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Lyon : Condamnée pour avoir tué son mari de 37 coups de couteau

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MarcThor

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Invité elbaid
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Il y a 3 heures, jacky29 a dit :

je te rejoins bien là, elbaid! oh que oui, le jour où les femmes comprendront qu'elles sont elles-aussi des tueuses, un grand pas sera franchi... tous ces "sentiments" bien appris depuis des générations sur ce que doit faire , être ou ne pas faire et ne pas être une femme, "ce besoin de maternité inné et de sentiments maternels innés", cette "fragilité nous caractérisant", ce "sentiment entretenu de pauvre chose"... quand tout cela sera enfin balayé, nous serons réellement au même niveau.  

mac, poses-toi cette question, elle te concerne... pourquoi bien des femmes sur forum.fr abandonnent la discussion avec toi?

Avec les femmes ca toujours ete plus raffiné ...

https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_des_empoisonneuses_de_Marseille

http://www.fort-liberia.com/histoire-du-fort/la-prison-des-dames-affaire-des-poisons/

https://www.baya.tn/rubriques/society/societe/elle-coupe-le-jiji-de-son-mari-pour-infidelite/

 

 

 

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il y a 9 minutes, elbaid a dit :

Coucou El, je n'ai rien compris à ton premier lien, trop de protagonistes, faudrait prendre une feuille et un crayon pour classer tout ça !

Pour ton second lien, l'affaire des poisons, dans "Angélique Marquise des Anges", on en parle, la Voisin était une empoisonneuse très connue, elle empoisonnait tout (vêtements, nourriture...)

Dans ton dernier lien, ce n'est pas si rare que ça que des femmes émasculent un mari cavaleur...

Il y a une autre empoisonneuse mais me rappelle plus son nom, Murielle Robin avait joué le rôle.... vais essayer de chercher...

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En 2007, Muriel Robin s'était illustrée par son interprétation de Marie Besnard dans le téléfilm "Marie Besnard, l'empoisonneuse"...
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jacky29 Membre 40 501 messages
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MarcThor Membre 2 219 messages
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Il y a 10 heures, jacky29 a dit :

je te rejoins bien là, elbaid! oh que oui, le jour où les femmes comprendront qu'elles sont elles-aussi des tueuses, un grand pas sera franchi... tous ces "sentiments" bien appris depuis des générations sur ce que doit faire , être ou ne pas faire et ne pas être une femme, "ce besoin de maternité inné et de sentiments maternels innés", cette "fragilité nous caractérisant", ce "sentiment entretenu de pauvre chose"... quand tout cela sera enfin balayé, nous serons réellement au même niveau.  

mac, poses-toi cette question, elle te concerne... pourquoi bien des femmes sur forum.fr abandonnent la discussion avec toi?

Jacky, désolé, tu n'as pas lu: c'est parce que" je déteste les femmes"(on en est à ce niveau d'arguments)... ou peut-être que me répondre reviendrait à admettre avoir tort ( données , sources à l'appui), que les légendes néoféministes sont...des légendes. 

Mais relis ce qu'elles et moi avons écrit et n'hésite pas à me donner ton opinion. Tu peux y aller, comme tu sais(nous ne sommes pas toujours d'accord mais nous avons plusieurs fois débattu), j'accepte la critique et le désaccord, ...basés sur la sincérité,  l'honnêteté intellectuelle et une réciprocité de lecture.

Si celles dont tu parles veulent discuter honnêtement et sincèrement , tant mieux ...si elles ne veulent pas, tant pis.

"bien des femmes"

 Certaines, oui .

En "réel" ,j'ai plutôt l'habitude d'avoir des discussions, avec hommes et femmes, notamment au travail ou entre amis, dans lesquelles le désaccord peut être grand mais ou l'honnêteté intellectuelle et la rigueur de raisonnement sont de mise.

