Bonjour, je constate qu'avec toute la technologie que l'on a , on perd petit à petit notre mémoire, préserver là.

ET ? tu vas nous proposer un robot

il y a 50 minutes, laurent venturi a dit :

Bonjour, je constate qu'avec toute la technologie que l'on a , on perd petit à petit notre mémoire, préserver là.

Il faudrait préciser ce que tu entends par "notre mémoire". Outre le fait qu'il n'est pas approprié de parler de "la mémoire" tant les mémoires se caractérisent par des rôles et fonctionnements singuliers, ont peut aussi penser qu'une partie du traitement de l'information a changé.

Il y a 2 heures, CAL26 a dit :

Il faudrait préciser ce que tu entends par "notre mémoire".

Ben en fait il n'est pas si utile de préciser, cela touche quasi tous ses aspects...

Les nouvelles technologies, la rapidité et la facilité d'accès à profusion, si ce n'est excès d'informations et la facilité à les stocker (et les perdre....) nous à conduits à déléguer la mémorisation à des outils technologiques (qui sont entre les mains d'entreprises). Tout cela a contribué à déjà amoindrir dangereusement notre capacité à mémoriser.

Nous pensons avoir bien moins besoin de mémoriser surtout qu'on on s'imagine que la possibilité de pouvoir trouver une info est suffisante.

De plus pour pouvoir trier, analyser, réfléchir, avoir une vue d'ensemble etc nous avons pour le moins besoin d'être en maîtrises de quelques savoirs et pas seulement savoir qu'on y a accès...

Ainsi l'histoire étant en ligne, pourquoi s'en charger l’esprit, bref c'est aussi la mémoire collective, l'histoire qui en prend un coup. Si ça continue on pourra la réécrire sans que personne ne s'en rende compte ou que ça fasse hurler quiconque, hormis peut être une poignée d'obscures spécialistes. C'est déjà pas... facile... mais on pourrait vraiment devenir une vraie masse d'abrutis manipulables.

J'ai entendu dans une émission qu'à une époque (je sais plus laquelle, voilà super mémoire...) beaucoup de gens connaissaient par cœur L’Iliade et l'odyssée . On en est loin...

Interlude intello fuyez pendant qu'il est temps  : Grâce au fabuleux Daniel Arasse (critique d'art "vulgarisateur" ) et son "Histoire de peintures" j'ai découvert Frances A. Yates et son livre : "L'art de la mémoire" que je vais lire sous peu...

"L'histoire de la mémorisation est un cas évident de sujet à la fois marginal et central à la formation de notre culture et de notre civilisation. ""On a omis de l'étudier parce qu'il n'était l'affaire de personne. Et le résultat est, pourtant, qu'il constitue l'affaire de tout le monde." L'histoire de l'organisation de la mémoire touche en effet des points fondamentaux de l'histoire de la religion et de la morale, de la philosophie et de la psychologie, de l'art, de la littérature et de la méthode scientifique."

Il y est dit entre autres et en mieux dit  qu'en des temps antiques on mémorisait de grandes quantité d'infos d'une façon particulière : une sorte de carte mentale de forme architecturale, on imaginait un bâtiment et y plaçait telles informations au salon, l'entrée etc etc...

Bref...Je suis d'accord avec laurent...

il y a 49 minutes, Gremlyne a dit :

Ben en fait il n'est pas si utile de préciser, cela touche quasi tous ses aspects...

Les nouvelles technologies, la rapidité et la facilité d'accès à profusion, si ce n'est excès d'informations et la facilité à les stocker (et les perdre....) nous à conduits à déléguer la mémorisation à des outils technologiques (qui sont entre les mains d'entreprises). Tout cela a contribué à déjà amoindrir dangereusement notre capacité à mémoriser.

Nous pensons avoir bien moins besoin de mémoriser surtout qu'on on s'imagine que la possibilité de pouvoir trouver une info est suffisante.

