Un policier insulte une femme victime d’agression sexuelle, le préfet demande sa suspension

Le préfet de police de Paris Didier Lallement a saisi l'IGPN, la «police des polices» et demandé la suspension d'un policier qui a traité de «pute» une femme ayant déposé plainte pour agression sexuelle, a indiqué jeudi 10 février la préfecture dans un communiqué.

«Grosse pute», «elle refuse la confront' (confrontation, ndlr) en plus, la pute», dans un message laissé par erreur sur le répondeur de la plaignante on entend un policier l'insulter à plusieurs reprises, selon un enregistrement dévoilé par Mediapart. Tout commence dans la nuit du 4 au 5 février, la jeune femme de 34 ans dépose plainte auprès de policiers du commissariat des 5e et 6e arrondissements de Paris pour «agression sexuelle en état d'ivresse», indique Mediapart. Quelques heures plus tard, un autre policier de ce commissariat l'appelle et lui laisse un message vocal où il lui demande de venir compléter sa plainte. Croyant avoir raccroché, on entend le fonctionnaire plaisanter avec une de ses collègues: «je la rappellerai de toute façon parce que là, elle doit être en train de cuver !»

Suite de l’article : https://amp.lefigaro.fr/flash-actu/un-policier-insulte-une-femme-victime-d-agression-sexuelle-le-prefet-demande-sa-suspension-20220215

Comment il a deviné ? 

pauvre femme !!

mais quel con !!!!!!

il y a 21 minutes, boeingue a dit :

pauvre femme !!

mais quel con !!!!!!

Cela va bien au-delà de la connerie.
C’est indigne. 

Il s’agit d’une mentalité crasse bien présente dans la police, également, la police n’étant pas une entité désincarnée. 

Non il ne l'a pas insulté, dans le langage des criminels qui est aussi le langage des policiers (c'est normal, par la nature de leur travail ils sont toujours en contact), pute ça veut dire femme, pédé ça veut dire homme, mes couilles ça veut dire mon amour...etc. C'est juste une erreur de traduction.

• Bonjour je viens pour déposer une plainte pour viol.
• Ah, désolé pour vous. Préférez vous une femme policier pour enregistrer votre plainte ?
• Non ça ira.
• Bon alors il était complètement saoul ?
• Euh... non.
• Mais si sûrement !
• Mais je vous dis que non !
• Vous vous êtes bien regardée ?
• 

C'est avec ce genre de type que des femmes battues rassemblant leur courage pour déposer plainte, se retrouve brûlées vives en pleine rue..... Il n'a rien à faire dans un service public, qu'on le vire

A lire le titre, on aurait dit que le policier le lui aurait dit en face : la ça fait plus sketch des inconnus quand ils prennent la plainte d'une femme battue...Débile mental.

La police ne va pas subir une grande perte, bon débarras. 

Peut être rendre systématique la plainte déposée auprès d'une femme aiderait. 

Il y a 2 heures, guernica a dit :

C'est avec ce genre de type que des femmes battues rassemblant leur courage pour déposer plainte, se retrouve brûlées vives en pleine rue..... Il n'a rien à faire dans un service public, qu'on le vire

Le délai entre le dépôt de plainte et la convocation au poste de police est aussi excessivement long. Il y a une opacité, personne ne prend la peine de vous informer a minima du déroulé de « l’enquête ». C’est un cauchemar effectivement pour les victimes qui craignent pour leur vie. 

La confrontation, présentée comme une étape nécessaire -néanmoins non obligatoire- est en principe, traumatisante pour les victimes, et d’autant plus lorsque les OPJ compatissent pour l’agresseur allant à l’encontre, par la même, de leur déontologie. La présence de l’avocat(e) ou le travail en amont d’une association peut aider à tempérer. 

Ici encore, c’est la victime qui est blâmée. Une femme en état de vulnérabilité, qui est venue porter plainte… C’est une double peine qui a été infligée à cette femme, une violence supplémentaire, comme d’autres femmes l’ont subie avant et d’autres femmes la subiront encore, sûrement, après. C’est juste une horreur. 