J'ai eu des discussions fleuves sur des jours ici avec plusieurs femmes, féministes, comme lolalicot, Doina, sincères et vraiment sympathiques. J'apprécie beaucoup d'autres hommes et femmes ici, pour leur rigueur intellectuelle, leur humour, leur gentillesse(je ne cite pas de noms...ils/elles attraperaient la grosse tète!) .

Avec certaines comme soisig et CERTAINS comme ink82, la mauvaise fois et la propagande néoféministe érigée en religion ne permettent pas ce genre d'échange.

PS: j'avais pris l'habitude de répondre en gras comme toi...on m'a dit que je ne devais pas car cela signifie agresser, aussi ai-je changé de forme d'écriture(moi cela ne me gène en rien).

Il y a 17 heures, DroitDeRéponse a dit :

Daval avait une circonstance aggravante, il avait des troubles de l’erection .

https://www.terrafemina.com/societe/societe/articles/16749-justice-les-femmes-seraient-condamnees-a-des-peines-plus-legeres.html

Justice : les femmes seraient condamnées à des peines plus légères

....

Les juges seraient plus indulgents avec les femmes. C’est en comparant les sanctions prononcées à l’encontre d’hommes et femmes lors de la comparution immédiate de 1228 prévenus que deux universitaires lillois sont arrivés à cette conclusion. Pour Thomas Léonard, attaché temporaire d’enseignement et de recherche à l’université de Lille II et coauteur de l’étude, interrogé par le journal La Croix, les conclusions sont sans appel : « Les femmes bénéficient plus souvent d’une relaxe. Quand elles sont condamnées à de la prison, c’est le plus souvent assorti de sursis, et quand elles écopent d’une peine ferme, le quantum est en moyenne moins élevé que celui des hommes. »
Pour les auteurs de l’étude, les jugesse montreraient d’une part plus sensibles au sort des mères de famille : « Les juges interrogent longuement les femmes sur leur situation familiale, sur la nature des liens tissés avec leurs enfants, etc. Les magistrats se comportent très différemment avec les hommes : ils leur demandent s’ils ont des enfants et passent ensuite à la question suivante, comme si la détention d’un père de famille ne portait pas à conséquence sur la vie de ses proches. »

D’autre part, les magistrats auraient aussi selon les universitaires « du mal à se départir de certaines idées reçues, notamment celle qui veut qu’une femme soit – a priori – une victime, et ce même lorsqu’elle est déférée devant la justice, ajoute Thomas Léonard. De façon un peu manichéenne, on a l’impression que pour les juges, les délinquants hommes « font » problème alors que les délinquantes femmes « ont » des problèmes. » 

Un traitement différentiel que reconnaît Laurence Tinseau, vice-présidente du TGI de Pontoise (Val-d’Oise, dans le quotidien : « Au fond, nous sommes toujours un peu surpris d’avoir à juger une femme, c’est tellement rare ! Devant ces prévenus atypiques, peut-être tentons-nous davantage de comprendre ce qui a pu les amener là et de mettre au jour les raisons économiques, sociales, psychologiques les ayant amenées à enfreindre la loi. »

Merci DDR , j'avais déjà vu cette étude mais je n'avais plus le lien. Une étude sérieuse qui vient compléter et confirmer celles de l'INSEE et de parolesdejuges.

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
Posté(e)
Il y a 11 heures, jacky29 a dit :

je te rejoins bien là, elbaid! oh que oui, le jour où les femmes comprendront qu'elles sont elles-aussi des tueuses, un grand pas sera franchi... tous ces "sentiments" bien appris depuis des générations sur ce que doit faire , être ou ne pas faire et ne pas être une femme, "ce besoin de maternité inné et de sentiments maternels innés", cette "fragilité nous caractérisant", ce "sentiment entretenu de pauvre chose"... quand tout cela sera enfin balayé, nous serons réellement au même niveau.  

mac, poses-toi cette question, elle te concerne... pourquoi bien des femmes sur forum.fr abandonnent la discussion avec toi?

Je vous rejoins aussi...ce" futur" que tu évoques est en fait là depuis un moment ; il faut juste accepter de le voir simplement.

