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NUPES et retraite

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metal guru

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Membre, Posté(e)
pluc89 Membre 11 351 messages
Maitre des forums‚
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il y a 2 minutes, petirobert a dit :

Donc tous ces chiffres sont faux 

Certainement, mais plus ou moins selon les pays et leur façon de faire.

Et puisque tous ces chiffres sont faux, selon vous, vous ne pouvez pas vous appuyer sur eux pour affirmer que la France est dans les plus mauvais !;))

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Membre, 74ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Le 09/10/2022 à 11:45, Morfou a dit :

A quel prix? et pourquoi en définitive?

Votre lien est pourri...ça juxtapose les textes!

Etat d'esprit de ceux d'aujourd'hui ...

Au prix aujourd'hui d'en profiter Allégrement.........mais surtout Hypocritement !!

PS/ De quel état d'esprit pense tu?

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Membre, 69ans Posté(e)
petirobert Membre 6 975 messages
Maitre des forums‚ 69ans‚
Posté(e)
il y a une heure, pluc89 a dit :

Certainement, mais plus ou moins selon les pays et leur façon de faire.

Et puisque tous ces chiffres sont faux, selon vous, vous ne pouvez pas vous appuyer sur eux pour affirmer que la France est dans les plus mauvais !;))

si l on tient compte que tout le monde ment, nous  avons les plus mauvais chiffres  européens et nous mentons nous aussi . Il suffit de se renseigner un peu dans les commissariats ,dans les affaires élucidées on compte les consommateurs de cannabis, c est certains que cela fait remonter un peu les chiffres  pour les affaires élucidées .  

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Membre, Posté(e)
pluc89 Membre 11 351 messages
Maitre des forums‚
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il y a 50 minutes, petirobert a dit :

nous mentons nous aussi .

La question est : plus ou moins que d'autres ?

il y a 51 minutes, petirobert a dit :

Il suffit de se renseigner un peu dans les commissariats

Comment se renseigner dans les commissariats hongrois, sachant que la liberté d'expression n'est pas la tasse de thé de leur dirigeant ?

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Membre, Posté(e)
zebusoif Membre 17 126 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 17 heures, Scrongneugneu a dit :

Franchement tu ne dois pas être bien dans ta peau.

On a de la chance de vivre dans un pays qui s'appelle "la France" où, même si c'est difficile pour certains, personne ne meure de faim grâce à notre système social protecteur. 

Bizarre, cette tendance que tu as à juger de la personne plutôt que de ses arguments. Passons.

Je pose une question à laquelle tu ne réponds ds pas du tout, j’espère que tu le feras cette fois. Les retraités qui ont cotisé à un système par capitalisation, d’où vient leur pension de retraite ? Le fond de pension auquel ils ont cotisé a investi, et maintenant ces investissements rapportent à au fond de quoi rémunérer ses clients retraités.

Ces investissements ont été fait dans plein d’entreprises, et maintenant ces entreprises rémunèrent les fonds en tant qu’actionnaires. Cet argent avec lequel les entreprises rémunèrent les fonds de pension, provient bien du travail de ses salaries, c’est une part de ses revenus que l’entreprise ne peut ni investir, ni utiliser pour rémunérer ses salarier. Ça ressemble donc un peu à un système par répartition sauf que :

ca ne profite pas à tout les retraités, seulement ceux qui ont pu cotiser,

ca passe dans les mains de loups qui sont à la City ou Wall Street et à qui il est difficile de faire confiance.

 

C’est de mon point de vue pas du tout idéal. 

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Membre, L'Économie, C'est Assez Clair !, Posté(e)
Docteur CAC Membre 3 346 messages
L'Économie, C'est Assez Clair !,
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Le "traitement" de la retraite c'est l'exemple typique : plus personne ne pense le temps long... On ne pense plus le temps long au niveau politique alors on "réforme" la retraite techniquement pour équilibrer des comptes pour 5-10 ans.

Au dela de la NUPES c'est aussi prendre le temps de réfléchir car faire travailler les gens jusque  65-70 ans, ce n'est pas anodin.

Si les jeunes ont aussi un autre rapport au travail, il ne faut pas s'en étonner : faire des études pour subir la modération salariale et travailler plus longtemps... Meme jeune, les gens font des arbitrages et priorisent.

L'"age pivot" devrait aussi se comprendre qu'a partir de 60 ans, travailler devient quelque soit le travail plus difficile, à 62 ans, alors 65,67 et 70 ans...

Macron laisse penser qu'il n'y a qu'une facon d'organiser le système de retraite, la capitalisation ce n'est pas  la fatalité, financiariser et privatiser tout le système de retraite, ca va surtout remplir les poches de quelque un et la 1ere crise systémique vos économies partiront en fumée.

Mais au cela de cela, va falloir réfléchir encore plus loin : 

Imposer le mi-temps pré retraite ?

clarifier le cumul emploi retraite, défiscalisé une partie pour compenser la perte entre le montant de la retraite et le salaire ?

Va falloir se former par soi meme pour évoluer, changer de métier, organiser sa carrière pour éviter de rester exposer a des conditions de travail difficile pendant toute sa carrière.

 

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Membre, 75ans Posté(e)
Scrongneugneu Membre 5 886 messages
Forumeur vétéran‚ 75ans‚
Posté(e)
Il y a 6 heures, zebusoif a dit :

Bizarre, cette tendance que tu as à juger de la personne plutôt que de ses arguments. Passons.

Je pose une question à laquelle tu ne réponds ds pas du tout, j’espère que tu le feras cette fois. Les retraités qui ont cotisé à un système par capitalisation, d’où vient leur pension de retraite ? Le fond de pension auquel ils ont cotisé a investi, et maintenant ces investissements rapportent à au fond de quoi rémunérer ses clients retraités.

Ces investissements ont été fait dans plein d’entreprises, et maintenant ces entreprises rémunèrent les fonds en tant qu’actionnaires. Cet argent avec lequel les entreprises rémunèrent les fonds de pension, provient bien du travail de ses salaries, c’est une part de ses revenus que l’entreprise ne peut ni investir, ni utiliser pour rémunérer ses salarier. Ça ressemble donc un peu à un système par répartition sauf que :

ca ne profite pas à tout les retraités, seulement ceux qui ont pu cotiser,

ca passe dans les mains de loups qui sont à la City ou Wall Street et à qui il est difficile de faire confiance.

