La Glace

Une glace, une grande glace nette qui ne laisse rien passer, tout est là devant moi, un visage qui me brave, des défauts qui m’apostrophent et me narguent, aucune qualité aucune beauté, ne serait-ce un beau sourire, une fossette ou des yeux qui t’envoutent, te happent et dans leurs profondeurs tu rêves

Deux grosses boules qui veulent sortir de leurs orbites, t’agressent, te haïssent et t’insultent, montrant leur colère d’exister. Et ces énormes oreilles qui ne demandent qu’à décoller emportant tout le corps avec elles

 Collé à son cou qui lui n’existe pas, le menton, aussi, n’en n’est plus un, il ne reste que la bouche sans lèvres si ce n’est un trait délimitant les deux lèvres Elle renferme des soldats rebelles, qui refusent l’alignement et la blancheur, avec ce nez tellement énorme qu’il arrive à former un bon voisinage avec son amie la bouche pour discuter entre eux de cette disgrâce imprimée sur cette glace  Si cette dernière le pouvait, elle aurait crié par dépit et horreur et les ondes de ce hurlement l’aurait brisée en mille morceaux   

Il y a 1 heure, diffn a dit :

Deux grosses boules qui veulent sortir de leurs orbites, t’agressent, te haïssent et t’insultent, montrant leur colère d’exister. Et ces énormes oreilles qui ne demandent qu’à décoller emportant tout le corps avec elles

Quand j’observe l’autoportrait que Picasso faisait de lui en peinture, il faisait la même observation que notre jeune algérien de service ?

Possible que Diffn soit un artiste sensible au cubisme et qu'il ne le sait pas ?

comme disait Gainsbourg "la laideur a ceci de supérieur à la beauté, c'est qu'elle ne disparaît pas avec le temps"..... Ca ne l'a pas empêché d'avoir de très belles femmes

Il y a 2 heures, Enchantant a dit :

Quand j’observe l’autoportrait que Picasso faisait de lui en peinture, il faisait la même observation que notre jeune algérien de service ?

Possible que Diffn soit un artiste sensible au cubisme et qu'il ne le sait pas ?

beau comme un Dieu devant le mien

Bonjour,

la disgrâce ne m'interpelle pas plus que cela,

mais le regard charger de haine ( a lui même, selon l'auteur) c'est plus troublant .

comme tout un chacun, il y a des physiques qui surprennent et nous étonnes, 

mais dans l'absolu, on ne s'adresse pas aux gens, avec l'espoir de ne parler qu'a des gravures de modes ...

et a minima, si la personne, est d'un abord sympa, courtoise, bienveillante, il n' y a aucunes raisons, de lui faire la gueule ...

(pour être aimé, il faut être aimable) Ensuite, si une caractéristique vous distingue, un savoir faire particulier, un talent pour

certaines choses ( ou artistique), je crois que les moqueries s'éloignent .

chaque partie du corps pourrait être a elle seule, une beauté singulière, que cela ne serait pas le gage  d'un tableau réussit...

l'harmonie, fait que certains défauts disparaissent, et que l'ensemble nous est agréable . Insatisfait de nature, nous savons

aussi que parfois, c'est trop beau pour être vrai ...

Le 19/02/2023 à 13:04, guernica a dit :

comme disait Gainsbourg "la laideur a ceci de supérieur à la beauté, c'est qu'elle ne disparaît pas avec le temps"..... Ca ne l'a pas empêché d'avoir de très belles femmes

La question est: sans sa notoriété et son pognon, les aurait-il eues ?

Se seraient-elles intéressées à lui s'il n'avait pas été célèbre et s'il avait vécu pauvrement ?

il y a 21 minutes, Passiflore a dit :

 

La question est: sans sa notoriété et son pognon, les aurait-il eues ?

