Avez vous des souvenirs de votre grand père ?

Salut. J’ai quelques souvenirs de mon grand-père. Il aimait regarder des matchs de foot. Il était passionné par ce sport. Il suivait les rencontres à la télé avec un vif intérêt. Ça m’arrivait de visionner quelques-unes en sa compagnie. Je dois reconnaitre que j’en garde un très bon souvenir de ces moments à ses côtés.

Mon grand père maternel je l'ai connu, un sacré bonhomme remarié à plus de 80 ans, poilu à verdun, j'ai une photo enfant avec ma mère, dans la cour des Invalides lors de sa remise de médailles, bien qu'il ai refusé la légion d'honneur, il avait été désigné comme porte-drapeau lors de la réanimation de la flamme.

Mon grand père paternel, né en lorraine sous le régime allemand, s'est sauvé en "France" pour combattre les "prussiens" (sic).

Métallo, puis cordonnier , enfin concierge, sous la 3ème république il a rejoint Marceau Pivert....je suis son descendant !

Salut,
En ce qui me concerne, mes deux grands-pères sont toujours en vie. En revanche, j’ai grandi auprès d’un vieil homme que je considère aussi comme mon grand-père, il nous a quittés, il y a de cela quelques années. Parmi les souvenirs que j’ai de lui, ce sont les moments où on se mettait à chanter de vieilles chansons de son époque tout en cuisinant. Il y a aussi des journées où on regardait des feuilletons ensemble et on essayait de connaître la suite de l’intrigue : D !

Salut ! Lorsque mon grand-père est décédé, j’étais encore une adolescente. Toutefois, j’ai effectivement quelques souvenirs de lui. Par exemple, je me souviens encore des fois où il m’emmenait au supermarché chaque week-end pour acheter les jouets que je voulais et qu’il était aussi un grand amateur de dominos et de cartes.

Je me souviens avoir vu mes grands parents maternels une fois, paternels jamais , j'ai fais avec  , (je veux dire SANS) ..............

bonjour 

j'ai connu m' ai deux Grands Pères Paternel et Maternel . j'en ai appris beaucoup sur leurs époque et leurs vie .

tout deux avaient fait la guerre de 1914 sur des fronts et dans des armes différents .

ce que j'ai retenu d'eux , c'est une grande simplicité , mais redoutablement logique , car adaptée à la réalité sans farde ni tout ce qui nous aveugle actuellement .

un bon sens qui allait droit au bût et parfois déroutant pour le jeune garçon que j'étais à l'époque . ils étaient simple mais efficace et savaient expliquer le sens des choses qu'ils avaient vécus .

parfois , encore aujourd'hui , je repense à eux avec émotion .mais le temps qui passe à creusé un abime qui s'agrandit de jour en jour et tout deviens que souvenirs à jamais disparus .

bonne journée

oui , un abruti .

De mon grand-père maternel oui, de très bons souvenirs durant mon enfance; il est décédé alors que j'étais adolescente.

Je n'ai pas connu mon grand-père paternel de qui je recevais une carte et un billet à chacun de mes Noëls et de mes anniversaires, je n'ai jamais compris pourquoi ma mère m'empêchait de le voir. Ce que je sais de lui: c'était un polonais exilé politique en Angleterre. Ne me demandez pas le rapport, j'en sais fichtre rien, ma mère ayant toujours été évasive à ce sujet.

Jeune femme, je devais ENFIN aller à Hastings (où il résidait avec sa famille anglaise) avec mon père mais à quelques jours de notre départ, mon père m'appela pour m'annoncer son décès... Ca ne devait pas se faire, je ne devais pas le rencontrer... J'en garde une tristesse au coeur et en veux à ma mère...

Des deux : le maternel était cap hornier (il nous apprenait plein de gros mots) et nous racontait sa vie de misère, mousse à 11 ans; puis il a un peu merdé à 20 ans, en foutant le camp de l'armée, résultat il a fait les "bat d'Af" (dur dur), pendant la seconde guerre mondiale, il était résistant et a été dénonçé par une belle soeur... (ambiance), il est allé se planquer à Paris, au milieu de la foule; il avait toujours sa casquette de marin dans laquelle il avait une "chique". Il était bon comme le pain mais fallait pas l'emmerder; anticlérical, il avait appelé son chien Dimanche pour emmerder le curé.

le paternel: autre chose; marié en 1913, tisserand, a fait 4 ans de tranchées, dont le chemin des dames; revenu un peu chtarbé, a vu sa femme devenir folle et internée; a élevé seul ses trois fils; anticlérical lui aussi et ne jurant que par l'école publique.  Il était plus de la terre; il habitait une petite chaumière au sol battu, sans eau, sans edf, avec les wawa dehors: c'était les meilleurs moments du we quand on allait le voir.on découpait du journal pour lesWC...

Le 27/05/2021 à 11:53, Betacam1418 a dit :

Mon grand-père paternel était marrant, on discutait.

parisien pour sa retraite il s’etait retiré à Commentry (03) avec ma grand-mère qui était originaire du

coin.

le grand-père travaillait pour une entreprise de faux bijoux ( cinéma, théâtre etc....) il m’a raconté 

qu’il avait refusé de servir Laurel et Hardi, venu à l’heure de la fermeture, il ne les avait pas reconnu.

C 'est assez incroyable.

Le 27/05/2021 à 17:32, le merle a dit :

bonsoir

pour moi , du haut de m'ai dix ans , mon Grand-Père était un sage . il ne parlait jamais pour ne rien dire , c'est à dire qu'il n'intervenait que si mon innocence me faisait croire monts et merveilles .

souvent , il me disais : attend de voir petit , ce que tu croit être , est peut-être différent ? et ce que tu fera ne sera pas ce que tu aurai dut faire faute d'en savoir plus .

c'était pourtant un homme simple mais qui en avait vue beaucoup . il avait fait la guerre de 1914 _ 1918 . la guerre de 1940 qu'il n'à fait car  trop âgé et avais perdus une jambe dans un accident .

aujourd'hui , je repense à lui et ...il me manque ...

bonne soirée

Touchant le merle.

Pour ma part, je n'ai pas connu mon grand-père maternel, j'en ai parlé d'ailleurs en guise d'hommage " à mon grand-père" en littérature.  Ma mère étant orpheline de père à l'âge de 6 ans ainsi que son frère 9 ans.

Quant à mon grand-père  paternel non plus, il a été prisonnier en Allemagne durant la guerre, en revenant il n'était plus  le même comme on peut  l'imaginer   et  a passé une grande partie du reste de sa vie "chez les fous" comme l'on disait à l'époque pour évoquer la psychiatrie pour protéger ma grand-mère et mon père,.

mon grand père me prenait sur ses genoux , et me racontait ses péripéties durant la deuxième querre mondiale ,

je trouvais ça fascinant ,je buvais ses paroles,

beaucoup moins merveilleux que des comptes de fée ,

mais passionnant et encore gravé dans ma mémoire .