Aller au contenu

La douleur physique


Invité

Messages recommandés

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Nous n'avons pas les mêmes seuils de ressenti, ni même les mêmes seuils de résistance, Douleurs chroniques ou temporaires.

Quelle place la douleur a t elle dans votre vie,  comment la supportez vous, comment la gérez vous ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, Raven, 42ans Posté(e)
Mak Marceau Membre 5 697 messages
42ans‚ Raven,
Posté(e)

Ça fait pas grand chose. Mais j'ai hâte que ça arrête. Je suis très fort selon moi.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 67ans Posté(e)
pic et repic Membre 14 402 messages
Maitre des forums‚ 67ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, Yemaia a dit :

Nous n'avons pas les mêmes seuils de ressenti, ni même les mêmes seuils de résistance, Douleurs chroniques ou temporaires.

Quelle place la douleur a t elle dans votre vie,  comment la supportez vous, comment la gérez vous ?

bonjour,

il n'existe pas de système "fiable" pour "quantifier" la douleur...c'est pour cela qu'on vous demande de l'estimer à votre aulne !

petite anecdote :

comme tout le monde, j'ai eu "quelques" douleurs qui m'ont fait estimer ma résistance à celles ci.

il y a quelques années j'ai souffert d'une rupture d'une calcification à l'épaule .

je n'ai pas fermé l’œil pendant 3 nuits ( ou à peine ) tant la douleur était intense ( surtout en position allongée ) ...les antidouleurs n'ayant pratiquement aucune efficacité , j'avais l'impression que l'on me plantait un clou dans l'épaule chaque fois que je m'allongeais , la position assise était un peu plus supportable !

cette "expérience" a fait considérablement varier mon curseur ( 1 à 10 ) sur la douleur .

quand je suis retourné voir mon médecin, celui-ci m'a dit : on tient en général 2 à 3 jours maximum !.....traitement : 1 injection sous radio d'un anti-inflammatoire directement dans l'articulation ( préférable au traitement per os  ) et je suis rentré à la maison tant bien que mal ....je me suis allongé et dans les 10 secondes qui ont suivi : je me suis endormi pour 6 heures de rang !

les douleurs chroniques sont les plus difficiles à supporter mais il existe dans la pharmacopée des molécules permettant de "leurrer" la perception de celles-ci

bonne journée.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Devezh mat, 130ans Posté(e)
soisig Membre 29 641 messages
130ans‚ Devezh mat,
Posté(e)

J'ai un seuil de tolérance à la douleur très élevé? Je ne suis pas héroïque, je serais même plutôt douillette, mais je suis née comme ça.

L'inconvénient est qu'il faut que je sois toujours attentive aux petites douleurs, aux sensations ... qui peuvent masquer des soucis plus importants.

L'avantage, je me retape plus vite.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Talon 1, 78ans Posté(e)
Talon 1 Membre 22 889 messages
78ans‚ Talon 1,
Posté(e)

La douleur est utile à notre conservation. Elle nous prévient d'un dysfonctionnement. Les maladies dites silencieuses sont les plus dangereuses.

Les Spartiates mettaient un caillou dans leur chaussure quand ils souffraient des dents.

Une douleur volontaire est plus supportable qu'une involontaire.

Toutes les douleurs sont physiques. Les douleurs dites morales sont reconnues parce qu'elles affectent (impactent:bad:) le corps.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 3 minutes, Talon 1 a dit :

La douleur est utile à notre conservation. Elle nous prévient d'un dysfonctionnement. Les maladies dites silencieuses sont les plus dangereuses.

Les Spartiates mettaient un caillou dans leur chaussure quand ils souffraient des dents.

Une douleur volontaire est plus supportable qu'une involontaire.

Toutes les douleurs sont physiques. Les douleurs dites morales sont reconnues parce qu'elles affectent (impactent:bad:) le corps.

Lorsque vous êtes malheureux vous avez mal où dans votre corps ? Lorsque vous voulez mourir vous avez mal où dans votre corps ? 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Talon 1, 78ans Posté(e)
Talon 1 Membre 22 889 messages
78ans‚ Talon 1,
Posté(e)
il y a 28 minutes, Yemaia a dit :

Lorsque vous êtes malheureux vous avez mal où dans votre corps ? Lorsque vous voulez mourir vous avez mal où dans votre corps ? 

Estomac noué. Emballement cardiaque. Eruptions cutanées.

Vouloir mourir est une souffrance ou la conséquence d'une souffrance ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 12 minutes, Talon 1 a dit :

Estomac noué. Emballement cardiaque. Eruptions cutanées.