Se seraient-elles intéressées à lui s'il n'avait pas été célèbre et s'il avait vécu pauvrement ?

il y a effectivement des femmes qui ne s'intéressent qu'à l'argent, mais je pense que la majorité s'intéresse d'abord à la personnalité. Jane Birkin n'avait pas besoin de l'argent de Gainsbourg, elle était déjà riche et célèbre avant de se mettre en couple avec lui. Et quand Gainsbourg s'est marié la première fois, il était totalement désargenté... or il était déjà moche ! 

suite la glace

Quel mal ai-je commis pour mériter cette laideur ? Je n’ai fait que naitre comme tout le monde, mais le créateur comme disait ma mère en avait voulu ainsi, il parait que les aveugles sont plus malheureux. Pourtant je voudrais en être un, pour éviter chaque matin cette glace qui placidement, sans aucune indulgence, me renvoie une image hideuse, que je méprise. Je ne voudrais rien voir, ni le jour, ni la Lune, la nuit est une protection et le jour est une désolation. Je ne voudrais voir personne, mes frères jumeaux, surtout qui sont très beaux et j’en suis jaloux à en mourir.

Mon géniteur, toujours content, comment ne pas l’être après avoir pris une femme aussi belle alors que moi quand je le regarde, un peu de réconfort, instantanément me visite, mais disparait immédiatement. Un semblant d’espoir, qui n’en n’est point un, traverse mes méninges, un énergumène qui dépasse ma laideur, je pourrais même, devant lui, être beau. Le riche n’est fortuné que par rapport au pauvre et la laideur se compare à la beauté. Je dirais que par rapport à mon père, je me considère comme remarquable.

« Il était aussi laid qu'on puisse le souhaiter, si tant est qu'on fasse des souhaits pour la laideur ; Ce qui te frappe en premier et ce nez démesuré et cette bouche qui avoisine ses oreilles, ses lèvres disproportionnées ressemblant à tout sauf à ces excroissances de chaire qui donnent un attrait au visage. Nous aurions juré qu’il s’est battu avec Tyson, tellement elles sont enflées de part et autres de ses commissures délimitant sa bouche. Ses yeux de fouine enfuis dans leurs orbites, deviennent presque invisibles, pourtant ils sont aussi puissants que le télescope du mont Wilson, ils détecteront une puce unique invisible dans tes cheveux.

Je ne sais s’il avait un cou, mais s’il existe, il doit-être enfoui entre sa tête et sa cage thoracique. Le sourire qui en temps normal agrémente les visages des personnes mais sur son visage il devient une grimace. Des dents aussi confondues que nous avons l’impression, qu’elles se sont querellées pour prendre le devant de la scène. Ses incisives feraient frémir Dracula en personne alors que ces canines se sont entrechoquées à tel point qu’il est vain de vouloir les démêler. Aucun dentiste ne s’aventureras à essayer de normaliser ce véritable chantier qui ne pourra jamais trouver d’entrepreneurs. Aucune harmonie dans ce visage qui défie les lois de la cohérence et les petits enfants suite aux menaces de leurs parents, abandonneraient leurs caprices, s’ils entendaient le nom du voisin Dracula.

à suivre

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En un mot sa physionomie, possédait tous les défauts possibles, sa laideur est associée à la difformité, et son infortune qui m’avait été léguée, je dois reconnaitre qu'elle n'était point menteuse.

Pourquoi avait-il choisi ce mauvais moment pour passer à cet acte charnel pour aller déformer le ventre de ma mère, qui a légué sa beauté à mes frères et n’a pas daigné m’octroyer ne serait-ce un seul petit atout pour moi. Le moment idéal pour le passage à l’acte était pour mes frères. Et pour moi, bien que des millions de petits gigotons sautillaient pour arriver au but, c’est moi qui ai réussi à les devancer. Je leur aurais, volontiers laissé ma place, mais il y en a qui réfléchissent pour moi. Je devais exister pour agresser mon regard et ceux des autres, quelle est cette logique, je me le demande. Mon père n’avait-il pas pu attendre quelques secondes, minutes ou une autre journée pour passer à l’acte, il y aurait alors une autre semence et je n’existerais surement pas. Pourquoi engendrer un fils qui pourrait te ressembler, alors que tu es laid, pourquoi cet égoïsme, Je te hais papa.

