Comment l'École peut-elle jouer un rôle pour sensibiliser aux inégalités entre les femmes et les hommes ?

il y a 5 minutes, Sittelle a dit :

Et ça ça veut dire quoi ?

Cela veut dire que DroitDeRéponse, met Daesh sur le même pied d’égalité que la République !

C'est pour cette raison que je le comprends pas toujours, même lorsqu'il veut blaguer !

Il y a 3 heures, DroitDeRéponse a dit :

C’est bien de l’éducation nationale . Lorsque tu te promènes sur l’espace public il faut être éduqué pour apprendre à composer avec ces opinions qui peuvent heurter les nôtres . Abdoullakh Anzorov manquait d’éducation ( nationale ) ... Ces faits divers prouvent qu’il ne faut pas compter sur certains parents pour éduquer leurs enfants à vivre dans la communauté nationale , c’est donc à l’éducation nationale de faire le job !

Primo tu crois vraiment qu’une scéance d’une heure sur les caricatures aurait suffit à Anzorov à se mettre du plomb dans la cervelle sinon t’as pas d’autres exemples que l’éducation nationale éduque parce que les terroristes ça va 2 secondes. 
Tu confonds aussi criminalité et éducation. Le criminel ne manque pas toujours d’éducation bien au contraire. Les plus gros bandits qui ne payent pas de mine sont souvent les mieux éduqués et les plus gros cerveaux. Ce sont les brels qui se font attrapés. 

Il y a 11 heures, goods a dit :

Hanss j'ai une autre vidéo concernant l'enseignement actuel.

Ce professeur  préconise carrément l'école à domicile.

Le niveau scolaire a régressé considérablement à cause des enseignants sous-qualifiés .Le résultat à l'arrivée, des élèves sous sous qualifiés.Donc l'idée c'est que l'élève construit tout seul son propre savoir .

L’EN est faite pour un seul type d’élèves et n’a ni les moyens ni l’envie de se réformer. 
C’est cela de plus en plus se tournent vers l’instruction en famille ou vers des écoles privées préconisant d’autres méthodes d’apprentissage. 
Le savoir n’est pas le problème de l’EN, le problème se situe au niveau du traitement de l’information et de la réflexion. 

Un bac plus 5 équivaut au bac de 1965. 

il y a 20 minutes, hanss a dit :

Les plus gros bandits qui ne payent pas de mine sont souvent les mieux éduqués et les plus gros cerveaux.

Et gentleman, Arsène Lupin

Le débat est bien compliqué.

Qu'est-ce qui a changé aujourd'hui pour qu'il faille adapter l'école à ses élèves ?

Je me souviens de cours d'éducation civique qui s'adaptaient à tout un chacun.

Il faudrait aujourd'hui, adapter les cours en fonction de qui et quoi ? Former les enseignants en fonction de qui et quoi ?

Des programmes sont établis pour tous les élèves ou bien faut-il, désormais un enseignant par groupe spécifique de 2 ou 3 enfants ??

Ça devient compliqué.

il y a 4 minutes, hanss a dit :

L’EN est faite pour un seul type d’élèves et n’a ni les moyens ni l’envie de se réformer. 
C’est cela de plus en plus se tournent vers l’instruction en famille ou vers des écoles privées préconisant d’autres méthodes d’apprentissage. 
Le savoir n’est pas le problème de l’EN, le problème se situe au niveau du traitement de l’information et de la réflexion. 

Un bac plus 5 équivaut au bac de 1965. 

De plus il dit que les notes sont truandées .Qu'un gamin de 5ème serait incapable de rédiger une page entière sur un sujet quelconque sans l'aide d'un adulte.

Pauvres parents qui n'ont pas les moyens de faire payer des études convenables à leurs enfants .

il y a 3 minutes, Plouj a dit :

Qu'est-ce qui a changé aujourd'hui pour qu'il faille adapter l'école à ses élèves ?

L’explosion des dys par ex. Dysphasie dyspraxie dyslexie etc etc... 

il y a 3 minutes, Plouj a dit :

Je me souviens de cours d'éducation civique qui s'adaptaient à tout un chacun.

Aucun souci à ce niveau là. Je ne parle pas du tout de programme mais de pédagogie. 

il y a 12 minutes, goods a dit :

Pauvres parents qui n'ont pas les moyens de faire payer des études convenables à leurs enfants .