Vouloir mourir est une souffrance ou la conséquence d'une souffrance ?

Pas forcément. On peut être triste sans douleur corporelle.

Les idées suicidaires sont liées à des dépressions, dont certaines sont d'ordre neurochimiques. On n'a pas mal à ses neurones. 

Donc bref. Je parle de douleurs dans le corps pour différencier celles qui d'ordre psychologique ou affective. 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Etaine
Invités, Posté(e)
Invité Etaine
Invité Etaine Invités 0 message
Posté(e)

A maladie chronique, douleurs chroniques et poussées.

Gestion par antidouleurs quotidiens pallier II et AINS en poussées.

Pour les méthodes naturelles, relaxation et chaleur.

Le suivi au centre anti douleur peut aussi aider.

Comment je supporte ? Comme je peux, l'habitude, mais pas la résignation.

Il y des jours corrects, d'autres moins, et d'autres encore particulièrement difficiles.

Bon courage à tous.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
Passiflore Membre 19 425 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, Yemaia a dit :

Je parle de douleurs dans le corps pour différencier celles qui d'ordre psychologique ou affective. 

 

Douleurs psychiques et physiques intimement liées, découlant l'une de l'autre; si on a mal psychiquement, des douleurs physiques se réveilleront.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, paradoxe sur pattes, 54ans Posté(e)
koadeg Membre 4 167 messages
54ans‚ paradoxe sur pattes,
Posté(e)

rendez vous à 15 h pour passer sous morphine. Il y a des moments où la douleur n'est plus gérable. (2 cachets de tramadole doivent me calmer à peine 1 h).

Surtout lorsqu'elle dure depuis des mois avec des phases ok et des phases je ne peux sortir du lit. Cela a bien sûr des répercussions sur mon emploi avec un ultimatum de mon patron : tant que tu n'as trouvé de solutions, reste chez toi !

Je ne me considère pas comme quelqu'un de douillet. Heureusement pour moi !

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 75ans Posté(e)
Ximène Membre 9 502 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
Posté(e)

la douleur , je vis avec en permanence ( arthrose avancée des cervicales , des genoux et des doigts ) elle m'oblige à une sédentarité qui n'est pas dans mon tempérament , alors je fais " comme si " tant que c'est supportable pour moi et quand les douleurs sont trop fortes je les trompe en lisant , en forumant ou en faisant des mots croisés pour ne pas y penser , il faut tromper l'ennemi !

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre+, ✖►, Posté(e)
Kai Membre+ 7 167 messages
✖►,
Posté(e)

La pire douleur que j'ai dû ressentir jusqu'à présent, c'était une douleur assez atroce qui partait des cervicales pour aller jusqu'au poignet ... tout le bras gauche, mais les douleurs étaient les plus fortes aux niveaux des articulations, je le ressentais particulièrement à l'épaule le  plus "fort". En plus de la douleur, une sensation de "faiblesse" dans le bras atteint, je me souviens que j'avais voulu prendre une bouteille d'eau minérale au frigo, je l'avais laissé tombé par terre, trop lourde ou je sais pas, j'avais comme l'impression que mon bras c'était du coton ... des décharges électriques et comme des coups de poignard dans l'épaule et l'omoplate ... Pas moyen de dormir pendant presque 3 semaines, je ne pouvais pas rester allongée (ça empirait encore plus la douleur que quand j'étais debout, j'avais pourtant acheté un coussin ergonomique pour les cervicales mais sans grand effet ..), même assise je pouvais pas, ou difficilement, je tenais 3 minutes chrono en main, après j'arrêtais pas de me tenir l'épaule, de la masser, de la triturer voir de me pincer ailleurs pour faire une autre douleur dans  l'espoir de leurrer mon cerveau sur une autre douleur provoquée .... (parfois ça marchait, pas toujours et quand c'était le cas c'était l'espace de quelques secondes, très brièvement malheureusement) ça passait pas, le Doliprane ne faisait RIEN du tout, que dalle .... zéro.  Le seul truc qui me soulageait c'était de marcher, de faire les 100 pas tout le jour et toute la nuit, je restais debout touuuut le temps, j'étais crevée et sur les nerfs, je finissais par pleurer ...  de douleur (et de fatigue cumulée peut être aussi, j'étais épuisée) ! C'était insupportable ... Je dois pas avoir un seuil de tolérance très élevé mais c'était vraiment horrible. 2 mois à supporter ça, enfin 1 mois seulement parce qu'après un médecin a réussi à me trouver des antalgiques plus efficaces que le paracétamol ou les Lamaline, Migralgine et autre cachets qui ne faisaient pas grand chose sur mes douleurs ou si peu ...

