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La virilité est une pulsion de vie et non de mort


Fraction

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 929 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)

Amis fachos bonjour,

 

Je profite de mon anonymat et d’une liberté d’expression provisoire pour vous signaler une idée largement mûrie :

La virilité n’est pas une pulsion de mort.

C’est une pulsion de vie.

L’amour viril est d’une puissance équivalente à l’amour féminin.

Les femmes ne sont pas plus sentimentales que les hommes.

Les hommes sentimentaux, les justes, les vertueux, sont nés pour souffrir, ils le savent, parce qu’ils l’ont déjà choisi avant de le vivre.

Les femmes sont des lionnes obsessionnelles, alors que nous sommes des loups opportunistes.

Mais notre capacité affective et empathique est comparable.

 

Le darwinisme ne consiste pas à exterminer les faibles.

Ce n’est pas la mort des faibles qui fait évoluer l’espèce.

Ce qui fait évoluer l’espèce, c’est la promotion sexuelle des plus adaptés.

C’est donc l’amour, dans toute sa bestialité et son humanité, qui amorce le salut de l’espèce.

La composante virile de la nature n’a rien d’un monstre sanguinaire.

 

L’amour paternel n’est pas très généreux, car il fait vœu d’efficacité et de pragmatisme.

Le divorce entre l’Etat et la banque centrale en est le témoin.

Papa est riche, maman est généreuse : pourvu qu’ils ne divorcent pas !

Mais pourtant, il le fallait, pour que le petit ne devienne pas pourri gâté, pour qu’il ne croit pas que l’argent est gratuit.

Mais ne nous fourvoyons pas : le projet de la banque centrale n’est pas complice avec les capitalistes et les rentiers.

Le projet c’est de rendre l’humanité, le travail, la décision, plus rentables, pour le bien-être de chacun.

 

Le fascisme s’oppose au parlement, parce que l’histoire peut provisoirement donner tort au peuple.

Effectivement, le régime parlementaire est inertiel et souvent démagogue.

La République a des cartes contre-parlementaires à jouer, encore lui faudrait-il un homme providentiel comme 21 d’atout.

Le tort historique du fascisme, c’est d’avoir mal choisir ses amis.

Mais, après tout, on a les amis qu’on mérite.

On a le droit d’être antiparlementaire, mais le racisme ou la haine est un manque d’éducation et de civilisation notoire.

 

L’actualité récente ne nous laisse pas le choix.

L’immigration sans contrôle nous fait devenir ce que nous ne voulions pas devenir.

Mais si l’ennemi est intérieur, cela signifie que notre pire ennemi, c’est nous-même.

Nous manquons d’exclusivité.

Aimer n’importe qui, c’est être n’importe qui.

Savoir aimer, c’est aussi savoir exclure, car il n’y a pas de principe républicain cohérent sans principe d’exclusion.

 

Cordialement, Fraction

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Membre, Obsédé textuel, 73ans Posté(e)
Gouderien Membre 38 422 messages
73ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)

Si quelqu'un peut traduire...:o°

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Invité hell-spawn
Invités, Posté(e)
Invité hell-spawn
Invité hell-spawn Invités 0 message
Posté(e)
il y a 50 minutes, Fraction a dit :

Le darwinisme ne consiste pas à exterminer les faibles.

Ce n’est pas la mort des faibles qui fait évoluer l’espèce.

Ce qui fait évoluer l’espèce, c’est la promotion sexuelle des plus adaptés.

C’est donc l’amour, dans toute sa bestialité et son humanité, qui amorce le salut de l’espèce.

La composante virile de la nature n’a rien d’un monstre sanguinaire.

 

Je réponds vite fait a cela car il y a un peu de tout :

Dans une société décadente ou la corruption régne de partout, ou les valeurs fortes tendent a disparaître ( l'âme s'évapore ), est ce que les forts auraient encore envie de se reproduire ?

A mon avis, seuls les faibles ( y compris les faibles d'esprits)  peuvent s'y trouver comme des poissons dans l'eau, et donc le darwinisme dans ce cas la aurait plutôt tendance a sélectionner les faibles, pour encore davantage de décadence.

