“J’ai décidé de faire un bébé toute seule”

Il y a 22 heures, Danoketian a dit :

elles travaillaient beaucoup aussi mais n'étaient pas forcément rémunéré

Autrefois (dans un passé pas si lointain), nombreuses étaient les épouses qui travaillaient dans l'entreprise de leur mari où elles tenaient par exemple la comptabilité mais le mari ne versait pas de salaire à sa femme et si le couple se séparait, la femme se retrouvait sans rien et sans bulletins de salaire alors qu'elle avait travaillé très longtemps.

Les femmes d'aujourd'hui ne se font pas avoir; si elles travaillent pour leur mari, elles exigent un salaire et des fiches de paie, au cas où.

il y a 1 minute, Passiflore a dit :

 

Autrefois (dans un passé pas si lointain), nombreuses étaient les épouses qui travaillaient dans l'entreprise de leur mari où elles tenaient par exemple la comptabilité mais le mari ne versait pas de salaire à sa femme et si le couple se séparait, la femme se retrouvait sans rien et sans bulletins de salaire alors qu'elle avait travaillé très longtemps.

 

Les femmes d'aujourd'hui ne se font pas avoir; si elles travaillent pour leur mari, elles exigent un salaire et des fiches de paie, au cas où.

Oui voilà. 

C'était contraignant surtout quand elles n'étaient pas bien dans leur couple. Par contre quand elles étaient bien dans leur couple, ça ne posait pas de problème vu que l'argent servait pour le couple et les enfants. 

Ce qui n'empêche pas qu'elles ont encore des problèmes maintenant vu le nombres de séparation et du coup de la souffrance de la solitude comme pour les hommes. 

Ce n'est pas rare de voir des femmes se plaindre de la solitude ou l'incertitude de la pérennité quand elles commencent une relation. 

Du coup elles ont gagné de l'indépendance par le fait d'avoir leur propre argent mais par contre, elles ont plus de mal à pérenniser le couple sans compter les difficultés d'élever leurs enfants seul ou en garde alternée. 

Il y a 7 heures, Morfou a dit :

Je parle plus discrimination...si, des femmes ont été extrêmement malheureuses...

Elles ont accepté leur sort puisque de toutes façons, elles n'avaient pas le choix!

https://www.vie-publique.fr/eclairage/19590-chronologie-des-droits-des-femmes

Quand j'ai commencé à travailler en 67 mon père avait le droit de toucher mon salaire, la majorité n'étant qu'à 21ans... il m'a prévenu qu'il le ferait, j'ai répondu que je démissionnerais....je ne pouvais même pas prendre un logement sans son accord et sa signature...Comme il avait besoin de moi, il n'a pas pris mon salaire!

C'est mon beau-frère qui m'a aidé à ouvrir un compte en banque...sinon mon père se serait servi!

Les pères avaient le droit d'abandonner leurs enfants sans le consentement de leur mère...(Rousseau, le grand humaniste a abandonné les 5 siens estimant que c'était à l'Etat de les élever...son fameux contrat social de l'homme des Lumières)!

pareil pour les garçons ? Si ils n'étaient pas majeurs ils devaient donner leur salaire aux parents ?

il y a 20 minutes, Danoketian a dit :

sans compter les difficultés d'élever leurs enfants seul ou en garde alternée. 

Il me semble qu'il y a un sujet dans lequel, les femmes veulent faire des bébés toutes seules... plus le droit de se plaindre, si ?

il y a 1 minute, Plouj a dit :

Il me semble qu'il y a un sujet dans lequel, les femmes veulent faire des bébés toutes seules... plus le droit de se plaindre, si ?

 

Bah même si elles ont des bébés toute seule, ça ne les empêchera pas de se plaindre. 

Il y a 2 heures, guernica a dit :

pareil pour les garçons ? Si ils n'étaient pas majeurs ils devaient donner leur salaire aux parents ?

Je ne saurais l'affirmer...mais les parents en avaient le droit comme pour les filles!

Mais toutes les familles n'élevaient pas les garçons et filles avec les mêmes droits et devoirs...

Il y a 3 heures, Passiflore a dit :

 

Autrefois (dans un passé pas si lointain), nombreuses étaient les épouses qui travaillaient dans l'entreprise de leur mari où elles tenaient par exemple la comptabilité mais le mari ne versait pas de salaire à sa femme et si le couple se séparait, la femme se retrouvait sans rien et sans bulletins de salaire alors qu'elle avait travaillé très longtemps.