Des études sérieuses et non biaisées américaines et canadiennes l'ont établi dés les années 80.

https://www.courrierinternational.com/article/1997/12/18/la-violence-conjugale-n-est-pas-l-apanage-des-males

...Les informations qui ont permis de révéler pour la première fois l’existence des hommes battus sont apparues dans une enquête publiée en 1980 par trois spécialistes de la violence familiale du New Hampshire : Murray Straus, Richard Gelles et Suzanne Steinmetz. Leur étude, menée auprès de 2 143 foyers américains pris au hasard, a montré que les brutalités étaient autant le fait des femmes que des hommes : 11,6 % des femmes et 12 % des hommes reconnaissaient frapper, gifler ou donner des coups de pied à leur partenaire. Or, pour les féministes, l’idée que les hommes puissent passer pour des victimes n’avait tout simplement aucun sens. Elle ne cadrait pas avec leur analyse fondamentale des brutalités subies par les femmes - à savoir qu’elles étaient la conséquence logique de la domination politique, économique et idéologique du mâle. Si les femmes étaient si manifestement sous le joug des hommes dans la société, comment pouvait-on s’attendre à ce qu’il en aille différemment en privé ? Les féministes craignaient, par ailleurs, que les résultats de l’enquête du New Hampshire ne soient utilisés pour minimiser le cas des femmes battues, un peu comme ces hommes, avocats, juges ou politiciens, qui vous disent : “Vous voyez ? Elle aussi, elle le fait.” Affaire classée.
En conséquence, on accusa aussitôt Straus et Gelles, les principaux auteurs de cette enquête, d’avoir été tendancieux dans leur démarche. Se retrouvant sur le banc des accusés, tous deux remanièrent leur questionnaire et interrogèrent à nouveau plusieurs milliers de couples. Publiés en 1985, leurs résultats furent pratiquement les mêmes, si ce n’est qu’ils avaient découvert en outre que les femmes étaient aussi souvent que les hommes à l’origine des agressions : pour environ un quart des couples, seul l’homme était violent ; pour un autre quart, c’était la femme ; et, pour tous les autres, les deux l’étaient.
Une fois encore, un concert de protestations s’ensuivit. Des intellectuels se firent un devoir de prouver que l’amour-propre des hommes était moins atteint que celui des femmes et que les torts causés devaient être appréciés en termes de blessures physiques plutôt que d’intentions : une femme qui se retrouvait avec la mâchoire cassée ne pouvait pas être comparée à un homme comme Peter Swann, qui n’avait reçu qu’un cendrier sur la tête. A vrai dire, l’une et l’autre parties commettaient l’erreur de définir la violence selon des critères “mâles”, en ce sens qu’aucune des deux ne prenait en considération les dégâts qu’une femme est capable de causer par une agression indirecte. De surcroît, Straus et Gelles, ainsi que les chercheurs qui ont continué ces travaux, ont découvert que les hommes présentaient souvent des blessures aussi graves. Une étude de 1995 sur les jeunes couples de l’armée américaine, dont on pouvait s’attendre qu’ils fonctionnent plus que quiconque sur le modèle patriarcal, a révélé que 47 % des maris et des femmes s’étaient mutuellement frappés, battus et blessés au même degré.
En 1989, une spécialiste des sciences sociales de Winnipeg, Reena Sommer, a effectué pour l’université du Manitoba une enquête sur l’alcoolisme qui a révélé que 39,1 % des femmes interrogées avaient reconnu s’être livrées à des actes de violence sur leur compagnon à un moment ou à un autre de leur relation ; 16,2 % de ces agressions étaient définies comme graves. Reprenant sa liste de départ, Reena Sommer téléphona à 737 des personnes qu’elle avait interrogées ; 90 % des femmes qui avaient reconnu frapper leur partenaire lui dirent qu’elles ne l’avaient pas fait en état de légitime défense. Elles s’étaient montrées violentes par colère, par jalousie, parce qu’elles étaient sous l’emprise de la drogue ou frustrées. Que ce soit de façon rationnelle ou irrationnelle, sous le coup de la colère ou froidement, elles avaient frappé, donné des coups de pied, cassé des objets et mordu leur conjoint, et 14 % de ceux-ci avaient dû être hospitalisés.
Une enquête sur la violence à l’encontre des femmes, effectuée en 1978 par la Commission du Kentucky, a révélé que 38 % des agressions commises dans cet Etat étaient dues à des femmes, mais ces chiffres n’apparurent pas dans le rapport publié sur cette enquête. Ces faits ont été découverts plusieurs années plus tard par d’autres chercheurs. A Detroit, la vague d’admissions aux urgences à la suite de violences familiales a été largement rapportée par les féministes comme une preuve des brutalités subies par les femmes. Personne n’a précisé aux médias que 38 % de ces admissions concernaient des hommes... 