Une « enquête » va être menée concernant cet OPJ. C’est, semblerait-il, la procédure.
Des OPJ dont le comportement est récusable au quotidien (violences intra familiales, conduite sous l’empire de l’alcool ou des stupéfiants) ne sont déjà pas justement sanctionnés et exercent toujours. Peut-être que la médiatisation ici jouera un rôle. 

Il y a 2 heures, Constantinople a dit :

A lire le titre, on aurait dit que le policier le lui aurait dit en face : la ça fait plus sketch des inconnus quand ils prennent la plainte d'une femme battue...Débile mental.

La police ne va pas subir une grande perte, bon débarras. 

Peut être rendre systématique la plainte déposée auprès d'une femme aiderait. 

C’est une suspension. C’est provisoire.

Il serait peut-être moins gênant et intimidant pour des femmes de déposer plainte auprès de femmes, et d’autant lorsqu’il faut parler d’intimité. Néanmoins des femmes OPJ sont toutes aussi méprisantes et sexistes que les hommes. 

Ce qui fait la différence, c’est l’engagement personnel des OPJ -quel que soit leur sexe- quant aux violences faites aux femmes et aux enfants (en principe elles vont de paire). Certain(e)s y sont très sensibles et sont volontaires. 

Il y a 6 heures, Mórrígan a dit :

Le préfet de police de Paris Didier Lallement a saisi l'IGPN, la «police des polices» et demandé la suspension d'un policier qui a traité de «pute» une femme ayant déposé plainte pour agression sexuelle, a indiqué jeudi 10 février la préfecture dans un communiqué.

«Grosse pute», «elle refuse la confront' (confrontation, ndlr) en plus, la pute», dans un message laissé par erreur sur le répondeur de la plaignante on entend un policier l'insulter à plusieurs reprises, selon un enregistrement dévoilé par Mediapart. Tout commence dans la nuit du 4 au 5 février, la jeune femme de 34 ans dépose plainte auprès de policiers du commissariat des 5e et 6e arrondissements de Paris pour «agression sexuelle en état d'ivresse», indique Mediapart. Quelques heures plus tard, un autre policier de ce commissariat l'appelle et lui laisse un message vocal où il lui demande de venir compléter sa plainte. Croyant avoir raccroché, on entend le fonctionnaire plaisanter avec une de ses collègues: «je la rappellerai de toute façon parce que là, elle doit être en train de cuver !»

Suite de l’article : https://amp.lefigaro.fr/flash-actu/un-policier-insulte-une-femme-victime-d-agression-sexuelle-le-prefet-demande-sa-suspension-20220215

L'attitude de ce policier est inadmissible.

Il y a 5 heures, guernica a dit :

C'est avec ce genre de type que des femmes battues rassemblant leur courage pour déposer plainte, se retrouve brûlées vives en pleine rue..... Il n'a rien à faire dans un service public, qu'on le vire

ce genre de type que des femmes battues rassemblant leur courage

Eux...c'est la même chose  sinon  pire pour les hommes battus, accueillis par ce genre de "type" ou de "donzelle"...Je rappelle quand même que 32% des victimes de violence conjugale sont des hommes ( RA ONDRP 2019); ce n'est pas anecdotique.

L'exemple de Thierry BARDOULAT en constitue un triste mais emblématique exemple, parfaitement décrit dans l'émission « enquêtes criminelles » qui présentait le doc «  Thierry bardoulat, la descente aux enfers d’un homme battu » sur W9( le doc suivant était particulièrement bien traité également).

 L’enquête fait suite au jugement de "son bourreau" Stéphanie Dingiou, qui a été condamnée à 24 ans de réclusion.

Tout y est !

-Le fait que la police n’ait pas réagi quand il est allé déposer plainte, après de nombreuses agressions,  avec sa sœur, après avoir été  tabassé en extérieur, sa soeur l'ayant "récupéré" dans un état alarmant.

-Le fait qu’elle ait tenté d’inverser l’accusation ( selon STOP HOMMES BATTUS, la plupart des femmes bourreaux le font).