 

C’est de mon point de vue pas du tout idéal. 

Un fond de pension est une assurance à laquelle tu cotises afin de te créer un capital qui te seras reversé à ta retraite, ou à un âge que tu as choisit. C'est toi-même qui cotise et personne d'autre. Ce système est dangereux, car oui, la société qui gère ce fond peut placer en bourse ( si tu l'acceptes ) ton capital. Si au moment de percevoir ta retraite, à laquelle tu as choisit ton mode de versement, mensuel, trimestriel etc...sa valeur boursière a fortement augmenté, banco, dans le cas contraire  tu perd une partie ou la totalité de ton placement. C'est ce qui est arrivé à une partie des Américains en 2008 ( affaire Goldman Sachs )

Le plus judicieux est de poursuivre normalement avec notre système de retraite par répartition et de faire un placement à long terme, pour ceux qui en ont les moyens, en versant à un organisme ( toutes les banques le fond ) une cotisation mensuel pour te créer un pactole que tu récupéreras à ta retraite. Tout est sous forme de ton choix. Soit tu restes en Euro, ton capital sera sûre, mais peu rémunérateur, soit tu acceptes tout ou partie de ton placement en bourse, donc risque de gagner ou de perdre.

Perso c'est ce que j'ai fait en euro et je perçois à vie une somme modeste versée trimestriellement, mais qui me fait un bon complément de retraite à la BNP pour ton info. 

 

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Membre, Posté(e)
zebusoif Membre 17 126 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 1 heure, Scrongneugneu a dit :

Un fond de pension est une assurance à laquelle tu cotises afin de te créer un capital qui te seras reversé à ta retraite

Il y a 2 heures, Scrongneugneu a dit :

je perçois à vie une somme modeste versée trimestriellement

on tombe pile poil sur ma question, avec ta question.

Par le passé tu as consituté un capital qui t'es maintenant reversé. Cependant, l'argent que tu perçois aujourd'hui est collecté auprès de sociétés en activité aujourd'hui. Pas directement certes, mais peu importe le nombre de mains par lequel ça passe, cela ressemble quand même grandement à un système par répartition dans l'aspect "récolter l'argent aujourd'hui pour le redistribuer aujourd'hui".

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Membre, 75ans Posté(e)
Scrongneugneu Membre 5 886 messages
Forumeur vétéran‚ 75ans‚
Posté(e)
Il y a 21 heures, zebusoif a dit :

on tombe pile poil sur ma question, avec ta question.

Par le passé tu as consituté un capital qui t'es maintenant reversé. Cependant, l'argent que tu perçois aujourd'hui est collecté auprès de sociétés en activité aujourd'hui. Pas directement certes, mais peu importe le nombre de mains par lequel ça passe, cela ressemble quand même grandement à un système par répartition dans l'aspect "récolter l'argent aujourd'hui pour le redistribuer aujourd'hui".

C'est la même chose qu'une assurance, c'est l'ensemble du fric des cotisants qui te permet d'avoir une indemnité en cas d'accident ou de dégâts.

Maintenant si ton assurance fait des placements à risque, en cas de désastre financier, les indemnités sont soit minimes, soit queue dalle. En revanche, avec un fond de pension, c'est toi qui choisit placements à risques ou pas. Attention tous ces "assureurs" font des embrouilles pour que ton choix se porte sur ce qu'ils veulent. Donc, bien se renseigner avant de signer.

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Membre, Posté(e)
zebusoif Membre 17 126 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a une heure, Scrongneugneu a dit :

C'est la même chose qu'une assurance, c'est l'ensemble du fric des cotisants qui te permet d'avoir une indemnité en cas d'accident ou de dégâts.

Maintenant si ton assurance fait des placements à risque, en cas de désastre financier, les indemnités sont soit minimes, soit queue dalle. En revanche, avec un fond de pension, c'est toi qui choisit placements à risques ou pas. Attention tous ces "assureurs" font des embrouilles pour que ton choix se porte sur ce qu'ils veulent. Donc, bien se renseigner avant de signer.

Salut Scrongneugneu,

on a du mal se comprendre, je suis encore à essayer de faire la différence entre système par capitalisation et par répartition. Je ne te parle pas de placements à risque, ou sécurisé, mais bien de l'origine de l'argent qui rentre tous les trimestres sur ton compte en banque. L'argent que tu as placé hier n'a pas travaillé tout seul; donc l'argent que tu reçois aujourd'hui est ponctionné sur les recettes faites par des entreprises aujourd'hui. C'est exactement ce qui se passe avec le système par répartition. Je ne vois donc pas la différence...

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Membre, 75ans Posté(e)
Scrongneugneu Membre 5 886 messages
Forumeur vétéran‚ 75ans‚
Posté(e)
Il y a 7 heures, zebusoif a dit :

Salut Scrongneugneu,

on a du mal se comprendre, je suis encore à essayer de faire la différence entre système par capitalisation et par répartition. Je ne te parle pas de placements à risque, ou sécurisé, mais bien de l'origine de l'argent qui rentre tous les trimestres sur ton compte en banque. L'argent que tu as placé hier n'a pas travaillé tout seul; donc l'argent que tu reçois aujourd'hui est ponctionné sur les recettes faites par des entreprises aujourd'hui. C'est exactement ce qui se passe avec le système par répartition. Je ne vois donc pas la différence...

Non, les retraites par répartition, c'est en gros 1/3 payé par l'employé et 2/3 payé par l'employeur. Donc, lorsque tu bosse tu paie une CSG d'environ 8,3 % et ton employeur environ 21,8 % sur ton salaire, ce qui fait qu'au final c'est 30% de valeur sur salaire qui est mis pour la retraite. Comme c'est par répartition tout va dans un pot commun. Mais c'est un pot commun de chacune des 42 caisses de retraite en France. Conclusion, si tu bosse un certain nombre d'année en Agriculture, puis encore dans la fonction publique et un troisième emploie en industrie, lorsque tu arrives à l'âge légal de départ en retraite, c'est chacune des caisses qui va te verser une part fonction du nombre de trimestre passé dans chaque métier.