Modifié par MarcThor
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MarcThor Membre 2 219 messages
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C'est fort de voir SCIAPPA, forcément gênée devant Maxime GAGET, nous dire qu'elle a écrit qu'il était anormal que les hommes ayant subi des violences n'aient pas de centre d'accueil...après un Grenelles qui a occulté le cas des conjoints battus,  3 ans de sa direction du ministère de "l'égalité"(rires) hommes-femmes et ses 30M d'euros de budget annuel (efforts et argent utilisés à 99 pour cent dans "un seul sens"),ayant bien rempli les caisses des puissantes asso du lobby néoféministe osezleféminisme, noustoutes etc...il n'y en a toujours pas!!! ...Eh oui, on ne peut pas tout faire, hein !

Mais, un bel effort y est annoncé: on ne parle plus de violences "faites aux femmes" mais de violences "sexuelles et sexistes"...Visiblement ,nombre de ses copines et des médias qui relaient leur propagande n'ont pas reçu le memo...sans remontrance de sa part, elle qui s'est pourtant bien fait entendre...enfin , dans "un seul sens". 

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Membre, 71ans Posté(e)
jacky29 Membre 40 501 messages
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Il y a 12 heures, MarcThor a dit :

Je vous rejoins aussi...ce" futur" que tu évoques est en fait là depuis un moment ; il faut juste accepter de le voir simplement.

Des études sérieuses et non biaisées américaines et canadiennes l'ont établi dés les années 80.

https://www.courrierinternational.com/article/1997/12/18/la-violence-conjugale-n-est-pas-l-apanage-des-males

