Il y a 6 heures, Léna-Postrof a dit :

Possiblement. 

Il serait intéressant de laisser s’exprimer les croyants, peut-être que les paroles de ce rabbin au féminin, leur parleront. 

Bien sûr que les femmes ont une responsabilité et d’autant qu’elles sont souvent en charge (plus ou moins seules) de l'éducation des enfants. Il n’est pas question de faire de l’angélisme. Elles sont aussi influencées par toute une culture misogyne, dont il est parfois difficile de s’extraire, et d’autant plus suivant les milieux. Porter l’héritier (et non une héritière) est vue comme une immense fierté.  

Nous devrions sûrement pouvoir faire évoluer certaines choses. 
 

@Enchantant des mères italiennes et espagnoles, sans doute portugaises pourraient avoir le même comportement... Il y a une relation tellement viscérale, spéciale avec l’enfant (même quand c’est une fille), qu’elles ont la sensation qu’on leur arrache l’enfant prodige, leur vie, leur œuvre. 

Rien de bien profond...elles espèrent sans doute pour leur vieillesse que leurs fils les prennent en charge...sont les plus mauvaises belles-mères... ceci expliquant sans doute cela...

Ok trouvé 

http://www.akadem.org/sommaire/colloques/le-colloque-des-intellectuels-juifs-de-langue-francaise/femmes-violences-et-religions-28-08-2017-93389_4754.php

“Mutisme des mères, violence des fils”

Il y a 3 heures, Constantinople a dit :

N'est ce pas universel ?

Nombre d'infanticides par ex ont eu lieu en chine par désespoir d'avoir eu une fille à la place d'un garçon. Dans toutes les cultures on était traditionnellement plus "fier" d'avoir un garçon.

En Chine s'est d'abord pour le culte des parents...le fils...

Il y a 3 heures, Pales a dit :

Je dirais plutôt par "plus d'Amour" pour leur progéniture male

Du fait de ce qui est appelé le "Complexe d'Œdipe"

https://fr.wikipedia.org/wiki/Complexe_d'Œdipe

Même pas....c'est l'inverse ce complexe...

Il y a 11 heures, Morfou a dit :

En Chine s'est d'abord pour le culte des parents...le fils...

Même pas....c'est l'inverse ce complexe...

 

Ce "Complexe" est très Complexe a comprendre……………. Surtout par des tètes de linottes Complexées et Esseulées!!

Enfin, en 1923, dans Le Moi et le Ça, Freud "métapsychologise"^{A 7} la notion de complexe d'Œdipe, en en faisant un prérequis structurant de l'instance morale, le surmoi. En effet, lors de la maturité du complexe, plusieurs scénarios sont possibles : affects féminins pour le père chez le garçon ou désir féminin pour la mère chez la fille, et vice-versa. Toutes les variations sont dues selon Freud à la « bisexualité constitutionnelle de l'individu »^{A 8}. Dans le même texte, Freud précise que lors de la destruction du complexe d'Œdipe, l'enfant, garçon et fille, est obligé de renoncer à prendre respectivement la mère et le père pour objet libidinal. Deux éventualités peuvent alors se produire : pour le garçon ou une identification avec la mère, ou un renforcement de l'identification avec le père. C'est cette dernière éventualité qui permet à l'enfant de conserver, jusqu'à un certain degré, l'attitude de tendresse à l'égard de la mère. De la même façon, la petite fille est amenée, à la suite de la destruction du complexe d'Œdipe, à renoncer à l'investissement libidinal du père œdipien, et à s'identifier avec la mère. Et comme une telle identification existait déjà, elle est renforcée, ce qui a pour effet l'affermissement de la partie féminine de son caractère. L'identification avec le père ou avec la mère, dans les deux sexes, à la suite de la destruction du complexe d'Œdipe, comporte la force psychique des dispositions sexuelles chez l'un et chez l'autre⁷. L'enfant est en effet inconsciemment bisexuel, son orientation sexuelle se précisant par la suite. Ces variations identificatoires complexes peuvent entraîner une attitude positive du garçon pour son père (le complexe inversé), ou une attitude négative (le complexe normal), le tout formant, virtuellement le « complexe d'Œdipe complet ». Ces identifications variées expliquent la diversité des étiologies et des personnalités. Elles constituent fondamentalement un « idéal du moi » qui détermine la morphologie du Surmoi.