La capitalisation, c'est toi qui passe un contrat avec AXA par exemple où tu verses selon ton choix, toujours en exemple 300 € par mois sur un compte rémunéré à 2% par an à durée jusqu'à ta retraite où ce capital acquis te seras reversé par échéance choisie. Mais comme tu passes par un assureur, toujours en exemple, tu peux choisir de mettre tout ou partie à risque, c'est à dire en action. Dans cette affaire, il est conseillé de mettre 2/3 ( 200 € ) en Euro à 2% ( c'est à peu près le taux du moment ) et 1/3 ( 100 € ) en bourse. Si depuis le début du contrat, les sommes versées en bourse ont pris 50% c'est gagné, dans le cas contraire c'est gloups.

Mais, comme je te l'ai dit, c'est complexe et la méfiance est de mise.

 

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Membre, Posté(e)
zebusoif Membre 17 126 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 17 heures, Scrongneugneu a dit :

Non, les retraites par répartition, c'est en gros 1/3 payé par l'employé et 2/3 payé par l'employeur. Donc, lorsque tu bosse tu paie une CSG d'environ 8,3 % et ton employeur environ 21,8 % sur ton salaire, ce qui fait qu'au final c'est 30% de valeur sur salaire qui est mis pour la retraite. Comme c'est par répartition tout va dans un pot commun. Mais c'est un pot commun de chacune des 42 caisses de retraite en France. Conclusion, si tu bosse un certain nombre d'année en Agriculture, puis encore dans la fonction publique et un troisième emploie en industrie, lorsque tu arrives à l'âge légal de départ en retraite, c'est chacune des caisses qui va te verser une part fonction du nombre de trimestre passé dans chaque métier.

La capitalisation, c'est toi qui passe un contrat avec AXA par exemple où tu verses selon ton choix, toujours en exemple 300 € par mois sur un compte rémunéré à 2% par an à durée jusqu'à ta retraite où ce capital acquis te seras reversé par échéance choisie. Mais comme tu passes par un assureur, toujours en exemple, tu peux choisir de mettre tout ou partie à risque, c'est à dire en action. Dans cette affaire, il est conseillé de mettre 2/3 ( 200 € ) en Euro à 2% ( c'est à peu près le taux du moment ) et 1/3 ( 100 € ) en bourse. Si depuis le début du contrat, les sommes versées en bourse ont pris 50% c'est gagné, dans le cas contraire c'est gloups.

Mais, comme je te l'ai dit, c'est complexe et la méfiance est de mise.

 

Salut Scrongneugneu,

Si les sommes ont pris 50%, c'est bien que quelqu'un travaille au moment actuel permettre au bénéficiaire de pouvoir dépenser sans travailler. C'est donc un système par répartition. Mais pas très juste, car tout le monde ne peut se le permettre.

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Membre, 31ans Posté(e)
Fersi Membre 1 065 messages
Mentor‚ 31ans‚
Posté(e)
Le 07/07/2022 à 09:48, G2LLOQ a dit :

Nous vivons de plus en plus vieux , quoi de plus naturel de travailler 1 ou 2 ans de plus  ? tous les pays l'ont compris ; sauf les irréductibles gaulois !  :mur:

Bonjour, nous ne vivons certainement en bon état de vieillesse à un âge de précarité au travail des jeunes travailleurs ou en perte d'autonomie au travail pour les vieux travailleur pour nous imposer l'obligation de  travailler dans telle ou telle branche professionnelle sans devoir imposer en contrepartie aux employeurs le devoir de proposer un travail plus digne. Il devrait en être de même pour les travailleurs précaires en situation de handicap. A l'heure où les marchandises libres provenant de la production d'une entreprise étrangère ou d'importation nationale qui pratique l'esclavagisme au travail a été abolit à nos frontières européennes. Et où l'esclavage sexuel ou le proxénétisme sont aujourd'hui illicites. D'ailleurs, le législateur républicain a même œuvré dans ce sens en incorporant l'obligation de reclassement de l'employeur après un licenciement pour inaptitude professionnelle dans l'entreprise par une disposition dans le Code du Travail et en définissant ce faisant par là-même du travailleur une partie faible du contrat de travail qui le lie à son employeur ayant des  impératifs privés d'ordres économiques et libéraux différents de ceux de son salarié partie à la relation contractuelle de travail en vertu du lien de subordination juridique qui les lie. Même si les impératifs économiques ont été mis au-devant de la scène dès le début du Traité de Rome à travers les quatre grandes libertés économiques de circulation du marché intérieur, il apparait que cette disposition législative nationale s'impose dans toutes les entreprises, y compris même dans les unités économiques et sociales, mais aussi lorsqu'il y a une délégation de compétence au profit d'une sous-direction représentative de l'employeur d'une entreprise ou même d'un chef d'établissement. Cette délégation de compétence peut certes entrainer des difficultés de reclassement en cas de plans de redressement et même plus tard de recrutement en fonction de ce qui constitue la politique sociale de l'entreprise plus ou moins de services numériques ou spécialisée dans l'économie de proximité. Le droit au travail et au logement plus dignes sont mêmes des acquis sociaux du CNR au lendemain de la victoire à coups de boucherie humaine de Seconde guerre mondiale. Les résistants avaient bien compris que le régime du Troisième Reich était un régime populiste de privilège des races ethniques et de nationalisme populaire d'antisystème face au roulement de la dette souveraine allemande par l'austérité conduite sous la direction des alliés victorieux de la Première Guerre mondiale envers l'Allemagne de l'ère post-Traité de Versailles pour payer la dette des destructions massives des grandes infrastructures des routes de la Mondialisation. Veut-on à nouveau faire répéter l'Histoire du nationalisme populaire si l'on y rajoute  comme autre variable l'injustice sociale auquel fait face à la précarité énergétique les classes sociales occidentales les plus vulnérables de notre société d'hyperconsommation occidentale du lien conformisme? Quitte même à renverser la tendance de la politique de l'emploi de nos entreprises françaises les plus stratégiques en renforçant le système de bonus-malus du nombre de recours aux contrats-courts pour un ratio d'emploi serait soumis à la négociation d'entreprise en vertu du principe de faveur de la primauté des accords dérogatoires d'entreprises sur les accords de branches professionnelles. Pourquoi pas dans un marché ultra-concurrentiel comme le marché européen au nom d'une idéologie libérale du progrès économique pour les consommateurs qui tend en fait vers le progrès de la défense de dissuasion technico-militaire de pointe  de nos jours? Je suis tout-à-fait contre ce système pour les contrats saisonniers ou de fins de carrière et contre un système induit de décote de pension de retraite par une baisse drastique des allocations de substitution comme ce qui constituent les allocations chômages ou les allocations familiales par politique de baisse du quotient familial. Je suis aussi pour une politique de gestion paritaire du traitement du chômage et de la politique d'aides sociales ou de soutient familiales face à la réforme sur la dépendance à venir. Pour la politique d'entrée sur le marché du travail par la politique  de l'offre et de la demande d'emploi et la politique d'attractivité économique et sociale de notre soi-disant nation-stratopause et qui a une incidence sur l'évolution de l'offre de formation professionnelle accessible pour toutes les couches populaires les plus vulnérables en termes de bilans coûts-avantages. En ce qui concerne aussi la politique de dépressurisation fiscale par tête de foyer de revenus fiscalisables qui s'impose pour la politiques de gestion des fins de carrière et de la montée en compétitivité de notre économie de balance commerciale extérieure et de politique d'éthique entrepreneuriale de la fin de la faim dans le monde. Qui comprend à la fois une politique sociale de laisser-faire collective et de prise en charge de la mobilité durable par kilométrage en lien avec la politique de Community manager de nos entreprises mondiales et qui va notamment bien au-delà de la problématique du bon vieillissement des collaborateurs en entreprise. Ne serait-ce que pour revaloriser au plan national la prime conventionnelle de pénibilité au travail par zone d'activité de production en entreprise par une politique d'incitation à l'emploi par le laisser-faire collective. Le but étant d'améliorer notre système de retraite par répartition sans passer par une inflation des normes.                            

