Le virtuel , le futur de l'humain

Sommes nous condamner à vivre virtuellement .

Bonjour Mein Schicksal,

C'est déjà le cas, encore à un moindre niveau. Cela va s'accélérer.

J'ai reçu un couple d'amis la semaine dernière avec leur fils, il est resté cloîtré dans sa chambre avec son smartphone en partant je lui ait demandé si il avait apprécié son séjour. Il m'a montré son smartphone et a souri...pas ses parents.

La déshumanisation est en route.

Bonne journée Monsieur 

    Quelle vie passionnante allons nous avoir ... Heureusement pour ce qui me concerne ça devrait être râpé d' ici quelques temps . Ça ne me chagrine pas plus que ça .Même si chacun voudrait se prolonger du plus possible . 

il y a 27 minutes, Mein Schicksal a dit :

Sommes nous condamner à vivre virtuellement .

Bonjour Monsieur Mein Schricksal , 

C'est un simple avis: pourquoi ne pas faire du monde virtuelle un secteur dominant de la simulation d'impact environnemental et sociétal ? Voire de la remédiation cognitive dans le monde de la psychiatrie pour adolescent ou de la neurologie comportementale pour faire de la déradicalisation en prison entre autres? Je suis pas un scientifique. Mais pourquoi pas ?     

Je pense qu'il y aura toujours des réfractaires au virtuel, des personnes qui rechercheront le vrai contact avec leurs semblables.

Je n'aime pas la pétanque mais quand je vois des joueurs toutes générations confondues jouant et riant ensemble pendant des heures, je trouve cela génial et je me dis que tout n'est pas foutu.

il y a une heure, Mein Schicksal a dit :

Sommes nous condamner à vivre virtuellement .

C'est pas le futur, ça existe déjà. Des tas de gens y passent leur vie, et y consacrent de grosses sommes.

Il y a 3 heures, Mein Schicksal a dit :

Sommes nous condamner à vivre virtuellement .

non, car le virtuel fait partie des technologies de notre temps, mais ça ne remplace pas la sociale. 

Dans une société individualiste, le virtuel comble le déficit en relations sociales.
C’est logique et triste mais pour l’instant, le virtuel a de beaux jours devant lui.

Certain(e)s peut-être.

Il y a 3 heures, Ohissa a dit :

Bonjour Mein Schicksal,

C'est déjà le cas, encore à un moindre niveau. Cela va s'accélérer.

J'ai reçu un couple d'amis la semaine dernière avec leur fils, il est resté cloîtré dans sa chambre avec son smartphone en partant je lui ait demandé si il avait apprécié son séjour. Il m'a montré son smartphone et a souri...pas ses parents.

La déshumanisation est en route.

Bonne journée Monsieur 

Le fils a probablement un problème de sociabilté si il n'a pas d'amis. Mais si il était en vacances avec ses parents faut pas trop s'étonner qu'il s'emmerde dans un endroit où il n'a pas ses amis.

Il y a 9 heures, Mein Schicksal a dit :

Sommes nous condamner à vivre virtuellement .

Pas tellement, non. Quand les bombes nucléaires auront eu raison de l’Europe, chercher sa pitance parmi les radiations sera ce qui se rapprochera le plus d’une anti-virtualité maximale… ou, pour le dire autrement, de la réalité la moins imaginative qui soit.

 Dans le monde virtuel, les clics remplacent les briques, et les liens remplacent les bureaux.   .

Il y a 17 heures, Mein Schicksal a dit :

Sommes nous condamner à vivre virtuellement .

C'est quoi, vivre virtuellement? Ne plus avoir besoin de manger, de boire, de dormir?

Il y a 14 heures, Elisa* a dit :

Dans une société individualiste, le virtuel comble le déficit en relations sociales.
C’est logique et triste mais pour l’instant, le virtuel a de beaux jours devant lui.

bonjour Elisa! je crains fort que cette habitude ne se perde assez rapidement, eh oui, vivre par "écran interposé" veut dire que tout est stable et certain... or c'est tout le contraire qui arrive... haut les coeurs!  il ne faut pas baisser les bras! 

il y a une heure, jacky29 a dit :

bonjour Elisa! je crains fort que cette habitude ne se perde assez rapidement, eh oui, vivre par "écran interposé" veut dire que tout est stable et certain... or c'est tout le contraire qui arrive... haut les coeurs!  il ne faut pas baisser les bras! 

