L'émission néerlandaise qui fait polémique.

Il est bon à savoir que selon @frunobulax les enfants et jeunes adultes mutilés à vie comme Keira Bell sont des anecdotes amusantes.

il y a 4 minutes, uno a dit :

Il est bon à savoir que selon @frunobulax les enfants et jeunes adultes mutilés à vie comme Keira Bell sont des anecdotes amusantes.

Déformer grotesquement les propos de son contradicteur est un stratagème bien connu (cf "l'art d'avoir toujours raison") qui ne trompe plus grand monde.

Pas de bol ...

il y a 1 minute, frunobulax a dit :

Ill y a encore très peu (voire encore aujourd'hui pour certains), l'homosexualité était considérée, au mieux, comme une "maladie" dont on était supposé pouvoir se soigner, au pire comme une totale perversion ...

L'homosexualité est une orientation et pratique sexuel. La dysphorie de genre la non-accepation d'une réalité biologique. Et les "operationsde changements de sexe" des mutilations irréversibles allant jusqu'à la stérilisation. Et des enfants ont été embarqués là-dedans et mutilés à vie voir stérilisés. Je passe les conséquences médicales à long terme des bloqueurs de puberté et traitements hormonaux. Mais c'est vrai les sources presentés tu les ignore comme un fanatique voir comme un minus habens.

il y a 1 minute, frunobulax a dit :

Déformer grotesquement les propos de son contradicteur est un stratagème bien connu (cf "l'art d'avoir toujours raison") qui ne trompe plus grand monde.

Aucune deformation tu balaies ces problèmes d'un revers de main via des smileys rigolards en ignorant les sources, bref tu es malhonnête.

il y a 12 minutes, uno a dit :

La dysphorie de genre la non-accepation d'une réalité biologique.

Ben oui, comme vous le dites vous-même, la dysphorie de genre est la non-accepation d'une réalité biologique.
(Vous considérez-donc - et selon quels critères ?-  que c'est totalement  inentendable/acceptable ??)

Tout comme l'homosexualité est la non-acceptation d'une (supposée) sexualité "normale".

Après, qu'il puisse y avoir (très éventuellement et de façon extrêmement minoritaire ??)  quelques "dérapages" évidemment condamnables, je ne le nie pas.

Mais ça n'est pas pour autant qu'il faudrait supposément "jeter le bébé avec l'eau du bain".

Je ne peux au passage que vous ramener aux "discours" de la droite de la droite ultra catho d'il y a pourtant peu, qui affirmait assez grotesquement que l'homosexualité ne serait supposément qu'une "mode" (perversion) instituée par "la gauche" ...

il y a une heure, frunobulax a dit :

Ben oui, comme vous le dites vous-même, la dysphorie de genre est la non-accepation d'une réalité biologique.

Oui c'est une personne qui n'accepte pas son sexe biologique, qui se sent être dans un corps qui n'est pas le sien. Bref un homme qui ne se sent pas homme, ou une femme qui ne se sent pas femme.

il y a une heure, frunobulax a dit :

Tout comme l'homosexualité est la non-acceptation d'une (supposée) sexualité "normale".

Non l'homosexualité n'est pas le rejet d'une réalité biologique, simplement l'attirance pour le même sexe. La dysphorie de genre, c'est le refus, ou le rejet de son sexe biologique, sexe biologique qui existe et qu'on ne peut pas changer. C'est cette réalité là qui est rejeté et non-accepté en tant que tel par le sujet, qui lui se sent appartenir à l'autre sexe, alors que biologiquement ce n'est pas le cas.

il y a une heure, frunobulax a dit :

Après, qu'il puisse y avoir (très éventuellement et de façon extrêmement minoritaire ??)  quelques "dérapages" évidemment condamnables, je ne le nie pas.

Fait une rapide recherche sur le nombre d'enfant sous-bloqueurs de puberté, dont on ignore même l'ensemble des conséquences médicales à long terme. Ensuite dit nous, à partir de combien tu juges pareils dérapages comme étant marginales.

il y a une heure, frunobulax a dit :

Je ne peux au passage que vous ramener aux "discours" de la droite de la droite ultra catho d'il y a pourtant peu, qui affirmait assez grotesquement que l'homosexualité ne serait supposément qu'une "mode" (perversion) instituée par "la gauche" ...

Tu t'accroches à cette comparaison fallacieuse alors que celle-ci est clairement bidon. Et tu le fais pour éviter d'aborder la question des transitions de genre, qui d'ailleurs ne sont parfois pas motivés par des dysphorie de genre réel mais par le mimétisme social. Aller un petit reportage sur le sujet, reportage de la chaîne publique suisse et non pas d'une obscure organisation religieuse ou d'ultra-droite de l'extrême je précise.

Lien Direct Vers La Vidéo

il y a une heure, frunobulax a dit :

Mais, bon, ils se sont pris une tôle totale dans leurs revendications vu que la grande majorité des Français y était favorable ...