è suivre

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La beauté c'est très subjectif et le regard des autres dépend très souvent d'une question de confiance en soi, mais la laideur est objective, c’est ce qu’on dit. Mais la mienne est tellement objective qu’elle crève les yeux de l’autre.

On dit aussi que ce qui compte par-dessus tout c'est le charme. Le charme dépasse largement la question du physique, tu auras beau avoir un corps et un visage parfais si tu n'as pas de charme et bien tu passeras pour quelqu'un de banal. Et le charme ça se dégage d'une multitude façons. Par un caractère, une attitude, une intelligence, une allure, une confiance, des convictions, une sensibilité...bref on a tous un petit quelque chose qui aura son charme pour quelqu'un ! mais pour ma part j’ai beau chercher ce charme, et j’ai trouvé qu’il ne peut en aucune manière faire bon ménage avec mon corps. Mais j’ai besoin de croire en cette subjectivité, c’est le seul lien qui m’unit à ce monde affreux.

Nous demeurions à Alger dans une location d’un F3, une chambre minuscule pour nous trois et une autre, aussi petite pour ce couple antinomique, mais heureux. Je suis le cadet de deux ans de moins, mon père avait surement vu qu’il pouvait engendrer des beaux enfants, il a fait, par conséquent un autre essai, et laisser-moi vous dire que ce fut un fiasco. Mais, il m’aimait et ma mère encore plus, je me demandais pourquoi, mais on dit que ‘’tout scarabée pour sa mère est une gazelle’’. Moi je dirais que le scarabée est plus beau que moi, au moins sa carapace est brillante et tous les scarabées se ressemblent, aucune différence entre eux. Tu ne trouveras surement pas un seul scarabée plus beau qu’un autre, ou plus intelligent.

à suivre

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Mon père avait établi une discipline qui consistait à nous réunir autour de la table pendant les diners et le petit déjeuné. Il créait une bonne ambiance et nous racontait des anecdotes qui nous faisait rire. Sa verve et son physique aidant, nous portaient dans un milieu théâtral et comique en même temps. Pas un jour il ne ratait le diner et réglé comme une montre suisse, il rentrait p à chaque fois à six -heure de l’après-midi. Mais ce jour là, il avait dépassé le moment habituel, ma mère était devenue nerveuse, elle ne trouvait plus ses repères. Elle entrait à la cuisine puis ressortait, agacée, elle entortillait ses mains, puis allait dans sa chambre pour se mettre au lit et moins d’une minute après, elle se lève. Je n’ai jamais vu ma mère aussi nerveuse, quelques moments après elle appela mon frère Omar, le plus débrouillard de nous trois, lui demandant d’aller chercher son père. Il est revenu deux heures après sans qu’il ne le retrouve.

-         Il est sorti à cinq-heure comme toujours pour repartir avec son ami Hocine.

L’employeur un homme d’habitude jovial, était touché par cette question et l’inquiétude avait marqué son visage, mais il continua dans sa lancée. En entendant le prénom de Hocine, ma mère avait rechigné, presque tressauté, puis une grimace de dédain avait déformé un peu ce joli visage.

-         Va voir du côté du ‘’café les amis’’ nous avons l’habitude de fréquenter ce bistro, tu connais j’espère.

-         Oui oncle Hamid.

Ce n’est pas son oncle, mais par politesse, un jeune homme doit appeler une personne âgée par ‘’oncle’’

-         Oui ils étaient ici, ils ont pris tous les deux un café, ils ont discuté entres eux avec animosité je dois dire, puis ils ont quitté les lieux, chacun de son côté.

Le cafetier était catégorique, on dirait qu’il les avait espionnés.

Cette histoire, effraya ma mère, elle sentit un mauvais présage et demanda alors à Omar de l’accompagner vers le commissariat du coin. Après une déposition au niveau de la réception, l’agent leur avait demandé d’attendre 48 heures pour ouvrir une enquête, il fallait donc revenir deux jours après. Mais ma mère trop inquiète ne voulait point se plier à cette injonction

à suivre

@diffnJ'aime bien ton observation des personnes. 