De plus pour pouvoir trier, analyser, réfléchir, avoir une vue d'ensemble etc nous avons pour le moins besoin d'être en maîtrises de quelques savoirs et pas seulement savoir qu'on y a accès...

Ainsi l'histoire étant en ligne, pourquoi s'en charger l’esprit, bref c'est aussi la mémoire collective, l'histoire qui en prend un coup. Si ça continue on pourra la réécrire sans que personne ne s'en rende compte ou que ça fasse hurler quiconque, hormis peut être une poignée d'obscures spécialistes. C'est déjà pas... facile... mais on pourrait vraiment devenir une vraie masse d'abrutis manipulables.

 

J'ai entendu dans une émission qu'à une époque (je sais plus laquelle, voilà super mémoire...) beaucoup de gens connaissaient par cœur L’Iliade et l'odyssée . On en est loin...

 

 

Interlude intello fuyez pendant qu'il est temps  : Grâce au fabuleux Daniel Arasse (critique d'art "vulgarisateur" ) et son "Histoire de peintures" j'ai découvert Frances A. Yates et son livre : "L'art de la mémoire" que je vais lire sous peu...

"L'histoire de la mémorisation est un cas évident de sujet à la fois marginal et central à la formation de notre culture et de notre civilisation. ""On a omis de l'étudier parce qu'il n'était l'affaire de personne. Et le résultat est, pourtant, qu'il constitue l'affaire de tout le monde." L'histoire de l'organisation de la mémoire touche en effet des points fondamentaux de l'histoire de la religion et de la morale, de la philosophie et de la psychologie, de l'art, de la littérature et de la méthode scientifique."

Il y est dit entre autres et en mieux dit  qu'en des temps antiques on mémorisait de grandes quantité d'infos d'une façon particulière : une sorte de carte mentale de forme architecturale, on imaginait un bâtiment et y plaçait telles informations au salon, l'entrée etc etc...

 

Bref...Je suis d'accord avec laurent...

 

Déjà je m'adressais à l'auteur du sujet qui a fait un message de présentation on ne peut plus laconique.

Ensuite si j'ai évoqué la pluralité des mémoires ce n'est pas pour rien : en l'occurrence tu ne parles que de mémoire à long terme et notamment de mémoire sémantique mais cet aspect de la mémoire est loin de totalement la définir.

Or la technologie actuelle, et c'était vrai avec l'écriture ou l'imprimerie ( donc après qu'on ait eu besoin de connaître par coeur l'Iliade et l'odyssée), a permis de stocker des informations que l'on a moins besoin de stocker dans la mémoire à long terme avec grande précision parce qu'on peut les rechercher sur ces supports externes à notre cerveau pour faire fonctionner la mémoire à court terme ou mémoire de travail et ainsi penser, réfléchir... comme on a jadis libéré de l'espace de stockage et du temps d'encodage grâce à l'écriture puis à l'imprimerie.

La mémoire à long terme ou mémoire sémantique continue  à être utilisée parce qu'elle reste  vitale au fonctionnement de notre cerveau. Mais une grande partie de ce qui devait absolument être stocké dans les structures corticales sont sur supports externes et une plus grande quantité d'information est alors disponible. Le problème n'est donc pas de risquer de perdre la mémoire à long terme et notamment sémantique mais d'apprendre à gérer la très grande quantité d'informations mises à notre disposition.

il y a 55 minutes, CAL26 a dit :

tu ne parles que de mémoire à long terme

il y a 55 minutes, CAL26 a dit :

Or la technologie actuelle, et c'était vrai avec l'écriture ou l'imprimerie ( donc après qu'on ait eu besoin de connaître par coeur l'Iliade et l'odyssée), a permis de stocker des informations que l'on a moins besoin de stocker dans la mémoire à long terme avec grande précision et que l'on peut rechercher sur ces supports externes à notre cerveau pour faire fonctionner la mémoire à court terme ou mémoire de travail et ainsi penser, réfléchir.

...D'accord.....