-Le fait que la police ne l’ait pas incriminée dans un premier temps ; il a fallu une grande implication de la mère et de la soeur de Thierry BARDOULAT, qui ont retrouvé les  4 "ex" de Stéphanie dingiou  qui ont tous été des hommes battus( l’un d'entre eux témoigne dans le doc) , contraignant les enquêteurs à les interroger, ce qui a permis enfin que  ces derniers daignent enquêter dans le sens de sa culpabilité ( le fait qu'il ait déposé plainte contre elle...et le "reste",  ne suffisant manifestement pas pour ces personnes à enquêter dans ce sens) , allant  vers la vérité, les conclusions du légiste venant confirmer cette orientation d’enquête .

-L'emprise de cette femme-bourreau sur son conjoint. 

Il est à noter qu’elle a tout fait pour éviter que Thierry Bardoulat survive à ses coups, en trainant avant d’appeler les secours (et évoquant successivement suicide, attaque à son encontre...), gênant aussi les premiers soins des pompiers.

Elle aurait de plus ( l'enquete l'établira, au grand désarroi de la mère de Thierry BARDOULAT dans le doc)dû aller en prison pour d’autres faits annexes  de violence commis ! ...ce qui aurait protégé Thierry Bardoulat, comme le souligne sa mère...La justice n'ayant pas jugé bon de faire exécuter cette sentence.

Elle « a pris 24 ans » après avoir battu puis tué son compagnon, menti, voulant inverser les rôles (comme souvent dans ces cas-là), empêché qu’il soit sauvé,  et après avoir battu ses 4 précédents compagnons. Elle a fait appel de cette condamnation.

Dans ce doc, la dignité et la détermination de la  mère et la sœur de Thierry bardoulat sont exemplaires et à souligner.

 

 Le doc:

https://www.cesoirtv.com/programme/1061437926/enquetes-criminelles.php

 

Source concernant le procès:

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/dordogne/perigueux/assises-de-la-dordogne-une-femme-jugee-pour-le-meurtre-de-son-conjoint-2238331.html

EXTRAIT:

Sa compagne, qui affirme être victime de violences conjugales, explique d’abord aux enquêteurs avoir bu avec son ami puis s’être disputé. Selon elle, il se serait blessé tout seul après l’avoir tirée par les cheveux. Elle se serait alors enfermée dans la chambre.

Changement de version quelques heures plus tard : la victime aurait voulu la projeter par la fenêtre. Elle se serait alors défendue, le blessant sans le vouloir avec un verre cassé.


Légitime défense, ou acte volontaire ?

Les jurés de la cour d’assises vont devoir déterminer les raisons qui ont abouti à cette issue fatale. Un mois avant le meurtre, Thierry Bardoulat avait porté plainte pour violences aggravées de la part de sa compagne.

Le rapport d’autopsie a établi qu’il pourrait s’agir d’un coup volontaire. L’accusée qui avait 26 ans au moment des faits a été condamnée à plusieurs reprises par la justice pour violences conjugales.

La mère de la victime, Solange Bardoulat, a de multiples attentes : " J'attends que l'on exploite tous les témoignages de ses ex... et j'aimerais que l'on visionne la vidéo qu'elle a tourné à 10 heures le soir du crime. ". Elle attend aussi que soit entendu l'enregistrement de l'appel à police secours et au Samu. 

Autre source:

https://www.charentelibre.fr/un-avocat-angoumoisin-dans-enquetes-criminelles-7174668.php

Il y a 3 heures, Mórrígan a dit :

Le délai entre le dépôt de plainte et la convocation au poste de police est aussi excessivement long. Il y a une opacité, personne ne prend la peine de vous informer a minima du déroulé de « l’enquête ». C’est un cauchemar effectivement pour les victimes qui craignent pour leur vie. 

La confrontation, présentée comme une étape nécessaire -néanmoins non obligatoire- est en principe, traumatisante pour les victimes, et d’autant plus lorsque les OPJ compatissent pour l’agresseur allant à l’encontre, par la même, de leur déontologie. La présence de l’avocat(e) ou le travail en amont d’une association peut aider à tempérer. 

Ici encore, c’est la victime qui est blâmée. Une femme en état de vulnérabilité, qui est venue porter plainte… C’est une double peine qui a été infligée à cette femme, une violence supplémentaire, comme d’autres femmes l’ont subie avant et d’autres femmes la subiront encore, sûrement, après. C’est juste une horreur. 