Le 07/07/2022 à 11:51, koadeg a dit :

merci !

enfin quelqu'un qui a vu où ça clochait !

Oui, beaucoup de candidats ont promis la retraite à 60 (si je ne dis pas de bêtises, je crois que le RN aussi) mais en lisant les petites lignes, le problème apparait tout de suite. Qui de notre génération, sans parler des suivantes, a commencé vraiment à travailler avant ses 20 ans ? En tout cas, ce n'est pas la majorité.

Pendant les élections, j'ai voulu signaler la contradiction au boulot mais on m'a regardé comme une bête sauvage. Une femme qui lit les programmes politique.... mais où va-t-on :D

Les problèmes des violences sexistes et de l'inégalité de rémunération salariale entre les hommes et les femmes à un emploi équivalent sont  aussi à signaler. En effet, veut-on avoir recours plus souvent à la pratique de l'avortement dans une société post-gallicane dans son histoire ? Même  si je suis parfaitement conscient que notre droit est aujourd'hui devenu un droit laïc, je pense que l'on peut se poser ce genre de question sur quelle transformation idéologique de notre société contemporaine l'on souhaite voir advenir pour le bien commun. Je dirais même pourquoi pas ne pas admettre un rallongement de la durée de temps du congé de parentalité et un régime semi-hybride de celui existant en cas en cas de congés parentalité acquis et  de système de chômage technique en cas de congés parentalité non-acquis . C'est quand même mieux qu'un don de congés payés dont est titulaire. Cela fait partie de ma liberté d'opinion.     

 

Le 11/07/2022 à 19:43, Pheldwyn a dit :

Je ne vois pas en quoi tu n'es pas d'accord avec ma phrase :
La question n'est pas tant de savoir ce que font les autres juste pour les imiter, mais ce que nous avons besoin de faire ou non

Tu n'es pas d'accord avec ça ? Je dis juste qu'il ne faut pas imiter pour imiter, que ça ne sert à rien de copier bêtement. Je dis juste qu'il faut analyser notre cas particulier, pour faire des projections et voir s'il est nécessaire ou non de changer le système.

 

Or, on a un organisme qui fait ce travail pour l'Etat, le Conseil d'Orientation des Retraites, qui dans son dernier rapport a indiqué qu'une réforme des retraites n'était nullement nécessaire.
D'ailleurs, la Macronie elle-même a reconnu que le but de sa réforme n'était pas la pérennité du système de retraite, mais qu'il s'agissait de faire des économies, en vue de financer des réformes sur la dépendance.
 

Alors, certes, il va falloir des financements pour la dépendance, mais pourquoi toujours demander davantage aux travailleurs, lorsque l'on voit que ce recul de l'âge a dans bien des cas plusieurs inconvénients sur la santé de certains travailleurs au delà d'un certain âge ?
Surtout, si le but est d'avoir davantage de cotisations, il faudrait déjà œuvrer pour le travail des jeunes et des séniors (on a des records de chômage sur les deux secteurs).

 

Et encore une fois, la productivité par travailleur en plusieurs décennies a triplé : cet augmentation de la richesse créé par employé aurait dû résoudre largement tous les problèmes de financement des retraites pour cet employé. Cela signifie donc que cette augmentation de la productivité n'a profité ni aux salariés, ni aux caisses de l'Etat : qu'est donc t-elle devenue ?? Qui a profité des gains de productivité, et pourquoi n'ont-ils pas permis d'améliorer les conditions sociales ?

 

Bref, les arguments pour "travailler plus "me paraissent avant tout parfaitement idéologiques.
 

C'est surtout pour alimenter les phénomènes des prestations de services numériques depuis le lieu du siège social à l'étranger qui nous piquent des parts de marchés au sein du marché de la spécialisation dans la tertiarisation de l'économie mondiale. A commencer par ce qui concerne les plus grandes places financières européennes. Je suis convaincu par un modèle de finance plus éthique et territorialisée du coup de pouce de l'écogeste pour retrouver notre souveraineté plurielle plus axée dans la politique de légitimation par la décentralisée politique de la démocratie locale pour maitriser tous les grands enjeux de la Mondialisation de proximité sur le social et autres (santé publique, environnement et technopoles de l'écogeste, politique de la ville intelligente et sobriété énergétique des chaines d'approvisionnement logistiques et de production d'écoproduits , etc.). Je crois même que l'on a un leadership mondial à gagner dans ce domaine de l'industrie de la performance.       

