Aller au contenu

épixès

Membre
  • Compteur de contenus

    1 815
  • Inscription

  • Dernière visite

3 abonnés

À propos de épixès

  • Date de naissance 25/07/1974

Informations Personnelles

  • Sexe
    Homme
  • Lieu
    Héricourt, 70400
  • Intérêts
    Philosophie, histoire des sciences, physique, sociologie, histoire, psychologie, cinéma, littérature

Visiteurs récents du profil

8 141 visualisations du profil

épixès's Achievements

Forumeur alchimiste

Forumeur alchimiste (10/14)

  • Dévoué Rare
  • Première semaine terminée
  • Un mois plus tard
  • Un an ici Rare
  • Commence des conversations

Badges récents

2,4 k

Réputation sur la communauté

  1. Eh bien vivement que les fêtes soient passées comme ça nous pourrons retourner à notre bienheureuse indifférence: elles auront toujours froid, mais plus à Noël.
  2. épixès

    Limites de l'univers.

    Et moi cela fait plus de deux ans que j'aime l'idée que vous cessiez d'être dans la critique et le dénigrement mais comme vous ne cessez de le démontrer, la réalité ne correspond pas nécessairement à ce que l'on désire.
  3. épixès

    Limites de l'univers.

    Avant tout je tiens à signaler que je n'ai aucune légitimité particulière pour parler de ce sujet, ce que je vais donc exposer ici n'est que le fruit de ma compréhension des diverses lectures et réflexions que j'ai eu sur le sujet. Nous n'en savons rien mais les deux hypothèses privilégiées en cosmologie sont celles d'un univers infini et celle d'un univers fini sans bords. Pour tenter d'appréhender cette dernière notion il faut se représenter la surface d'une sphère qui est bien finie et pourtant sans bord puis la transposer à notre univers, je sais que l'esprit renâcle à une telle gymnastique mais pourtant cela fait sens mathématiquement. Par définition l'univers est tout ce qui existe, l'univers ne saurait donc être entouré par quoique ce soit, pas plus une atmosphère qu'un espace vide. Demander si l'univers est entouré par quelque chose revient à demander ce qu'il y a au-delà de l'espace. Ce qui nous amène à la question de @Talon 1 Je pense que pour répondre à cette question il faut éclaircir plusieurs notions, à commencer par distinguer l'espace de l'univers. Comme je viens de le dire l'univers est tout ce qui existe, l'espace est donc un élément de l'univers et si c'est une facilité de langage bien compréhensible je pense qu'il est fautif de parler d'expansion de l'univers car cela nous suggère un objet qui grandirait dans l'espace. Il me semble plus juste (mais pas nécessairement plus facile à se représenter) de parler d'expansion de l'espace à l'intérieur de l'univers, un peu comme si il y avait de plus en plus d'espace au sein d'un objet dont la forme et le volume ne varieraient pas. Une des difficultés qui nous empêchent de concevoir cela est que nous avons une compréhension intuitive Newtonienne de l'espace, un espace absolu vu comme le théâtre dans lequel objets et phénomènes prennent place tandis qu'en réalité il faut plutôt le concevoir en terme de relations, un peu à la façon de Leibniz. -Quels scientifiques ? -Il faut bien comprendre que les différentes couches atmosphériques n'ont pas d'existence propre, il y a une atmosphère que nous avons arbitrairement subdivisée par commodité et en fonction de discontinuités dans les variations de température, de la composition chimique, de la densité ou encore de l'altitude. Il est pareillement arbitraire de fixer une limite précise de l'atmosphère puisque celle-ci part de la densité que nous avons au sol puis s'amenuise progressivement pour n'avoir plus que quelques molécules par mètres cubes, ainsi poser une limite nette à un phénomène par nature discontinu est toujours plus une décision humaine qu'une réalité physique mais pour autant, à part dans des récits religieux, je n'ai jamais entendu parler de couches atmosphériques qui entoureraient l'univers. Cela n'a physiquement pas de sens.
  4. Directement sur le viol je ne saurais dire mais il y en a quantité sur les rapports humains en général ou dans des domaines plus restreints comme la séduction, les rapports de pouvoir ou la conformité.
  5. Sur l'influence des vêtements dans la séduction ? Je ne l'ai plus sous la main mais on peut trouver les sources dans "psychologie de la séduction" de Nicolas Guéguen.