L'enseignement n'est plus gratuit en France ?

il y a une heure, Plouj a dit :

L'enseignement n'est plus gratuit en France ?

Je parlais de la qualité de l'enseignement qu'il n'était plus comme avant .

Il y a 15 heures, hybridex a dit :

C'est complètement faux. J'ai eu quantité de collègues féminines dans des postes d'études et développement en informatique  tout au long de ma carrière.

Si elles ne sont pas restées autour de toi, c'est probablement qu'elles étaient mal accueillies

Voici ce j'ai dis, dans son contexte:
"Voici (...) mon expérience personnelle: (...)

De 20 ans d'embauche dans des métiers techniques: Impossible d'embaucher ou de maintenir en poste des femmes en informatique, et c'est pas faute d'essayer."

C'est mon expérience personnelle, tu ne peux pas dire que "c'est complétement faux" (à moins bien sûr que tu pense que mon expérience est faussement rapportée, donc que je mens... mais je doute que tu voulais signifier cela!).

Je suppose bien sûr que tu connais le domaine de l'informatique et donc que tu sais que tes collégues féminines codaient en C++, Java, Python, ASP.net etc...

Ensuite qui te dis qu'elles ne sont pas restées "autour de moi"? Je dis juste que n'ai pas pu les "maintenir" à ces postes, et c'est uniquement car elles ne le souhaitaient pas! ) (pour les très rares que j'ai trouvées...)

Il y a 2 heures, hanss a dit :

L’explosion des dys par ex. Dysphasie dyspraxie dyslexie etc etc... 

Un élève sur cinq - voire près de un sur trois dans certaines commissions scolaires - est aujourd'hui considéré comme handicapé ou ayant un problème d'apprentissage ou d'adaptation, selon les statistiques du ministère de l'Éducation obtenues par La Presse. La quantité d'enfants «dys-quelque chose» ou qui présentent un problème d'attention ou de comportement fait sourciller un nombre grandissant d'experts, qui parlent de surdiagnostic, d'étiquettes distribuées à la va-vite ou de médicalisation de l'échec scolaire. Résultat: ceux qui ont vraiment un problème sont très mal aidés.

Dès qu'un enfant a deux ans de retard scolaire, «paf! on le décrètera dyslexique. On oublie qu'on a affaire à des enfants en plein développement. On donne des étiquettes trop vite, en tournant souvent les coins rond».

À titre d'exemple, elle évoque le cas de ce garçon de 7 ans qui a déjà reçu un diagnostic de dyslexie.

«C'est trop tôt. On ne peut pas parler de dyslexie avant 8 ans et demi ou 9 ans, dit-elle.

«La dyslexie, c'est un problème qui persiste en dépit des interventions pour corriger le problème. Pour dire qu'il y a dyslexie, encore faut-il avoir fait un réel suivi, ce qui n'est pas toujours le cas.»

«il y a médicalisation de l'échec scolaire. Ça crève les yeux que le recours au diagnostic individuel sert à éviter les questions qui dérangent, à savoir que si certains enfants éprouvent des difficultés à l'école, c'est parce qu'ils ne mangent pas à leur faim à la maison».

Il suffit, illustre-t-il, de jeter un oeil à la liste des écoles qui présentent les plus hauts taux de problèmes diagnostiqués pour constater qu'elles se trouvent dans les quartiers pauvres.

«En lecture, par exemple, de nombreuses difficultés ne sont pas attribuables à un désordre neurologique, mais à des facteurs sociofamiliaux ou scolaires.»

https://www.lapresse.ca/actualites/education/201502/18/01-4845142-troubles-lies-a-lapprentissage-explosion-du-nombre-de-diagnostics.php

Il y a 5 heures, Sittelle a dit :

Et ça ça veut dire quoi ?

Que si enseigner la morale et la culture locale ce n’est pas éduquer , alors éduquer c’est quoi ?

Ma boutade sur la madrasa est qu’un malin pourrait dire que la morale républicaine relève de l’enseignement et non de l’éducation, d’une certaine façon je lui donnerai raison puisque après tout les oulémas n’éduquent pas ils enseignent .... pour qui voudrait jouer sur les mots ....

Il y a 3 heures, hanss a dit :

L’explosion des dys par ex. Dysphasie dyspraxie dyslexie etc etc... 

