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Le pass sanitaire.

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Timo-I

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Membre, 37ans Posté(e)
.iO Membre 5 005 messages
37ans‚
Posté(e)
Le 08/10/2021 à 22:16, Solatges a dit :

Il va falloir surveiller les anciens et leurs portefeuilles !

tig-ehpads.thumb.jpg.1104569f7a5aaaa53ba21f414b8a3350.jpg

 

Euh il est pas demandé un casier judiciaire vierge pour exercer ?

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MembreN, Sans N, 71ans Posté(e)
Solatges MembreN 22 341 messages
71ans‚ Sans N,
Posté(e)

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Il y a 5 heures, .iO a dit :

Euh il est pas demandé un casier judiciaire vierge pour exercer ?

Ben, si on est condamné (pour un petit vol, par exemple) à un Travail d'Intérêt Général, c'est qu'on a une tâche sur son casier...

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Membre, 37ans Posté(e)
.iO Membre 5 005 messages
37ans‚
Posté(e)
il y a une heure, Solatges a dit :

image.thumb.png.00e28048c823b2fb29cdcc74c1116248.png

Ben, si on est condamné (pour un petit vol, par exemple) à un Travail d'Intérêt Général, c'est qu'on a une tâche sur son casier...

Le soignant ou juste le travailleur uberiser.

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MembreN, Sans N, 71ans Posté(e)
Solatges MembreN 22 341 messages
71ans‚ Sans N,
Posté(e)
il y a 39 minutes, .iO a dit :

Le soignant ou juste le travailleur uberiser.

C'est encore mieux : On licencie les soignants et on les remplace par des TIG. Les coûts salariaux vont bien baisser, les vieux ne vont pas forcément adorer, et ils n'ont pas intérêt à laisser traîner de pièces. Les gens qui n'ont pas de revenu sont parfois attachés à l'argent, surtout quand ils ont faim. 

Ils laisseront peut-être la soupe.

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Membre, 86ans Posté(e)
ouest35 Membre 25 764 messages
Maitre des forums‚ 86ans‚
Posté(e)

AFP, publié le mercredi 13 octobre 2021 à 09h54

"Blanc-seing" ou simple "boîte à outils" ? Le projet de loi prolongeant jusqu'au 31 juillet le recours possible au pass sanitaire est présenté mercredi en Conseil des ministres, sous le feu des oppositions qui contestent la décision d'enjamber l'élection présidentielle.

Le texte, que l'AFP a pu consulter, a cependant été légèrement amendé après son passage en Conseil d'Etat pour inclure la présentation par le gouvernement d'un "rapport" au Parlement, faisant un point d'étape sur les mesures prises et "précisant les raisons du maintien, le cas échéant, de certaines d'entre elles". 

Ce bilan doit intervenir au minimum trois mois après la publication de la loi, et "au plus tard le 28 février 2022", date de la fin de la session parlementaire.

En parallèle, le texte présenté mercredi durcit les sanctions en cas de fraude au pass sanitaire, jusqu'à cinq ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende. Mais il ne règle pas l'épineux cas de l'articulation de ce pass avec le déploiement progressif de la troisième dose de vaccins, pour l'heure réservée aux personnes âgées ou vulnérables.

Bien que le reflux de l'épidémie de Covid se poursuive sur la majorité du territoire, l'exécutif entend éteindre tout procès en imprévoyance en cas de regain, en étendant la légalité du pass sanitaire, dont l'échéance était prévue au 15 novembre, jusqu'au milieu de l'été prochain.

Quant au régime juridique actuel, qui permet de limiter localement les déplacements des personnes ou de fermer certains établissements en cas de forte reprise épidémique, il est également prorogé du 15 novembre jusqu'au 31 juillet 2022.

Cette rallonge de huit mois fait  grincer des dents à droite comme à gauche, car il évacue le débat de la campagne et des élections qui scanderont le premier semestre 2022.

"Il n'est pas question de donner un blanc-seing jusqu'au 31 juillet 2022, il faut que ça soit sous le contrôle du Parlement", a exigé le président du Sénat Gérard Larcher mardi sur franceinfo.

"Ça veut dire que, en février, nous devrons débattre à nouveau de la poursuite du processus de sortie de l'urgence", a-t-il ajouté.

Interrogé mercredi sur BFMTV et RMC sur la possibilité d'un tel débat en février, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a souligné qu'il allait "y avoir un débat au parlement sur la base du texte voté en Conseil des ministres" dans lequel "on propose la date du 31 juillet".