 

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Membre, 58ans Posté(e)
lysiev Membre 10 176 messages
Maitre des forums‚ 58ans‚
Posté(e)

Qu'est que la virilité à avoir avec la politique :hum:

Toujours aussi bizarre le monsieur  :smile2::D

Il y a 1 heure, Gouderien a dit :

Si quelqu'un peut traduire...:o°

On a pas le bon décodeur.:smile2::smile2:

 

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Invité hell-spawn
Invités, Posté(e)
Invité hell-spawn
Invité hell-spawn Invités 0 message
Posté(e)
il y a 21 minutes, lysiev a dit :

Qu'est que la virilité à avoir avec la politique 

Deja on peut dire sans se tromper beaucoup que si les hommes politiques étaient un peu plus viriles, ils seraient moins corrompus ou moins corruptibles ( il faut en avoir pour résister aux lobbies et ne pas renier ses valeurs )

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Membre, Posté(e)
versys Membre 18 419 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Fraction a dit :

Amis fachos bonjour,

 

Je profite de mon anonymat et d’une liberté d’expression provisoire pour vous signaler une idée largement mûrie :

La virilité n’est pas une pulsion de mort.

C’est une pulsion de vie.

L’amour viril est d’une puissance équivalente à l’amour féminin.

Les femmes ne sont pas plus sentimentales que les hommes.

Les hommes sentimentaux, les justes, les vertueux, sont nés pour souffrir, ils le savent, parce qu’ils l’ont déjà choisi avant de le vivre.

Les femmes sont des lionnes obsessionnelles, alors que nous sommes des loups opportunistes.

Mais notre capacité affective et empathique est comparable.

 

Le darwinisme ne consiste pas à exterminer les faibles.

Ce n’est pas la mort des faibles qui fait évoluer l’espèce.

Ce qui fait évoluer l’espèce, c’est la promotion sexuelle des plus adaptés.

C’est donc l’amour, dans toute sa bestialité et son humanité, qui amorce le salut de l’espèce.

La composante virile de la nature n’a rien d’un monstre sanguinaire.

 

L’amour paternel n’est pas très généreux, car il fait vœu d’efficacité et de pragmatisme.

Le divorce entre l’Etat et la banque centrale en est le témoin.

Papa est riche, maman est généreuse : pourvu qu’ils ne divorcent pas !

Mais pourtant, il le fallait, pour que le petit ne devienne pas pourri gâté, pour qu’il ne croit pas que l’argent est gratuit.

Mais ne nous fourvoyons pas : le projet de la banque centrale n’est pas complice avec les capitalistes et les rentiers.

Le projet c’est de rendre l’humanité, le travail, la décision, plus rentables, pour le bien-être de chacun.

 

Le fascisme s’oppose au parlement, parce que l’histoire peut provisoirement donner tort au peuple.

Effectivement, le régime parlementaire est inertiel et souvent démagogue.

La République a des cartes contre-parlementaires à jouer, encore lui faudrait-il un homme providentiel comme 21 d’atout.

Le tort historique du fascisme, c’est d’avoir mal choisir ses amis.

Mais, après tout, on a les amis qu’on mérite.

On a le droit d’être antiparlementaire, mais le racisme ou la haine est un manque d’éducation et de civilisation notoire.

 

L’actualité récente ne nous laisse pas le choix.

L’immigration sans contrôle nous fait devenir ce que nous ne voulions pas devenir.

Mais si l’ennemi est intérieur, cela signifie que notre pire ennemi, c’est nous-même.

Nous manquons d’exclusivité.

Aimer n’importe qui, c’est être n’importe qui.

Savoir aimer, c’est aussi savoir exclure, car il n’y a pas de principe républicain cohérent sans principe d’exclusion.

 

Cordialement, Fraction

Cette apologie de l'exclusivité est assez troublante.... mais trouve une certaine cohérence au vu de l'introduction de votre post : "Amis fachos, bonjour."

Mais là où la rationalité  se perd un peu, c'est quand vous affirmez que le principe républicain se fonde sur le principe d'exclusion.... 

.... équation en second degré, peut-être ??

il y a 13 minutes, hell-spawn a dit :

Deja on peut dire sans se tromper beaucoup que si les hommes politiques étaient un peu plus viriles, ils seraient moins corrompus ou moins corruptibles ( il faut en avoir pour résister aux lobbies et ne pas renier ses valeurs )

"viriles".... tu penses à MLP ?? ça lui convient assez... :)

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Membre, 132ans Posté(e)
soisig Membre 30 391 messages
132ans‚
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il y a 4 minutes, versys a dit :

 

"viriles".... tu penses à MLP ?? ça lui convient assez... :)

excellent :smile2:

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Membre, 58ans Posté(e)
lysiev Membre 10 176 messages
Maitre des forums‚ 58ans‚
Posté(e)
il y a 54 minutes, hell-spawn a dit :

Deja on peut dire sans se tromper beaucoup que si les hommes politiques étaient un peu plus viriles, ils seraient moins corrompus ou moins corruptibles ( il faut en avoir pour résister aux lobbies et ne pas renier ses valeurs )

Je vois pas ce qu'étre corrompu ou pas à avoir avec la virilité.