 

Les femmes d'aujourd'hui ne se font pas avoir; si elles travaillent pour leur mari, elles exigent un salaire et des fiches de paie, au cas où.

Il y a eu à une époque l'obligation de cotiser pour le conjoint collaborateur...ma ptite soeur et son mari ont cotisé...(agence immobilière)...heureusement, sinon sa retraite aurait été amputée d'années manquantes...elle n'a quand même pris celle-ci à 63 ans plutôt que 62 en 2020 pour toucher 100€ de plus par mois...

Ca existait déjà avant, mais tout le monde ne voulait pas cotiser...comme les personnes qui faisaient les marchés...

Il y a 14 heures, Plouj a dit :

Ça se détecte à l'avance sur beaucoup de handicaps aujourd'hui, il y a alors une décision à prendre !

ne crois pas cela, Plouj, je te parle là des cas de bébés mis en souffrance durant un accouchement... qui se passe mal. 

Le 06/02/2023 à 20:14, guernica a dit :

pareil pour les garçons ? Si ils n'étaient pas majeurs ils devaient donner leur salaire aux parents ?

oui ça tombait sur le compte des parents. Pour les majeurs enrôlés dans l'armée, aussi il me semble. Mon père a fait la guerre d'Indochine, et l'un de ses frères aussi. En rentrant chez eux, chez leurs parents donc, ils ont découvert qu'ils n'avaient pas un sou de côté, les parents avaient tout dépensé pour leurs autres frères et soeurs . Je ne pense pas que ce soit là une exception.

Il y a 14 heures, Irisbleu a dit :

oui ça tombait sur le compte des parents. Pour les majeurs enrôlés dans l'armée, aussi il me semble. Mon père a fait la guerre d'Indochine, et l'un de ses frères aussi. En rentrant chez eux, chez leurs parents donc, ils ont découvert qu'ils n'avaient pas un sou de côté, les parents avaient tout dépensé pour leurs autres frères et soeurs . Je ne pense pas que ce soit là une exception.

Dans bien des familles d'accueil, l'argent destiné aux enfants confiés s'envolait de la même façon.

Le 06/02/2023 à 20:14, guernica a dit :

pareil pour les garçons ? Si ils n'étaient pas majeurs ils devaient donner leur salaire aux parents ?

Ça dépendait des familles. Dans nôtre famille, fille et garçons ne redonnaient pas leur salaire au parents. 

Il y a 15 heures, Irisbleu a dit :

oui ça tombait sur le compte des parents. Pour les majeurs enrôlés dans l'armée, aussi il me semble. Mon père a fait la guerre d'Indochine, et l'un de ses frères aussi. En rentrant chez eux, chez leurs parents donc, ils ont découvert qu'ils n'avaient pas un sou de côté, les parents avaient tout dépensé pour leurs autres frères et soeurs . Je ne pense pas que ce soit là une exception.

Je ne crois pas ..ils touchaient de l'argent sur place...comment auraient-ils pu survivre sans fric? ils n'étaient pas en villégiature...

Il y a 2 heures, Morfou a dit :

Je ne crois pas ..ils touchaient de l'argent sur place...comment auraient-ils pu survivre sans fric? ils n'étaient pas en villégiature...

Mon père est décédé, je ne peux plus l'interroger là dessus. Je suppose qu'ils prenaient la part nécessaire pour eux de leur solde , sur place, et laissaient le reste sur le compte, compte sur lequel les parents avaient accès. Ce qu'il s'est passé pour mon père et mon oncle, je t'assure que c'est la vérité. Mes autres oncles et tantes disaient "on le savait mais que vouliez-vous qu'on dise" quand eux étaient, jeunes, encore sous le toit de leurs parents, mes grands-parents que je n'ai pas connus. Surtout qu'ils en profitaient. Et je ne suis pas la seule à témoigner de cette habitude (ou coutume ? les parents prenaient le salaire de leurs enfants qui travaillaient mais habitaient encore sous leur toit, ou du moins une grosse part , en leur laissant de l'argent de poche, disons ). Peut-être que ça changeait selon les régions ?

Le 04/02/2023 à 17:56, LAKLAS a dit :

Je me demande ce qui se passerai si au cours de la grossesse de la mère porteuse les examens médicaux montrent que l'enfant aura un lourd handicap à la naissance... Que prévoit le contrat ?  L'avortement systématique pour défaut de fabrication ?? 

Il y a eu un cas de ce genre aux USA, ou la pratique des meres porteuses est legale et renumeree. Les nouveaux "parents" attendaient leur "enfant" et surprise, la mere porteus a accouche de jumeaux!