"Il ne s'agit pas de dire qu'on prolonge le pass sanitaire jusqu'au 31 juillet", mais de dire que le gouvernement se "donne la possibilité de l'utiliser", a-t-il défendu, en appelant à la "vigilance" alors que des "signaux" dans certains départements (Lozère, Pays de la Loire) "semblent montrer peut-être un frémissement" de l'épidémie.

Il a aussi assuré que "dès qu'on pourra le lever, on le fera".

- "Festival de démagogie" -

Reçus en visioconférence mardi par Jean Castex, lors d'un comité de liaison parlementaire, les députés Jean-Christophe Lagarde (UDI et Indépendants) et Sébastien Jumel (communiste) ont fait savoir leur opposition à un tel délai sans consultation du Parlement. Même tonalité chez les sénateurs qui ont signifié que "le débat" au Palais du Luxembourg "allait se jouer sur la place du contrôle du Parlement", selon un participant à la réunion.

Après avoir hésité à instaurer une clause de revoyure au Parlement au premier trimestre 2022, la majorité a fait le calcul que "quoi qu'on fasse les oppositions hurleront". "Et si on approche de l'élection elles gueuleront plus fort. Pour nous, ce sera un mauvais moment à passer mais ce n'est pas très grave", avance un proche du président.

Olivier Becht, patron du groupe Agir, une des composantes de la majorité présidentielle, prédit "un festival de démagogie" en cas de retour du Parlement "à trois semaines de la présidentielle". 

L'exécutif, qui a écarté de rendre la vaccination obligatoire, a fait du pass sanitaire un pivot de sa stratégie anti-Covid, provoquant depuis plus de trois mois des manifestations qui ont réuni samedi dernier environ 40.000 personnes. 

Le pass est devenu obligatoire le 21 juillet dans les lieux accueillant plus de 50 personnes avant d'être instauré dans les hôpitaux (sauf urgences), les bars et restaurants, puis étendu au 30 août aux 1,8 million de salariés en contact du public et fin septembre au 12-17 ans.

La fin de la gratuité de certains tests dits "de confort" au 15 octobre constitue un nouvel étage de cette stratégie, en encourageant encore davantage la vaccination.

Le projet de loi prévoit en outre l'extension de l'état d'urgence en Guyane jusqu'au 31 décembre. Et le Conseil des ministres examinera par ailleurs un décret mettant fin à l'état d'urgence sanitaire à La Réunion."

https://actu.orange.fr/france/la-prolongation-controversee-du-pass-sanitaire-en-conseil-des-ministres-CNT000001FfZcw/photos/le-porte-parole-du-gouvernement-gabriel-attal-montre-son-pass-sanitaire-pour-acceder-au-cinema-gaumont-multiplex-a-montpellier-le-29-juillet-2021-965589c34696484cc878ac80b891b53a.html

Et dire qu'on marche tous comme un seul homme comme des maronettes avec les grosses ficelles ....!!!

Qui dit encore que les français sont des râleurs ... pas le gardien de la bergerie !!! Il en profite a fond !

 

Modifié par ouest35
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Membre, 86ans Posté(e)
ouest35 Membre 25 764 messages
Maitre des forums‚ 86ans‚
Posté(e)

"Nous assumons notre refus d'un désarmement sanitaire qui serait plus que précipité, il y a un a risque non négligeable de reprise épidémique, un nouveau variant peut apparaître", a justifié le porte-parole du gouvernement, rappelant qu'il y avait encore plus de 4.000 cas par jour en moyenne et que la situation ne s'améliorait plus depuis quelques jours."

https://actu.orange.fr/france/covid-19-la-possibilite-de-recourir-au-pass-sanitaire-prolongee-jusqu-au-31-juillet-2022-annonce-gabriel-attal-magic-CNT000001Fgwrc.html

 

Ca sert a quoi d'élire des députés ... ne sont que des fantoches !!!!

 

https://actu.orange.fr/france/la-prolongation-controversee-du-pass-sanitaire-enterinee-en-conseil-des-ministres-CNT000001FfZcw/photos/une-adolescente-se-fait-vacciner-dans-un-college-du-privas-dans-le-sud-est-de-la-france-le-6-septembre-2021-f2a18d93be02378f4facb914b4a6fd85.html

Cette rallonge de huit mois fait grincer des dents à droite comme à gauche, car il évacue le débat de la campagne et des élections qui scanderont le premier semestre 2022.

