Wave1

En fait aujourd'hui la plupart des savants et autres scientifiques sont d'accord pour dire que le comportement d'un être humain s'explique par deux facteurs à part presque égales qui sont la génétique et l'environnement. C'est du 50/50.

En intelligence artificielle il y a une méthode d'apprentissage qu'on appelle la "distillation". Cela consiste à utiliser une première IA (instituteur) déjà entrainé pour l'apprentissage d'une deuxième IA (élève). En voyant ton sujet je me suis dit qu'on pourrait imaginer ce modèle (distillation) à propos de notre univers, par exemple des entités restreintes qui apprennent des entités plus large tout en se spécialisant sur des aspects qui leurs sont propres. Bref, il y a peut-être un Dieu suprême puis un demi-dieu qui apprend de ce premier et des tas d'autre pseudo-dieu qui chacun à leur tours distillent les savoirs et les pouvoirs de leurs supérieurs jusqu'à arriver à notre échelle nous humains.

Personne ne peut le dire.

Oui mais je propose qu'à partir d'aujourd'hui tout le monde vénère le soleil.

Oui... comme on l'a déjà dit la quatrième se fera à coup de bâtons et de pierres. A moins que...

Oui exacte ! Mais j'ai une bonne nouvelle, vue la situation actuelle de la planète il n'est pas impossible que l'humanité décide de revenir à ses racines où à son sommet se trouve notre soleil.

Peut être que notre passé est notre avenir... nous n'aurions peut-être jamais dû arrêté de vénérer le soleil.

Venez... Nous allons de nouveau vénérer le soleil.

Pas juste le cerveau, je dirais même une respiration de l'âme.

Pour moi penser veut dire prendre de la distance, devenir conscient de soi-même et de tout ce qui nous entoure, penser c'est "exister".

"L'horizon c'est cette liberté que nous cherchons tous." Quand je me tiens debout et que j'observe l'horizon lointain je ressens une sensation de liberté absolue alors il m'est venu à l'idée que si la liberté devait un jour se matérialiser alors elle nous apparaîtra sans doute comme cet horizon sans limite sans bord mais toujours libératrice.

Intéressant en effet. Je le comprends moi de cette manière là : Une mauvaise étoile pour l'un pourrait signifier une bonne étoile pour d'autres, à chacun sa lecture du ciel.

Elle doit normalement contribuer au bonheur de tous, mais j'ai l'impression qu'elle ne fait que gonfler les poches d'une minorité.

J'ai trouvé un livre intéressant qui parle de ce problème de l'appropriation des nouvelles technologies et de la science par ceux qui détiennent le pouvoir et qui par ce biais là décident du développement des technologies en dépit des populations. Un petit résumé : https://www.chaireeconomieduclimat.org/points-de-vue/la-chaire-a-lu-pour-vous-power-and-progress-our-thousand-year-struggle-over-technology-and-prosperity-de-daron-acemoglu-et-simon-johnson/

Martin Heidegger de son temps a essayé de nous prévenir des dangers de la technologie. Il voyait dans la technologie un facteur de la dégénérescence de la relation de l'homme et de la nature. En effet à cause de la technologie l'homme au lieu de vivre en harmonie AVEC la nature il ne voit dans la nature qu'une source inépuisable de matières premières qui doivent être transformé et exploité pour satisfaire nos soit disant besoins qui ne sont qu'artificiellement engendré. En fait, aujourd'hui en suivant cette ligne de l'idéologie capitaliste qui veut que le capital soit au service du capital et non au service de l'homme, j'ai l'impression qu'il se passe la même chose avec la science, c'est-à-dire que le but de la science ce n'est pas d'améliorer la condition de l'humain mais c'est de faire avancer la science elle-même. Une vision calquée sur l'idéologie capitaliste qui fait que la science est au service de la science et non au service de l'homme. J'ai l'impression que depuis au moins un siècle on a oublié le facteur "humain" en parlant de la science tout comme en ce qui concerne l'économie. Précisément les besoins de l'espèce humaine ne sont pas définit de manière naturelle et en mettant au centre l'intérêt de l'être humain mais nos besoins sont définit par le capital et plus absurde encore par les progrès de la science. C'est la science tout comme le capital qui impose qu'est-ce qui est bon ou mauvais pour le genre humain au lieu que cela soit l'inverse ! Aujourd'hui dans cette situation absurde dans laquelle c'est la science et le capital qui sont rois et non l'être humain, je regarde l'essor de l'intelligence artificielle avec inquiétude mais aussi avec de l'espoir: Peut-être que l'IA nous aidera à (re)placer le curseur et l'attention sur l'humain et sur ses vrais besoins, dégager notre attention de la science qui ne travaille que pour elle-même et recentrer notre attention sur l'humain.