Ce type a bien appris les leçons inculquées durant son passage comme cadre supérieur dans le Privé.

Avec lui, tous les français devraient être des grosses têtes ! Avec de gros salaires.

Télégramme de Brest et de l'Ouest en ligne :

Baisse de l’impôt sur le revenu et de la taxe d’habitation, réforme de l’allocation-chômage, changement du calcul des aides au logement : les mesures prises par le gouvernement pour 2020 vont surtout profiter aux ménages aisés et actifs, selon une évaluation publiée mercredi par l’OFCE.

L’Observatoire français des conjonctures économiques a compilé l’ensemble des mesures contenues dans le budget 2020 et selon leurs calculs, ces mesures contribuent globalement à une hausse du pouvoir d’achat à hauteur de 5 milliards d’euros, qui va profiter à 70 % des ménages français.

Toutefois, « les grands gagnants » sont plutôt ceux dont le niveau de vie est supérieur au niveau de vie médian, puisque ce sont eux qui sont assujettis à l’impôt sur le revenu (-5 milliards en 2020) et à la taxe d’habitation (environ -3 milliards en 2020).

À l’inverse, 15 % des ménages les plus modestes vont voir leur niveau de vie « amputé », en particulier par les réformes des allocations-chômage et logement, cette dernière devant entrer en vigueur au 1er avril. Ainsi les 5 % de ménages les plus modestes devraient voir leur revenu disponible réduit de 45 euros en moyenne sur l’année.

Par ailleurs, les ménages les plus aisés, qui ont fortement profité en 2018 de la réduction de la fiscalité du capital (suppression de l’ISF, création de l’IFI, etc.), voient leurs gains diminuer sur la seule année 2020, notamment parce qu’ils ne sont pas encore concernés par la baisse de la taxe d’habitation.

Les inactifs paient pour les actifs

Ces résultats confirment une volonté de « rééquilibrage » des gains de pouvoir d’achat entamé en 2019 et qui avait essentiellement bénéficié à l’ensemble des classes moyennes, après une année 2018 surtout profitable aux plus aisés, a expliqué Pierre Madec, économiste à l’OFCE, lors d’une conférence de presse.

La baisse de l’impôt sur le revenu permet toutefois de continuer à soutenir le pouvoir d’achat des plus aisés, principaux contributeurs. Au total, entre 2018 et 2020, un quart des 17 milliards d’euros de gains cumulés de pouvoir d’achat ont profité au 5 % des ménages les plus aisés, estime l’OFCE. Mais au-delà du niveau de vie, « le vrai facteur discriminant c’est l’activité », note Pierre Madec : ainsi, les inactifs (chômeurs et retraités) ont « plutôt été mis à contribution pour financer les augmentations (de pouvoir d’achat) des actifs ». Un résultat qui résonne avec le discours du président de la République et du gouvernement depuis le début du quinquennat sous l’angle : « il faut que le travail paye mieux ». Côté entreprises, si les deux premières années du quinquennat ont été marquées par des baisses d’impôts, surtout avec la transformation du CICE en baisses de charges, le taux de prélèvements devrait légèrement repartir à la hausse en 2020, selon l’OFCE.

Par ailleurs, l’OFCE revoit à la hausse dans cette étude sa prévision du déficit public pour 2020 à 2,4 % du PIB, contre 2,3 % précédemment, anticipant une dégradation de 0,2 point du déficit structurel du fait notamment du ralentissement de la croissance et d’une politique budgétaire « légèrement expansionniste ».

Bougez-vous.

il y a 27 minutes, pila a dit :

Ce type a bien appris les leçons inculquées durant son passage comme cadre supérieur dans le Privé.

Avec lui, tous les français devraient être des grosses têtes ! Avec de gros salaires.

Télégramme de Brest et de l'Ouest en ligne :

Baisse de l’impôt sur le revenu et de la taxe d’habitation, réforme de l’allocation-chômage, changement du calcul des aides au logement : les mesures prises par le gouvernement pour 2020 vont surtout profiter aux ménages aisés et actifs, selon une évaluation publiée mercredi par l’OFCE.