"Il n'est pas question de donner un blanc-seing jusqu'au 31 juillet 2022, il faut que ça soit sous le contrôle du Parlement", avait exigé mardi le président du Sénat Gérard Larcher sur franceinfo.

"Ça veut dire que, en février, nous devrons débattre à nouveau de la poursuite du processus de sortie de l'urgence", a-t-il ajouté.

I

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Animateur, Le gras c'est la vie, 35ans Posté(e)
Kyoshiro02 Animateur 20 429 messages
35ans‚ Le gras c'est la vie,
Posté(e)
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Membre, 37ans Posté(e)
.iO Membre 5 005 messages
37ans‚
Posté(e)

https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/passe-sanitaire-est-ce-illegal-de-l-exiger-en-entreprise-7900069272

"Pourtant, c'est totalement illégal, aucune ambiguïté sur ce point. "Hors cas prévus, nul ne peut exiger d'une personne la présentation d'un passe sanitaire"

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Membre, 86ans Posté(e)
ouest35 Membre 25 764 messages
Maitre des forums‚ 86ans‚
Posté(e)

https://actu.orange.fr/france/pass-sanitaire-programme-jusqu-a-l-ete-les-deputes-croisent-a-nouveau-le-fer-CNT000001Fs9mu/photos/un-serveur-verifie-le-pass-sanitaire-sur-la-terrasse-d-un-restaurant-a-marseille-le-09-aout-2021-8a4bf73cb052d7ce3aab3412b29dc674.html

...../.....

"

"L'exceptionnel devenu la norme" -

Alors qu'un simple rapport-bilan est programmé pour la mi-février, la possibilité d'un débat au Parlement a également été inscrite dans la loi. Mais quelle forme prendra-t-il? Gauche et droite réclament une clause de revoyure bien plus tôt. 

Le texte examiné sur fond de reflux de l'épidémie doit servir d'assurance tout risque pour l'exécutif qui veut à tout prix s'épargner, en pleine campagne électorale, un procès en impréparation en cas de retournement de tendance.

Il s'agit d'"éviter à tout prix une nouvelle vague" qui saturerait des hôpitaux en plein hiver, a dit le ministre de la Santé Olivier Véran devant les députés. 

Le recours au pass jusqu'au 31 juillet 2022, et aussi la possibilité de décréter territorialement l'état d'urgence sanitaire avec son cortège de restrictions, sont présentés comme une "boîte à outils" dans laquelle le gouvernement ne sera pas nécessairement obligé de puiser.

Une manière de tenter d'atténuer les critiques sur un Etat devenu "accro" aux régimes d'exception. 

"L'exceptionnel est devenu la norme", résume le député Charles de Courson (Libertés et Territoires) qui rappelle que sur les six dernières années, entre les attentats et la crise sanitaire, le pays a vécu plus de trois ans sous le régime de différents états d'urgence.

Le projet gouvernemental durcit en outre les sanctions en cas de fraude au pass sanitaire, jusqu'à cinq ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende. 

..../...

 
 
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Membre, 80ans Posté(e)
L'ornithorynque Membre 1 688 messages
Forumeur expérimenté‚ 80ans‚
Posté(e)

Le Figaro
«Nous, élus locaux, demandons l'abandon du passe sanitaire»