Une « enquête » va être menée concernant cet OPJ. C’est, semblerait-il, la procédure.
Des OPJ dont le comportement est récusable au quotidien (violences intra familiales, conduite sous l’empire de l’alcool ou des stupéfiants) ne sont déjà pas justement sanctionnés et exercent toujours. Peut-être que la médiatisation ici jouera un rôle. 

C’est une suspension. C’est provisoire.

Il serait peut-être moins gênant et intimidant pour des femmes de déposer plainte auprès de femmes, et d’autant lorsqu’il faut parler d’intimité. Néanmoins des femmes OPJ sont toutes aussi méprisantes et sexistes que les hommes. 

Ce qui fait la différence, c’est l’engagement personnel des OPJ -quel que soit leur sexe- quant aux violences faites aux femmes et aux enfants (en principe elles vont de paire). Certain(e)s y sont très sensibles et sont volontaires. 

comme d’autres femmes l’ont subie avant et d’autres femmes la subiront encore, sûrement, après.

comme d’autres hommes l’ont subie avant et d’autres hommes la subiront encore, sûrement, après.

( voir message précédent)

Il y a 3 heures, MarcThor a dit :

L'attitude de ce policier est inadmissible.

Mais non voyons. La police est républicaine. Ça ne peut donc pas être possible qu'il ait eut ce comportement. C'est Gégé qui le dit.

Il y a 10 heures, Mórrígan a dit :

Le préfet de police de Paris Didier Lallement a saisi l'IGPN, la «police des polices» et demandé la suspension d'un policier qui a traité de «pute» une femme ayant déposé plainte pour agression sexuelle, a indiqué jeudi 10 février la préfecture dans un communiqué.

«Grosse pute», «elle refuse la confront' (confrontation, ndlr) en plus, la pute», dans un message laissé par erreur sur le répondeur de la plaignante on entend un policier l'insulter à plusieurs reprises, selon un enregistrement dévoilé par Mediapart. Tout commence dans la nuit du 4 au 5 février, la jeune femme de 34 ans dépose plainte auprès de policiers du commissariat des 5e et 6e arrondissements de Paris pour «agression sexuelle en état d'ivresse», indique Mediapart. Quelques heures plus tard, un autre policier de ce commissariat l'appelle et lui laisse un message vocal où il lui demande de venir compléter sa plainte. Croyant avoir raccroché, on entend le fonctionnaire plaisanter avec une de ses collègues: «je la rappellerai de toute façon parce que là, elle doit être en train de cuver !»

Suite de l’article : https://amp.lefigaro.fr/flash-actu/un-policier-insulte-une-femme-victime-d-agression-sexuelle-le-prefet-demande-sa-suspension-20220215

Ah bah voilà, encore un article de ces fouilles merde de Mediapart.

Honteux de colporter ainsi la haine de la police.

On comprend mieux pourquoi les victimes n'ose plus porter plainte...il faut faire beaucoup plus attention a la formation des policier et arrêter d'engager  des bac - 5.

il y a 16 minutes, Petit ours a dit :

On comprend mieux pourquoi les victimes n'ose plus porter plainte...il faut faire beaucoup plus attention a la formation des policier et arrêter d'engager  des bac - 5.

Quel rapport entre le niveau d'instruction d'une personne et la formation des policiers ?

Arrêter l'école à 16 ans n'est pas nécessairement gage de stupidité, d'inculture ou d'indélicatesse.

Que voulez-vous dire précisément ?

il y a 26 minutes, Petit ours a dit :

arrêter d'engager  des bac - 5.

Je plussoie le commentaire au-dessus.

Le niveau d'étude n'a rien à voir avec ce comportement, il s'agit d'une question d'éducation et de formation.

Les propos de ce policier sont intolérables. Ce qui est aussi intolérable ce sont les propos des antiflics notoires de ce forum, toujours à trouver une occasion pour taper sur « la police » en général. 
Des cons il y en a partout à la police comme ailleurs, ça ne fait pas de tous les policiers des connards contrairement à ce que disent les gauchistes antiflics du forum. 
Des cons il y en a partout sur ce forum comme ailleurs.

