"Dieu" ?

il y a 2 minutes, Blaquière a dit :

C'est Platon, ça !

Oï poetaï enthéoï ontes, (ou à peu près !) " les poètes étant des être divins"...

Une conception plus moderne serait de dire que la "veine poétique" comme l'esprit artistique en général consiste en une tournure d'esprit qui permet la résurgence à la lumière des mouvements enfouis au plus profond de nous...

Exit, dieu !

Pour certains la poésie est la plus haute expression de l'art, et donc elle touche au divin, si on croit au divin.

Mais qu'est ce que le divin finalement ? 

Peut etre simplement les états de conscience supérieurs, qui parait-il, n'interviennent que quand l'intellect se tait.

il y a 4 minutes, hell-spawn a dit :

Pour certains la poésie est la plus haute expression de l'art, et donc elle touche au divin, si on croit au divin.

Mais qu'est ce que le divin finalement ? 

Peut etre simplement les états de conscience supérieurs, qui parait-il, n'interviennent que quand l'intellect se tait.

Paraît-il ou paraît-il pas !

J'ai un peu dit au dessus ma conception, ma compréhension du phénomène artistique. Mais si l'intellect est du conscient et que c'est un état de conscience "inférieur" qui resurgit, les phénomènes se ressemblent. Dionysos d'un côté, Apollon de l'autre !

il y a 1 minute, Blaquière a dit :

Paraît-il ou paraît-il pas !

(J'ai un peu dit au dessus ma conception, ma compréhension du phénomène artistique.)

C'est ce que l'on dit dans les philosophies orientales, en psychanalyse Jungienne également.

Plusieurs niveaux ou catégories de conscience qui interviennent dans le lacher-prise.

Le séphiroth une baliverne ? Ne voyez vous pas que ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ? avez vous un argument contre l'existence d'un tel chemin ?

il y a 1 minute, hell-spawn a dit :

C'est ce que l'on dit dans les philosophies orientales, en psychanalyse Jungienne également.

Plusieurs niveaux ou catégories de conscience qui interviennent dans le lacher-prise.

J'ai précisé au dessous...

C'est fou, ça : Jung ne passe pas chez moi ! J'ai essayé plusieurs fois, le livre me tombe des mains...

à l’instant, Blaquière a dit :

J'ai précisé au dessous...

C'est fou, ça : Jung ne passe pas chez moi ! J'ai essayé plusieurs fois, le livre me tombe des mains...

Oh non !    ne dit pas ça cela m'attriste.

Disons qu'il ne faut pas aborder un auteur au hasard de son oeuvre, il y a une initiation.

Par exemple lire Nietzsche en commençant par son Zarathoustra est une erreur.

il y a 20 minutes, Genesiis a dit :

Le séphiroth une baliverne ? Ne voyez vous pas que ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ? avez vous un argument contre l'existence d'un tel chemin ?

Oui ! c'est une cristallisation en entités de préjugés.

Tenez, cette formule : "ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort " est très séduisante, mais c'est... du baratin. C'est ça la paralysie de l'esprit. S'enfermer dans des formules. Mais je ne dis pas que je vaux mieux, hein ? Mais je ne fonctionne pas comme ça, en tout cas j'essaie.

il y a 16 minutes, hell-spawn a dit :

Oh non !    ne dit pas ça cela m'attriste.

Disons qu'il ne faut pas aborder un auteur au hasard de son oeuvre, il y a une initiation.

Par exemple lire Nietzsche en commençant par son Zarathoustra est une erreur.

 

Ben c'est ça, merci  : prends moi carrément pour un couillon !

(Je blague !)

je réfléchis : "Ce qui ne nous tue pas peut nous laisser blessé pour longtemps et parfois pour toujours"... C'est pas moins vrai. Peut-être plus...

il y a 21 minutes, Blaquière a dit :

Oui ! c'est une cristallisation en entités de préjugés.

Tenez, cette formule : "ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort " est très séduisante, mais c'est... du baratin. C'est ça la paralysie de l'esprit. S'enfermer dans des formules. Mais je ne dis pas que je vaux mieux, hein ? Mais je ne fonctionne pas comme ça, en tout cas j'essaie.

Ben c'est ça, merci  : prends moi carrément pour un couillon !

(Je blague !)

 

je réfléchis : "Ce qui ne nous tue pas peut nous laisser blessé pour longtemps et parfois pour toujours"... C'est pas moins vrai. Peut-être plus...

Le ridicule ne tue pas.