Je suis passée au Tramadol, un soulagement qui est arrivé assez vite parce qu'un peu plus fort que ce que j'avais essayé jusque là, et qui me permettait de dormir et tenter de me reposer, de récupérer un peu pour aider à guérir. Impossible de bosser dans l'état où j'étais, je porte des charges lourdes au boulot à longueur de temps et je conduis des engins également, c'est assez physique et j'avais le bras complètement HS, après avec le Tramadol  je me sentais de reprendre parce que ça supprimait bien mes douleurs, 2 cachets par prise ça me faisait tenir 5 ou 6h sans douleur presque avant la prochaine  prise, super génial quoi je revivais et j'étais tellement contente !!! ... mon employeur n'était pas aussi chaud que moi de me voir revenir, quand bien même il manquait de personnel à ce moment là, il avait besoin mais il a demandé au médecin du travail de valider mon retour avant que je ne revienne, c'est pas passé, celle ci à tilté sur la conduite d'engins et de chariots élevateurs et sous ce genre de médication antalgique, elle a refusé de valider ma reprise la vieille sorcière, elle m'a sommé de faire rallonger mon arrêt tout le temps que je serais contrainte à avoir à prendre ces cachets là parce qu'elle craignait un accident de travail par dessus. Elle était là "Ca endort, et les réflexes j'en parle même pas, c'est trop dangereux en conduisant et d'ailleurs c'est interdit pour une bonne raison donc pas question de reprendre, je vous laisse pas revenir si vous êtes toujours sous Tramadol, avec les machines,  la conduite non, c'est non n'insistez pas". Pas facile de négocier avec elle, mon absence de douleurs elle s'en fichait, la seule chose qu'elle voyait c'était la notice du médicament et les effets secondaires et précautions qui ne s'harmonisaient pas avec mon travail selon elle. J'aurais été à bosser dans un bureau ou sur un PC, je suis sûre que ça lui aurait posé moins de problème, j'ai joué de malchance. Maintenant elle me casse les pieds pour un changement de poste, une formation en interne qui me permettrait de bouger sur des postes  "plus adaptés" et qu'il faudrait que j'y réfléchisse patati  patata .. ça me gonfle parce que j'ai pas envie de ça, j'y perdrais trop financièrement, du coups je résiste mais elle a voulu garder une photocopie de mes derniers IRM du rachis cervical et une autre de l'état de mes lombaires qu'elle a kidnappé pour les mettre dans mon dossier donc plus aucun espoir qu'elle oublie miraculeusement et me lâche la grappe maintenant ... et comme tout ça n'est pas en super bon état elle m'asticotte de nouveau avec ça à chaque rdv de contrôle. C'te plaie ...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, paradoxe sur pattes, 54ans Posté(e)
koadeg Membre 4 167 messages
54ans‚ paradoxe sur pattes,
Posté(e)
Il y a 13 heures, Kai a dit :

La pire douleur que j'ai dû ressentir jusqu'à présent, c'était une douleur assez atroce qui partait des cervicales pour aller jusqu'au poignet ... tout le bras gauche, mais les douleurs étaient les plus fortes aux niveaux des articulations, je le ressentais particulièrement à l'épaule le  plus "fort". En plus de la douleur, une sensation de "faiblesse" dans le bras atteint, je me souviens que j'avais voulu prendre une bouteille d'eau minérale au frigo, je l'avais laissé tombé par terre, trop lourde ou je sais pas, j'avais comme l'impression que mon bras c'était du coton ... des décharges électriques et comme des coups de poignard dans l'épaule et l'omoplate ... Pas moyen de dormir pendant presque 3 semaines, je ne pouvais pas rester allongée (ça empirait encore plus la douleur que quand j'étais debout, j'avais pourtant acheté un coussin ergonomique pour les cervicales mais sans grand effet ..), même assise je pouvais pas, ou difficilement, je tenais 3 minutes chrono en main, après j'arrêtais pas de me tenir l'épaule, de la masser, de la triturer voir de me pincer ailleurs pour faire une autre douleur dans  l'espoir de leurrer mon cerveau sur une autre douleur provoquée .... (parfois ça marchait, pas toujours et quand c'était le cas c'était l'espace de quelques secondes, très brièvement malheureusement) ça passait pas, le Doliprane ne faisait RIEN du tout, que dalle .... zéro.  Le seul truc qui me soulageait c'était de marcher, de faire les 100 pas tout le jour et toute la nuit, je restais debout touuuut le temps, j'étais crevée et sur les nerfs, je finissais par pleurer ...  de douleur (et de fatigue cumulée peut être aussi, j'étais épuisée) ! C'était insupportable ... Je dois pas avoir un seuil de tolérance très élevé mais c'était vraiment horrible. 2 mois à supporter ça, enfin 1 mois seulement parce qu'après un médecin a réussi à me trouver des antalgiques plus efficaces que le paracétamol ou les Lamaline, Migralgine et autre cachets qui ne faisaient pas grand chose sur mes douleurs ou si peu ...