Aucun souci à ce niveau là. Je ne parle pas du tout de programme mais de pédagogie. 

salut hanss! étant dyslexique, je peux te dire que l'enseignement, à mon époque durant les années 50-60, ne favorisait pas le soutien scolaire à un enfant ayant des graves problèmes d'identification des lettres.  la méthode dite globale m'a littéralement hachée menue. il a fallu des années pour m'en remettre! il a fallu que mes parents m'apprennent à lire, à écrire et à compter... pour le dernier point, c'est peu reluisant, je le concède volontiers. rires!  

Il y a 3 heures, DroitDeRéponse a dit :

Que si enseigner la morale et la culture locale ce n’est pas éduquer , alors éduquer c’est quoi ?

Ma boutade sur la madrasa est qu’un malin pourrait dire que la morale républicaine relève de l’enseignement et non de l’éducation, d’une certaine façon je lui donnerai raison puisque après tout les oulémas n’éduquent pas ils enseignent .... pour qui voudrait jouer sur les mots ....

 

J'irai donc regarder dans le dico ..

Il y a 3 heures, Plouj a dit :

Un élève sur cinq - voire près de un sur trois dans certaines commissions scolaires - est aujourd'hui considéré comme handicapé ou ayant un problème d'apprentissage ou d'adaptation, selon les statistiques du ministère de l'Éducation obtenues par La Presse. La quantité d'enfants «dys-quelque chose» ou qui présentent un problème d'attention ou de comportement fait sourciller un nombre grandissant d'experts, qui parlent de surdiagnostic, d'étiquettes distribuées à la va-vite ou de médicalisation de l'échec scolaire. Résultat: ceux qui ont vraiment un problème sont très mal aidés.

Dès qu'un enfant a deux ans de retard scolaire, «paf! on le décrètera dyslexique. On oublie qu'on a affaire à des enfants en plein développement. On donne des étiquettes trop vite, en tournant souvent les coins rond».

À titre d'exemple, elle évoque le cas de ce garçon de 7 ans qui a déjà reçu un diagnostic de dyslexie.

«C'est trop tôt. On ne peut pas parler de dyslexie avant 8 ans et demi ou 9 ans, dit-elle.

«La dyslexie, c'est un problème qui persiste en dépit des interventions pour corriger le problème. Pour dire qu'il y a dyslexie, encore faut-il avoir fait un réel suivi, ce qui n'est pas toujours le cas.»

«il y a médicalisation de l'échec scolaire. Ça crève les yeux que le recours au diagnostic individuel sert à éviter les questions qui dérangent, à savoir que si certains enfants éprouvent des difficultés à l'école, c'est parce qu'ils ne mangent pas à leur faim à la maison».

Il suffit, illustre-t-il, de jeter un oeil à la liste des écoles qui présentent les plus hauts taux de problèmes diagnostiqués pour constater qu'elles se trouvent dans les quartiers pauvres.

«En lecture, par exemple, de nombreuses difficultés ne sont pas attribuables à un désordre neurologique, mais à des facteurs sociofamiliaux ou scolaires.»

https://www.lapresse.ca/actualites/education/201502/18/01-4845142-troubles-lies-a-lapprentissage-explosion-du-nombre-de-diagnostics.php

C'est pas mieux de devoir attendre d'être adulte pour avoir enfin une étiquette qui te permet de relever la tête .. de mettre des mots sur les difficultés .. de ne plus passer juste pour une débile .. un cas soss ..

Il y a 3 heures, Plouj a dit :

Un élève sur cinq - voire près de un sur trois dans certaines commissions scolaires - est aujourd'hui considéré comme handicapé ou ayant un problème d'apprentissage ou d'adaptation, selon les statistiques du ministère de l'Éducation obtenues par La Presse. La quantité d'enfants «dys-quelque chose» ou qui présentent un problème d'attention ou de comportement fait sourciller un nombre grandissant d'experts, qui parlent de surdiagnostic, d'étiquettes distribuées à la va-vite ou de médicalisation de l'échec scolaire. Résultat: ceux qui ont vraiment un problème sont très mal aidés.

Ils sont tous mal aidés, mon numéro un est dyspraxique. Personne ne voulait s’emmerder avec ce problème. On lui a proposé la Segpa depuis tout petit. J’en ai eu des tables rondes avec tout le personnel ainsi que les enseignants référents de la MDPH. Il lui fallait seulement un ordi, et malgré cela les enseignants tiraient la tronche comme ils rendaient ses travaux sur clé USB. Aujourd’hui il est à la Fac et a eu des bons résultats au premier semestre. 