Tout ce qui ne tue pas rend plus fort.

Donc le ridicule rend plus fort.

C'est ma seule ligne de conduite.

Genesiis : Le séphiroth une baliverne ? Ne voyez vous pas que ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ? avez vous un argument contre l'existence d'un tel chemin ?

blaquière : Oui ! c'est une cristallisation en entités de préjugés.

genesiis : comme tout raccourci, je vois différentes façons de le prendre ; et vu la suite de votre intervention... vous aussi ! Ce qui nuance votre réponse littéralement pleine de préjugés. Je prends les citations que j'utilise comme des pense bête et non comme des dogmes. Toutefois je veille à ce que leur sens premier ne soit pas fondamentalement erroné.

blaquière : Tenez, cette formule : "ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort " est très séduisante, mais c'est... du baratin.

genesiis : Exact, c'est du baratin... utile ; car il renforce notre résiliance en suscitant notre adaptation face à une adversité.

blaquière : C'est ça la paralysie de l'esprit. S'enfermer dans des formules. Mais je ne dis pas que je vaux mieux, hein ? Mais je ne fonctionne pas comme ça, en tout cas j'essaie.

genesiis : bonne continuation.

blaquière : je réfléchis : "Ce qui ne nous tue pas peut nous laisser blessé pour longtemps et parfois pour toujours"... C'est pas moins vrai. Peut-être plus...

genesiis : un tout petit peu plus : connaissez vous cette histoire, dont je fais une version très courte :

...

Le paysan a un fils, O quel bonheur !

Le fils tomba de cheval et se cassa un bras, O quel malheur !

Le recruteur de l'armée du roi ne pris pas le manchot, O quel bonheur !

...

il y a 27 minutes, Genesiis a dit :

Genesiis : Le séphiroth une baliverne ? Ne voyez vous pas que ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort ? avez vous un argument contre l'existence d'un tel chemin ?

blaquière : Oui ! c'est une cristallisation en entités de préjugés.

genesiis : comme tout raccourci, je vois différentes façons de le prendre ; et vu la suite de votre intervention... vous aussi ! Ce qui nuance votre réponse littéralement pleine de préjugés. Je prends les citations que j'utilise comme des pense bête et non comme des dogmes. Toutefois je veille à ce que leur sens premier ne soit pas fondamentalement erroné.

blaquière : Tenez, cette formule : "ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort " est très séduisante, mais c'est... du baratin.

genesiis : Exact, c'est du baratin... utile ; car il renforce notre résiliance en suscitant notre adaptation face à une adversité.

blaquière : C'est ça la paralysie de l'esprit. S'enfermer dans des formules. Mais je ne dis pas que je vaux mieux, hein ? Mais je ne fonctionne pas comme ça, en tout cas j'essaie.

genesiis : bonne continuation.

blaquière : je réfléchis : "Ce qui ne nous tue pas peut nous laisser blessé pour longtemps et parfois pour toujours"... C'est pas moins vrai. Peut-être plus...

genesiis : un tout petit peu plus : connaissez vous cette histoire, dont je fais une version très courte :

...

Le paysan a un fils, O quel bonheur !

Le fils tomba de cheval et se cassa un bras, O quel malheur !

Le recruteur de l'armée du roi ne pris pas le manchot, O quel bonheur !

...

parlons guère parlons bien ; je n’arrive pas à prendre ce genre  truc au sérieux :

La beauté au centre j'y crois pas ! existe-t-il qq chosé  dé plus inexistant ?

Moui, c'est sûr que cette version me semble bien simpliste et mérite toute une encyclopédie explicative. Mais la beauté au centre ne me choque pas et rejoint m^me mes propos précédents. Car si nous alllons, sauf incident terminateur, vers une meilleur harmonie alors cette harmonie devrait résonner avec celle de l'Eternel et donc nous devrions resentir au centre de notre progression un sentiment de beauté, une extase, une épiphanie. 

Le 24/07/2020 à 07:32, Genesiis a dit :

Moui, c'est sûr que cette version me semble bien simpliste et mérite toute une encyclopédie explicative. Mais la beauté au centre ne me choque pas et rejoint m^me mes propos précédents. Car si nous alllons, sauf incident terminateur, vers une meilleur harmonie alors cette harmonie devrait résonner avec celle de l'Eternel et donc nous devrions resentir au centre de notre progression un sentiment de beauté, une extase, une épiphanie. 

C'est bien Dieu le sujet ...

 une anecdote d'il y a cinq minutes.