"Aimer les gens", s'intéresser à eux n'est pas donné à tout le monde... Merci.

il y a 15 minutes, Blaquière a dit :

@diffnJ'aime bien ton observation des personnes. 

"Aimer les gens", s'intéresser à eux n'est pas donné à tout le monde... Merci.

de toute façon j'aime bien Black

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-         Je dois voir le commissaire, avait rétorqué ma mère, j’ai un secret grave à lui raconter.

Elle entra seule au bureau du commissaire pour ressortit quelques minutes après accompagnait du chef du commissariat.

Hocine l’ami de mon père était un voisin, son mariage est un naufrage, il ne se passe pas un jour sans que le couple ne se déchire physiquement et moralement par des insultes, injures, des coups, entre autres étaient légions dans cet appartement.

Ma mère lui avait montré, la porte de ce couple, qui était à la droite de la nôtre, pour rejoindre ensuite son logis. Avant que le commissaire ne frappe sur la porte une femme aux cheveux hirsute apparu par l’entrebâillement de la porte, on aurait dit, qu’elle avait touché un câble de haute intensité qui a fait dresser ses cheveux sur sa tête. Les voisins prétendent qu’elle passe sa journée sur le balcon, les espionnant  et c’est pourquoi elle avait collé ses yeux dans l’œil de bœuf de la porte d’entrée, l'ouvrit  avant que l’agent ne fasse le geste de tambouriner sur la porte une seule fois . p^lus rapide que son ombre se disait le commissaire.

-         C’est bien l’appartement de monsieur Hocine ?

La femme répondit par l’affirmatif en hochant sa tête de haut vers le bas, ce qui fit bouger un tout petit peu sa chevelure hirsute, à l’image d’un vent violent qui ne fait bouger que difficilement une broussaille d’un maquis. Pas un grain de charme ou de beauté sur ce visage, un long visage quelconque qu’on oubli de suite. Sur ordre de l’agent, elle interpela joyeusement son mari pour lui annoncer la bonne nouvelle, peut-être qu’elle va se débarrasser de cet énergumène qui lui pourrit la vie. son incarcération lui serait une délectation, elle le haïssait à en mourir.  

à suivre

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Mr Hocine je présume, je peux entrer ?

-         Oui, bien sûr monsieur le commissaire.

Le commissaire s’est installé dans un salon, aménagé en un space-home au détriment d’une chambre et du hall d’entrée, La cuisine est délimitée uniquement par un comptoir recouvert de marbre dénommé galaxie. Contrairement aux mœurs des algériens qui refusaient qu’un étranger voit leurs femmes, la dame de Hocine, sans aucune gêne, de derrière le comptoir, s’affairait à préparer le thé et Le commissaire ne s’en n’est point embarrassé, il posait, tout haut, des questions à son hôte, ce qui plaisait à cette femme curieuse  qui de son coin, elle se délectait tellement de ce débat, que son visage rayonnait, on aurait dit qu'elle avait retrouvé une jouissance perdue.

-         Je sais que tu connais ton voisin Ali et tu es son ami, et c’est pourquoi je dois te poser quelques questions.

Hocine paraissait étonner et c’est pourquoi il lui a demandé la raison de son déplacement pour lui poser des questions, alors que la femme de son voisin se trouvait juste à une dizaine de mètres de chez lui. 

-         Ton ami Ali, a disparu et sa femme est inquiète. Je te demande  de me préciser le dernier moment de ta rencontre avec lui, vu que vous êtes des amis et qu’après cinq-heure, en général, il vous accompagne pour rejoindre son domicile. 

Le voisin avait poussé un ouf de soulagement, il croyait peut-être que le policier était venu pour un mobile plus grave, il répondit alors tout décontracté à la question du commissaire.

-         Nous sommes sortis à cinq-heure, tout de suite après chacun a pris son chemin.

La femme de Hocine, est apparue pour leur servir du thé et repartir ensuite, vers son mirador pour continuer à se délecter de cette conversation qui l’amusait.