Je suis passée au Tramadol, un soulagement qui est arrivé assez vite parce qu'un peu plus fort que ce que j'avais essayé jusque là, et qui me permettait de dormir et tenter de me reposer, de récupérer un peu pour aider à guérir. Impossible de bosser dans l'état où j'étais, je porte des charges lourdes au boulot à longueur de temps et je conduis des engins également, c'est assez physique et j'avais le bras complètement HS, après avec le Tramadol  je me sentais de reprendre parce que ça supprimait bien mes douleurs, 2 cachets par prise ça me faisait tenir 5 ou 6h sans douleur presque avant la prochaine  prise, super génial quoi je revivais et j'étais tellement contente !!! ... mon employeur n'était pas aussi chaud que moi de me voir revenir, quand bien même il manquait de personnel à ce moment là, il avait besoin mais il a demandé au médecin du travail de valider mon retour avant que je ne revienne, c'est pas passé, celle ci à tilté sur la conduite d'engins et de chariots élevateurs et sous ce genre de médication antalgique, elle a refusé de valider ma reprise la vieille sorcière, elle m'a sommé de faire rallonger mon arrêt tout le temps que je serais contrainte à avoir à prendre ces cachets là parce qu'elle craignait un accident de travail par dessus. Elle était là "Ca endort, et les réflexes j'en parle même pas, c'est trop dangereux en conduisant et d'ailleurs c'est interdit pour une bonne raison donc pas question de reprendre, je vous laisse pas revenir si vous êtes toujours sous Tramadol, avec les machines,  la conduite non, c'est non n'insistez pas". Pas facile de négocier avec elle, mon absence de douleurs elle s'en fichait, la seule chose qu'elle voyait c'était la notice du médicament et les effets secondaires et précautions qui ne s'harmonisaient pas avec mon travail selon elle. J'aurais été à bosser dans un bureau ou sur un PC, je suis sûre que ça lui aurait posé moins de problème, j'ai joué de malchance. Maintenant elle me casse les pieds pour un changement de poste, une formation en interne qui me permettrait de bouger sur des postes  "plus adaptés" et qu'il faudrait que j'y réfléchisse patati  patata .. ça me gonfle parce que j'ai pas envie de ça, j'y perdrais trop financièrement, du coups je résiste mais elle a voulu garder une photocopie de mes derniers IRM du rachis cervical et une autre de l'état de mes lombaires qu'elle a kidnappé pour les mettre dans mon dossier donc plus aucun espoir qu'elle oublie miraculeusement et me lâche la grappe maintenant ... et comme tout ça n'est pas en super bon état elle m'asticotte de nouveau avec ça à chaque rdv de contrôle. C'te plaie ...

C'est ce que je vis en ce moment mais sans être même passée par la visite médicale du boulot puisqu'il y en a plus à cause du virus. Moi aussi charge lourdes. Pas de conduite d'engins mais 70 km aller retour de voiture (y compris autoroute). Avant l'arrêt, j'en été à 6 tramadol et 4 antadis par jour pour pouvoir tenir. Inutile de dire que j'étais quand même à l'ouest. D'autant que la douleur été toujours là, atténué mais toujours là. Je me suis arrêtée parce que je suis tombée dans les pommes (fatigue + douleurs) mais j'ai voulu reprendre. J'ai voulu m'accrocher, vivre normalement. Jusqu'à ce que je sois convoquée pour me dire que je faisais plus de mal au reste de l'équipe qu'autre chose avec un retard sur mon travail et mon comportement qui avait changé. Je peux te dire que j'aurais préféré une invalidation de la médecine du travail que ce que m'a dit mon patron pour m'obliger à rester chez moi.

D'ailleurs je lui en veux toujours, surtout les jours où je vais bien. Mais là, cela fait 5 jours que je ne peux pas me lever sans avoir la tête qui tourne et des douleurs qui m'oblige à rester couché les genoux repliés, je me dit qu'il a bien fait de se montrer intransigeant. Mais bon, dans quelques jours, quand la crise sera passée, je penserai différemment, jusqu'à la prochaine crise...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×