 www.lefigaro.fr Il y a 14 heures
FIGAROVOX/TRIBUNE - Ce mardi, l'Assemblée nationale se prononce sur la potentielle prolongation du passe sanitaire. Une centaine d'élus de Haute-Savoie décrivent les conséquences sociales du dispositif dans leur territoire et militent pour son abandon.
«Nous voyons la politique s'immiscer là où elle n'avait pas sa place jusqu'alors».© GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP «Nous voyons la politique s'immiscer là où elle n'avait pas sa place jusqu'alors».
Plus que personne, nous connaissons les effets terribles et dévastateurs de la Covid-19. C'est nous, accompagnés des pompes funèbres, qui avons scellé par des cachets de cire rouge les cercueils des premières victimes de la pandémie, inhumées dans nos cimetières municipaux. C'est nous, une fois encore, qui avons soutenu les familles et les proches des malades décédés. C'est avec nos conseils municipaux, nos agents communaux, nos associations, dans nos infrastructures que nous avons organisé massivement les premiers centres de dépistage et de vaccination, les ateliers de confection de masques. Certains d'entre nous ont même approvisionné les professionnels de santé.
Depuis le début de la crise, nous sommes sur le front, sans angélisme ni utopie. Nous connaissons le prix humain et économique de cette pandémie. Nous pouvons donc témoigner ici, que si notre pays a pu traverser cette épreuve sans précédent, ce n'est que par l'unité et la concorde entre la population et ses élus.
Pourtant, chaque jour, dans nos communes de Haute-Savoie, qu'elles soient grandes ou petites, rurales ou urbaines, nous constatons peu à peu la division s'immiscer. Nous voyons les couples que nous avons unis se déchirer. Nous assistons à l'éclatement d'associations centenaires. Aux refus gênés d'accueillir des clients par des restaurateurs déjà au bord de la rupture financière.
Plus globalement, nous voyons la politique s'immiscer là où elle n'avait pas sa place jusqu'alors. Les pro et anti, que ce soit sur le sujet du passe ou du vaccin, se retrouvent subitement en opposition, là où ils vivaient paisiblement en harmonie. Les contrôles permanents sont autant de rappels, de coups de couteau, dans cette plaie de discorde. Ils sont effectués par des hommes et femmes qui n'en ont pas la vocation et qui subissent eux-mêmes de devoir se substituer à ce qui, jadis, était le pré carré des compétences régaliennes. Hier, nos policiers municipaux ne pouvaient pas contrôler une identité dans la rue, aujourd'hui vigiles ou bénévoles d'associations sont contraints de mettre en œuvre des barrages filtrants à l'entrée d'un gymnase ou d'un centre commercial.
À cette implosion sociétale sans précédent, nous voyons nos services publics, déjà fragiles, subir de plein fouet les suspensions d'agents. Les lits déjà trop peu nombreux de nos EHPAD se ferment les uns après les autres, à la suite de suspensions de soignants. Les mêmes, qu'hier encore, nous applaudissions tous le soir venu. Laissant ainsi, autant de familles dans l'embarras et les plus fragiles d'entre nous, nos seniors, dans des situations inacceptables. Nous constatons, aussi, le retour contraint de personnes en situation de handicap, qui ne peuvent rester dans leurs centres spécialisés, faute de personnel. Les pharmacies de nos villages se retrouvent contraintes à réduire leurs amplitudes horaires faute de personnel vacciné. Nos centres de secours, déjà en tension perpétuelle, doivent se réorganiser et faire face au refus de pompiers déjà volontaires à se faire vacciner.
Plus largement, le passe, mis en œuvre dans un manque de concertation certain, est générateur d'une incompréhension grandissante. Ce dispositif, à géométrie variable, crée un imbroglio des plus total. Une école de musique, si elle est portée par une collectivité en est exemptée, mais si dans la commune voisine elle est sous forme associative, le passe s'applique. Un groupe de musiciens professionnels n'a pas besoin du précieux sésame pour répéter, quand il est dans le même temps imposé aux amateurs. Les enfants des collèges jouent ensemble au basket sans passe, mais le soir venu, dans le même gymnase, avec les mêmes enfants et cette fois dans le cadre associatif, le passe s'applique. Il est obligatoire dans les trains, mais pas les métros, dans les musées, mais pas les écoles, les exemples sont nombreux... Générant ainsi autant de frustrations doublées d'un sentiment profond d'injustice, dont nous sommes malgré nous les réceptacles.
Le passe sanitaire est à l'origine de cette fracture sans précédent de notre société. Nous en sommes les témoins privilégiés, quand le cadre légal ne nous oblige pas à en être les acteurs malgré nous. Cette crise de la Covid-19 est doublée d'une crise de gouvernance. La gestion de la pandémie, faute d'une vision claire et pérenne, fait porter et appliquer aux acteurs de terrain la mise en œuvre d'une obligation vaccinale qui ne dit pas son nom. Sans avoir à émettre ici un jugement sur cette stratégie qui nous dépasse, nous constatons chaque jour ses limites.
La mise en place généralisée du passe est une démonstration parfaite de la citation de Julio Cortazar, «La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse». En l'occurrence, les maires, les présidents d'associations, les petits patrons. C'est au dernier échelon, le plus fragile de toute la construction du système républicain et sociétal, qu'il incombe, une fois encore, la plus basse des besognes.
La parole politique, pour nous élus des territoires de France, chaque jour au contact de notre population, a encore un sens et une valeur impérieuse. C'est le fondement de ce qui nous lie à nos concitoyens, c'est grâce à cette sincérité que nous sommes les élus préférés des Français. En avril, Emmanuel Macron déclarait en parlant du passe : «Il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de la vie de tous les jours comme les restaurants, théâtres et cinémas, ou pour aller chez des amis». Aujourd'hui, alors que l'immunité vaccinale collective tant vantée (deux tiers de la population) est atteinte, il est temps de mettre en cohérence le dispositif et les propos passés du Président de la République. C'est à ce prix qu'il sera possible de redonner confiance aux Français, de reconnaître les efforts monumentaux concédés et qui, aujourd'hui, portent leurs fruits.
Après la pandémie viendra le temps de la reconstruction, peut-être comme l'annoncent de nombreux observateurs, le temps de la récession, aussi. Ce n'est que dans l'unité, le dialogue et la sérénité, que peuvent l'appréhender les Français. Il est temps de faire confiance à notre population, de lui reconnaître sa liberté et sa responsabilité. Il est temps d'extraire du quotidien déjà lourd de nos concitoyens, la discorde créée par ce dispositif, d'ôter des frêles épaules de ceux qui n'ont rien demandé, un contrôle qu'ils n'ont pas à assumer à leur niveau. Il est pour nous, élus locaux, le temps d'abandonner le contrôle du passe sanitaire de la vie quotidienne des Français.