Je n'ai jamais su la fin de l'histoire mais les "parents" maintenaient qu'ils avaient "passe commande" pour un seul.

Le 06/02/2023 à 22:59, Morfou a dit :

Je ne saurais l'affirmer...mais les parents en avaient le droit comme pour les filles!

Mais toutes les familles n'élevaient pas les garçons et filles avec les mêmes droits et devoirs...

 

Quand ma mère a commencé à travailler, elle n'avait aucun droit sur son salaire, c'est mon père qui gérait l'argent et qui avait un chéquier à son nom. Or, elle gagnait plus que lui... 

Le 04/02/2023 à 12:21, Passiflore a dit :

 

Les femmes faisant un tel choix pensent avant toute autre considération à elles-mêmes et non à ce qu'en pensera leur futur enfant et s'il souffrira de l'absence d'un père.

Peut-être qu’idéalement, la "vraie famille" devrait comporter un père et une mère; cependant, bien d'autres facteurs tout aussi importants entrent en jeu. Par exemple, avoir les moyens de les élever décemment; être en relativement bonne santé, en sécurité, ne pas mettre au monde un gosse anormal si on peut l’éviter, etc. 

Il vaut tellement mieux un gosse heureux sans père, qu'un gosse malheureux avec.

Je parlais ailleurs d'eugénisme par le choix que les femmes font des hommes. Et cela a effectivement débuter très tôt après la libération sexuelle des années 70.

Les femmes désirent s'affranchir des contraintes d'espèces qui fait que beaucoup de 'mâles' se reproduisaient dans le cadre du patriarcat, par l'obligation que la société, pour tenir ensemble, en cohésion face à une nature hostile, faisait aux 'femelles' de s’apparier.

Cette contrainte levée, l'eugénisme peut se ré-introduire par le choix du géniteur (qui ne sera pas le pourvoyeur alimentaire et éducatif), mais plus encore avec la PMA, par le choix d'un géniteur unique potentiel (choisit sur des critères essentiellement physiques et génétiques) pour des centaines, voire des milliers de femmes. A vrai dire, il serait même possible et désirable pour de plus en plus de femmes d'écarter des centaines de millions d'hommes indésirables pour n'avoir de progénitures que de quelques 'étalons'.

Il y a 5 heures, Danoketian a dit :

Ça dépendait des familles. Dans nôtre famille, fille et garçons ne redonnaient pas leur salaire au parents. 

Jamais ma mère ne m'a demandé de lui donner une partie de mon salaire quand je vivais avec elle et jamais je ne l'ai fait avec mes enfants.

De lui-même, mon fils aîné me donnait assez régulièrement quelques tickets restaurant pour participer aux courses et remplissait de temps en temps le réservoir d'essence de la voiture que parfois on lui prêtait.

il y a 1 minute, Passiflore a dit :

 

Jamais ma mère ne m'a demandé de lui donner une partie de mon salaire quand je vivais avec elle et jamais je ne l'ai fait avec mes enfants.

De lui-même, mon fils aîné me donnait assez régulièrement quelques tickets restaurant pour participer aux courses et remplissait de temps en temps le réservoir d'essence de la voiture que parfois on lui prêtait.

Idem, mes parents ne m'ont jamais demandé. 

Pour mes enfants, j'ai payé leur permis aux trois et des cours particuliers pour deux qui avaient besoin d'aide dont je ne pouvais faire ayant fait très peu d'études. Mais c'est parceque je pouvais me permettre financièrement contrairement à mes parents qui avaient des moyens trop modeste mais m'ont apporté l'essentiel. 

il y a 46 minutes, Easle a dit :

Je parlais ailleurs d'eugénisme par le choix que les femmes font des hommes. Et cela a effectivement débuter très tôt après la libération sexuelle des années 70.

Cette contrainte levée, l'eugénisme peut se ré-introduire par le choix du géniteur (qui ne sera pas le pourvoyeur alimentaire et éducatif), mais plus encore avec la PMA, par le choix d'un géniteur unique potentiel (choisit sur des critères essentiellement physiques et génétiques) pour des centaines, voire des milliers de femmes. A vrai dire, il serait même possible et désirable pour de plus en plus de femmes d'écarter des centaines de millions d'hommes indésirables pour n'avoir de progénitures que de quelques 'étalons'.

S'il n'y avait plus que quelques étalons pour toutes les femmes, ça augmenterait les risques de consanguinité.