Émission La grande Librairie : topic hebdomadaire

Il y a 20 heures, tison2feu a dit :

Si tu pouvais imaginer à quel point ces questions me passionnent ! 

Alors si d'aventure je tombe sur ce genre de débat je m'intéresse non pas au fond, comme tu l'auras noté, mais à la forme, en l'occurrence la façon courtoise de l'un des intervenants de marquer son total désaccord.

M'enfin !... L'IMMACULEE CONCEPTION... C'est IMPORTANT Tout de même ! 

Le 27/04/2023 à 08:21, Crève a dit :

Qui a regardé hier ? Monsieur Eric-emmanuel Schmitt, un intellectuel que je considère de très bonne facture.
Toujours plaisant à écouter

Etonnant ce Monsieur ! Sympathique à n'en pas douter. Qui dit penser avec son corps à un moment... Un corps en embonpoint certain... Qui parle de l'eucharistie comme d'un sommet de la foi... Et l'eucharistie c'est... assimiler dans son corps (symboliquement mais aussi matériellement) un autre corps. Comme @tison2feu () c'est le formel qui m'intéresse, aussi ! Et surtout l'alchimie qui rend ce formel fondamental... (à mon avis!)

En face de lui, Conte Sponville maigre comme un ascète n'arrive pas à esquisser le moindre sourire... Est-il vraiment soucieux ou poli ?

La foi en devient jouissance et l'athéisme, austérité...

Je mets la ref de l'émission en question :

https://www.telereplay.fr/emission/588125/La_Grande_Librairie.html

Il y a 4 heures, Blaquière a dit :

Etonnant ce Monsieur ! Sympathique à n'en pas douter. Qui dit penser avec son corps à un moment... Un corps en embonpoint certain... Qui parle de l'eucharistie comme d'un sommet de la foi... Et l'eucharistie c'est... assimiler dans son corps (symboliquement mais aussi matériellement) un autre corps. Comme @tison2feu () c'est le formel qui m'intéresse, aussi ! Et surtout l'alchimie qui rend ce formel fondamental... (à mon avis!)

En face de lui, Conte Sponville maigre comme un ascète n'arrive pas à esquisser le moindre sourire... Est-il vraiment soucieux ou poli ?

La foi en devient jouissance et l'athéisme, austérité...

Je mets la ref de l'émission en question :

https://www.telereplay.fr/emission/588125/La_Grande_Librairie.html

Cela me semble bien difficile de faire la part entre déterminisme morpho-physiologique et déterminisme social.

Avant de devenir athée, Comte Sponville avait envisagé de devenir prêtre, ceci pouvant expliquer cela sans avoir besoin de faire intervenir des questions de constitution physique.

Et s'il y a une corrélation entre corpulence et visage souriant, je ne comprends pas pourquoi moi, qui suis si menu, j'ai tendance à sourire naturellement en parlant. Je trouve qu'il y a bien trop d'exceptions à ce type de corrélation pour conclure à pareilles généralisations.

Mercredi 20 septembre 2023, pour le troisième numéro de la saison, Augustin Trapenard recevra :

Charles Pépin, pour son livre « Vivre avec son passé » chez Allary.

Laure Murat, pour son livre « Proust, roman familial » chez Robert Laffont.

Agnès Desarthe, pour son livre « Le Château des Rentiers » chez L'Olivier.

Nathacha Appanah, pour son livre « La mémoire délavée » chez Mercure de France.

Neige Sinno, pour son livre « Triste tigre » chez POL.

Il y a 16 heures, Axo lotl a dit :

Nathacha Appanah, pour son livre « La mémoire délavée » chez Mercure de France.

Neige Sinno, pour son livre « Triste tigre » chez POL.

Ai été particulièrement fascinée par ces deux autrices.

Mercredi 27 septembre 2023, pour le quatrième numéro de la saison, Augustin Trapenard recevra :

Serge Joncour, pour son livre « Chaleur humaine » chez Albin Michel.

Caryl Ferey, pour son livre « Okavango » chez Gallimard.

Gaspard Koenig, pour son livre « Humus » aux éditions de L'Observatoire.

Vidya Narine, pour son livre « Orchidéiste » aux éditions Les Avrils.

Clara Arnaud, pour son livre « Et vous passerez comme des vents fous » chez Actes Sud.

LA GRANDE LIBRAIRIE Mercredi 4 octobre 2023 : Ken Follett, Patrick Modiano, Patrick Boucheron, Cécile Desprairies, Julie Héraclès
La littérature et l’Histoire font-elles bon ménage ? Cette semaine, dans La Grande Librairie, des romans attendus et débattus, des pensées sur aujourd’hui et demain, des questions, surtout, qui ne datent pas d’hier ! Pourquoi romancer l’histoire ? Peut-on l’écrire sans la trahir ? Jusqu’où la littérature peut-elle aller ? Pour y répondre, des écrivains, des historiens, des archives et des livres !