...Les informations qui ont permis de révéler pour la première fois l’existence des hommes battus sont apparues dans une enquête publiée en 1980 par trois spécialistes de la violence familiale du New Hampshire : Murray Straus, Richard Gelles et Suzanne Steinmetz. Leur étude, menée auprès de 2 143 foyers américains pris au hasard, a montré que les brutalités étaient autant le fait des femmes que des hommes : 11,6 % des femmes et 12 % des hommes reconnaissaient frapper, gifler ou donner des coups de pied à leur partenaire. Or, pour les féministes, l’idée que les hommes puissent passer pour des victimes n’avait tout simplement aucun sens. Elle ne cadrait pas avec leur analyse fondamentale des brutalités subies par les femmes - à savoir qu’elles étaient la conséquence logique de la domination politique, économique et idéologique du mâle. Si les femmes étaient si manifestement sous le joug des hommes dans la société, comment pouvait-on s’attendre à ce qu’il en aille différemment en privé ? Les féministes craignaient, par ailleurs, que les résultats de l’enquête du New Hampshire ne soient utilisés pour minimiser le cas des femmes battues, un peu comme ces hommes, avocats, juges ou politiciens, qui vous disent : “Vous voyez ? Elle aussi, elle le fait.” Affaire classée.
En conséquence, on accusa aussitôt Straus et Gelles, les principaux auteurs de cette enquête, d’avoir été tendancieux dans leur démarche. Se retrouvant sur le banc des accusés, tous deux remanièrent leur questionnaire et interrogèrent à nouveau plusieurs milliers de couples. Publiés en 1985, leurs résultats furent pratiquement les mêmes, si ce n’est qu’ils avaient découvert en outre que les femmes étaient aussi souvent que les hommes à l’origine des agressions : pour environ un quart des couples, seul l’homme était violent ; pour un autre quart, c’était la femme ; et, pour tous les autres, les deux l’étaient.
Une fois encore, un concert de protestations s’ensuivit. Des intellectuels se firent un devoir de prouver que l’amour-propre des hommes était moins atteint que celui des femmes et que les torts causés devaient être appréciés en termes de blessures physiques plutôt que d’intentions : une femme qui se retrouvait avec la mâchoire cassée ne pouvait pas être comparée à un homme comme Peter Swann, qui n’avait reçu qu’un cendrier sur la tête. A vrai dire, l’une et l’autre parties commettaient l’erreur de définir la violence selon des critères “mâles”, en ce sens qu’aucune des deux ne prenait en considération les dégâts qu’une femme est capable de causer par une agression indirecte. De surcroît, Straus et Gelles, ainsi que les chercheurs qui ont continué ces travaux, ont découvert que les hommes présentaient souvent des blessures aussi graves. Une étude de 1995 sur les jeunes couples de l’armée américaine, dont on pouvait s’attendre qu’ils fonctionnent plus que quiconque sur le modèle patriarcal, a révélé que 47 % des maris et des femmes s’étaient mutuellement frappés, battus et blessés au même degré.
En 1989, une spécialiste des sciences sociales de Winnipeg, Reena Sommer, a effectué pour l’université du Manitoba une enquête sur l’alcoolisme qui a révélé que 39,1 % des femmes interrogées avaient reconnu s’être livrées à des actes de violence sur leur compagnon à un moment ou à un autre de leur relation ; 16,2 % de ces agressions étaient définies comme graves. Reprenant sa liste de départ, Reena Sommer téléphona à 737 des personnes qu’elle avait interrogées ; 90 % des femmes qui avaient reconnu frapper leur partenaire lui dirent qu’elles ne l’avaient pas fait en état de légitime défense. Elles s’étaient montrées violentes par colère, par jalousie, parce qu’elles étaient sous l’emprise de la drogue ou frustrées. Que ce soit de façon rationnelle ou irrationnelle, sous le coup de la colère ou froidement, elles avaient frappé, donné des coups de pied, cassé des objets et mordu leur conjoint, et 14 % de ceux-ci avaient dû être hospitalisés.
Une enquête sur la violence à l’encontre des femmes, effectuée en 1978 par la Commission du Kentucky, a révélé que 38 % des agressions commises dans cet Etat étaient dues à des femmes, mais ces chiffres n’apparurent pas dans le rapport publié sur cette enquête. Ces faits ont été découverts plusieurs années plus tard par d’autres chercheurs. A Detroit, la vague d’admissions aux urgences à la suite de violences familiales a été largement rapportée par les féministes comme une preuve des brutalités subies par les femmes. Personne n’a précisé aux médias que 38 % de ces admissions concernaient des hommes... 

salut mac, je ne vais pas chercher la sociologie ni même la bienséance sociale! mâles et femelles, nous sommes tous des prédateurs biologiquement parlant... il est donc normal de tuer et l'acte est aussi bien masculin que féminin. tout animal a le droit de se défendre et de défendre ce qu'il considère comme son territoire de survie, il est logique que nous n'échappions pas à cet impératif. le gros problème avec nous est que nous avons "appris" à nous civiliser, à réagir à des images quasiment d'Epinal sur ce qu'un sexe doit faire ou ne pas faire. il est évident aussi que biologiquement parlant les mâles du fait de leur taux de testostérone plus élevé soient donc un tantinet plus agressifs envers eux et envers leur pendants féminins... c'est ce que l'on observe chez tous les primates vivant en clan plus ou moins grands et chez nous aussi du simple fait que nous soyons des primates comme les autres. je ne vais pas chercher midi à 14heures, je te dis ce que je ressens réellement en nous observant, moi inclus.  

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