règle ...
:cool:

Modifié par frunobulax
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Membre, 43ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, frunobulax a dit :

Au passage, on notera quand même que les "motivations" de cette clinique pour pratiquer autant de traitements hormonaux sur des ados ne relevaient un rien d'une quelconque "idéologie wokiste" ... mais très clairement de l'appart du gain ..!

Sans blague? À deux doigts de découvrir que le wokisme est un formidable allié du capitalisme. Notons que ton article n'est pas dispon gratuitement mais on peut lire qu'il y a bien des groupes de pression qui pousse à ainsi traiter ces enfants, on devine lesquels. Par ailleurs tu ignores ici l'étude que h'ai partagé sur les fameux bloqueurs de puberté. Cette étude mentionne l'explosion du nombre de dysphorie de genre chez les mineurs surtout chez les filles, explosion qui est bien le fait d'une contagion sociale, l'étude précisant que ces dysphories sont les conséquences secondaires d'autres facteurs psychologiques et sociaux, et oui ces groupuscules wokes entrent en jeu dans ke bousin. Alors oui il n'est pas exagéré dd dite qu'il est criminel que d'altérer ainsi à vie la santé d'enfants en crise d'identité plutôt que de simplement les accompagner psychologiquement durant la puberté en laissant celle-ci se dérouler normalement considérant que d5 la majorité des cas la dote dysphorie se résorbera d'elle-même. Bref ru echoue ici à dire en quoi mes propos seraient exagéré et cela également parce que tu n'as pas encore pris connaissance de l'ensemble des données présentés.

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Membre, Posté(e)
frunobulax Membre 17 584 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, uno a dit :

À deux doigts de découvrir que le wokisme est un formidable allié du capitalisme.

:DD

Il y a 1 heure, uno a dit :

Notons que ton article n'est pas dispo gratuitement

Ben si, vu que je ne suis pas du tout abonné à ce media ...
(Je viens à l'instant de retester le lien).

Il y a 1 heure, uno a dit :

Bref ru echoue ici à dire en quoi mes propos seraient exagéré et cela également parce que tu n'as pas encore pris connaissance de l'ensemble des données présentés.

Je n'ai pas besoin de le démontrer vu que vous même ne démontrez pas la réalité de vos propos totalement excessifs.

Comme dit précédemment, j'aurais pu être d'accord sur de nombreux points ... si vous ne faisiez pas dans l'excès frôlant un poil le ridicule et relevant clairement de la pure idéologie de droite de la droite.

Donc, "j'échoues" bien évidemment à vous convaincre ...
Ceci dit, je ne pensais pas un seul instant y parvenir, vu le caractère totalement excessif de vos propos.
:cool:

Continuez donc à être un poil grotesquement persuadé, contrairement à ce qu'affirment beaucoup de médecins et d'experts, que le traitement de la dystrophie de genre ne relèverait supposément QUE du "criminel" et du "monstrueux".
:hehe:

Ceci dit, le débat que vous avez lancé sur la traitement de la dystrophie de genre est totalement HS avec le sujet de ce topic, à savoir l'acceptation par des ados de personnes transgenre.

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Membre, 43ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
Posté(e)
il y a 22 minutes, frunobulax a dit :

:DD

Ben si, vu que je ne suis pas du tout abonné à ce media ...
(Je viens à l'instant de retester le lien).Je n'ai pas besoin de le démontr

Je le redis l'article ne s'affiche pas, j'en ai seulement le début.

il y a 22 minutes, frunobulax a dit :

Ben si, vu que je ne suis pas du tout abonné à ce media ...

(Je viens à l'instant de retester le lien).

Tu mens ou alors tu as simplement ignoré l'ensemble des données de cette publication. On parle bien d'enfants sains dont on altère le développement et la santé massivement pour un problème psychique qui se résorbe généralement très bien de lui-même si la dite puberté se déroule normalement. Tout comme la hausse fulgurante des cas de dysphorie de genre, surtout chez les filles, ont clairement des causes sociales.

il y a 22 minutes, frunobulax a dit :

Continuez donc à être un poil grotesquement persuadé, contrairement à ce qu'affirment beaucoup de médecins et d'experts, que le traitement de la dystrophie de genre ne relèverait supposément QUE du "criminel" et du "monstrueux".

J'attends que tu m'expliques en quoi détruire le développement et la santé d'enfants via des traitement lourds, n'est pas monstrueux. Vas-y explique-nous comment il faudrait donc qualifier cela.

il y a 22 minutes, frunobulax a dit :

Ceci dit, le débat que vous avez lancé sur la traitement de la dystrophie de genre est totalement HS avec le sujet de ce topic, à savoir l'acceptation par des ados de personnes transgenre.

Hélas non car c'est en lien avec la hausse du nombre d'enfant se définissant comme transgenre. Car la normalisation de ce qui est un problème psychique, ou pire la normalisation de mutilations vu comme solution à des crises d'identité, participe bien au problème.

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