L’Observatoire français des conjonctures économiques a compilé l’ensemble des mesures contenues dans le budget 2020 et selon leurs calculs, ces mesures contribuent globalement à une hausse du pouvoir d’achat à hauteur de 5 milliards d’euros, qui va profiter à 70 % des ménages français.

Toutefois, « les grands gagnants » sont plutôt ceux dont le niveau de vie est supérieur au niveau de vie médian, puisque ce sont eux qui sont assujettis à l’impôt sur le revenu (-5 milliards en 2020) et à la taxe d’habitation (environ -3 milliards en 2020).

À l’inverse, 15 % des ménages les plus modestes vont voir leur niveau de vie « amputé », en particulier par les réformes des allocations-chômage et logement, cette dernière devant entrer en vigueur au 1er avril. Ainsi les 5 % de ménages les plus modestes devraient voir leur revenu disponible réduit de 45 euros en moyenne sur l’année.

Par ailleurs, les ménages les plus aisés, qui ont fortement profité en 2018 de la réduction de la fiscalité du capital (suppression de l’ISF, création de l’IFI, etc.), voient leurs gains diminuer sur la seule année 2020, notamment parce qu’ils ne sont pas encore concernés par la baisse de la taxe d’habitation.

Les inactifs paient pour les actifs

Ces résultats confirment une volonté de « rééquilibrage » des gains de pouvoir d’achat entamé en 2019 et qui avait essentiellement bénéficié à l’ensemble des classes moyennes, après une année 2018 surtout profitable aux plus aisés, a expliqué Pierre Madec, économiste à l’OFCE, lors d’une conférence de presse.

La baisse de l’impôt sur le revenu permet toutefois de continuer à soutenir le pouvoir d’achat des plus aisés, principaux contributeurs. Au total, entre 2018 et 2020, un quart des 17 milliards d’euros de gains cumulés de pouvoir d’achat ont profité au 5 % des ménages les plus aisés, estime l’OFCE. Mais au-delà du niveau de vie, « le vrai facteur discriminant c’est l’activité », note Pierre Madec : ainsi, les inactifs (chômeurs et retraités) ont « plutôt été mis à contribution pour financer les augmentations (de pouvoir d’achat) des actifs ». Un résultat qui résonne avec le discours du président de la République et du gouvernement depuis le début du quinquennat sous l’angle : « il faut que le travail paye mieux ». Côté entreprises, si les deux premières années du quinquennat ont été marquées par des baisses d’impôts, surtout avec la transformation du CICE en baisses de charges, le taux de prélèvements devrait légèrement repartir à la hausse en 2020, selon l’OFCE.

À lire sur le sujet Budget 2020. Des « cadeaux » à financer

Par ailleurs, l’OFCE revoit à la hausse dans cette étude sa prévision du déficit public pour 2020 à 2,4 % du PIB, contre 2,3 % précédemment, anticipant une dégradation de 0,2 point du déficit structurel du fait notamment du ralentissement de la croissance et d’une politique budgétaire « légèrement expansionniste ».

Et les mauvaises nouvelles après  les municipales..

1er Avril

il y a 21 minutes, Talon 1 a dit :

Bougez-vous.

Gilet  jaune??

...d' accord!

Quelqu'un est surpris?????

En plus il est pas légitime du tout.

il y a une heure, l'ours 5785 a dit :

Quelqu'un est surpris?????

Oui, moi..

Il y a 14 heures, Condorcet a dit :

En plus il est pas légitime du tout.

De quoi ! , de quoi !

En quoi est il pas légitime du tout ?

Il y a 13 heures, PASCOU a dit :

Oui, moi..

 

Tu as viré ta cuti

il y a 7 minutes, PINOCCHIO a dit :

De quoi ! , de quoi !

En quoi est il pas légitime du tout ?

Aucun français ou presque n'a voté pour lui. Parce que les traîtres à la France, je les compte pas dans les français. 

il y a 1 minute, Condorcet a dit :

Aucun français ou presque n'a voté pour lui. Parce que les traîtres à la France, je les compte pas dans les français. 

