"je vis avec un homme déconstruit et j'en suis super heureuse" (Sandrine Rousseau)

Le 12/12/2021 à 00:35, Garlaban a dit :

... et tu as besoin "d'un homme déconstruit" pour tout ça ? ... plein de types aimants, sympas et bien montés peuvent t'assurer le même service.

Pensée matriarcale à déconstruire qui fait de l’homme un objet dont l’intérêt principal se limite aux dimensions de ce qu’il a dans le slip

Le 12/12/2021 à 08:37, chanou 34 a dit :

Ah mais il ne s'agit pas de retourner en arrière...mais d'avancer tout simplement. De passer à autre chose.

Ah ben si passer à autre chose du coup serait un retour en arrière . @hanss tu as prévu de passer à autre chose ? Une paire d’espadrilles recyclable à l’année ?

Le 12/12/2021 à 08:38, DroitDeRéponse a dit :

 

 

Ah ben si passer à autre chose du coup serait un retour en arrière . @hanss tu as prévu de passer à autre chose ? Une paire d’espadrilles recyclable à l’année ?

Bon j'arrête là DDR...vous savez parfaitement ce que je veux dire, et je n'ai aucune envie de me prêter à votre jeu rhétorique. A la longue c'est lassant.

Le 12/12/2021 à 08:24, DroitDeRéponse a dit :

Quel mépris pour nos aînées . Non mes grands mères et arrière-grand-mères ne faisaient pas autorité que dans leur cuisine . Tes idées toutes faites sont vraiment à déconstruire 

 

On peut y aller de nos exemples personnels édifiants, pas de problème. Ma grand-mère était la matriarche de la famille, sans conteste, elle gérait les 8 enfants, l'argent du foyer, une femme forte que j'ai admirée et aimée comme un modèle.

N'empêche qu'avant Giscard (je crois), elle aurait été à la rue ou l'assistance publique sans l'argent versé par ses enfants   : aucune retraite, la pension de reversion quasi inexistante de mon grand père décédé. D'un point de vue économique, cette femme n'était plus rien à la mort de son époux (qui  est survenu assez tôt dans sa vie). Et ce n'est pas la seule.

Ce ne sont donc pas des idées toutes faites, c'est la dure réalité il me semble.

Le 12/12/2021 à 08:38, DroitDeRéponse a dit :

Pensée matriarcale à déconstruire qui fait de l’homme un objet dont l’intérêt principal se limite aux dimensions de ce qu’il a dans le slip

 

@Garlabanest une femme ??

On ne nous dit pas tout !!

Le 12/12/2021 à 08:38, DroitDeRéponse a dit :

Pensée matriarcale à déconstruire qui fait de l’homme un objet dont l’intérêt principal se limite aux dimensions de ce qu’il a dans le slip

Pensée ultra patriarcale d'un homme qui tente de se mettre dans la culotte d'une femme.

Et qui échoue lamentablement

Le 12/12/2021 à 08:50, Beebee a dit :

Pensée ultra patriarcale d'un homme qui tente de se mettre dans la culotte d'une femme.

Et qui échoue lamentablement

Serait-ce le... nœud du problème ?

Le 12/12/2021 à 08:43, chanou 34 a dit :

Bon j'arrête là DDR...vous savez parfaitement ce que je veux dire, et je n'ai aucune envie de me prêter à votre jeu rhétorique. A la longue c'est lassant.

Vous confondez rhétorique et galéjade. 
Et non je ne sais pas parfaitement ce que vous voulez dire mais aucune importance puisque vous donnez à mon propos un but qu’il n’a pas .

Ceci dit si vous alliez sur ce terrain il est à noter que si il y aurait bien retour en arrière pour plus d’une ….

Le 12/12/2021 à 08:50, Beebee a dit :

Pensée ultra patriarcale d'un homme qui tente de se mettre dans la culotte d'une femme.

Et qui échoue lamentablement

Je pense effectivement d’où ma réponse .

Le 12/12/2021 à 08:53, Mite_Railleuse a dit :

Serait-ce le... nœud du problème ?

Bien sûr . D’ailleurs papa Freud a largement travaillé le sujet . C’est bien là le noeud gordien qui crée une assurance chez le mâle qui fera défaut à madame . Plus c’est gros et mieux ça passe

Le 12/12/2021 à 08:34, DroitDeRéponse a dit :

Les droits acquis par @hanss en 1965 sont inaliénables, il n’y aura pas de retour en arrière , tous les Dimanche de décembre les magasins de fringues et de pompes sont ouverts .

 

Non je suis pas en train de me garer sur un des parkings de Jaude. Je vous interdit de dire ça. 

Le 12/12/2021 à 08:55, DroitDeRéponse a dit :

.

Bien sûr . D’ailleurs papa Freud a largement travaillé le sujet . C’est bien là le noeud gordien qui crée une assurance chez le mâle qui fera défaut à madame . Plus c’est gros et mieux ça passe

 

           Freud est un escroc à déconstruire!!

Le 12/12/2021 à 09:43, new caravage a dit :

           Freud est un escroc à déconstruire!!