Il y a 4 heures, Plouj a dit :

il y a médicalisation de l'échec scolaire. Ça crève les yeux que le recours au diagnostic individuel sert à éviter les questions qui dérangent, à savoir que si certains enfants éprouvent des difficultés à l'école, c'est parce qu'ils ne mangent pas à leur faim à la maison».

Je ne dis pas que des gamins ne sont pas en échec à cause de leurs environnements familiales mais il n’y a pas que ça. Chacun se rejette la patate mais quand il y a échec il y a peut être une responsabilité partagée. 
 

il y a une heure, Sittelle a dit :

C'est pas mieux de devoir attendre d'être adulte pour avoir enfin une étiquette qui te permet de relever la tête .. de mettre des mots sur les difficultés .. de ne plus passer juste pour une débile .. un cas soss ..

Ma copine prend toujours l’exemple de Thomas Edison. 
https://michelricquier.com/thomas-edison-est-il-devenu-un-genie-grace-a-sa-mere/

Mon avis est qu'il me semble aussi, qu'on se refuse désormais à reconnaitre la notion de cancre. Maintenant, quand un enfant ne fiche rien en classe, c'est la faute des parents, c'est la faute du contexte social, il est victime d'un "dys" quelque chose ... et qu'il soit simplement un gros faignant, ça n'est plus à la mode ? 

il y a 32 minutes, hanss a dit :

Ma copine prend toujours l’exemple de Thomas Edison. 
https://michelricquier.com/thomas-edison-est-il-devenu-un-genie-grace-a-sa-mere/

Intéressant!
J'ignorais ça sur Edison. Cependant, il ne devait pas être si terrible que ça si il avait déjà son petit  laboratoire personnel; à 9 ans, ça montre quand-même une intelligence remarquable.

Il devait posséder cette intelligence des créateurs qui s'adapte assez mal à l'école.

Quand Einstein était jeune, il était un peu dans le même cas

il y a 18 minutes, soisig a dit :

Mon avis est qu'il me semble aussi, qu'on se refuse désormais à reconnaitre la notion de cancre. Maintenant, quand un enfant ne fiche rien en classe, c'est la faute des parents, c'est la faute du contexte social, il est victime d'un "dys" quelque chose ... et qu'il soit simplement un gros faignant, ça n'est plus à la mode ? 

C'est ce qui est dénoncé dans mon message

Il y a 5 heures, Plouj a dit :

Dès qu'un enfant a deux ans de retard scolaire, «paf! on le décrètera dyslexique.

il y a 18 minutes, soisig a dit :

Mon avis est qu'il me semble aussi, qu'on se refuse désormais à reconnaitre la notion de cancre. Maintenant, quand un enfant ne fiche rien en classe, c'est la faute des parents, c'est la faute du contexte social, il est victime d'un "dys" quelque chose ... et qu'il soit simplement un gros faignant, ça n'est plus à la mode ? 

Il y a des cancres, des gamins aussi qui n’ont rien dans le casque ( y’a des adultes comme ça alors pourquoi pas des gamins) mais il n’y a pas trop de solutions alternatives dans l’EN. Il y a soit ULIS ou CLIS puis SEGPA. Il manque quelque chose entre les 2. 

il y a 22 minutes, soisig a dit :

Mon avis est qu'il me semble aussi, qu'on se refuse désormais à reconnaitre la notion de cancre. Maintenant, quand un enfant ne fiche rien en classe, c'est la faute des parents, c'est la faute du contexte social, il est victime d'un "dys" quelque chose ... et qu'il soit simplement un gros faignant, ça n'est plus à la mode ? 

Tant mieux .

il y a 3 minutes, Plouj a dit :

C'est ce qui est dénoncé dans mon message

 

Deux ans c'est énorme .. heureusement que les parents actuellement se bougent bien en amont ..

il y a 3 minutes, hanss a dit :

Il manque quelque chose entre les 2. 

Il manque des vocations.

Il ne reste plus que des métiers.

il y a 3 minutes, Sittelle a dit :

Deux ans c'est énorme .. heureusement que les parents actuellement se bougent bien en amont ..

Aujourd'hui ? Le redoublement ?? Interdit !