il y a une heure, Pales a dit :

Ce "Complexe" est très Complexe a comprendre……………. Surtout par des tètes de linottes Complexées et Esseulées!!

Enfin, en 1923, dans Le Moi et le Ça, Freud "métapsychologise"^{A 7} la notion de complexe d'Œdipe, en en faisant un prérequis structurant de l'instance morale, le surmoi. En effet, lors de la maturité du complexe, plusieurs scénarios sont possibles : affects féminins pour le père chez le garçon ou désir féminin pour la mère chez la fille, et vice-versa. Toutes les variations sont dues selon Freud à la « bisexualité constitutionnelle de l'individu »^{A 8}. Dans le même texte, Freud précise que lors de la destruction du complexe d'Œdipe, l'enfant, garçon et fille, est obligé de renoncer à prendre respectivement la mère et le père pour objet libidinal. Deux éventualités peuvent alors se produire : pour le garçon ou une identification avec la mère, ou un renforcement de l'identification avec le père. C'est cette dernière éventualité qui permet à l'enfant de conserver, jusqu'à un certain degré, l'attitude de tendresse à l'égard de la mère. De la même façon, la petite fille est amenée, à la suite de la destruction du complexe d'Œdipe, à renoncer à l'investissement libidinal du père œdipien, et à s'identifier avec la mère. Et comme une telle identification existait déjà, elle est renforcée, ce qui a pour effet l'affermissement de la partie féminine de son caractère. L'identification avec le père ou avec la mère, dans les deux sexes, à la suite de la destruction du complexe d'Œdipe, comporte la force psychique des dispositions sexuelles chez l'un et chez l'autre⁷. L'enfant est en effet inconsciemment bisexuel, son orientation sexuelle se précisant par la suite. Ces variations identificatoires complexes peuvent entraîner une attitude positive du garçon pour son père (le complexe inversé), ou une attitude négative (le complexe normal), le tout formant, virtuellement le « complexe d'Œdipe complet ». Ces identifications variées expliquent la diversité des étiologies et des personnalités. Elles constituent fondamentalement un « idéal du moi » qui détermine la morphologie du Surmoi.

Vous parliez de préférence de la mère pour le fils, qui tient plus à une question de "culture" dans les pays du sud, principalement et qui tient plus à la condition de la femme...que du complexe d'Oedipe !

il y a une heure, Pales a dit :

Ce "Complexe" est très Complexe a comprendre……………. Surtout par des tètes de linottes Complexées et Esseulées!!