Comme si fallait en avoir dans le pantalon pour être en politique, cela ce serait , tu crois pas :D

Tu veux plutôt dire que certains hommes n'ont pas les couilles pour être en politique :smile2: 

 

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Invité hell-spawn
Invités, Posté(e)
Invité hell-spawn
Invité hell-spawn Invités 0 message
Posté(e)
il y a 6 minutes, lysiev a dit :

Je vois pas ce qu'étre corrompu ou pas à avoir avec la virilité.

Comme si fallait en avoir dans le pantalon pour être en politique, cela ce serait , tu crois pas :D

Tu veux plutôt dire que certains hommes n'ont pas les couilles pour être en politique :smile2:  

 

Non, ceux qui en ont dans le pantalon ne font plus de politique a mon avis, et c'est bien ça le problème.

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 929 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, versys a dit :

Cette apologie de l'exclusivité est assez troublante.... mais trouve une certaine cohérence au vu de l'introduction de votre post : "Amis fachos, bonjour."

Mais là où la rationalité  se perd un peu, c'est quand vous affirmez que le principe républicain se fonde sur le principe d'exclusion.... 

.... équation en second degré, peut-être ??

"viriles".... tu penses à MLP ?? ça lui convient assez... :)

Il n'y a pas de principe cohérent sans principe d'exclusion.

Si vous déclarez aimer la république, cela implique que vous excluez tout ce qui s'y oppose.

La valeur républicaine cherche sa récursivité d'abord en se référant à elle-même, en s'auto-justifiant, récursivité qui ne va pas sans l'exclusion de son contraire.

Le problème c'est que, même si la république est exclusive à l'intérieur, la république doit aussi respecter une altérité différente d'elle, ses autres.

La compromission devient nécessaire dès qu'il s'agit d'osmose environnementale, et notamment d'information.

 

Ce que j'ai voulu développer, c'est l'antithèse d'un préjugé répandu concernant tantôt la virilité, tantôt le principe de l'évolution, tantôt l'argument de puissance.

Aucun de ces principes n'est motorisé par sa pulsion de mort.

Le principe viril ressemble à un argument de puissance qui devient cohérent par l'argument pragmatique, puis qui se personnifie par l'argument de sagesse.

La pulsion de mort est refoulée par cette extrapolation et ne se justifie qu'en cas de faiblesse, combinée à la légitime défense, à l'impératif existentiel.

 

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Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 24 510 messages
scientifique,
Posté(e)
il y a 5 minutes, Fraction a dit :

Il n'y a pas de principe cohérent sans principe d'exclusion.

Si vous déclarez aimer la république, cela implique que vous excluez tout ce qui s'y oppose....

Avoir des préférences n'implique pas des exclusions

J'aime la République mais je n'exclue pas les autres régimes politiques car ce genre de choix cela dépend des époques, des pays et des gens.

Ainsi en Europe on a des républiques mais aussi des monarchies constitutionnelles. C'est selon les pays et l'Histoire.

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 929 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
à l’instant, Répy a dit :

Avoir des préférences n'implique pas des exclusions

J'aime la République mais je n'exclue pas les autres régimes politiques car ce genre de choix cela dépend des époques, des pays et des gens.

Ainsi en Europe on a des républiques mais aussi des monarchies constitutionnelles. C'est selon les pays et l'Histoire.

C'était bien mon propos, mais vous l'avez (honnêtement ?) tronqué.

 

La république n'est pas une simple vertu, c'est une ontologie, largement supportée par son formalisme constitutionnel.

Ce qui se passe à l'intérieur de sa cellule de vie ne peut pas compromettre cette cellule de vie.

Cette exclusivité est bien là tout l'enjeu d'une récursivité cohérente.

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 929 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
Il y a 5 heures, hell-spawn a dit :

 

Je réponds vite fait a cela car il y a un peu de tout :

Dans une société décadente ou la corruption régne de partout, ou les valeurs fortes tendent a disparaître ( l'âme s'évapore ), est ce que les forts auraient encore envie de se reproduire ?