Je dirais même qu'on peut croire réfléchir, analyser en allant juste chercher des infos, voire se satisfaire de l'idée qu'on y a accès pour se sentir en capacité de réflexion !

Si on est vide de contenu qui fait sens et interrogation, parce qu'on a plus besoin d'en apprendre trop (donc entre autres de mémoriser) ya tout sur le web; parce qu'on n'a plus de place pour, vu que de plus en plus de gens ne peuvent rester un instant déconnectés (tv, radio, web fessbook etc), le  cerveau toujours monopolisé ne mémorise que ce qui est ""essentiel""... alors  qu'est ce qu'on pourrait vouloir analyser, à quoi on pourrait bien vouloir réfléchir ? Si ce n'est à des trucs se rapportant assez primairement à l'instant, au quotidien ? Quid de la Pensée ?

Et même qu'on aurait un peu de contenu, notre propre vison qu'on se fait tout seul dans son coin, c'est bien mais c'est que pouick sans la confronter à d'autres, notamment qui y ont vraiment consacré du temps (quelque soit le domaine), et quand je dis confronter il faut avoir compris la pensée de l'autre, donc au moins l'avoir mémoriser (même si c'est insuffisant) et pas juste lu...

Bref ce n'est pas pareil d'avoir des informations à disposition et de s'en emparer et les intégrer et ainsi se donner une chance d'avoir envie d'entamer un questionnement. D'avoir envie d'entamer une réflexion, voire une remise en question de ce qui est, de changer les choses et de peut être y parvenir... la mémorisation étant une partie prenante du processus.

Bref les nouvelles technologies de la façon dont on s'en sert pour la plupart sont un danger pour notre capacité à mémoriser, réfléchir, se souvenir, changer les choses, tant individuellement que collectivement.

La mémoire a long terme est et restera essentielle a la réflexion car réfléchir, analyser c'est recouper, relier les informations entre elles.

On parle de quoi, déjà?

Je ne suis pas sûre que le sujet, posté dans "France", concerne la mémoire "mémoire".. 

@laurent venturi s'agit-il d'une erreur et le sujet doit-il être déplacé dans "science", ou voulais-tu parler d'un autre type de mémoire ?  

tout dépend de ce que recouvre ce topic! pour ma part, depuis 1982, j'ai gardé tous mes agendas annotés, cela fait que je peux savoir si je faisais quelque chose d'intéressant depuis le 1er janvier 82. petit problème, j'ai oublié où je les ai remisés! rires!  

Il y a 10 heures, laurent venturi a dit :

Bonjour, je constate qu'avec toute la technologie que l'on a , on perd petit à petit notre mémoire, préserver là.

à quelle mémoire fais-tu allusion ?  mémoire individuelle ou mémoire collective ?

Pour le mémoire individuelle, aucune "technologie" ne permet de fixer définitivement une information dans le cerveau.

Pour la mémoire collective on a jamais eu autant de procédés technologiques pour la développer : musées, photographie, photogrammétrie, laser 3D, disques durs....

Peu importe le support, livre ou PC, la mémoire n'est pas affectée. Mais avec le PC, c'est la concentration qui peine et se perd.

La clé USB dans l'cul... par la Madeleine Proust

Il y a 8 heures, Gremlyne a dit :

Ben en fait il n'est pas si utile de préciser, cela touche quasi tous ses aspects...

Les nouvelles technologies, la rapidité et la facilité d'accès à profusion, si ce n'est excès d'informations et la facilité à les stocker (et les perdre....) nous à conduits à déléguer la mémorisation à des outils technologiques (qui sont entre les mains d'entreprises). Tout cela a contribué à déjà amoindrir dangereusement notre capacité à mémoriser.

Nous pensons avoir bien moins besoin de mémoriser surtout qu'on on s'imagine que la possibilité de pouvoir trouver une info est suffisante.

De plus pour pouvoir trier, analyser, réfléchir, avoir une vue d'ensemble etc nous avons pour le moins besoin d'être en maîtrises de quelques savoirs et pas seulement savoir qu'on y a accès...