Si c'est pas des français , c'est quoi , alors, ta carte d'électeur elle est bien floqué bleu , blanc , rouge, hein !

il y a 2 minutes, PINOCCHIO a dit :

Si c'est pas des français , c'est quoi , alors, ta carte d'électeur elle est bien floqué bleu , blanc , rouge, hein !

C'est que du papier.

il y a 2 minutes, Condorcet a dit :

C'est que du papier.

Du papier qui donne des preuves que tu le veuille ou non, la main est dans l'isoloir et elle la met dans la boite, c'est bien ça la fameuse démocratie

il y a 27 minutes, PINOCCHIO a dit :

De quoi ! , de quoi !

En quoi est il pas légitime du tout ?

Tu as viré ta cuti

Non, pourquoi?

Il y a 15 heures, Condorcet a dit :

En plus il est pas légitime du tout.

bonjour,

????? aurait il falsifié les votes ......?

il a été élu par la majorité des français ayant pris la peine de se déplacer pour aller voter ! ( pour rappel 66% contre 34 % à marine le pen )

un point c'est tout !...même s'il y a eu un pourcentage élevé d'abstentions et de vote blanc ( par rapport aux élection de même type )

Le 05/02/2020 à 16:44, pila a dit :

Ce type a bien appris les leçons inculquées durant son passage comme cadre supérieur dans le Privé.

Avec lui, tous les français devraient être des grosses têtes ! Avec de gros salaires.

Télégramme de Brest et de l'Ouest en ligne :

Baisse de l’impôt sur le revenu et de la taxe d’habitation, réforme de l’allocation-chômage, changement du calcul des aides au logement : les mesures prises par le gouvernement pour 2020 vont surtout profiter aux ménages aisés et actifs, selon une évaluation publiée mercredi par l’OFCE.

L’Observatoire français des conjonctures économiques a compilé l’ensemble des mesures contenues dans le budget 2020 et selon leurs calculs, ces mesures contribuent globalement à une hausse du pouvoir d’achat à hauteur de 5 milliards d’euros, qui va profiter à 70 % des ménages français.

Toutefois, « les grands gagnants » sont plutôt ceux dont le niveau de vie est supérieur au niveau de vie médian, puisque ce sont eux qui sont assujettis à l’impôt sur le revenu (-5 milliards en 2020) et à la taxe d’habitation (environ -3 milliards en 2020).

À l’inverse, 15 % des ménages les plus modestes vont voir leur niveau de vie « amputé », en particulier par les réformes des allocations-chômage et logement, cette dernière devant entrer en vigueur au 1er avril. Ainsi les 5 % de ménages les plus modestes devraient voir leur revenu disponible réduit de 45 euros en moyenne sur l’année.

Par ailleurs, les ménages les plus aisés, qui ont fortement profité en 2018 de la réduction de la fiscalité du capital (suppression de l’ISF, création de l’IFI, etc.), voient leurs gains diminuer sur la seule année 2020, notamment parce qu’ils ne sont pas encore concernés par la baisse de la taxe d’habitation.

Les inactifs paient pour les actifs

Ces résultats confirment une volonté de « rééquilibrage » des gains de pouvoir d’achat entamé en 2019 et qui avait essentiellement bénéficié à l’ensemble des classes moyennes, après une année 2018 surtout profitable aux plus aisés, a expliqué Pierre Madec, économiste à l’OFCE, lors d’une conférence de presse.

La baisse de l’impôt sur le revenu permet toutefois de continuer à soutenir le pouvoir d’achat des plus aisés, principaux contributeurs. Au total, entre 2018 et 2020, un quart des 17 milliards d’euros de gains cumulés de pouvoir d’achat ont profité au 5 % des ménages les plus aisés, estime l’OFCE. Mais au-delà du niveau de vie, « le vrai facteur discriminant c’est l’activité », note Pierre Madec : ainsi, les inactifs (chômeurs et retraités) ont « plutôt été mis à contribution pour financer les augmentations (de pouvoir d’achat) des actifs ». Un résultat qui résonne avec le discours du président de la République et du gouvernement depuis le début du quinquennat sous l’angle : « il faut que le travail paye mieux ». Côté entreprises, si les deux premières années du quinquennat ont été marquées par des baisses d’impôts, surtout avec la transformation du CICE en baisses de charges, le taux de prélèvements devrait légèrement repartir à la hausse en 2020, selon l’OFCE.