Escroc je sais pas...Mais il a effectivement fait beaucoup de mal, et continue à en faire.

Le 12/12/2021 à 09:43, new caravage a dit :

           Freud est un escroc à déconstruire!!

Non la psy c’est scientifique ne tombons pas dans l’obscurantisme 

D'après Freud, la fillette, au cours de jeux avec ses camarades, se rend compte qu'elle ne possède pas de pénis, cette découverte est parfois vécue comme une frustration, une privation et suppose que son propre sexe est tronqué.

Cette découverte serait un des moments constitutifs de la personnalité féminine.

L'envie du pénis est donc d'après Freud, le fantasme féminin de récupération du pénis manquant. Freud envisage plusieurs manières de récupération, chacune caractéristique de la psyché féminine : la fillette peut tenter de devenir le phallus, par le biais de l'esthétique, de la beauté. Elle peut aussi incorporer fantasmatiquement le pénis, le garder en elle et le restituer par la naissance d'un enfant : Freud explique ainsi la sexualité féminine qu'il envisage parfois comme « cannibale », ainsi que la tendance à la fusion maternelle : l'enfant étant investi comme pénis, la mère ne peut envisager de s'en séparer sous peine de perdre le pénis.

La théorie psychanalytique de l'hystérie fait appel (entre autres) au concept de l'envie du pénis, de par son lien avec la féminité : l'hystérique tenterait à travers ses symptômes à la fois de dire le désir incestueux pour le père, mais aussi par certaines paralysies de restituer l'existence d'un pénis fantasmé, incorporé.

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Envie_du_pénis
 

Par contre selon ces thèses féministes ne faut-il pas s’inquiéter de la GPA pour toutes qui pourrait du coup amener à la névrose ?

Critiques féministesModifier

À partir des années 1960, les débats féministes débutent en France sur cette question avant de s'internationaliser durant les années 1970^[1].

Gayatri Chakravorty Spivak tente de repenser la spécificité sexuelle féminine : « Notre tâche dans la réécriture du texte de Freud n’est pas tant de déclarer qu’il faut rejeter l’envie du pénis, que d’amener à la pensée l’idée d’une envie du ventre comme quelque chose qui interagit avec l’idée de l’envie du pénis pour déterminer la sexualité humaine et la production de la société^[2]. »

Le 12/12/2021 à 09:47, chanou 34 a dit :

Escroc je sais pas...Mais il a effectivement fait beaucoup de mal, et continue à en faire.

D’ailleurs n’est il pas un des pères de la promotion du canapé ?

Le 12/12/2021 à 09:48, DroitDeRéponse a dit :

D’ailleurs n’est il pas un des pères de la promotion du canapé ?

Je n'y avais pas pensé mais...

y a de l'idée!

Le 11/12/2021 à 22:22, hanss a dit :

Ah d’accord mais là tu décris des malades mentaux pervers et hors la loi. Là il ne me semble pas que ces cas traduisent le fait qu’un mec refuse l’égalité. Il y a des mecs lambda,  non violents qui ne harcèlent personne au travail et qui pensent par ex que reprendre le travail pour une femme aux 3 mois de l’enfant est trop tôt et pour elle et pour l’enfant. que penses tu de ce genre d’hommes? 

Des malades mentaux, pas forcément. Certains hommes n'ont même pas conscience de leur misogynie, tout comme la société n'en était pas consciente jusqu'à une certaine époque : si les lois étaient discriminatoires, les gens se disaient que c'en était ainsi depuis toujours, les femmes y compris bien souvent. Et celles qui estimaient que ce n'était pas normal, elles avaient rarement le pouvoir de se faire entendre.

Vers la fin des années 70, quand on a commencé à voir des femmes accéder, de plus en plus, à des postes auparavant masculins, notamment dans la police, cela a fait rire beaucoup d'hommes : il était alors fréquent d'entendre des phrases du style "On en reparlera quand il faudra porter quelque chose de lourd".

De nos jours, l'égalité va de soi, partout, mais certains hommes, en leur for intérieur, aimeraient un rétropédalage vers la société d'avant.

