Alcool, tromperies et homosexualité : Netflix déclenche une tempête en Egypte

C'est pas nouveau, ça fait des décennies maintenant que les avocats du groupe salafiste "Frères musulmans" emmerdent les artistes et les écrivains en Égypte.

il y a une heure, metal guru a dit :

mettre leur portable sur la table et partager chaque message ou appel avec l'ensemble du groupe

Quelle bonne idée 

les égyptiens ont oublié que dans l'Antiquité ils baisaient méme avec leur soeur !

les grecs eux , s'enchosaient joyeusement !

les savants grecs étaient entourés d'éphébes etc !!!

Il y a 5 heures, hanss a dit :

Quelle bonne idée 

Mais prévoir avant de planquer tous les flingues et tout ce qui coupe.

Il y a 6 heures, korvo a dit :

C'est pas nouveau, ça fait des décennies maintenant que les avocats du groupe salafiste "Frères musulmans" emmerdent les artistes et les écrivains en Égypte.

pas seulement en Egypte , ils sont très actifs chez nous aussi !

Le 25/01/2022 à 21:59, boeingue a dit :

les égyptiens ont oublié que dans l'Antiquité ils baisaient méme avec leur soeur !

 

Exact, par exemple, Akhenathon (pas le rappeur) et sa soeur ont donné vie à Toutankhamon. Cléopâtre avant de connaitre le glaive de ce bon Jules César avait été mariée à son frère ainé puis son jeune frère. 

Le 25/01/2022 à 18:10, metal guru a dit :

"Ashab wala Aaz", remake égyptien du long-métrage italien à succès "Perfect Strangers", figure en tête des dix films les plus regardés sur Netflix dans le monde arabe, et en France.

 

Netflix voulait frapper un grand coup avec Ashab wala Aaz (Les meilleurs amis du monde en arabe), sa première production panarabe. Objectif atteint : en Egypte, le plus peuplé des pays arabes, certains s'agitent pour le bannir et les autres se pressent pour le voir. C'était la sensation attendue du début d'année : le film (lien en anglais) réunit des acteurs connus du Liban et d'Egypte, les deux mastodontes de la pop culture arabe. Et il est le remake du long-métrage italien à succès Perfect Strangers dont la version française, Le jeu, a déjà fait un carton sur la plateforme en ligne. Trois jours après sa sortie, Ashab wala Aaz, qui raconte un jeu entre amis qui tourne mal, figure en tête des dix films les plus regardés sur Netflix dans le monde arabe, et en France sous le titre On se connaît... ou pas. 

"Valeurs familiales"

Un avocat égyptien a saisi le ministère de la Culture et le service de la censure pour faire "interdire" un film qui, selon lui, "vise à briser les valeurs familiales" et le très zélé député Moustafa Bakri a réclamé une session extraordinaire du Parlement pour se pencher sur la question. L'histoire est celle de trois couples, deux Libanais, un Egyptien, qui se retrouvent pour un dîner arrosé. Au cours de la soirée, ils acceptent de se prêter à un jeu : mettre leur portable sur la table et partager chaque message ou appel avec l'ensemble du groupe. Des épouses découvrent des maîtresses, des amis des trahisons, des maris des liaisons et le groupe que l'un d'eux est homosexuel, le tout dans un quasi huis-clos.

"Défendre l'homosexualité"

Moustafa Bakri, lui, assure avoir scruté chaque plan. Résultat ? "Il y a plus de vingt scènes pornographiques", assène-t-il , alors qu'aucune scène érotique, pas même un baiser, n'apparaît dans le film, que Netflix interdit aux moins de 16 ans pour son langage grossier. Le député, qui s'érige régulièrement en gardien des mœurs, est allé sur tous les plateaux des talk-shows les plus suivis du pays de 102 millions d'habitants pour réclamer rien moins que l'interdiction pure et simple de Netflix en Egypte. Le tort d'Ashab wala Aaz ? Montrer un père discuter avec sa fille de sa première relation sexuelle après la découverte de préservatifs dans son sac par sa mère et "défendre l'homosexualité alors que nous sommes une société orientale", accuse Moustafa Bakri. "Il y a une différence entre ne pas dénoncer un phénomène et l'encourager", répond le critique de cinéma Tarek al-Chennaoui dans un pays où l'homosexualité n'est pas expressément prohibée, mais où la répression des personnes LGBTQ+ s'est accrue depuis l'élection du président Abdel Fattah al-Sissi en 2014. Et surtout, selon le critique, le cinéma égyptien n'a jamais été frileux.

https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/egypte/alcool-tromperies-et-homosexualite-netflix-declenche-une-tempete-en-egypte_4929111.html

Des scènes pornographiques sur Netflix, ne me faites pas rire SVP   !