à suivre

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-         Prenez votre thé tant qu’il est chaud. Monsieur

-         Merci madame, avait répondu le commissaire.

Si sa femme lui avait servi un thé bien chaud, se disait le commissaire, lui il était en train de lui servir un grossier mensonge bien froid et qui n’augure rien de bon.

Mais il ne voulait pas pour le moment le contredire, il devait en premier lieu rencontrer le serveur du ‘’café les amis’’, pour s’assurer de ce mensonge. Cette affaire devient sérieuse et il se pourrait qu’elle cache des réalités graves.

-          C’est tout dès que vous avez passé la porte de l’entreprise, chacun est parti de son côté et pourtant vous êtes des amis et des voisins de longue date.

-         lui il a pris le bus, alors que moi, je devais attendre un ami, qui d'ailleurs, n’était pas venu.  

Le commissaire s’est levé, pour répartir, mais avant que son hôte, ne lui ouvre la porte, il lui avait demandé son numéro de téléphone.

-           ok, je dois m’en aller, je peux avoir votre numéro de téléphone ? on ne sait jamais, il se pourrait qu’on ait besoin de toi, et par la même occasion,   je voudrais  le nom, adresse et numéro de téléphone de ton ami je dois tout vérifier.

Toutes les coordonnées de son ami avaient été divulguées au commissaire et ce dernier les avait notées sur un petit calepin. Mais alors que Hocine s’apprêtait à rentrer dans sa chambre, le commissaire se retourna, juste avant de sortir, il avait passé son visage entre l’entrebâillement de la porte, et tenta quelques dernières questions.

-          A quelle heure as-tu pris le bus pour rentrer chez toi ?

-         Presque une demi- heure après avoir attendu mon ami, répondit Hocine

-         Et tu es revenu directement chez toi.

-         Oui monsieur avait répondu Hocine, dont le visage commençait à s'assombrir.

Le commissaire avait senti ce trouble et c’est pourquoi après avoir quitté le logis, il avait rebroussé chemin pour sonder la femme de Hocine qui avait, elle-même  ouvert la porte et pour le bonheur du commissaire, son mari avait rejoint sa chambre.  

-         A quelle heure est entré ton mari aujourd’hui ?

-         A sept-heure trente minutes exactement et ce n’est pas de ses habitudes, avait répondu la femme qui paraissait intriguée.

-         Tu es certaine ?  Avait demandé le commissaire.

-         Oui un grand cadran est incrusté dans un mur de la cuisine et je vérifie tous les jours ce genre de chose, d’ailleurs, je le vois avant qu’il n’arrive à l’appartement.

à suivre

Salut l'artiste ! Ta façon déconcertante de raconter des histoires est unique. Malgré le changement de pseudo, c'est toujours toi que l'on reconnaît instantanément dans la manière de décrire la psychologie humaine. C'est ta marque, ta signature de conteur. Et c'est très fort !

il y a 9 minutes, tison2feu a dit :

Salut l'artiste ! Ta façon déconcertante de raconter des histoires est unique. Malgré le changement de pseudo, c'est toujours toi que l'on reconnaît instantanément dans la manière de décrire la psychologie humaine. C'est ta marque, ta signature de conteur. Et c'est très fort !

trop fort le linguiste, je suis trop loin d'être un artiste surtout devant un feu qui peut tout consumer et dévorer. j'espère que tu ne vas pas dévoiler le secret

il y a 7 minutes, diffn a dit :

trop fort le linguiste, je suis trop loin d'être un artiste surtout devant un feu qui peut tout consumer et dévorer. j'espère que tu ne vas pas dévoiler le secret

Bien sûr que non. Respect à toi !

à l’instant, diffn a dit :

trop fort le linguiste, je suis trop loin d'être un artiste surtout devant un feu qui peut tout consumer et dévorer. j'espère que tu ne vas pas dévoiler le secret

un beau trophée que je mettrai sur ma table de nuit

à l’instant, tison2feu a dit :

Bien sûr que non. Respect à toi !

merci tyson et les miens aussi traverseront la Méditerranée pour arriver à bon port