Ken Follett : Les Armes de la Lumière
C’est l’un des auteurs les plus lus de notre temps. Son oeuvre s’étend sur près d’un millénaire. Invité d’honneur de La Grande Librairie, Ken Follett nous embarque une dernière fois à Kingsbridge, ville où l’imaginaire épouse les rouages de l’Histoire. Avec « Les Armes de la Lumière » (Robert Laffont), il nous plonge en plein essor industriel, au coeur de rivalités franco-britanniques, de révoltes féroces et de destins embrasés. Le plus français des écrivains anglais marque ici la fin d’un cycle.

Patrick Boucheron : Le Temps qui reste
Comment comprendre notre Histoire lorsque celle-ci semble s’accélérer sans cesse ? Peut-on reprendre la main sur les récits de notre temps ? Cette semaine, un regard d’historien, une mise en perspective s’imposent : et si, pour regarder l’Histoire se faire, il fallait d’abord pouvoir imaginer « Le Temps qui reste » (Seuil) ? Patrick Boucheron nous invite à ne pas désespérer du temps présent : car s’il nous paraît lourd, il n’est pas pour autant figé.

Cécile Desprairies : La propagandiste
Historienne spécialiste de la Collaboration et de l’Occupation, Cécile Desprairies signe, après quinze ans de recherche, son entrée dans la fiction. « La Propagandiste » (Seuil) tente de percer le mystère d’un secret familial, celui de sa mère, et des liens qu’elle a entretenus avec le régime nazi. Une enquête fascinante qui lève le voile sur un des épisodes les plus troubles de notre histoire collective.

Julie Héraclès : Vous ne connaissez rien de moi
Dans « Vous ne connaissez rien de moi » (JC Lattès), Julie Héraclès retrace le destin d’une collaborationniste, très librement inspirée d’un personnage réel. Le portrait d’une femme qui, sous l'Occupation, étanchera sa soif de revanche au prix des pires compromissions. L’occasion d’évoquer la fascination qu’exerce sur nous les bourreaux, mais aussi d’interroger les frontières entre Histoire et Littérature.

Patrick Modiano : La Danseuse
Enfin, direction l’Opéra Garnier, sur les pas de Patrick Modiano pour un entretien exceptionnel autour de « La Danseuse » (Gallimard). Là où le souvenir poreux s’instaure en matériau d’écriture. Là où les silhouettes et figures s’estompent - où la ville de Paris, dévoilée en pointillisme et au croisement des époques, est peuplée de fantômes. Un récit qui s’aventure, en équilibre, entre existence vécue et celle que l’on croit avoir rencontrée. Du grand Modiano !

https://www.leslibraires.fr/dossiers/la-grande-librairie-mercredi-4-octobre-2023-ken-follett-patrick-modiano-patrick-boucheron-cecile-desprairies-julie-heracles/

Mercredi 11 octobre 2023, Augustin Trapenard recevra :

Michel Desmurget, pour son livre « Faites-les lire ! Pour en finir avec le crétin digital » au Seuil.

Tania de Montaigne, pour son livre « Sensibilités » chez Grasset.

Lilia Hassaine, pour son livre « Panorama » chez Gallimard.

Amin Maalouf, qui vient d’être élu secrétaire perpétuel de l’Académie française.

Dimitri Kantcheloff, pour son livre « Vie et mort de Vernon Sullivan » chez Finitude.

Je ne connais que Amin Maalouf.

Il y a 1 heure, Crève a dit :

Je ne connais que Amin Maalouf.

Une bonne occasion de découvrir les autres.

Mercredi 7 Novembre (hier donc) pour le sujet "Comment vivre avec l'autre?" : dialogue d'une intelligence rare entre Joann Sfar et Leïla Slimani, d'accord sur l'essentiel, le rôle et l'importance de la littérature, ne pas se laisser enfermer dans des identités imposées par l'extérieur. Et pourtant très différents sur la place publique : l'une muette sur les réseaux sociaux , mettant tout dans ses livres. L'autre très exposé au risque de se prendre des coups.

C'était à la fois une bouffée d'air pur mais aussi très éclairant. Pourquoi est-ce qu'on invite pas plus d'écrivains sur les plateaux?

Et puis aussi Alain Mabanckou qui est passionnant à écouter.

il y a 2 minutes, Beebee a dit :

Mercredi 7 Novembre (hier donc) : dialogue d'une intelligence rare entre Joann Sfar et Leïla Slimani, d'accord sur l'essentiel, le rôle et l'importance de la littérature, ne pas se laisser enfermer dans des identités imposées par l'extérieur. Et pourtant très différents sur la place publique : l'une muette sur les réseaux sociaux , mettant tous dans ses livres. L'autre très exposé au risque de se prendre des coups.

C'était à la fois une bouffée d'air pur mais aussi très éclairant. Pourquoi est-ce qu'on invite pas plus d'écrivains sur les plateaux?

Parce que ce n'est pas vendeur. 

il y a 2 minutes, Axo lotl a dit :

Parce que ce n'est pas vendeur. 

C'est même pas triste en fait, c'est désespérant.

Je ne me rappelle plus hier où j'ai aperçu Franz Olivier Giesbert et Jean Michel Apathie (près de 140 ans à eux deux) : un concours de bi..te, horrible.

il y a 32 minutes, Beebee a dit :

C'est même pas triste en fait, c'est désespérant.