J’ai plutôt l’impression que la grande majorité des Français s’en foutait. Ni pour, ni contre. Ils ne se sentaient pas concernés mais ne voyaient pas de raisons pour s’y opposer.. 

il y a une heure, frunobulax a dit :

Ben oui, comme vous le dites vous-même, la dysphorie de genre est la non-accepation d'une réalité biologique.
(Vous considérez-donc - et selon quels critères ?-  que c'est totalement  inentendable/acceptable ??)

Tout comme l'homosexualité est la non-acceptation d'une (supposée) sexualité "normale".

Je ne sais pas si tu crois « défendre » les homosexuels, mais en tant qu’homo je ne serais trop te conseiller de fermer ta… bouche et de ne pas parler au nom « des homos ». Personnellement je me trouve aussi proche des combats des trans que de celui des poulpes en milieu non salin. Je ne me retrouve pas dans tes propos.

il y a 48 minutes, uno a dit :

Non l'homosexualité n'est pas le rejet d'une réalité biologique, simplement l'attirance pour le même sexe.

Oui. La comparaison de l’autre gugus est très douteuse limite homophobe en entendant que la réalité biologique serait l’hétérosexualité. Difficile de faire plus homophobe dans ces propos enrobés d’un joli noeud rose pour faire woke.

il y a 51 minutes, uno a dit :

La dysphorie de genre, c'est le refus, ou le rejet de son sexe biologique

Par certains côtés je vois une similitude avec l’anorexie.

il y a 5 minutes, Jim69 a dit :

Par certains côtés je vois une similitude avec l’anorexie.

Bonne remarque même si sensiblement différent on retrouve la question d'une perception alterée et négative de son corps.

il y a 1 minute, uno a dit :

Bonne remarque même si sensiblement différent on retrouve la question d'une perception alterée et négative de son corps.

C’est effectivement ce que je sous-entendais.

Il y a 2 heures, frunobulax a dit :

Vous tenez le même discours grotesque que ceux qui dénonçaient il y a encore peu l'homosexualité, au (supposé) prétexte qu'elle serait "perverse et contre nature" et une (tout autant supposée) "menace contre la reproduction", ceux qui dénonçaient les mariages mixtes au (supposé) prétexte qu'ils allaient provoquer "l'extinction de la race blanche" et ceux qui dénonçaient le vote des femmes au (supposé) prétexte qu'elles allaient provoquer une totale catastrophe dans le pays !!

Les transgenres sont ultra minoritaires dans tous les pays du monde ...
Rassurez vous, ils ne présentent strictement AUCUNE menace pour votre "virilité" !
Ni même pour vos enfants (si vous en avez ..?).

Moi je n'ai jamais ni dénoncé, ni critiquer l'homosexualité, même quand ce n'était pas encore la mode de militer pour cette cause. J'ai toujours considérer que chacun est libre de faire ce qu'il veut avec son cul. Maintenant, de là en faire l'apologie en permanence .....

Il y a 3 heures, uno a dit :

Fait une rapide recherche sur le nombre d'enfant sous-bloqueurs de puberté, dont on ignore même l'ensemble des conséquences médicales à long terme. Ensuite dit nous, à partir de combien tu juges pareils dérapages comme étant marginales.

Puisque manifestement vous avez déjà fait ces recherches, merci de nous les communiquer ..?

Il y a 1 heure, stephh06 a dit :

je n'ai jamais ni dénoncé, ni critiquer l'homosexualité, même quand ce n'était pas encore la mode de militer pour cette cause

https://www.cairn.info/revue-les-cahiers-de-la-justice-2021-4-page-555.htm
L'anorexie mentale, témoignant d'un profond malaise de l'adolescent mal dans son corps, n'est pas un choix qui suppose, à l'instar de la « dysphorie de genre », qu'il « s'autodétermine ». La réponse médicale est prudente et met tout en œuvre pour que le jeune n'attente pas à sa vie. On ne propose pas une liposuccion à une jeune anorexique qui se trouve encore trop grosse pas plus qu'on ne fournit de la drogue à un jeune en proie aux addictions.

Si certains analysent ce phénomène comme étant lié à une « libération de la parole », on peut toutefois interroger la manière dont les adultes écoutent et interprètent la parole de l'enfant. Il est possible que le premier grand scandale du XXI^e siècle concerne les traitements hormonaux et chirurgicaux dispensés aux mineurs qui souhaitent changer de sexe. L'alerte est déjà lancée par des médecins, des professionnels de l'enfance mais aussi des féministes et des groupes de parents dans les pays où les demandes ont explosé : USA, Canada, Suède, Finlande, Angleterre, Suisse, Belgique, France.

Je trouve cette façon de faire un peu abusée...On est pas en cours de sciences à dissequer une grenouille.

C'est comme si,imaginons un père de famille faisant un cours d'éducation sexuelle à ses enfants,dépose son "paquet" sur la table pour leur montrer ou se trouve le gland chez les garçons.

Je trouve ça choquant mais je suis sans doute vieux jeu...

Il y a 14 heures, Pirene a dit :

Une émission de télévision néerlandaise sur NTR* présente des corps nus sur scène pour montrer aux enfants à quel point il est "normal" d'être transgenre.