Enfin, en 1923, dans Le Moi et le Ça, Freud "métapsychologise"^{A 7} la notion de complexe d'Œdipe, en en faisant un prérequis structurant de l'instance morale, le surmoi. En effet, lors de la maturité du complexe, plusieurs scénarios sont possibles : affects féminins pour le père chez le garçon ou désir féminin pour la mère chez la fille, et vice-versa. Toutes les variations sont dues selon Freud à la « bisexualité constitutionnelle de l'individu »^{A 8}. Dans le même texte, Freud précise que lors de la destruction du complexe d'Œdipe, l'enfant, garçon et fille, est obligé de renoncer à prendre respectivement la mère et le père pour objet libidinal. Deux éventualités peuvent alors se produire : pour le garçon ou une identification avec la mère, ou un renforcement de l'identification avec le père. C'est cette dernière éventualité qui permet à l'enfant de conserver, jusqu'à un certain degré, l'attitude de tendresse à l'égard de la mère. De la même façon, la petite fille est amenée, à la suite de la destruction du complexe d'Œdipe, à renoncer à l'investissement libidinal du père œdipien, et à s'identifier avec la mère. Et comme une telle identification existait déjà, elle est renforcée, ce qui a pour effet l'affermissement de la partie féminine de son caractère. L'identification avec le père ou avec la mère, dans les deux sexes, à la suite de la destruction du complexe d'Œdipe, comporte la force psychique des dispositions sexuelles chez l'un et chez l'autre⁷. L'enfant est en effet inconsciemment bisexuel, son orientation sexuelle se précisant par la suite. Ces variations identificatoires complexes peuvent entraîner une attitude positive du garçon pour son père (le complexe inversé), ou une attitude négative (le complexe normal), le tout formant, virtuellement le « complexe d'Œdipe complet ». Ces identifications variées expliquent la diversité des étiologies et des personnalités. Elles constituent fondamentalement un « idéal du moi » qui détermine la morphologie du Surmoi.

Euh..franchement Pales, quand on a lu un peu la biographie de Freud...on ne prête plus du tout attention à tout ce qu'il a pu raconter sur les rapports mère/fils...Vraiment. IL a déliré plein pot.

il y a 14 minutes, Morfou a dit :

Vous parliez de préférence de la mère pour le fils, qui tient plus à une question de "culture" dans les pays du sud, principalement et qui tient plus à la condition de la femme...que du complexe d'Oedipe !

 

 

Je ne parlais pas de Préférence mais d'Amour …………………Père fille ,Mère fils et inversement 

Sentiment Génétiquement et Sexuellement  Naturel!!

Ceci étant Interculturel

il y a 12 minutes, Pales a dit :

Je ne parlais pas de Préférence mais d'Amour …………………Père fille ,Mère fils et inversement 

Sentiment Génétiquement et Sexuellement  Naturel!!

Ceci étant Interculturel

C'est la croyance de certains, dont vous...mais pas la mienne!

il y a 9 minutes, chanou 34 a dit :

Euh..franchement Pales, quand on a lu un peu la biographie de Freud...on ne prête plus du tout attention à tout ce qu'il a pu raconter sur les rapports mère/fils...Vraiment. IL a déliré plein pot.

Pour autant chanou 34 , Freud n'a ni plus ou moins "Scientifisé" ce que Œdipe en son temps ne pouvais  démontrer Scientifiquement!!! 

il y a 2 minutes, Morfou a dit :

C'est la croyance de certains, dont vous...mais pas la mienne!

Et la Tienne pas plus la Mienne!

"L'avenir d'un enfant est l'œuvre de sa Mère"...……………..A méditer

Napoléon Bonaparte

Il y a 19 heures, eriu a dit :

Je suis d'origine espagnole , et , oui , les garçons étaient considérés différemment et l'aîné plus encore et plus par ma mère que mon père d'ailleurs .. et aucune religion chez nous . 

C'est très méditerranéen, ça, c'était pareil chez moi en mettant la religion de côté. Mais ça venait bien plus de mon père que de ma mère.

Est-ce que la violence des fils vient de leur mère....je dirais que probablement oui, mais plus parce qu'ils ont été maltraités qu'adulés. Un fils adoré par sa mère se construit en généralement bien, tout plein d'assurance (une fille aussi d'ailleurs). 

Ce n'est ni Culturel ni Géographique ,ou tout autres considération ………...…. que celle de la  Génétique (l'ADN)

il y a une heure, Pales a dit :

Pour autant chanou 34 , Freud n'a ni plus ou moins "Scientifisé" ce que Œdipe en son temps ne pouvais  démontrer Scientifiquement!!! 

Mais Pales...Oedipe, c'est un mythe.

il y a 2 minutes, chanou 34 a dit :

 

Mais Pales...Oedipe, c'est un mythe.