 J'explique à un client que je ne connaissais pas comment je fais le "marbré" ou le "jaspé" sur un saladier qu'il m'achète... je lui dis que je mets les couleurs et qu'elles se déplacent un peu toutes seules...

Lui :

-- C'est Dieu qui vous guide !

Moi (un peu interdit)

-- On peut dire ça en quelque sorte !

Je n'ai pas osé lui dire : "Avec les milliards de galaxies dont il doit s'occuper, je voudrais pas trop prendre sur son temps pour mes saladiers..."

Je l'ai seulement pensé...

Le 24/07/2020 à 07:32, Genesiis a dit :

Moui, c'est sûr que cette version me semble bien simpliste et mérite toute une encyclopédie explicative. Mais la beauté au centre ne me choque pas et rejoint m^me mes propos précédents. Car si nous alllons, sauf incident terminateur, vers une meilleur harmonie alors cette harmonie devrait résonner avec celle de l'Eternel et donc nous devrions resentir au centre de notre progression un sentiment de beauté, une extase, une épiphanie. 

Je n'avais pas vu ta réponse et j'y réponds donc maintenant.

Je pense que notre sens de la beauté est une construction culturelle sur des bases psychologiques, physiologiques et...  animales...

Quelque chose de très périphérique donc et certainement pas essentiel ni au centre de ce que nous sommes.

En retour cette "construction" peut avoir un effet apaisant, justement sur ce sur quoi elle est construite : psychologie physiologie, animalité. On pourrait même dire que c'est là sa fonction.

Il me semble que Dieu a fait un monde d'apparence raisonnable ; afin que nous puissions exercer notre libre arbitre ; car si le merveilleux s'imposait à nous alors la raison serait dérisoire ; a la place de ce chaos nous avons la magie qui est cantonnée à la subtilité.

« Prenez n’importe quelle activité humaine, n’importe quels arts, disciplines ou techniques, et poussez les aussi loin qu’ils peuvent aller, au-delà de tout ce qu’ils ont pu donner dans le passé, poussez-les jusqu’à leurs dernières limites, et vous vous retrouverez dans le royaume de la magie. » T. ROBBINS

A moins que nous en soyons à la fin des temps.

On dirait bien que le sentiment de beauté occupe cette même situation périphérique.

Il y a 3 heures, Blaquière a dit :

Je n'avais pas vu ta réponse et j'y réponds donc maintenant.

Je pense que notre sens de la beauté est une construction culturelle sur des bases psychologiques, physiologiques et...  animales...

Quelque chose de très périphérique donc et certainement pas essentiel ni au centre de ce que nous sommes.

En retour cette "construction" peut avoir un effet apaisant, justement sur ce sur quoi elle est construite : psychologie physiologie, animalité. On pourrait même dire que c'est là sa fonction.

Citation

Une femme nue nage dans la mer.

Un homme barbu marche sur l'eau

Où est la merveille des merveilles

Le miracle annoncé plus haut ?

Merci Jacques Prévert (Vous allez voir ce que vous allez voir)

il y a 2 minutes, hybridex a dit :

Merci Jacques Prévert (Vous allez voir ce que vous allez voir)

Je crois qu'on voit les choses sous le même angle !

il y a 5 minutes, Blaquière a dit :

Je crois qu'on voit les choses sous le même angle !

Mais les poètes s'expriment tellement mieux que moi!

Une Image vaut Mille mots.

Le 09/08/2020 à 17:18, Genesiis a dit :

A moins que nous en soyons à la fin des temps.

Le temps n'as pas de fin par définition!

Si on parle de fin d'un cycle, bah oui 260 jours disaient les mayas, et donc quel rapport avec l'existence d'un Dieu créateur.

il y a 3 minutes, dede 2b a dit :

Le temps n'as pas de fin par définition!

Si on parle de fin d'un cycle, bah oui 260 jours disaient les mayas, et donc quel rapport avec l'existence d'un Dieu créateur.

Étonnante idée dede. 

Le temps n'existe que par l'espace et il fût inexistant lorsque le mur de Plank précéda le BiG BanG. Par le suite la période d'expansion autorisa des vitesses supra-luminiques, en l'absence de matière formelle. ( je simplifie) 

Ainsi ami le temps est bien plus "volatil" qu'il n'y parait , se dilatant et se comprimant selon les circonstances. 

Un Dieu ou une conscience de l'univers? pourquoi pas? lol

Bien amicalement