 

Le 05/10/2022 à 13:13, petirobert a dit :

mais il y a des familles  qui ne peuvent pas aider financièrement leurs anciens , ils n ont déjà pas suffisamment pour eux. Ce n est pas facile ce problème de dépendance  , partir plus tard a la retraite pour être ensuite dépendant des autres,  car on arrive pas à s assumer , large débat.

je ne sais pas,  mais tout ce qui vient de macron ,  je le trouve suspect. il aurait pu commencer  de mettre l age  de départ à 63 ans plutôt que 65 ans, c est bizarre,   d autant que l on ne parle pas de pénibilité. et pourquoi avant il y avait quatre actifs pour un retraité et aujourd hui c est un actif et demi  pour un retraité , le plein emploi n est pas si plein que ça  malgré tous les immigrés que l on a fait entrer.  

Le un fonctionnaire sur deux partis à la retraite non-remplacé à participer à dégrader notre service public pour une soi-disant dépense-utile ou productive. De même que la contractualisation des contrats de travail du secteur privé au secteur public des agents contractuels des services publics de proximité a lui aussi conduit nos dirigeants politiques à poursuivre la loi de privatisation des monopoles publics de l'énergie, du secteur du crédit bancaires, etc... Pour quelle justification du respect du principe de continuité du service public face aux usagers de ces services si ce n'est par une taxe-flatte attirant les capitaux des investisseurs étrangers et une politique accrue de délégation de service public ou de contrat de partenariat aller-retour de connivences ?          

 

Le 05/10/2022 à 13:50, petirobert a dit :

pourquoi pas une  taxe spécifique payée par les retraités ou par  tout le monde........., 1 % sur une feuille de salaire ou de pension ça ne va pas beaucoup se voir, on a bien fait la cmu payée par tous et les aides aux immigrés payées par nos impôts, macron veut essayer  de nous avoir une nouvelle fois pour favoriser les ephad privés en leur donnant des aides et du boulot.

je pense aussi qu il faut revoir  les taux d impositions,   faire payer un peu plus les  hauts salaires  et lutter vraiment  contre  le chomage  . on nous dit que le chomage baisse et en même temps ,  on nous dit que de nombreuses places sont à pourvoir. j ai l impression que l on raconte un peu n importe quoi, pour  faire entrer encore plus facilement des  immigrés sur le territoire .  on nous a dit que nous avons fait entrer sur quatre ans  1.6 milliond immigrés  et est-ce que ces gens ont tous trouvé un emploi et cotisent  ils  tous,  pour la retraite. et pourquoi les femmes ne  bénéficient elles pas du même salaire que les hommes  dans les entreprises .

Une CSG d'un point de plus sur les dividendes d'actions de préférences perçues sur la place de Paris 

 

 

 

 

 

Le 11/10/2022 à 02:29, Docteur CAC a dit :

Le "traitement" de la retraite c'est l'exemple typique : plus personne ne pense le temps long... On ne pense plus le temps long au niveau politique alors on "réforme" la retraite techniquement pour équilibrer des comptes pour 5-10 ans.

Au dela de la NUPES c'est aussi prendre le temps de réfléchir car faire travailler les gens jusque  65-70 ans, ce n'est pas anodin.

Si les jeunes ont aussi un autre rapport au travail, il ne faut pas s'en étonner : faire des études pour subir la modération salariale et travailler plus longtemps... Meme jeune, les gens font des arbitrages et priorisent.

L'"age pivot" devrait aussi se comprendre qu'a partir de 60 ans, travailler devient quelque soit le travail plus difficile, à 62 ans, alors 65,67 et 70 ans...

Macron laisse penser qu'il n'y a qu'une facon d'organiser le système de retraite, la capitalisation ce n'est pas  la fatalité, financiariser et privatiser tout le système de retraite, ca va surtout remplir les poches de quelque un et la 1ere crise systémique vos économies partiront en fumée.

Mais au cela de cela, va falloir réfléchir encore plus loin : 

Imposer le mi-temps pré retraite ?

clarifier le cumul emploi retraite, défiscalisé une partie pour compenser la perte entre le montant de la retraite et le salaire ?

Va falloir se former par soi meme pour évoluer, changer de métier, organiser sa carrière pour éviter de rester exposer a des conditions de travail difficile pendant toute sa carrière.

 

1) Imposer le mi-temps pré-retraite en cas de franchissement d'un seuil plancher de barrière d'imposition sur le revenu à revoir en cas de prise de participation ou d'intéressement de salariat-retraité en entreprise et en cas de droit à la participation aux élections professionnelles pour que les organisations syndicales soient vraiment représentatives dans le monde du travail. 

2) écart de salaire entre 1 et 3

3) Formation continue de montée en compétences négociable tous les deux ans.      

 