Il y a 1 heure, Panem&Circenses a dit :

Je plussoie le commentaire au-dessus.

Le niveau d'étude n'a rien à voir avec ce comportement, il s'agit d'une question d'éducation et de formation.

Ben du coup pas de formation ou  une formation à veiller à raccrocher correctement le téléphone avant d’insulter ?

Module 1 : comment bien raccrocher le téléphone avant de qualifier de grosse pute ou de gros pédé un plaignant.

Question : la police pour être républicaine ne doit elle pas être diverse et représentative de la population ?

Il y a 7 heures, MarcThor a dit :

ce genre de type que des femmes battues rassemblant leur courage

Eux...c'est la même chose  sinon  pire pour les hommes battus, accueillis par ce genre de "type" ou de "donzelle"...Je rappelle quand même que 32% des victimes de violence conjugale sont des hommes ( RA ONDRP 2019); ce n'est pas anecdotique.

 

L'exemple de Thierry BARDOULAT en constitue un triste mais emblématique exemple, parfaitement décrit dans l'émission « enquêtes criminelles » qui présentait le doc «  Thierry bardoulat, la descente aux enfers d’un homme battu » sur W9( le doc suivant était particulièrement bien traité également).

 L’enquête fait suite au jugement de "son bourreau" Stéphanie Dingiou, qui a été condamnée à 24 ans de réclusion.

Tout y est !

-Le fait que la police n’ait pas réagi quand il est allé déposer plainte, après de nombreuses agressions,  avec sa sœur, après avoir été  tabassé en extérieur, sa soeur l'ayant "récupéré" dans un état alarmant.

-Le fait qu’elle ait tenté d’inverser l’accusation ( selon STOP HOMMES BATTUS, la plupart des femmes bourreaux le font).

-Le fait que la police ne l’ait pas incriminée dans un premier temps ; il a fallu une grande implication de la mère et de la soeur de Thierry BARDOULAT, qui ont retrouvé les  4 "ex" de Stéphanie dingiou  qui ont tous été des hommes battus( l’un d'entre eux témoigne dans le doc) , contraignant les enquêteurs à les interroger, ce qui a permis enfin que  ces derniers daignent enquêter dans le sens de sa culpabilité ( le fait qu'il ait déposé plainte contre elle...et le "reste",  ne suffisant manifestement pas pour ces personnes à enquêter dans ce sens) , allant  vers la vérité, les conclusions du légiste venant confirmer cette orientation d’enquête .

-L'emprise de cette femme-bourreau sur son conjoint. 

Il est à noter qu’elle a tout fait pour éviter que Thierry Bardoulat survive à ses coups, en trainant avant d’appeler les secours (et évoquant successivement suicide, attaque à son encontre...), gênant aussi les premiers soins des pompiers.

Elle aurait de plus ( l'enquete l'établira, au grand désarroi de la mère de Thierry BARDOULAT dans le doc)dû aller en prison pour d’autres faits annexes  de violence commis ! ...ce qui aurait protégé Thierry Bardoulat, comme le souligne sa mère...La justice n'ayant pas jugé bon de faire exécuter cette sentence.

Elle « a pris 24 ans » après avoir battu puis tué son compagnon, menti, voulant inverser les rôles (comme souvent dans ces cas-là), empêché qu’il soit sauvé,  et après avoir battu ses 4 précédents compagnons. Elle a fait appel de cette condamnation.

Dans ce doc, la dignité et la détermination de la  mère et la sœur de Thierry bardoulat sont exemplaires et à souligner.

 

 Le doc:

https://www.cesoirtv.com/programme/1061437926/enquetes-criminelles.php

 

Source concernant le procès:

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/dordogne/perigueux/assises-de-la-dordogne-une-femme-jugee-pour-le-meurtre-de-son-conjoint-2238331.html

EXTRAIT:

Sa compagne, qui affirme être victime de violences conjugales, explique d’abord aux enquêteurs avoir bu avec son ami puis s’être disputé. Selon elle, il se serait blessé tout seul après l’avoir tirée par les cheveux. Elle se serait alors enfermée dans la chambre.