Certain(e)s n'ont pas de vie sociale, ne s'en portent pas si mal et le monde virtuel est un refuge qui leur convient. Pourvu que ça dure...

il y a 7 minutes, jimetpam a dit :

Certain(e)s n'ont pas de vie sociale, ne s'en portent pas si mal et le monde virtuel est un refuge qui leur convient. Pourvu que ça dure...

certain et certaine n'ont guère de vie du tout, Jim... il y a des tas d'associations qui peuvent procurer le contact nécessaire... la mienne est un club de tir sportif sans compter les autres, bref, je n'ai, pour ma part, pas une heure de perdue. je ne sais ce qu'il va advenir mais je subodore que le futur sera plus "tactile" que ne le n'est notre présent.  

Il y a 10 heures, Tequila Moor a dit :

Pas tellement, non. Quand les bombes nucléaires auront eu raison de l’Europe, chercher sa pitance parmi les radiations sera ce qui se rapprochera le plus d’une anti-virtualité maximale… ou, pour le dire autrement, de la réalité la moins imaginative qui soit.

oh Téquila, ne me fais pas rêver, stp! je sens que cela ne restera qu'un rêve! 

il y a 5 minutes, jacky29 a dit :

certain et certaine n'ont guère de vie du tout, Jim... il y a des tas d'associations qui peuvent procurer le contact nécessaire... la mienne est un club de tir sportif sans compter les autres, bref, je n'ai, pour ma part, pas une heure de perdue. je ne sais ce qu'il va advenir mais je subodore que le futur sera plus "tactile" que n'est votre présent.  

Je pense aussi que ceux/celles qui ont besoin de lien social quotidien vont s'emmerder sans bénévolat ou autres assos. Mais tout le monde n'a pas besoin de lien social quotidien. Un lien social hebdomadaire peut leur suffire. Mais même dans ce cas je reconnais qu'on ne parle plus de "virtualité totale".

Pour ma part je détesterai "de ne pas avoir du temps pour moi seul".

Il y a 21 heures, Mein Schicksal a dit :

Sommes nous condamner à vivre virtuellement.

Il semble évident que le virtuel prendra de plus en plus de place. Il nous faudra donc être vigilants afin de savoir s'en extraire, s'y soustraire, pour privilégier le réel; veiller à ce que l'un ne soit pas au détriment de l'autre et ça risque d'être compliqué car nombreux sont ceux étant inconscients du danger, n'y voyant pour le moment que des avantages.

Il y a 2 heures, jimetpam a dit :

Certain(e)s n'ont pas de vie sociale, ne s'en portent pas si mal et le monde virtuel est un refuge qui leur convient. Pourvu que ça dure...

Ils ne perçoivent pas le danger et risquent de le payer très cher s'ils ne prennent pas conscience de la vacuité d'une vie essentiellement virtuelle.

Il y a 12 heures, Tequila Moor a dit :

Quand les bombes nucléaires auront eu raison de l’Europe, chercher sa pitance parmi les radiations sera ce qui se rapprochera le plus d’une anti-virtualité maximale… ou, pour le dire autrement, de la réalité la moins imaginative qui soit.

Par ce chaud dimanche tu nous vends du rêve, là !  

Ceci dit, ce n'est pas faux; la réalité risque bien de nous ramener plus vite qu'on ne pense à la dure réalité...

il y a 8 minutes, Passiflore a dit :

 

Il semble évident que le virtuel prendra de plus en plus de place. Il nous faudra donc être vigilants afin de savoir s'en extraire, s'y soustraire, pour privilégier le réel; veiller à ce que l'un ne soit pas au détriment de l'autre et ça risque d'être compliqué car nombreux sont ceux étant inconscients du danger, n'y voyant pour le moment que des avantages.

 

Ils ne perçoivent pas le danger et risquent de le payer très cher s'ils ne prennent pas conscience de la vacuité d'une vie essentiellement virtuelle.

Jeunes c'est sûr. A partir d'un cetain âge bcp moins car y en a si ils laissent tomber le virtuel leur vie sciale serait probablement tjs vide. C'est triste mais c'est ainsi.

Il y a 4 heures, chanou 34 a dit :

C'est quoi, vivre virtuellement? Ne plus avoir besoin de manger, de boire, de dormir?

Y'en a qui prennent le moins de temps possible pour satisfaire ces besoins vitaux-là, mettant en danger leur santé tant physique que mentale, dangereusement accros à leur "vie" virtuelle n'étant en fait ni plus ni moins que de la non-vie mais hélas, ils n'en ont pas conscience...