À lire sur le sujet Budget 2020. Des « cadeaux » à financer

Par ailleurs, l’OFCE revoit à la hausse dans cette étude sa prévision du déficit public pour 2020 à 2,4 % du PIB, contre 2,3 % précédemment, anticipant une dégradation de 0,2 point du déficit structurel du fait notamment du ralentissement de la croissance et d’une politique budgétaire « légèrement expansionniste ».

Heu, dans ce pays de cassos congénitaux qui sucent la moelle de ceux qui bossent, c'est mal de baisser un UN PEU les revenus des ménages actifs qui se cassent le cul toute l'année à bosser pour payer ceux qui touchent la caf et le RSA ?

Le 05/02/2020 à 16:44, pila a dit :

Ce type a bien appris les leçons inculquées durant son passage comme cadre supérieur dans le Privé.

Avec lui, tous les français devraient être des grosses têtes ! Avec de gros salaires.

Télégramme de Brest et de l'Ouest en ligne :

Baisse de l’impôt sur le revenu et de la taxe d’habitation, réforme de l’allocation-chômage, changement du calcul des aides au logement : les mesures prises par le gouvernement pour 2020 vont surtout profiter aux ménages aisés et actifs, selon une évaluation publiée mercredi par l’OFCE.

L’Observatoire français des conjonctures économiques a compilé l’ensemble des mesures contenues dans le budget 2020 et selon leurs calculs, ces mesures contribuent globalement à une hausse du pouvoir d’achat à hauteur de 5 milliards d’euros, qui va profiter à 70 % des ménages français.

Toutefois, « les grands gagnants » sont plutôt ceux dont le niveau de vie est supérieur au niveau de vie médian, puisque ce sont eux qui sont assujettis à l’impôt sur le revenu (-5 milliards en 2020) et à la taxe d’habitation (environ -3 milliards en 2020).

À l’inverse, 15 % des ménages les plus modestes vont voir leur niveau de vie « amputé », en particulier par les réformes des allocations-chômage et logement, cette dernière devant entrer en vigueur au 1er avril. Ainsi les 5 % de ménages les plus modestes devraient voir leur revenu disponible réduit de 45 euros en moyenne sur l’année.

Par ailleurs, les ménages les plus aisés, qui ont fortement profité en 2018 de la réduction de la fiscalité du capital (suppression de l’ISF, création de l’IFI, etc.), voient leurs gains diminuer sur la seule année 2020, notamment parce qu’ils ne sont pas encore concernés par la baisse de la taxe d’habitation.

Les inactifs paient pour les actifs

Ces résultats confirment une volonté de « rééquilibrage » des gains de pouvoir d’achat entamé en 2019 et qui avait essentiellement bénéficié à l’ensemble des classes moyennes, après une année 2018 surtout profitable aux plus aisés, a expliqué Pierre Madec, économiste à l’OFCE, lors d’une conférence de presse.

La baisse de l’impôt sur le revenu permet toutefois de continuer à soutenir le pouvoir d’achat des plus aisés, principaux contributeurs. Au total, entre 2018 et 2020, un quart des 17 milliards d’euros de gains cumulés de pouvoir d’achat ont profité au 5 % des ménages les plus aisés, estime l’OFCE. Mais au-delà du niveau de vie, « le vrai facteur discriminant c’est l’activité », note Pierre Madec : ainsi, les inactifs (chômeurs et retraités) ont « plutôt été mis à contribution pour financer les augmentations (de pouvoir d’achat) des actifs ». Un résultat qui résonne avec le discours du président de la République et du gouvernement depuis le début du quinquennat sous l’angle : « il faut que le travail paye mieux ». Côté entreprises, si les deux premières années du quinquennat ont été marquées par des baisses d’impôts, surtout avec la transformation du CICE en baisses de charges, le taux de prélèvements devrait légèrement repartir à la hausse en 2020, selon l’OFCE.