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Membre, 31ans Posté(e)
Fersi Membre 1 065 messages
Mentor‚ 31ans‚
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Bonjour, nous ne vivons certainement pas en bon état de vieillesse à un âge de précarité au travail des jeunes travailleurs, ou en une perte d'autonomie au travail pour les vieux travailleurs, pour nous imposer l'obligation de  travailler dans telle ou telle branche professionnelle. Sans devoir imposer comme contrepartie aux employeurs de nos entreprises le devoir de proposer un travail de plus en plus digne . Il devrait en être de même pour les travailleurs précaires en situations de handicaps dans le cadre du travail inclusif. Car le marché du travail est un marché ultra-concurrentielle d'offres et de demande de compétences en contrepartie d'une rémunération et d'autres avantages. C'est comme cela qu'il faut comprendre comment doit fonctionner le marché du travail de manière efficiente. Il faut aussi mieux partager le temps de la durée journalière de travail pour augmenter le taux de contribution sociale par travailleur. Tout en valorisant la valeur travail. Plutôt que d'inciter à "travailler plus, pour gagner plus". Tout au plus faut-il mieux partager équitablement la durée journalière de travail pour monter en piques de productivité en entreprise. Tout en optimisant sa capacité à être sombre en consommation d'énergie par parc de machine industrielle. Il en va ainsi de la fidélisation de notre salariat d'entreprises françaises face au débauchage et en faire une pratique anti-concurrentielle. A l'heure où je saluts le fait que des marchandises libres provenant de la production d'une entreprise étrangère ou du commerce nationale d'un Etat membre qui pratiquent l'esclavagisme au travail a été prescrits à nos frontières européennes. Et où l'esclavage sexuel ou le proxénétisme sont aujourd'hui des activités économiques illicites. Quiz d'ailleurs de la primauté de l'adoption plénière des mineurs isolés en fonction des couples de même sexe et de la liberté de conviction religieuse du mineur isolé. Mais laissant ce débat dérangeant pour notre classe politique à part faute pour nous de faire un mauvais pas de côté par rapport à cette thématique de la retraite dans ce qui peut peut-être s'apparenter à du déterminisme social par une activité économique licite de marchandisation des êtres-humains. En outre, le législateur républicain se vertu même à incorporer l'obligation de reclassement de l'employeur après un licenciement pour inaptitude professionnelle dans l'entreprise par une disposition dans le Code du Travail. En définissant, ce faisant par là-même, le travailleur comme une partie faible du contrat de travail qui le lie à son employeur ayant des  impératifs privés d'ordres économiques et libéraux différents de ceux de son salarié partie à la relation contractuelle de travail en ayant des intérêts sociaux en vertu du lien de subordination juridique qui les lie tous les deux. Les facteurs de production, c'est donc quasiment la même chose que la propriété lucrative. Car, le travailleur loue sa force de travail au profit de la reconnaissance hiérarchique de son employeur en termes de retours de compétences en direction des ressources humaines. Ce n'est pas un hasard que les impératifs économiques ont été mis au-devant de la scène au début du Traité de Rome à travers les quatre grandes libertés économiques de circulation au sein du marché intérieur. Il apparait que cette disposition législative populaire s'impose dans toutes les entreprises. Y compris même dans ce qui constituent les unités économiques et sociales, mais aussi lorsqu'il y a une délégation de compétence au profit d'un sous-représentant  du chef d'entreprise ou même du chef d'établissement. Le droit au travail et au logement plus dignes sont mêmes des acquis sociaux du CNR, au lendemain de la victoire par les alliés de la Seconde guerre mondial. Qui sont aujourd'hui reprises par le juge constitutionnel comme des principes républicains opposables à tous. Les résistants avaient alors bien compris que le régime du Troisième Reich était un régime populiste qui promouvait de privilège des races ethniques et le nationalisme populiste d'antisystème face à l'écroulement de la devise allemande de l'ère du tournant libéral de la Mondialisation et d'une dette souveraine allemande en pleine chute libre dans le marché des taux de changes. Ce n'est que par l'austérité conduite par l'Allemagne de l'ère post-Traité de Versailles en étant obligés de précariser le marché du travail allemand pour payer la dette des destructions massives des grandes infrastructures des différentes routes de la Mondialisation que le nationalisme socialiste allemand a pu emporter la victoire aux élections conduisant le Troisième Reich au pouvoir. Veut-on à nouveau faire répéter l'Histoire du nationalisme populiste allemand ou italien en puissance dix ? Si l'on y rajoute comme autre variable l'injustice sociale auquel fait face à la précarité énergétique des logements d'habitat indigne les  classes sociales occidentales les plus vulnérables au sein d'une société d'hyperconsommation occidentale du lien conformisme très fort avec une forte décroissance et perte d'emplois. Quitte même à renverser la tendance de la politique de l'emploi de notre gouvernement au pouvoir par la mise en place, du moins aux seins de l'écosystème de proximité de nos entreprises françaises les plus stratégiques fortes pourvoyances de nouveaux emplois techniques, renforcer le système du bonus-malus en fonction du taux horaires des contrats-courts pour un ratio d'emploi en contrat-courts soumis à la négociation collective d'entreprise en vertu du principe de faveur de la primauté des accords dérogatoires d'entreprises sur les accords de branches professionnelles pour les salariés. Cela est nécessaire pour l'attractivité économique et sociale de notre marché économique et social ultra-concurrentiel comme peut l'être le marché européen qui mise tout sur le progrès économique au noms des consommateurs et qui tend en fait  à renforcer notre défense de dissuasion technico-militaire de pointe  d'intégration commune de nos jours.  Je suis tout-à-fait en revanche contre ce système pour les contrats saisonniers ou de fins de carrière et contre un système qui induit une décote de sa pension de retraite. Par une baisse drastique des allocations de substitution comme peuvent l'être la précarisation des allocations chômages ou des allocations familiales par une politique de baisse du quotient familial. Même si je ne suis pas vertueux, je pense qu'il faut laisser ces politiques à une pratique de la négociation collective du laisser-faire collective à l'anglosaxonne, et notamment pour faire face à la réforme sur la dépendance du grand âge à venir, pour une politique d'entrée sur le marché du travail de l'offre et de la demande d'emploi et une politique d'attractivité économique et sociale de notre soi-disant nation-stratopause efficiente et qui a une incidence importante sur la gestion de l'évolution de carrière et notamment des travailleurs les plus vulnérables d'entre-nous. Pour une politique aussi de dépressurisation fiscale par tête de foyer d'impôt sur le revenu. Qui s'impose pour la politique de gestion des fins de carrière et de la montée en compétitivité de notre balance commerciale extérieure et de notre politique d'éthique entrepreneuriale pour des causes d'entreprenariat d'utilité publique qui sert des causes sociales comme la lutte pour la fin de la faim en entreprise dans le monde. Ou encore par une prise en charge de la mobilité réduite ou de la mobilité durable par nombre de kilométrage par jour en lien avec la politique de Community manager en donnant du sens à nos entreprises mondiales qui va bien au-delà de la problématique du bien vieillissement de salariat en entreprise face à la misère sociale notamment entre autres dans des milieux marginaux comme des centres pénitenciers de réinsertion sociale par le travail. Ne serait-ce que pour revaloriser au plan interprofessionnel la prime de pénibilité au travail conventionnelle adaptée par un principe de faveur aux niveaux des accords dérogatoires d'entreprises pour s'adapter à la décentralisation des politiques sociales. L'objectif étant d'améliorer le système de retraite par répartition sans passer par une inflation des normes                            