Ainsi l'histoire étant en ligne, pourquoi s'en charger l’esprit, bref c'est aussi la mémoire collective, l'histoire qui en prend un coup. Si ça continue on pourra la réécrire sans que personne ne s'en rende compte ou que ça fasse hurler quiconque, hormis peut être une poignée d'obscures spécialistes. C'est déjà pas... facile... mais on pourrait vraiment devenir une vraie masse d'abrutis manipulables.

 

J'ai entendu dans une émission qu'à une époque (je sais plus laquelle, voilà super mémoire...) beaucoup de gens connaissaient par cœur L’Iliade et l'odyssée . On en est loin...

 

 

Interlude intello fuyez pendant qu'il est temps  : Grâce au fabuleux Daniel Arasse (critique d'art "vulgarisateur" ) et son "Histoire de peintures" j'ai découvert Frances A. Yates et son livre : "L'art de la mémoire" que je vais lire sous peu...

"L'histoire de la mémorisation est un cas évident de sujet à la fois marginal et central à la formation de notre culture et de notre civilisation. ""On a omis de l'étudier parce qu'il n'était l'affaire de personne. Et le résultat est, pourtant, qu'il constitue l'affaire de tout le monde." L'histoire de l'organisation de la mémoire touche en effet des points fondamentaux de l'histoire de la religion et de la morale, de la philosophie et de la psychologie, de l'art, de la littérature et de la méthode scientifique."

Il y est dit entre autres et en mieux dit  qu'en des temps antiques on mémorisait de grandes quantité d'infos d'une façon particulière : une sorte de carte mentale de forme architecturale, on imaginait un bâtiment et y plaçait telles informations au salon, l'entrée etc etc...

 

Bref...Je suis d'accord avec laurent...

 

bonjour

il se peut que la mémoire de l'humain s'adapte mais cela prendrait trop de temps en rapport de la vitesse des évolutions techniques .

aussi , il risque de se passer une chose étrange : l'humain à créé cette technique et celle ci va le valoriser directement en s'implantant dans son cerveau augmentant énormément ses capacités de mémoire et de réactions .

et plein beaucoup d'autres choses à venir mais sans conscience de modestie , il y à danger pour notre espèce et celles que nous dominons ?

bonne journée

bonne journée

Il y a 4 heures, January a dit :

Je ne suis pas sûre que le sujet, posté dans "France", concerne la mémoire "mémoire".. 

Ptet que ça concerne la mémoire ""mémoire"" alors ... dans c'est cas là c'est sûr, c'est différent, aucun lien

Voilà c'est le problème des trucs laconiques (c'est pas une question que Laurent pause), comme ça en dit peu, on se sent sent libre, pas obligé de savoir d'avance où ça va et de développer, sur un malentendu ça peut inspirer et donner envie de poser une regard d'ensemble, bref on se fait piéger, c'est pas de ma faute.

Il y a 13 heures, laurent venturi a dit :

Bonjour, je constate qu'avec toute la technologie que l'on a , on perd petit à petit notre mémoire, préserver là.

Pis vous là avec votre petite phrase, veuillez nous dire ce sur quoi on a le droit de réfléchir et d'écrire parce-qu’on on est perdus là !

Alors si votre phrase veux nous entrainer à discuter de :

- Ce que nous voulons, sourions c'est pour une étude, Taper 8

- L'impact des nouvelles technologies sur la mémoire de l'Histoire de France option "plus jamais ça"  Tapez 2

- Le sujet est posté dans France il vous siérait qu'on développe l'air de rien thèses consipiratio-nationaliste : Tapez 1

- L'Impact des nouvelles technologies sur ce que nous retenons de Histoire  Tapez 5

- La relation nouvelles technologie / mémoire explicite Tapez 4bis / mémoire implicite de ma grand mère en passant par Jupiter tapez 4 ter.

Par avance merci. Ah mais (Ceci est une blague...)