Suit la liste des maires signataires Signataires ...
 

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MembreN, Sans N, 71ans Posté(e)
Solatges MembreN 22 341 messages
71ans‚ Sans N,
Posté(e)
Il y a 3 heures, L'ornithorynque a dit :

Il est pour nous, élus locaux, le temps d'abandonner le contrôle du passe sanitaire de la vie quotidienne des Français.

Le pass est poursuivi jusqu'en août prochain.

Si les maires ne le font plus appliquer, le problème est résolu. Je n'y crois pas. 

Des milliers de machines à contrôler les pass sont actuellement achetées par les régions qui vont faire installer d'ici août un traçage complet de la population. Atos, dont E.Philippe est entré au CA, va faire de très bonnes affaires et tout sera bien mieux contrôlé qu'avec les moyens actuels.

Les députés n'ont pas fait leur boulot, une fois de plus.

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Membre+, Posté(e)
goods Membre+ 35 581 messages
Posté(e)

L'Assemblée adopte le pass sanitaire prolongé jusqu'à l'été 2022.

Le projet de loi a été adopté avec seulement 10 voix d’écart. Le texte sera examiné au Sénat dès le 28 octobre.

image.png

CORONAVIRUS - A l’issue de débats souvent électriques, l’Assemblée a donné dans la nuit de ce mercredi au jeudi 20 octobre un premier feu vert au projet de loi “vigilance sanitaire”, avec la possibilité controversée de recourir au pass sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022.

Suite de l'article.

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Membre, 86ans Posté(e)
ouest35 Membre 25 764 messages
Maitre des forums‚ 86ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, goods a dit :

 

 

Il y a 1 heure, goods a dit :

L'Assemblée adopte le pass sanitaire prolongé jusqu'à l'été 2022.

Le projet de loi a été adopté avec seulement 10 voix d’écart. Le texte sera examiné au Sénat dès le 28 octobre.

image.png

CORONAVIRUS - A l’issue de débats souvent électriques, l’Assemblée a donné dans la nuit de ce mercredi au jeudi 20 octobre un premier feu vert au projet de loi “vigilance sanitaire”, avec la possibilité controversée de recourir au pass sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022.

Suite de l'article.

Le modèle chinois avance petit a petit ..... mais surement !

"L’Assemblée a par ailleurs adopté un amendement du gouvernement qui concerne la connaissance du statut vaccinal des élèves par les directeurs d’écoles ou les chefs d’établissement du second degré.

La mesure vise à “faciliter l’organisation de campagnes de dépistage et de vaccination et d’organiser des conditions d’enseignement permettant de prévenir les risques de propagation du virus” et donc in fine les fermetures de classe.

 

“Vous ouvrez une brèche impensable dans un secret (médical à l’école, NDLR) qui doit être conservé”, a fustigé le LR Philippe Gosselin à l’unisson avec les autres oppositions."

(extrait  de ... "suite de l'article")

et en même temps

"La chasse aux faux passes sanitaires s’amplifie depuis la rentrée, avec près de 350 procédures engagées à ce jour, visant quelque 270 soignants suspectés de fraude et 36 000 assurés soupçonnés d’en avoir bénéficié, selon un bilan présenté jeudi par l'Assurance maladie."

 

https://www.lunion.fr/id295873/article/2021-09-23/36-000-faux-pass-sanitaire-dans-le-viseur-de-lassurance-maladie#popin-newsletters-form

 

 

Modifié par ouest35
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