A mon avis, seuls les faibles ( y compris les faibles d'esprits)  peuvent s'y trouver comme des poissons dans l'eau, et donc le darwinisme dans ce cas la aurait plutôt tendance a sélectionner les faibles, pour encore davantage de décadence.

 

Le moralisme excessif connait effectivement un vice de fonctionnement.

Quand on est malade on le dit à tout le monde, mais quand on est riche on ne le dit à personne.

La France, dans sa générosité excessive, et dans sa fiscalité prohibitive, a culturellement permis cette dérive.

Mais l'heure est à la rationalisation.

Par exemple, la générosité se reconditionne par son efficacité, et la fiscalité se reconditionne par son incitation et sa dissuasion.

Le culte de la faiblesse est mitoyen de l'instinct protecteur, tout n'est qu'une question de paramétrage, d'intentionnalité et de procédure, car le diable se niche dans les détails.

 

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Membre, Posté(e)
versys Membre 18 419 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 10 heures, Fraction a dit :

La république n'est pas une simple vertu, c'est une ontologie, largement supportée par son formalisme constitutionnel.

Ce qui se passe à l'intérieur de sa cellule de vie ne peut pas compromettre cette cellule de vie.

Cette exclusivité est bien là tout l'enjeu d'une récursivité cohérente

Ontologie : 1- Etude de l'être en tant qu'être, de l'être en soi. 2- Etude de l'existence en général dans l'existentialisme. (Larousse)

Certes, on peut extrapoler sur les fondements républicains en se basant sur des concepts et des assertions philosophiques et il vous est permis de le faire.

Mais ne doit on pas aujourd'hui considérer la res publica en tant qu'entité universelle à vocation rassembleuse et humaniste ??

En tout cas loin des impératifs d'exclusivité que vous lui prêtez.

Vous pouvez qualifier mon ressenti, ma définition de la République assez "bisounours", mais permettez moi de rester surpris par l'impérieuse nécessité d'exclusivité que vous voulez lui attribuer.

Par ailleurs, si vous souhaitez, par là, exprimer un ressenti envers certains membres de notre société qui manifestent des comportements ou promeuvent des idéologies anti républicaines, il vous est également permis de le faire sans avoir recours à l'étude ontologique du phénomène.

 

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 929 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, versys a dit :

Ontologie : 1- Etude de l'être en tant qu'être, de l'être en soi. 2- Etude de l'existence en général dans l'existentialisme. (Larousse)

Certes, on peut extrapoler sur les fondements républicains en se basant sur des concepts et des assertions philosophiques et il vous est permis de le faire.

Mais ne doit on pas aujourd'hui considérer la res publica en tant qu'entité universelle à vocation rassembleuse et humaniste ??

En tout cas loin des impératifs d'exclusivité que vous lui prêtez.

Vous pouvez qualifier mon ressenti, ma définition de la République assez "bisounours", mais permettez moi de rester surpris par l'impérieuse nécessité d'exclusivité que vous voulez lui attribuer.

Par ailleurs, si vous souhaitez, par là, exprimer un ressenti envers certains membres de notre société qui manifestent des comportements ou promeuvent des idéologies anti républicaines, il vous est également permis de le faire sans avoir recours à l'étude ontologique du phénomène.

 

Bonjour,

Vous définissez la république par son caractère rassembleur et humaniste.

C'est une lecture possible, mais je préfère m'en tenir consensuellement à sa devise fondatrice : "liberté, égalité, fraternité".

Cette devise est une extrapolation idéaliste sans contrainte, vierge de toute épreuve de réalité.

Un peu comme l'art est un jeu sans contrainte.

Une fois passée cette épreuve, le temps offre sa contradiction, son relativisme, et sa contrainte :

Liberté pour sécurité, égalité pour adaptation, fraternité pour proximité.

 

C'est donc bien un principe d'exclusion, ici endogène, qui agit comme une jurisprudence sur l'idéalisme initial.

Ce que j'ai voulu signifier par le principe viril, c'est que l'exclusivité n'est pas un moteur mais son exception.

On retrouve cette exclusivité dans l'ensemble des notions récursives : volonté, véracité, réalisme, bien.

Je vous donne un exemple, la véracité : on "croit croire" systématiquement, et il est impossible de "croire qu'on ne croit pas".

La véracité est donc auto-référente et exclut son contraire.

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