Refuser d'aimer par peur de souffrir c'est comme refuser de vivre par peur de mourir.

Voilà tout est dans le titre.

"Refuser d'aimer par peur de souffrir c'est comme refuser de vivre par peur de mourir."

Comme on me l'a dit cela ferait un bon sujet de philo.  Je l'en remercie d'ailleurs

Puis c'est aussi pour embêter une personne qui trouve que c'est une connerie. Il se reconnaîtra 

J'espère que vous serrez indulgent les pros de la philosophie .J'y connais pas grand chose.

Donc à vos claviers 

@Elisa* et @Enchantant j'ai mis le pieds chez les philosophes, si je reste coincée venez m'aider   

il y a 31 minutes, lysiev a dit :

si je reste coincée venez m'aider

je suis là , la peur ne doit pas nous empêcher de vivre, voili voilà, au secours !!!!

Toutafé !

D’ailleurs, comme vouloir mourir peut s’avérer une raison valable de vivre, vouloir souffrir peut s’avérer une raison valable d’aimer.

il y a 42 minutes, lysiev a dit :

@Elisa* et @Enchantant j'ai mis le pieds chez les philosophes, si je reste coincée venez m'aider

Bonjour lysiev

En réalité je ne sais si je suis philosophe ou pas ? (en réalité je m'en fout un peu)

Mes collègues de bureaux pour se payer ma bobine, lorsque j’étais en activité, me surnommait « le philosophe »

Il y a sans doute un peu de vrai, mais lorsque l’on a vécu un certain temps sur terre, on devient tous des philosophes de toutes les façons ?

Ce que je sais de l’existence c’est que l’on naît, on observe nos proches et notre environnement, on apprend des savoirs à l’école. Puis des choix de formations professionnels s’imposent à nous, puis de fil en aiguille, on se marie en fondant une famille, on a des enfants, puis des petits enfants.

Puis de se retrouver déjà, tout surpris et étonné d’être partie intégrante de la troisième génération…

Nos besoins du moment de toute nature, ne sont plus ceux que nous avions lorsque nous étions plus jeune et de la posture d’acteur nous enfilons le costume du spectateur à notre insu.

Dans ma jeunesse, la crèche des santons de Provence évoquait « le ravi » personnage que je trouvais un peu neuneu sur les bords à l’époque. Puis de me rendre compte en vieillissant que cette attitude qui est celle d’admirer les autres est finalement une position enviable.

Voila pour les amuses bouches en matière de Philo ! 

il y a 8 minutes, Enchantant a dit :

Voila pour les amuses bouches en matière de Philo !

ça ne répond pas à la question 

à l’instant, maddy a dit :

ça ne répond pas à la question 

J'en conviens, mais c'est ce qui m'est passé en tête ! 

il y a 24 minutes, maddy a dit :

je suis là , la peur ne doit pas nous empêcher de vivre, voili voilà, au secours !!!!

C'est pour nous rassurer qu'a été inventé dieu et son paradis.

il y a 1 minute, Enchantant a dit :

J'en conviens, mais c'est ce qui m'est passé en tête !

c'est très juste ce que tu as dit 

il y a 22 minutes, Tequila Moor a dit :

vouloir souffrir peut s’avérer une raison valable d’aimer.

La nature ne cherche pas l'échec. Refuser d'aimer, c'est subir un complexe d'infériorité.

il y a 11 minutes, Talon 1 a dit :

La nature ne cherche pas l'échec. Refuser d'aimer, c'est subir un complexe d'infériorité.

La nature vivante cherche à survivre et se perpétuer : toutes les raisons sont donc valables pour cela, y compris celles qui semblent illogiques ou tournées vers l’échec, à nous les pauvres petits humains qui rationalisons tout ce que nous subissons pour y trouver un semblant de sens ou de morale. 

En m'ennuyait sur la plage je réfléchissais à la dépression après avoir lu un truc disant que ça commençait avec le "à quoi bon"... À quoi bon faire son lit qu'on va le défaire... À quoi bon aimer puisqu'on va souffrir... À quoi bon faire des enfants puisqu'ils vont mourir... 

Sauf que c'est le principe même de la vie : faire défaire, créer détruire, vivre mourir, aimer désaimer... La vie n'aurais aucun sens à vivre sans vivre...

Bisous de la plage de celui qui n'aime pas spécialement la plage.  

il y a 12 minutes, Crabe_fantome a dit :

En m'ennuyait sur la plage je réfléchissais à la dépression après avoir lu un truc disant que ça commençait avec le "à quoi bon"... À quoi bon faire son lit qu'on va le défaire... À quoi bon aimer puisqu'on va souffrir... À quoi bon faire des enfants puisqu'ils vont mourir... 