À lire sur le sujet Budget 2020. Des « cadeaux » à financer

Par ailleurs, l’OFCE revoit à la hausse dans cette étude sa prévision du déficit public pour 2020 à 2,4 % du PIB, contre 2,3 % précédemment, anticipant une dégradation de 0,2 point du déficit structurel du fait notamment du ralentissement de la croissance et d’une politique budgétaire « légèrement expansionniste ».

à l’instant, Scrongneugneu a dit :

 

L'OFCE a quelques oublies, volontaires ou pas, je ne sais pas, mais à l'approche d'élections est-ce pour mettre un peu de zizanie ? Ce n'est qu'un calcul brut. Aucune aide comme le crédit d'impôt et la prime d'activité pour les actifs ainsi que les aides sociales pour les cas difficiles, n'est dans ce calcul. Sous silence aussi les réductions sous forme de prime pour l'énergie par exemple.

A partir de là, il est facile de dire qu'un faible revenu, comme un Smicard avec femme et enfant se démerde avec son seul revenu, sans tenir compte des aides ce calcul.

A croire que les aides sociales pour les plus démunis et les faibles revenu n'existent pas.

En plus laisser croire que ce sont ceux qui ne bossent pas qui enrichissent ceux qui travaillent et paient des impôts, est franchement incompréhensible.

 

La France sous tension : «C’est fou, cette haine contre le président...», déplore un député LREM

En attendant il y en a qui se pose des questions, on peux se demander pourquoi

http://www.leparisien.fr/politique/la-france-sous-tension-c-est-fou-cette-haine-contre-le-president-deplore-un-depute-lrem-05-02-2020-8253816.php

C'est normal quand on promet des choses et fait l'inverse dans certain cas (vouloir toucher l'age de la retraite,...), ou bien quand on aide se qui sont en haut de l'arbre comme les débutés pour le logement (augmentation de 200 € comme c'est passé de 900 à 1200€ leur aide de logement en 2018) alors qu'il y a eu ou va y avoir la baisse des APL des plus modestes, puis quand on voit qu'il ne se bouge pas malgré les manifestations depuis plus d'un an, l'augmentation de blessés ou d'agressions (tir de gaz lacrymos devant une école et ceci est mis sur le dos des pompiers,...) etc.

 

 

A partir de là, il est facile de dire qu'un faible revenu, comme un Smicard avec femme et enfant se démerde avec son seul revenu, sans tenir compte des aides ce calcul.

A croire que les aides sociales pour les plus démunis et les faibles revenu n'existent pas.

En plus laisser croire que ce sont ceux qui ne bossent pas qui enrichissent ceux qui travaillent et paient des impôts, est franchement incompréhensible.

+ 10 000

 

La baisse de l’impôt sur le revenu permet toutefois de continuer à soutenir le pouvoir d’achat des plus aisés, principaux contributeurs.

Comme si la baisse de l’impôt sur le revenu ne profitait qu’aux plus aisés ....

Les forumeurs qui sur FFR se réjouissaient de leur baisse d’impôt seraient parmi les 1% ?

https://amp.ouest-france.fr/politique/emmanuel-macron/macron-president-des-riches-le-rapport-d-economistes-qui-herisse-l-executif-6724817

Mais au-delà du niveau de vie, le rapport montre que le vrai facteur discriminant, c’est l’activité, juge Pierre Madec, économiste à l’OFCE. Les inactifs (chômeurs et retraités) ont ainsi plutôt été mis à contribution pour financer les augmentations de pouvoir d’achat des actifs, a-t-il expliqué lors d’une conférence de presse.

===================
Finalement en torturant encore un peu plus la phrase on pourrait en conclure que finalement ce sont les allocataires qui financent les actifs ?