Les problèmes des violences sexistes et des inégalité de traitement des rémunérations salariales entre les hommes et les femmes à un emploi équivalent sont  aussi des problèmes à signaler. En effet, veut-on avoir recours plus souvent à la pratique de l'avortement dans une société post-gallicane comme peut l'être la nôtre dans son histoire? Même  si je suis bien conscient que notre droit bascule aujourd'hui vers un droit laïc, je pense que l'on peut parfaitement bien se poser cette question-là sur la transformation idéologique de notre société contemporaine que l'on souhaite voir un jour advenir pour le bien commun. Je dirais même pourquoi pas ne pas admettre un rallongement de la durée de temps du congé payés de parentalité et avec un régime semi-hybride de celui existant en cas de congés payés de parentalité acquis et de système de revenu de substitution par le chômage technique en cas de congés payés de parentalité non-acquis . C'est peut-être quand même mieux qu'un don de congés payés dont est titulaire tous travailleurs au-delà de la réalisation d'un certain nombre d'heures de travail. Je serais même d'avis de réduire la durée légale journalière de temps de travail pour prévenir les risques de fatigue chronique au travail. Cela fait partie de mon entière liberté d'opinion.     

 

C'est surtout pour alimenter la libre prestations des services numériques depuis le lieu de l'établissement du siège social à l'étranger qui nous volent des parts de marchés au sein du marché de la spécialisation dans la tertiarisation de l'économie mondiale. A commencer par ce qui concerne la prédation en capitaux d'actionnaires majoritaires étrangers sur nos plus grandes places financières européennes. Je suis même convaincu par un modèle de finance beaucoup plus éthique et territorialisée du coup de pouce de l'écogeste pour retrouver notre souveraineté plurielle axée sur notre politique de légitimation par la décentralisation de la démocratie locale pour maitriser tous les grands enjeux de la Mondialisation de proximité sur le social et autres (danger de mise sur le marché de produits défectueux sur la santé publique, environnement et technopoles de l'écogeste, politique de la ville intelligente et sobriété énergétique des chaines d'approvisionnement logistiques et de production d'écoproduits, maitrise par de la béta de l'étalement urbains des grandes villes, etc.). Je crois même que l'on a un leadership mondial à gagner dans ce domaine-là de l'industrie durable de la performance 4.0       

 

En supprimant un fonctionnaire sur deux partis à la retraite et en participant ainsi à dégrader le service public pour une soi-disant dépense-utile ou aussi dite dépense publique productive. De même que la contractualisation précaire des contrats de travail du secteur privé au secteur public des agents contractuels des services publics de proximité a lui aussi conduit nos dirigeants politiques à poursuivre la logique de la loi de privatisation des grands monopoles publics de l'énergie, du secteur de l'accès au crédit , etc... Pour quelle justification du respect du principe de continuité du service public défendu par le juge constitutionnel face à ses usagers si ce n'est par une taxe-flatte attirant les capitaux des investisseurs étrangers par une perte de souveraineté nationale et une politique accrue de délégation de service public ou de contrat de partenariat aller-retour de connivences en respectant le principe de subsidiarité de la machine de l'Etat de droit inscrite dans notre Constitution française?          

 

Une CSG d'un point supplémentaire sur les dividendes d'actions de préférences perçues sur la place de Paris 

 

 

 

 

 

1) Imposer le mi-temps pré-retraite en cas de franchissement d'un seuil plancher de barrière par foyer d'imposition sur le revenu à revoir en cas aussi de prise de participation ou d'intéressement en entreprise et en cas d'ouverture à un droit à la participation aux élections professionnelles pour que les organisations syndicales soient légitiment représentatives dans le monde du travail. 

2) Avec un écart de salaire entre un coefficient de 1 à 3, si l'on considère qu'il y a plusieurs parties prenantes dans l'entreprise.

3) Avec une formation continue de montée en compétences par une obligation de négociation collective par un délai supplétif de deux fois par ans entre les partenaires sociaux.      

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pluc89 Membre 11 351 messages
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Il y a 3 heures, Fersi a dit :

Le un fonctionnaire sur deux partis à la retraite non-remplacé à participer à dégrader notre service public pour une soi-disant dépense-utile ou productive.

Tout à fait. Il fallait appliquer ma règle des 20/80 !

La solution, c'est Georges Clémenceau qui nous la souffle. "Les fonctionnaires, c'est un peu comme les livres d'une bibliothèque, plus ils sont hauts placés, moins ils servent" a-t-il dit.

Appliquer à cela "ma" règle des 20/80, et vous avez la solution : supprimer 80% des 20% de fonctionnaires les plus haut placés. Vous obtiendrez un double effet (dit Kiss Cool, bien connu). Vous ferez des économies substantielles et de plus les services publics fonctionneront beaucoup mieux du fait que les subordonnés des "virés" n'auront plus à faire le "travail" destiné à justifier la présence de leur hiérarchie inutile. Ils pourront alors se consacrer entièrement au service du public, c'est à dire à leur véritable raison d'être.

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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 612 messages
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Il y a 13 heures, zebusoif a dit :

Salut Scrongneugneu,

Si les sommes ont pris 50%, c'est bien que quelqu'un travaille au moment actuel permettre au bénéficiaire de pouvoir dépenser sans travailler. C'est donc un système par répartition. Mais pas très juste, car tout le monde ne peut se le permettre.

Pas certaine que vous ayez bien compris son explication...très juste au demeurant!

Il y a 7 heures, pluc89 a dit :

NUPES et retraite

A quand la "Retraite de ... NUPES" de Napoléon Mélenchon ?