Je ne me rappelle plus hier où j'ai aperçu Franz Olivier Giesbert et Jean Michel Apathie (près de 140 ans à eux deux) : un concours de bi..te, horrible.

Dans « Quotidien »… j’ai zappé. 

Bonjour 

Augustin Trapenard rencontre le philosophe et sociologue de 102 ans, Edgar Morin, au sein de la fondation parisienne qui porte son nom. Témoin de ce siècle et du siècle passé, cet ancien résistant a toujours milité pour une pensée complexe, qu’il a théorisé dans son œuvre majeure en six volumes, "La méthode". Deux nouveaux recueils ont paru en 2023, "Mon ennemi, c'est la haine", aux éditions de l'Aube et "Encore un moment...", aux éditions Denoël. Il nous parle du monde d’aujourd’hui, incertain et complexe, du sentiment du haine qui se répand de plus en plus dans le monde, et comment ne pas y succomber

https://www.youtube.com/watch?v=Nts7gwvblq8

Je n'arrive pas à poster la vidéo , c'est Edgar Morin-Regard d'un humaniste centenaire

la grande Librairie

Il y a 5 heures, eriu a dit :

Bonjour 

Augustin Trapenard rencontre le philosophe et sociologue de 102 ans, Edgar Morin, au sein de la fondation parisienne qui porte son nom. Témoin de ce siècle et du siècle passé, cet ancien résistant a toujours milité pour une pensée complexe, qu’il a théorisé dans son œuvre majeure en six volumes, "La méthode". Deux nouveaux recueils ont paru en 2023, "Mon ennemi, c'est la haine", aux éditions de l'Aube et "Encore un moment...", aux éditions Denoël. Il nous parle du monde d’aujourd’hui, incertain et complexe, du sentiment du haine qui se répand de plus en plus dans le monde, et comment ne pas y succomber

https://www.youtube.com/watch?v=Nts7gwvblq8

Je n'arrive pas à poster la vidéo , c'est Edgar Morin-Regard d'un humaniste centenaire

la grande Librairie

Elle est postée, pas de souci. Ce qui me permet de poster les deux suivantes sur le dialogue entre Joan Sfar et Leïla Slimani :

https://www.youtube.com/watch?v=m92SvlTNoBU

https://www.youtube.com/watch?v=7JpIKfPPYUo

(Même émission)

Il y a 2 heures, Beebee a dit :

Elle est postée, pas de souci. Ce qui me permet de poster les deux suivantes sur le dialogue entre Joan Sfar et Leïla Slimani :

https://www.youtube.com/watch?v=m92SvlTNoBU

https://www.youtube.com/watch?v=7JpIKfPPYUo

(Même émission)

J'adhère complètement dans ce qu'explique Leïla Slimani dans son propos " ...je n'ai jamais pensé à moi comme membre d'une communauté à part la communauté humaine .." elle parle même d'aversion .

Il y a des détachements  porteur d'attachements  et de passerelles là où des attachements seront porteurs de détachements et de murs mais malheureusement pas de murs porteurs .

Il y a 9 heures, eriu a dit :

Bonjour 

Augustin Trapenard rencontre le philosophe et sociologue de 102 ans, Edgar Morin, au sein de la fondation parisienne qui porte son nom. Témoin de ce siècle et du siècle passé, cet ancien résistant a toujours milité pour une pensée complexe, qu’il a théorisé dans son œuvre majeure en six volumes, "La méthode". Deux nouveaux recueils ont paru en 2023, "Mon ennemi, c'est la haine", aux éditions de l'Aube et "Encore un moment...", aux éditions Denoël. Il nous parle du monde d’aujourd’hui, incertain et complexe, du sentiment du haine qui se répand de plus en plus dans le monde, et comment ne pas y succomber

https://www.youtube.com/watch?v=Nts7gwvblq8

Je n'arrive pas à poster la vidéo , c'est Edgar Morin-Regard d'un humaniste centenaire

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"Ne pas céder aux injonctions de choisir un camp, de prendre nécessairement parti pour l’un ou pour l’autre." Je crois que c’est ça... En tous cas, c’est ça qui résonne pour moi.

il y a 1 minute, Mite_Railleuse a dit :

"Ne pas céder aux injonctions de choisir un camp, de prendre nécessairement parti pour l’un ou pour l’autre." Je crois que c’est ça... En tous cas, c’est ça qui résonne pour moi.

Oui , c'est en effet un des objectifs qui me semble impérieux et à mon sens pour y arriver il faut un certain détachement , une mise à distance , avoir appris à ne pas y céder depuis le berceau .

il y a 19 minutes, Mite_Railleuse a dit :

"Ne pas céder aux injonctions de choisir un camp, de prendre nécessairement parti pour l’un ou pour l’autre." Je crois que c’est ça... En tous cas, c’est ça qui résonne pour moi.

Je rajouterai que le détachement pour moi doit être puissant , tranché pour pouvoir plus tard , pouvoir y venir en toute connaissance de cause et en autonomie ( dans le volontariat , l'envie ..) mais pas parce que on est né ici ou là etc ..

Je ne sais pas si je suis claire dans mon explication .