"Montrer un père discuter avec sa fille de sa première relation sexuelle après la découverte de préservatifs dans son sac par sa mère et "défendre l'homosexualité alors que nous sommes une société orientale"

Ridicule !

Comme si dans une société orientale l'homosexualité n'existait pas.

Dans certains pays arabes, l'homosexualité est bien visible, que ce soit en Egypte, Maroc et Tunisie !

Le 25/01/2022 à 18:10, metal guru a dit :

"Ashab wala Aaz", remake égyptien du long-métrage italien à succès "Perfect Strangers", figure en tête des dix films les plus regardés sur Netflix dans le monde arabe, et en France.

 

Netflix voulait frapper un grand coup avec Ashab wala Aaz (Les meilleurs amis du monde en arabe), sa première production panarabe. Objectif atteint : en Egypte, le plus peuplé des pays arabes, certains s'agitent pour le bannir et les autres se pressent pour le voir. C'était la sensation attendue du début d'année : le film (lien en anglais) réunit des acteurs connus du Liban et d'Egypte, les deux mastodontes de la pop culture arabe. Et il est le remake du long-métrage italien à succès Perfect Strangers dont la version française, Le jeu, a déjà fait un carton sur la plateforme en ligne. Trois jours après sa sortie, Ashab wala Aaz, qui raconte un jeu entre amis qui tourne mal, figure en tête des dix films les plus regardés sur Netflix dans le monde arabe, et en France sous le titre On se connaît... ou pas. 

"Valeurs familiales"

Un avocat égyptien a saisi le ministère de la Culture et le service de la censure pour faire "interdire" un film qui, selon lui, "vise à briser les valeurs familiales" et le très zélé député Moustafa Bakri a réclamé une session extraordinaire du Parlement pour se pencher sur la question. L'histoire est celle de trois couples, deux Libanais, un Egyptien, qui se retrouvent pour un dîner arrosé. Au cours de la soirée, ils acceptent de se prêter à un jeu : mettre leur portable sur la table et partager chaque message ou appel avec l'ensemble du groupe. Des épouses découvrent des maîtresses, des amis des trahisons, des maris des liaisons et le groupe que l'un d'eux est homosexuel, le tout dans un quasi huis-clos.

"Défendre l'homosexualité"

Moustafa Bakri, lui, assure avoir scruté chaque plan. Résultat ? "Il y a plus de vingt scènes pornographiques", assène-t-il , alors qu'aucune scène érotique, pas même un baiser, n'apparaît dans le film, que Netflix interdit aux moins de 16 ans pour son langage grossier. Le député, qui s'érige régulièrement en gardien des mœurs, est allé sur tous les plateaux des talk-shows les plus suivis du pays de 102 millions d'habitants pour réclamer rien moins que l'interdiction pure et simple de Netflix en Egypte. Le tort d'Ashab wala Aaz ? Montrer un père discuter avec sa fille de sa première relation sexuelle après la découverte de préservatifs dans son sac par sa mère et "défendre l'homosexualité alors que nous sommes une société orientale", accuse Moustafa Bakri. "Il y a une différence entre ne pas dénoncer un phénomène et l'encourager", répond le critique de cinéma Tarek al-Chennaoui dans un pays où l'homosexualité n'est pas expressément prohibée, mais où la répression des personnes LGBTQ+ s'est accrue depuis l'élection du président Abdel Fattah al-Sissi en 2014. Et surtout, selon le critique, le cinéma égyptien n'a jamais été frileux.

https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/egypte/alcool-tromperies-et-homosexualite-netflix-declenche-une-tempete-en-egypte_4929111.html

Netflix a mauvaise presse sur les mêmes sujets en dehors du monde arabo-musulman, peut-être que le soucis c'est Netflix ?

il y a 27 minutes, Anatole1949 a dit :

 

Comme si dans une société orientale l'homosexualité n'existait pas.

Dans certains pays arabes, l'homosexualité est bien visible, que ce soit en Egypte, Maroc et Tunisie !

Oui mais dans ces pays là :

           Tout se sait,tout se fait et tout se tait!

                       C'ètait pareil ici il n'y a pas si longtemps!

il y a 3 minutes, new caravage a dit :

Oui mais dans ces pays là :

           Tout se sait,tout se fait et tout se tait!

                       C'ètait pareil ici il n'y a pas si longtemps!

On peut dire ça !

Un peu d'évolution ne ferait pas de mal chez certains.