Je sais chanou 34 ne sommes nous pas  quelque part tant soit peu des "Miteux Mythologues"?...……………. et alors c'est notre Nature NON ?

PS: Sais tu que me concernant que j'ai eu et ressent toujours autant plus "d'Amour" envers ma Maman chérie (paix a son Ame) que celui envers mon Papa (paix a son âme)………………. sais tu l'expliquer?

Et TOI?

il y a 12 minutes, Pales a dit :

Je sais chanou 34 ne sommes nous pas  quelque part tant soit peu des "Miteux Mythologues"?...……………. et alors c'est notre Nature NON ?

PS: Sais tu que me concernant que j'ai eu et ressent toujours autant plus "d'Amour" envers ma Maman chérie (paix a son Ame) que celui envers mon Papa (paix a son âme)………………. sais tu l'expliquer?

Et TOI?

Ca n'a rien à voir avec le sieur...les préférences ne s'expliquent pas...quand il y en a...

il y a une heure, Pales a dit :

Ce n'est ni Culturel ni Géographique ,ou tout autres considération ………...…. que celle de la  Génétique (l'ADN)

 

 

C'est culturel et géographique...

Il y a 22 heures, Enchantant a dit :

A vrai dire je n’en sais rien, n’ayant pas lu la bible.

Mais j’ai observé que dans le monde méditerranéen, Sud de la France, Espagne, Italie, Maghreb, les mères ont une fâcheuse tendance à mettre leurs fils sur un piédestal au détriment de leur fille.

 

Tout en les castrant...

Il y a 1 heure, Pales a dit :

Et la Tienne pas plus la Mienne!

"L'avenir d'un enfant est l'œuvre de sa Mère"...……………..A méditer

Napoléon Bonaparte

 

 

 

 

 

Mais lui chérissait sa mère...

il y a 2 minutes, Amstello a dit :

Tout en les castrant...

Ou en en faisant, surtout, des machos imbuvables...

Il y a 20 heures, Léna-Postrof a dit :

JCVD approved. 

Arf, c’est triste. 
Pour ma part, d’origine espagnole d’un côté (et gaélique) et italienne de l’autre. Les mâles (père, oncles, cousins) ont constamment été valorisés par mes grands-mères -l’une de façon plus exacerbée que l’autre tout de même-  et quelques unes de mes tantes. Côté maternel, il n’y a pas eu de perpétuation des cette « tradition » étrange, il n’y a pas de garçon non plus. Il est vrai qu’en tant qu’aînée, j’ai ouvert la voie, cela reste positif. Enfin ma mère a détesté par principe tous les hommes que je lui ai présentés (^.^). 

Il ne me reste plus qu’à acquérir le livre de Delphine Horvilleur, en espérant qu’elle y ait développé cette idée.  

Procurez-vous par la même occassion "les enfants de Jocaste" de Christiane Olivier Editions Denoël/Gonthier.

il y a 8 minutes, Morfou a dit :

Mais lui chérissait sa mère...

Ou en en faisant, surtout, des machos imbuvables...

 

C'est une réaction à la possessivité excessive d'une mère envahissante.  Tout excès pousse vers l'excès contraire...

il y a 1 minute, Amstello a dit :

Procurez-vous par la même occassion "les enfants de Jocaste" de Christiane Olivier Editions Denoël/Gonthier.

 

C'est une réaction à la possessivité excessive d'une mère envahissante.  Tout excès pousse vers l'excès contraire...

Le macho, c'est la mère qui, le mettant sur un piédestal, en a fait un type qui se croit la 7ème merveille du monde et qui pense que le monde lui appartient...

à l’instant, Morfou a dit :

Le macho, c'est la mère qui, le mettant sur un piédestal, en a fait un type qui se croit la 7ème merveille du monde et qui pense que le monde lui appartient...

Lisez l'ouvrage ci-dessus.  L'auteure est loin d'être  une misogyne...