Sauf que c'est le principe même de la vie : faire défaire, créer détruire, vivre mourir, aimer désaimer... La vie n'aurais aucun sens à vivre sans vivre...

Bisous de la plage de celui qui n'aime pas spécialement la plage.  

Ça me fait penser que tu vas grandement faire plaisir aux fétichistes des pieds ! 

Il y a 1 heure, lysiev a dit :

Voilà tout est dans le titre.

"Refuser d'aimer par peur de souffrir c'est comme refuser de vivre par peur de mourir."

Comme on me l'a dit cela ferait un bon sujet de philo.  Je l'en remercie d'ailleurs

Puis c'est aussi pour embêter une personne qui trouve que c'est une connerie. Il se reconnaîtra 

J'espère que vous serrez indulgent les pros de la philosophie .J'y connais pas grand chose.

Donc à vos claviers 

@Elisa* et @Enchantant j'ai mis le pieds chez les philosophes, si je reste coincée venez m'aider   

Comme une larme de joie montre un drôle de paradoxe

le manque que l’on ressent nous fait un peu souffrir

mais en même temps cette souffrance est aussi plaisir.

La déchirure qui se tient à l’endroit précis de la rencontre

entre souffrance et plaisir est un fidèle écho à cette larme paradoxale.

Tu est partie ailleurs, et tu nous manques, et c’est en cela que je connais l’amour.

Parce que tu nous manques, et comme tu nous manques, je suis heureux de te retrouver.

Aussi heureux que triste lorsque tu repartiras.

Je pense que le goût de cette joie ne serait pas sans le goût de cette tristesse.

il y a 4 minutes, Elisa* a dit :

Ça me fait penser que tu vas grandement faire plaisir aux fétichistes des pieds ! 

Ça ne me dérange pas qu'on sexualise mon corps d'athlète 

Il y a 2 heures, lysiev a dit :

Voilà tout est dans le titre.

"Refuser d'aimer par peur de souffrir c'est comme refuser de vivre par peur de mourir."

Comme on me l'a dit cela ferait un bon sujet de philo.  Je l'en remercie d'ailleurs

Puis c'est aussi pour embêter une personne qui trouve que c'est une connerie. Il se reconnaîtra 

J'espère que vous serrez indulgent les pros de la philosophie .J'y connais pas grand chose.

Donc à vos claviers 

@Elisa* et @Enchantant j'ai mis le pieds chez les philosophes, si je reste coincée venez m'aider   

Freud disait que le but de la vie c'est la mort. Alors pourquoi le but de l'amour ne pourrait pas être la souffrance ?...

Ce sujet est une réponse à un sentiment développé par @PtitAngelina

Je le regrette.

@PtitAngelina appelle notre compréhension.

J'ai de la sympathie pour elle.

Il y a 2 heures, Talon 1 a dit :

La nature ne cherche pas l'échec. Refuser d'aimer, c'est subir un complexe d'infériorité.

Il suffit d'appuyer sur un bouton et l'IA (anciennement programmée) répond.

Il faudrait actualiser l'IA. 

Elle date.

il y a une heure, Wave1 a dit :

Freud disait que le but de la vie c'est la mort. Alors pourquoi le but de l'amour ne pourrait pas être la souffrance ?...

Il y aurait alors comme un non-sens, le but de l'amour ne devant théoriquement pas être la souffrance, bien au contraire.

Il y a 2 heures, Crabe_fantome a dit :

À quoi bon faire son lit qu'on va le défaire... À quoi bon aimer puisqu'on va souffrir... À quoi bon faire des enfants puisqu'ils vont mourir... 

Sauf que c'est le principe même de la vie : faire défaire, créer détruire, vivre mourir, aimer désaimer... La vie n'aurais aucun sens à vivre sans vivre...

Ce serait passer à côté en somme, passer à côté de sa vie sans la savourer pleinement et sans en apprécier les cadeaux que parfois elle nous fait, tant on aurait peur de souffrir; ce qui n'est qui plus est qu'une éventualité et non une certitude sauf... si l'on ne croit pas (ou plus) en l'amour durable.

Et puis on pourrait pousser loin les "à quoi bon ?": à quoi bon s'alimenter, à quoi bon prendre soin de sa santé, à quoi bon être soucieux de son hygiène de vie... puisque tôt ou tard on mourra. Mieux vaut savourer sa vie tant qu'on le peut car on ne sait de quoi demain sera fait (pensée aux marocains, notamment).

Il y a 2 heures, Crabe_fantome a dit :

Bisous de la plage de celui qui n'aime pas spécialement la plage.  

Je n'aime pas la plage encombrée de la foule des bronzeurs pendant la journée (l'idéal serait d'avoir sa plage privée !) mais j'avoue que le soir, à la douce lumière du soleil couchant, l'impression que la plage est à soi tout seul... le clapotis des vaguelettes...!