Discriminations en tous genres, que cela soit de l'ordre d'un simple physique qui déplait, le fait de ne pas correspondre aux modes établi par la généralité dans la société, aussi, l'âgisme, les personnes en situations de handicap, quelque soit les raisons du handicap, ou de plusieurs formes de handicaps, dés que différents des autres, qui se prétendent être dans la norme, ou que beaucoup pensent qu'il le soient en tous cas, bref ! Hommes ou femmes, peut importe l'appartenance au sexe, nous semblons tous subir en bien des domaines que cela soit, la discrimination dès l'instant où vous ne figurez pas dans la dite "norme" imposé par la société, que vous ne figurez pas dans la bonne case. Une certaine forme de dictature du paraître en somme. Il faut être plus comme cela, que comme ceci, apparences physique, niveau intellectuel, façon de se vêtir, de présenter, peut être aussi votre façon de marcher, de pauser vos fesses sur une chaise, de parler, regards en plus, bref, tout ce qui permet de vous ficher bon ou pas, de vous classer ou classifier, de vous caser fonction des attentes dans la société, au milieux de travail et de par votre scolarité, j'en passes...... Beaucoup de femmes, même d'hommes sont impitoyable dans leur procédé à sélectionner qui leur plait ou pas, qui répondra au mieux de leurs milles caprices délirants, pensant être mieux que quiconque, bourrés finalement de prétentions de leur piètre personne minable. J'ai eu loisir lors de quelques achats à faire en magasin, de voir des pétases de caissières faire des rizettes à des beau jeunots, des personnes aussi qui en avaient plein leur cadis, leurs sacs,...., à qui elles souriaient niaisement d'ailleurs, que lorsque d'autres plus âgés, moins attrayant physiquement, et encore moins si "handicapé se trouvant à se tenir avec une béquille, un déambulateur....., là par contre, plus ou pas de sourire, des bonjour à peine audible, des paroles étouffées et j'en passe de conneries..... " Au fait, qui de ces tarés devrait on regarder de travers, discriminer ? Ne devrait on pas ficher plutôt ce genres d'abrutis ? Des énergumène qui ont le sentiment de ne pas faire partie du même monde, d'être mieux , de ne pas risquer de vieillir, de se trouver tôt ou tard, eux même, handicapé, en fauteuil roulant , déambulateur, béquille etc..... ? A étudier comme sujet. Et bien à développer de ces débiles qui discriminent les différents, ceux et celles qui en fait les dérange. Peut être justement, par trouille de finir eux même comme ces dits "handicapés", les vieux, les malades, les moches..... mais un dictons dit, "La peur n'évite pas le danger". Je rajoute, les risque de finir, non seulement comme ceux et celles que la société, les débiles rejette(ent) pour faute de différences,...., mais au final, pour un jour, être rejeter car pas ou plus, dans la "norme". Qu'est ce être normal quand on est franchement con et couillon ?....

Le 12/12/2021 à 00:35, Garlaban a dit :

... et tu as besoin "d'un homme déconstruit" pour tout ça ? ... plein de types aimants, sympas et bien montés peuvent t'assurer le même service.

Je sais, mais justement, Sandrine Rousseau, d'une certaine façon, était ironique, renvoyant à une certaine frange de la politique d'extrême droite leur vision d'un homme déconstruit parce que ne répondant plus aux critères du patriarcat. L'homme de sa vie n'est évidemment qu'un homme déconstruit au regard de types comme Zemmour, mais au moins elle est heureuse avec.

Le 12/12/2021 à 08:24, DroitDeRéponse a dit :

Quel mépris pour nos aînées . Non mes grands mères et arrière-grand-mères ne faisaient pas autorité que dans leur cuisine . Tes idées toutes faites sont vraiment à déconstruire 

Ce n'était qu'à prendre au second degré, faut se détendre, un petit peu !

Le 12/12/2021 à 11:13, Doïna a dit :

Je sais, mais justement, Sandrine Rousseau, d'une certaine façon, était ironique, renvoyant à une certaine frange de la politique d'extrême droite leur vision d'un homme déconstruit parce que ne répondant plus aux critères du patriarcat. L'homme de sa vie n'est évidemment qu'un homme déconstruit au regard de types comme Zemmour, mais au moins elle est heureuse avec.

Nan « déconstruit » n’est pas un terme d’extrême-droite 

Le 12/12/2021 à 11:13, Doïna a dit :

Ce n'était qu'à prendre au second degré, faut se détendre, un petit peu !

Ce n'était qu'à prendre au second degré, faut se détendre, un petit peu !

Le 12/12/2021 à 08:24, DroitDeRéponse a dit :

VGE et la droite libéreront son corps .

Giscard a fait avancer les choses, c'est vrai : avec Simone Veil dans son gouvernement qui a lutté contre vents et marées pour imposer le droit à l'avortement, et puis il y a eu la campagne "Allez la femme" avec la femme qui battait les hommes à la course dans la pub, et l'allocation parent isolé pour les mères célibataires. 

Le 12/12/2021 à 11:17, Doïna a dit :

Giscard a fait avancer les choses, c'est vrai : avec Simone Veil dans son gouvernement qui a lutté contre vents et marées pour imposer le droit à l'avortement, et puis il y a eu la campagne "Allez la femme" avec la femme qui battait les hommes à la course dans la pub, et l'allocation parent isolé pour les mères célibataires. 

Oui c’est dommage que certaines féministes dénaturent et s’accaparent cet héritage du centre droit néolibéral

Le 12/12/2021 à 11:16, DroitDeRéponse a dit :

Nan « déconstruit » n’est pas un terme d’extrême-droite

Cependant, bien des figures de l'extrême droite comme Zemmour critique l'homme hors patriarcat, qui sont perçus comme efféminés, etc. 

bonjour

si un homme est déconstruit , comment est-il reconstruit vis à vis de la femme en question?

ou reste-t-il déconstruit sous qu'elle genre ou situation ?

bonne journée