Vu qu'il n'est plus rien politiquement, môssieur se voyant président de la RF, il doit avoir pris sa retraite... Les sous, mais pas l'esprit...:hehe:

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zebusoif Membre 17 126 messages
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Il y a 7 heures, Morfou a dit :

Pas certaine que vous ayez bien compris son explication...très juste au demeurant!

j'essaye d'aller à l'éssentiel : si les retraités par capitalisation ont une pension aujourd'hui, c'est bien parce que du travail est effectué aujourd'hui, dont une partie est ponctionnée pour reverser aux bénéficiaires de pensions. C'est donc un système par répartition.

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Membre, 31ans Posté(e)
Fersi Membre 1 065 messages
Mentor‚ 31ans‚
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Il y a 11 heures, pluc89 a dit :

Tout à fait. Il fallait appliquer ma règle des 20/80 !

La solution, c'est Georges Clémenceau qui nous la souffle. "Les fonctionnaires, c'est un peu comme les livres d'une bibliothèque, plus ils sont hauts placés, moins ils servent" a-t-il dit.

Appliquer à cela "ma" règle des 20/80, et vous avez la solution : supprimer 80% des 20% de fonctionnaires les plus haut placés. Vous obtiendrez un double effet (dit Kiss Cool, bien connu). Vous ferez des économies substantielles et de plus les services publics fonctionneront beaucoup mieux du fait que les subordonnés des "virés" n'auront plus à faire le "travail" destiné à justifier la présence de leur hiérarchie inutile. Ils pourront alors se consacrer entièrement au service du public, c'est à dire à leur véritable raison d'être.

Bonjour Monsieur Pluc89, 

Surtout, pourquoi pas appliquer la règle 20/80 de Kiss Cool sur les hauts fonctionnaires plutôt que de frapper le personnel des collectivités territoriales  ou de la fonction publique hospitalière en pleine politique de droit  à l'expérimentation des collectivités territoriales et de légitimation par une forme d'éthique de la démocratie de proximité dans l'administration de nos territoires de proximité Régions, départements, communes? A la première condition bien sûr que l'on rentre  dans cette logique d'organiser des référendums de mid-term locaux pour préserver le lien social entre les riverains des territoires de proximité  et les territoires de proximité en eux-mêmes . Et à la seconde condition que l'on ouvre le droit d'éligibilité aux élections sénatoriales à la société civile toute entière pour rendre plus efficiente notre démocratie territoriale en faisant jouer une réelle méritocratie républicaine en rendant aussi le vote aux élections sénatoriales anonymes pour n'avoir aucune logique de partis de masse. Comme c'était d'ailleurs ce qui a causé l'échec des institutions au cours de notre histoire de la IVème République avant le coup d'Etat permanent des institutions de la Vème République. Et à la troisième condition est de rendre plural et encore anonyme le droit au parrainage des candidats aux élections présidentielles. Pour ne pas dépendre d'un droit d'éligibilité aux élections présidentielles qui dépend des seules logiques de couleurs politiques et voir émerger d'autres partis républicains dans une démocratie aux idées plurielles. Tout en prenant en compte leurs convictions politiques. Je vise bien sûr la classe politique locale sans étiquette mais pas que. Pour faire fonctionner cette règle du 20/80 de Kiss Cool, il faudrait mettre fin au régime statutaire des hauts fonctionnaires par une optimisation de la contractualisation de leurs conditions de travail dans une logique de flexisécurité face au prélèvement à l'impôt de nos concitoyens. Et devrait permettre de redonner une réelle respiration à l'indépendance et à l'impartialité des magistrats du siège de l'organisation judiciaire par principe inamovibles de par leur statut. Je suis même d'accord avec l'idée que l'effondrement de la justice équitable de proximité conduit à un recul de l'état de droit dans notre Nation. Mais alors quiz des renvois préjudicielles en QPC si ce n'est pas par un délai différé ? Y compris même dans le cadre de la mise en place d'un principe de QPC extrajudiciaire soulevée d'office par nos élus locaux disposant d'une représentation territoriale équilibrée au sein de la Nation comme remparts républicains aux noms de nos intérêts légitime face à la tyrannie de notre pouvoir exécutif. Même si je ne confond pas l'auto-souveraineté du législateur populaire avec la légitimité politique pour administrer une collectivité territoriale d'un élu local en vertu de la démocratie de proximité. Il me semble aussi que supprimer le Sénat qui joue le rôle de représenter les territoires de leur fonction de décentralisation de l'administration politique par une chambre de démocratie directe d'une représentation citoyenne tirée au sort du je-m'en-foutiste et le remplacer par un comité de consultation d'avant-projet de réforme pour avis me semble être une erreur. De même quiz des remontées de décisions de justice, parfois contradictoires, auprès des juridictions suprêmes de nos deux ordres  de juridiction? A l'inverse: quiz de la spécialisation des juridictions d'instance ou d'appel? Veut-on d'ailleurs une justice de proximité plus équitable et souverainement positive en énergie ? Idem pour l'administration d'inspection fiscale ou du travail déconcentrée ? Moi, je suis aussi favorable à ce que le Conseil constitutionnel puisse se saisir d'un comité d'experts ayant prêté serment devant la nation pour avis en cas de question complexe de norme de contrôle de constitutionnalité. Mais pour une politique de remontée de terrain de bas en haut et non pas pour une centralisation de la verticalité politique. Aussi je suis en faveur d'un droit de veto citoyen sur des normes administratives réglementaires. Cela passe par cette théorie entre autre.  

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pluc89 Membre 11 351 messages
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Le 11/10/2022 à 02:29, Docteur CAC a dit :

Le "traitement" de la retraite c'est l'exemple typique : plus personne ne pense le temps long... 

Jamais personne parmi les politiciens et les syndicalistes "ne pense le temps long". Ils pensent tous le temps qui les sépare des prochaines élections qui les concernent.

En 1945, les professionnels des caisses de retraites qui existaient déjà prédisaient le non financement du régime général pour 2050. Ils ont été optimistes !

En 1953 une première réforme a été tentée par me Ministre Jean-Marie Louvel, sous le Gouvernement Léniel. Les syndicats des fonctionnaires , rejoints à contre cœur par les représentants du secteur privé, l'ont fait échouer pour des raisons corporatistes et électoralistes.

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