Changement de version quelques heures plus tard : la victime aurait voulu la projeter par la fenêtre. Elle se serait alors défendue, le blessant sans le vouloir avec un verre cassé.


Légitime défense, ou acte volontaire ?

Les jurés de la cour d’assises vont devoir déterminer les raisons qui ont abouti à cette issue fatale. Un mois avant le meurtre, Thierry Bardoulat avait porté plainte pour violences aggravées de la part de sa compagne.

Le rapport d’autopsie a établi qu’il pourrait s’agir d’un coup volontaire. L’accusée qui avait 26 ans au moment des faits a été condamnée à plusieurs reprises par la justice pour violences conjugales.

La mère de la victime, Solange Bardoulat, a de multiples attentes : " J'attends que l'on exploite tous les témoignages de ses ex... et j'aimerais que l'on visionne la vidéo qu'elle a tourné à 10 heures le soir du crime. ". Elle attend aussi que soit entendu l'enregistrement de l'appel à police secours et au Samu. 

Autre source:

https://www.charentelibre.fr/un-avocat-angoumoisin-dans-enquetes-criminelles-7174668.php

Il y a 7 heures, MarcThor a dit :

comme d’autres femmes l’ont subie avant et d’autres femmes la subiront encore, sûrement, après.

comme d’autres hommes l’ont subie avant et d’autres hommes la subiront encore, sûrement, après.

( voir message précédent)

Merci d’aller faire de la propagande masculiniste ailleurs. 

Il y a 3 heures, Pheldwyn a dit :

Mais non voyons. La police est républicaine. Ça ne peut donc pas être possible qu'il ait eut ce comportement. C'est Gégé qui le dit.

 

Ah bah voilà, encore un article de ces fouilles merde de Mediapart.

Honteux de colporter ainsi la haine de la police.

Qu’il s’agisse de Mediapart ou d’un autre média, je n’en ai cure.

Il est devenu urgent, vital, que les femmes soient accueillies au moins avec impartialité et décence, au commissariat.

Il est utile et juste que ces façons de faire indignes remontent, par voie de médiatisation, ou bien via une lettre au procureur de la République. 

Les policiers ont un code de déontologie à respecter, que voici (un extrait) : 

Article R. 434-11 - Impartialité

Le policier et le gendarme accomplissent leurs missions en toute impartialité.

Ils accordent la même attention et le même respect à toute personne et n’établissent aucune distinction dans leurs actes et leurs propos de nature à constituer l’une des discriminations énoncées à l'article 225-1 du code pénal.

https://mobile.interieur.gouv.fr/Le-ministere/Deontologie

Il y a 1 heure, Panem&Circenses a dit :

Je plussoie le commentaire au-dessus.

Le niveau d'étude n'a rien à voir avec ce comportement, il s'agit d'une question d'éducation et de formation.

Non, cependant cela se ressent bien sur le procès-verbal (orthographe, grammaire, tournure de phrases).
Le niveau est vraiment très bas, c’est choquant.  

il y a une heure, Jim69 a dit :

Les propos de ce policier sont intolérables. Ce qui est aussi intolérable ce sont les propos des antiflics notoires de ce forum, toujours à trouver une occasion pour taper sur « la police » en général. 
Des cons il y en a partout à la police comme ailleurs, ça ne fait pas de tous les policiers des connards contrairement à ce que disent les gauchistes antiflics du forum. 
Des cons il y en a partout sur ce forum comme ailleurs.

Des cons, il ne devrait pas y en avoir dans la police. Les OPJ ont affaire à des personnes vulnérables. Les victimes qui ont affaire à ces OPJ sont brisées, doublement. C’est catastrophique. 

Lorsque vous êtes pro police et que vous vivez ces injustices, ces violences verbales et psychologiques du fait d’OPJ, votre monde s’écroule, d’autant. 

il y a 55 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Ben du coup pas de formation ou  une formation à veiller à raccrocher correctement le téléphone avant d’insulter ?

Module 1 : comment bien raccrocher le téléphone avant de qualifier de grosse pute ou de gros pédé un plaignant.

Question : la police pour être républicaine ne doit elle pas être diverse et représentative de la population ?

Les misogynes y sont fort bien représentés. Du coup, qu’en fait-on ?