La nouvelle religion integriste.

Les dérives des anticléricaux.

Les laïcards ne savent plus à quel slip s' accrocher pour exister.

La gauche revencharde et maladive se sert des enfants.

Il y a 10 heures, frunobulax a dit :

Puisque manifestement vous avez déjà fait ces recherches, merci de nous les communiquer ..?

Aux États-Unis en 2021 nous avions déjà un chiffre minimal de 4'780 mineurs sous bloqueurs de puberté. En Grande-Bretagne pour la seule clinique de Tavistock on dépasse les 1'000 mineurs sous bloqueurs de puberté. Et si tu veux creuser la question des conséquences psychologiques et physiologiques, et de leurs conséquences sur la vie de ces enfants, de ces traitement expérimentaux, voici une étude éloquente en la matière. Dit autrement ce sont des milliers d'enfants sur lesquels on a expérimenter des médicaments lourds (médicaments notamment utilisé pour castré chimiquement les prédateurs sexuels), aux conséquences tout aussi lourdes sur le développement, alors que la plupart des enfants souffrant de ces dysphorie auraient, sans traitement, finit par voir leur dysphorie se résorber. On bousille littéralement la santé psychique et physique de milliers d'enfants, avec souvent en bout de course des mutilations irréversibles pour soit disant «affirmer leur genre».

les gosses ne sont absolument surpris ni terrifiés ni rien de spécial, ils acceptent les différences en cherchant le pourquoi auprès des trans... cela ne me choque pas.

Il y a 15 heures, frunobulax a dit :

Ben oui, ne vous en déplaise, le transgenrisme existe bel et bien.

Cette émission ne fait en rien la "promotion voyeuriste" (rires !) du transgenrisme, elle explique juste que ça existe.

Après, que ça vous foute les boules que des enfants d'aujourd'hui ne soient pas plus "choqués" par le transgenrisme que ceux d'il y a une décennie ne l'étaient par l'homosexualité et ceux d'il y a plusieurs décennies par les mariages "mixtes" ou, il y a encore plus longtemps, par les droits des femmes, n'est pas franchement une surprise.

Comme quoi les enfants sont (heureusement) souvent moins cons que leurs parents.

N'exagérons rien ! Vous sous-entendez que les 'jeunes' d'aujourd'hui sont plus tolérants que leurs parents concernant les transgenres ... Il est pourtant notoire que dans les collèges et les lycées, les élèves qui se disent transgenres ou tentent de le devenir sont la cible de nombreuses moqueries au pire, de mépris au mieux pour un grand nombre d'élèves non atteints par cette affection prise en charge par la sécurité sociale ... Mais bon, il parait que ce n'est pas une maladie ...

Il y a 14 heures, frunobulax a dit :

Vous tenez le même discours grotesque que ceux qui dénonçaient il y a encore peu l'homosexualité, au (supposé) prétexte qu'elle serait "perverse et contre nature" et une (tout autant supposée) "menace contre la reproduction", ceux qui dénonçaient les mariages mixtes au (supposé) prétexte qu'ils allaient provoquer "l'extinction de la race blanche" et ceux qui dénonçaient le vote des femmes au (supposé) prétexte qu'elles allaient provoquer une totale catastrophe dans le pays !!

Les transgenres sont ultra minoritaires dans tous les pays du monde ...
Rassurez vous, ils ne présentent strictement AUCUNE menace pour votre "virilité" !
Ni même pour vos enfants (si vous en avez ..?).

Mais vous mettez sur le même plan une sexualité (en l'occurence l'homosexualité) qui n'a rien d'une maladie avec la dysphorie de genre qui, elle, en est bien une (sinon, il ne serait pas obligatoire pour ces gens-là d'avoir un certificat médical d'un psychiatre attestant que le malade est atteint d'une affection de longue durée ALD 31 en l'occurence). Et si l'homosexualité était il y a 50 ans souvent considérée comme une déviance, un vice, ce n'était que pour des raisons de mentalités dans la société. Ne confondez pas une maladie avec une sexualité !

il y a 11 minutes, Saturne06 a dit :

Mais vous mettez sur le même plan une sexualité (en l'occurence l'homosexualité) qui n'a rien d'une maladie avec la dysphorie de genre qui, elle, en est bien une (sinon, il ne serait pas obligatoire pour ces gens-là d'avoir un certificat médical d'un psychiatre attestant que le malade est atteint d'une affection de longue durée ALD 31 en l'occurence). Et si l'homosexualité était il y a 50 ans souvent considérée comme une déviance, un vice, ce n'était que pour des raisons de mentalités dans la société. Ne confondez pas une maladie avec une sexualité !

Concernant l’homosexualité, il y a pourtant, toujours, des thérapies de conversion...

Quant à la dysphorie de genre, n’étant ni médecin, ni psy, je serais bien en peine d’avoir un avis pertinent. Mais nous avons tous nos sentiments, nos ressentis, et les miens sont bien loin d’être tranchés...