  6. Il me semble avoir exprimé exactement le contraire. Vous laissez vos émotions oblitérer votre raison. C'est toute la nuance que je voulais apporter. Oui et non. S'il est vrai que nous sommes tous différents et donc tous attirés ou excités par des choses diverses il n'en reste pas moins vrai que certaines paroles, comportements ou tenues sont plus communément attractifs que d'autres. Sans cela on se demande bien pourquoi beaucoup de chanteuses, influenceuses et autres célébrités adoptent des danses, gestuelles, expressions ou habillements semblables. Si la vérité vous importe plus qu'une posture morale, je vous engage à consulter des ouvrages de psychologie sociale, notamment ceux de Nicolas Guéguen.
  7. Non, pas "surtout", mais "aussi". Ces faits ne sont pas mutuellement exclusifs.
  8. Non ce sont des faits, et les faits ne s'embarrassent pas de sentiments. Ils sont neutres, ils sont objectifs, ils sont. Ce qui ne nous empêche pas nous d'en éprouver, des sentiments. Accepter les faits n'empêche nullement de compatir pour la victime ou de tenir l'agresseur pour seul coupable. Tous nos actes, toutes nos paroles, tous nos choix, toutes nos décisions sont le fruit d'un nombre inimaginable de facteurs aussi bien internes qu'externes et j'en suis désolé si cela vous choque mais affirmer que nous sommes totalement étrangers à ce qui nous arrive est tout simplement faux. Je pense que notre désaccord provient du fait que vous amalgamez causalité et responsabilité morale mais accepter notre implication causale dans une série d'évènements ce n'est pas nécessairement reconnaitre une forme de culpabilité.
  9. La science tire sa légitimité de la preuve, non de la validation personnelle.
  10. C'est factuellement faux. C'est une affirmation péremptoire et non démontrée d'une sociologie privilégiant l'émotion suscitée à l'administration de la preuve et allant à l'encontre des données apportées par la sociologie analytique, la psychologie sociale, l'éthologie, l'anthropologie et même les neurosciences. La façon de se vêtir est une forme de communication non verbale et déclarer que les vêtements ne sont pas en cause constitue une absurdité et un rejet des acquis de la science. Le terme "inciter" est cependant inapproprié car équivoque et permet de supposer une forme de délibération de la victime alors qu'il peut être parfaitement involontaire. Le violeur reste bien entendu le seul coupable mais on ne peut pas laisser se propager ce genre d'inepties au nom d'une moraline consensuelle et d'une épistémologie défectueuse privilégiant le sentiment à la démonstration.
  11. Que des enfants ne doivent pas être exposés ou associés à du contenu pornographique explicite est évident mais après avoir examiné les photographies en question, je n'ai rien vu qui puisse justifier le scandale actuel. Il y a certes deux ou trois éléments incongrus dont la présence ajoute une touche quelque peu transgressive mais il faut vraiment être excessivement puritain pour y voir quoique ce soit d'inconvenant et à fortiori pour motiver les appels à l'anathème que l'on peut constater ici. Mais je sais qu'il est désormais tristement à la mode d'afficher de façon ostentatoire sa supériorité morale en ligne, de scruter les moindres détails d'une image pour y chercher un motif d'indignation, d'interpréter les gestes ou les paroles de tout un chacun de la façon la moins charitable possible afin d'exposer publiquement l'évidente indignité de sa proie puis de la couvrir d'opprobre sans qu'il soit jamais question d'interroger le bien-fondé de cette démarche implacable ou tout simplement de prendre en compte les intentions de la personne fautive. Qu'est devenu la nuance ? qu'est devenu la charité interprétative ? qu'est devenu le pardon ?
  12. Cela fait maintenant plusieurs mois que vous commentez certains de mes post en agrémentant vos observations de qualificatifs peu amènes à mon endroit tels que scientiste, esclave ou encore ennemi des émotions. Admettons que je sois tout cela, je ne le pense pas mais admettons. Etes-vous vraiment convaincu que ce soit en raillant ou injuriant une personne que l'on va la convaincre qu'elle a tort ? Pensez-vous réellement donner le bon exemple auprès de nos éventuels lecteurs ? Estimez-vous que cela vous grandisse ? J'avoue ne pas bien comprendre l'objectif de vos interventions. Si je suis aussi borné que vous semblez le suggérer il m'apparait certain que votre attitude ne peut que renforcer mon supposé dogmatisme. A l'inverse en usant de patience, d'arguments et de respect, peut-être réussiriez-vous à planter une graine, une idée, un doute qui avec le temps germerait en une remise en question plus profonde. C'est assez peu fréquent, j'en conviens, mais sous êtes quelqu'un de brillant et de cultivé, cela me semble à votre portée. Je ne veux pas céder à l'épouvantail de l'essentialisme et considérer que les individus sont ce qu'ils sont, sans possibilité de perfectionnement ou de rédemption. Songez-y.
×