Le 25/01/2022 à 21:59, boeingue a dit :

les égyptiens ont oublié que dans l'Antiquité ils baisaient méme avec leur soeur !

 

les grecs eux , s'enchosaient joyeusement !

 

les savants grecs étaient entourés d'éphébes etc !!!

Ha bon, seulement dans l'antiquité ?

Il y a 1 heure, .iO a dit :

Netflix a mauvaise presse sur les mêmes sujets en dehors du monde arabo-musulman, peut-être que le soucis c'est Netflix ?

Quel serait le souci sur ces mêmes sujets ?

il y a 37 minutes, metal guru a dit :

Quel serait le souci sur ces mêmes sujets ?

Je crois qu'il y a une certaine saturation et beaucoup d'affaires montrent qu'il y a une (ré)orientation dans les productions, je ne suis pas fan de la voie globale du monde arabo-musulman mais je ne leur souhaite pas de suivre la Voie Netflix pour autant.

Il y a 3 heures, new caravage a dit :

Oui mais dans ces pays là :

           Tout se sait,tout se fait et tout se tait!

                       C'ètait pareil ici il n'y a pas si longtemps!

Tu as raison même si chez nous certaines choses commencent à s'inverser, tout ne se fait pas forcement même si certains voudraient l'imposer, et Netflix est une chaine de propagande, un parfait exemple la série Woke, la production à demandé aux réalisateurs de taper que sur les blancs, à tel point que les réalisateurs noir ne voulaient plus suivre pareil propagande raciste, au final Netflix à embauché un réalisateur blanc, quelle ironie, non ?

L'interdire ? Non bien-sur que non ! Mais chacun est libre d'être contre cette propagande, chacun est libre de regarder et donc leurs payer un abonnement ou non et de critiquer selon sa philosophie de vie.

il y a 31 minutes, .iO a dit :

Je crois qu'il y a une certaine saturation et beaucoup d'affaires montrent qu'il y a une (ré)orientation dans les productions, je ne suis pas fan de la voie globale du monde arabo-musulman mais je ne leur souhaite pas de suivre la Voie Netflix pour autant.

Les productions américaines, principalement Netflix est vérolé par l'influence woke à tel point que c'est une propagande toute aussi intolérante que ce qu'ils veulent dénoncer, voir pire encore.

Il y a 2 heures, .iO a dit :

Je crois qu'il y a une certaine saturation et beaucoup d'affaires montrent qu'il y a une (ré)orientation dans les productions, je ne suis pas fan de la voie globale du monde arabo-musulman mais je ne leur souhaite pas de suivre la Voie Netflix pour autant.

Je ne comprends pas ce dont tu parles, c'est de la culture woke dont il s'agit ?

il y a 24 minutes, metal guru a dit :

Je ne comprends pas ce dont tu parles, c'est de la culture woke dont il s'agit ?

Ce que je veux dire c'est que ce n'est pas parce qu'ils apprécieraient que c'est bon pour eux quoi.

il y a 36 minutes, .iO a dit :

Ce que je veux dire c'est que ce n'est pas parce qu'ils apprécieraient que c'est bon pour eux quoi.

C'est vrai pour une partie de la population de chaque pays quand tu parles de religion, de sexualité, de droit, d'émancipation d'avancées sociales ou philosophiques ou de coutumes. Est ce que les paraboles, internet, l'ouverture vers d'autres univers sont bonnes pour eux alors que ces vecteurs de communication ont mauvaises presse dans certains pays ?

il y a une heure, metal guru a dit :

C'est vrai pour une partie de la population de chaque pays quand tu parles de religion, de sexualité, de droit, d'émancipation d'avancées sociales ou philosophiques ou de coutumes. Est ce que les paraboles, internet, l'ouverture vers d'autres univers sont bonnes pour eux alors que ces vecteurs de communication ont mauvaises presse dans certains pays ?

Dans ce cas je dirai est ce que l'ingérence étasunienne est une bonne chose ? Je pense que c'est une mauvaise chose de sous estimer le fameux "soft power" qui pourrait un jour se targuer d'avoir contribué à quelconques délivrances dans ces pays là, si il y devait y avoir des réformes à faire dans les pays orientaux faut qu'ils puissent les faire eux mêmes. Mais c'est compliqué je ne suis pas égyptien ni musulman mais en me mettant à leur place je me demande combien de temps je tiendrais dans la schizophrénie ??

Surtout il faudrait que le cinéma égyptien perce et fasse parler de lui sur place, c'est un peu comme en France, est ce que ce sont les film français qui marche le plus en France, et si non pourquoi ?