Il y a 18 heures, Gremlyne a dit :

...D'accord.....

 

Je dirais même qu'on peut croire réfléchir, analyser en allant juste chercher des infos, voire se satisfaire de l'idée qu'on y a accès pour se sentir en capacité de réflexion !

 

Si on est vide de contenu qui fait sens et interrogation, parce qu'on a plus besoin d'en apprendre trop (donc entre autres de mémoriser) ya tout sur le web; parce qu'on n'a plus de place pour, vu que de plus en plus de gens ne peuvent rester un instant déconnectés (tv, radio, web fessbook etc), le  cerveau toujours monopolisé ne mémorise que ce qui est ""essentiel""... alors  qu'est ce qu'on pourrait vouloir analyser, à quoi on pourrait bien vouloir réfléchir ? Si ce n'est à des trucs se rapportant assez primairement à l'instant, au quotidien ? Quid de la Pensée ?

Et même qu'on aurait un peu de contenu, notre propre vison qu'on se fait tout seul dans son coin, c'est bien mais c'est que pouick sans la confronter à d'autres, notamment qui y ont vraiment consacré du temps (quelque soit le domaine), et quand je dis confronter il faut avoir compris la pensée de l'autre, donc au moins l'avoir mémoriser (même si c'est insuffisant) et pas juste lu...

Bref ce n'est pas pareil d'avoir des informations à disposition et de s'en emparer et les intégrer et ainsi se donner une chance d'avoir envie d'entamer un questionnement. D'avoir envie d'entamer une réflexion, voire une remise en question de ce qui est, de changer les choses et de peut être y parvenir... la mémorisation étant une partie prenante du processus.

 

Bref les nouvelles technologies de la façon dont on s'en sert pour la plupart sont un danger pour notre capacité à mémoriser, réfléchir, se souvenir, changer les choses, tant individuellement que collectivement.

 

La mémoire à court terme ou mémoire de travail ne s'affranchit pas de la mémoire à long terme et n'est pas une conception qui s'appliquerait aux seules technologies de l'information : il s'agit de la mémoire qu'on utilise pour raisonner ce qui nécessite de combiner un certain nombre d'informations pendant le temps du travail de raisonnement ou de résolution d'un problème même du plus simple qu'il soit.

Par contre le véritable problème avec internet et toutes les nouvelles technologies c'est la quantité d'informations qui affluent simultanément avec la saturation de notre attention: : cela engendre un traitement trop superficiel et qui fatigue le cerveau au lieu de l'enrichir.

L'enjeu actuel n'est donc pas temps la conservation des informations à long terme mais le réapprentissage de la focalisation de l'attention comme on le fait quand on lit un livre. Et c'est tout à fait possible sur internet.

Le 08/05/2021 à 21:48, CAL26 a dit :

L'enjeu actuel n'est donc pas temps la conservation des informations à long terme mais le réapprentissage de la focalisation de l'attention comme on le fait quand on lit un livre. Et c'est tout à fait possible sur internet.

Oui apprendre à se focaliser, rester concentré est important, mais disons que notre mode de vie n'aide pas du tout.

Pour le reste je trouve l'approche réductrice et pas juste.

Des informations fiables à mémoriser ce n'est que la base de la base, des têtes pleines de nawak on en a profusion, mais des têtes bien faites il y en a déjà moins.

Imagines si en plus les informations ne sont pas conservées longtemps (et par qui d'ailleurs), ça donne quoi ? Une histoire qui disparait se réécrit si des gens le veulent, c'est la grande nouille cosmique qui a crée le monde !

Tout de façon qu'est ce qu'on apprend vraiment tout seul sur internet sans avoir avant des bases solides, un bagage de connaissances, savoir mémoriser, apprendre, chercher, analyser, recouper etc ?

Va voir ce que les gamins sans vrais accompagnements retiennent des cours à distance, les adultes c'est à peine mieux.

parce qu'apprendre les mots de passe par coeur ça n'exerce pas la mémoire ???