Citations

"A pisser contre le vent, on mouille sa chemise"

"Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit, et l'obéissance en devoir."

J.J. Rousseau, Du contrat social, 1762

Vive le jeune, qui n’est pas le contraire du vieux.

Ça parait méchant mais être où ne pas être le tout est de venir et pour ça il faut paraître.

(En physique quantique une mesure non faite n'a pas de résultat)

Pour nos sens les corpuscules apparaissent comme de la matière et pour notre intuition les ondes apparaissent comme des possibilités.

Quand on veut jouer au jeu de l’oie, il vaut mieux connaître la loi du jeu.

Quand on veut connaître la loi du jeu, il vaut mieux trouver la joie du feu.

Quand on veut trouver la joie du feu, il vaut mieux jouer au jeu cent fois.

Quand on veut jouer au jeu cent fois, il vaut mieux remplir le feu de joie.

(Le feu c'est l'élément alchimique, "trouver la joie du feu" c’est trouver l’inspiration, et "remplir le feu de joie" c’est suivre son intuition et son inspiration et aider les autres à le faire.)

Ne faites pas ce que le "je" dit, dites ce que le "je" fait.

(Jeudi, je fais... rapport avec le jeudi soir qui précède Pâques l'Eucharistie)

(Je suis ce que je mange, je suis mon intuition, je suis ce que je fais.)

"« Connais-toi toi-même », voilà toute la science. C’est seulement quand la connaissance des choses sera achevée que l’homme se connaîtra lui-même. Car les choses ne sont que les limites de l’homme." Nietzsche

“La conscience est la dernière et la plus tardive évolution de la vie organique, et par conséquent ce qu’il y a de moins accompli et de plus fragile en elle.” Nietzsche

(Deux citations à comprendre.)

La première des deux suggère ce qui différencie le plus, sur le fond, son œuvre des religions, spiritualités et philosophies qui ont pour but l’éveille; le surhomme est un homme éveillé, philosophe et visionnaire.

"Savoir, c'est perdre connaissance"

Benjamin Zaschen

Le 25/03/2023 à 16:12, Manuel 235 a dit :

 

Ne faites pas ce que le "je" dit, dites ce que le "je" fait.

(Jeudi, je fais... rapport avec le jeudi soir qui précède Pâques l'Eucharistie)

(Je suis ce que je mange, je suis mon intuition, je suis ce que je fais.)

L'un dit

Ce que l'autre m'a redit :

Tu fais maigre dis ?

Alors je dis :

Je fais ce que mon ventre dit

 Quand ça me dit :

"Mange !"

(Ca nous amusait quand on étéit pztits... )

Il y avait une autre inscription sur le temple de Delphes outre le fameux "Connais-toi toi-même" (gnoti se afton) c'est :

"Rien de trop".  Μηδὲν ἄγαν, Mêdèn agan, 

On en parle moins...

Notre époque de bavards (et j'en fais partie !) et de démesure devrait s'en inspirer !

Le 05/02/2023 à 08:50, paulau a dit :

« Nous ne voulons pas convaincre les gens de nos idées, nous voulons réduire le vocabulaire de telle façon qu’ils ne puissent plus exprimer que nos idées. »
Inspiré d 'Orwell

En "même temps"... , parler à la mode woke, non. 

« Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres » Antonio Gramsci. 

Confucius : « Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté. »

« L'opération de désinformation la plus réussie de toute l'histoire de la CIA est le financement de l'art contemporain en Europe » 

Thomas Braden

"La chasse au bonheur est ouverte tous les matins"

Stendhal

"Agir en homme de pensée, penser en homme d'action"

Je n'y suis pour Bergson.

On voit bien volontiers la paille dans l'œil de son voisin, mais pas la poutre dans le sien.

Jesus 

Je viens de me rappeler celle-ci en pensant à quelqu'un, dont la puissance intellectuelle mise au service d'autrui pourrait faire une vraie différence. Mais on ne connait jamais vraiment les gens. Parfois ils ont déjà fait l'expérience et subi les conséquences émotionnelles. Pour ceux-là, et d'autres, je voudrait rappeler :

"Une joie partagée est une double joie, une peine partagée est une demi peine".

Vivre dans la peur, c'est vivre à moitié.

"Le tout est plus grand que la somme de ses parties"

Aristote et Confucius

Si le travail était une bonne chose, les riches se le garderaient pour eux.

Franck Lepage

Le 14/06/2025 à 21:25, ashaku a dit :

"Une joie partagée est une double joie, une peine partagée est une demi peine".

M'évoque par analogie la petite annonce : "Homme de peine dans la joie, cherche fille de joie dans la peine !" 

Le 05/06/2022 à 13:18, sovenka a dit :

Et avec de l'or ça le fait ?

Oui çà peut le faire, mais avec l'or dur exclusivement ! 

La plus extravagante idée qui puisse naître dans la tête d'un politique est de croire qu'il suffise à un peuple d'entrer à main armée chez un peuple étranger, pour lui faire adopter ses lois et sa constitution. Personne n'aime les missionnaires armés ; et le premier conseil que donnent la nature et la prudence, c'est de les repousser comme des ennemis.

Robespierre contre la guerre de conquête, discours du 2 Janvier 1792 au club des Jacobins

Il y a 9 heures, Leverkuhn a dit :

La plus extravagante idée qui puisse naître dans la tête d'un politique est de croire qu'il suffise à un peuple d'entrer à main armée chez un peuple étranger, pour lui faire adopter ses lois et sa constitution. Personne n'aime les missionnaires armés ; et le premier conseil que donnent la nature et la prudence, c'est de les repousser comme des ennemis.

Robespierre contre la guerre de conquête, discours du 2 Janvier 1792 au club des Jacobins

Allez, du tac au tac, entre honnêtes hommes. Sade (ami du couple Roland, etc.) qui n'a pas perdu la tête parce que Robespierre a perdu la sienne, 21 janvier 1795 : " Ma détention nationale, la guillotine sous les yeux, m’a fait cent fois plus de mal que ne m’en avaient fait toutes les bastilles imaginables ". Sade ne fera plus jamais de politique.

Il y a 10 heures, Leverkuhn a dit :

Robespierre contre la guerre de conquête, discours du 2 Janvier 1792 au club des Jacobins

A cette époque survint un jour, un phénomène très étrange...

Alors que le bourreau place la tête du condamné dans la guillotine afin d’effectuer ses basses œuvres… il remonte la lame coupante en haut de la glissière de bois, libère le cliquet, puis un bruit sec et lourd secoue l’assistance des témoins... comme d’habitude !

La lame rebondit sur la nuque du condamné, le bourreau est complètement interloqué et dépité !

Il recommence l’exercice inverse, le condamné sort la tête hurlant et furieux :

« Je vous l’avais bien dit que je n’étais pas coupable ! »