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Invité JOSEPH DELETRE

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a une heure, JOSEPH DELETRE a dit :

A une question philosophique posée au départ, nous n'aurons donc eu qu'une série d'éléments de langage répétitifs donnant l'impression d'un savoir scientifique que vous n'avez pas à quoi vous ajoutez le délire, l'insulte et la calomnie.

Belle contribution, vous êtes une chance pour tout lecteur...

Il n'y a aucune question philosophique dans un patchwork de concepts disparates copiés collés non assimilés 

Si j'étais prof de physique vous auriez 0

Si j'étais prof de philo vous auriez 0 

Après chaque lecteur se fera son avis.

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
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il y a 7 minutes, zenalpha a dit :

Il n'y a pas aucune question philosophique dans un patchwork de concepts non assimilés 

Si j'étais prof de physique vous auriez 0

Si j'étais prof de philo vous auriez 0 

Après chaque lecteur se fera son avis.

L'outrance et le caractère répétitif de vos réponses dénotent un acharnement malsain qui confine au harcèlement à ce stade.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 25 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

L'outrance et le caractère répétitif de vos réponses dénotent un acharnement malsain qui confine au harcèlement à ce stade.

Ce qui est répétitif, c'est de venir chaque année en décembre insulter Einstein.

Un acharnement malsain.

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
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il y a 10 minutes, zenalpha a dit :

Ce qui est répétitif, c'est de venir chaque année en décembre insulter Einstein.

Un acharnement malsain.

Vous persistez donc dans votre délire sans argument pour éluder le fond du sujet: traiter de la nature substantielle de ce qui est et du temps.

Ne pouvant qu'être magnanime face au niveau de vos réponses, je vous dirais que le temps est un concept premier par rapport à la notion de durée. Une cause n'étant point confondue avec sa conséquence, il faut bien qu'il y ait une chose entre les deux. Le temps désignerait ainsi l'espace abstrait nécessaire à l'établissement d'une conséquence à partir de la considération d'une cause donnée, tel un berceau de conceptualisation pour la causalité envisageant un ensemble des possibles duquel une seule conséquence doit être tirée pour être mesurée. Pour s'accomplir, le temps aurait donc besoin d'un "certain temps": la durée qui en résulte à postériori.

J'ai signalé vos réponses aux organisateurs de ce forum que je ne peux que quitter dans la mesure où la calomnie et le harcèlement y sont tolérés.

Je vous laisse donc éclairer ce forum de vos invectives et de vos insultes qui ne sont que la marque de votre faiblesse d'esprit.

Pour tous ceux qui souhaitent échanger: https://cequiunie.blogspot.com/

Je nomme, enfin, la nature de ce qui est (cf. Pour Finir), celle d'une entité d'annihilation de toute chose présente à soi que le néant requiert logiquement. La conscience serait ainsi l'étape ultime d'un processus d'annihilation paroxystique au terme duquel il n'y aurait plus à juger que de l'ignorance d'être soi que seule la mort inspire.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 3 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Vous persistez donc dans votre délire sans argument pour éluder le fond du sujet: traiter de la nature substantielle de ce qui est et du temps.

Ne pouvant qu'être magnanime face au niveau de vos réponses, je vous dirais que le temps est un concept premier par rapport à la notion de durée. Une cause n'étant point confondue avec sa conséquence, il faut bien qu'il y ait une chose entre les deux. Le temps désignerait ainsi l'espace abstrait nécessaire à l'établissement d'une conséquence à partir de la considération d'une cause donnée, tel un berceau de conceptualisation pour la causalité envisageant un ensemble des possibles duquel une seule conséquence doit être tirée pour être mesurée. Pour s'accomplir, le temps aurait donc besoin d'un "certain temps": la durée qui en résulte à postériori.

J'ai signalé vos réponses aux organisateurs de ce forum que je ne peux que quitter dans la mesure où la calomnie et le harcèlement y sont tolérés.

Je vous laisse donc éclairer ce forum de vos invectives et de vos insultes qui ne sont que la marque de votre faiblesse d'esprit.

Pour tous ceux qui souhaitent échanger: https://cequiunie.blogspot.com/

Je nomme, enfin, la nature de ce qui est (cf. Pour Finir), celle d'une entité d'annihilation de toute chose présente à soi que le néant requiert logiquement. La conscience serait ainsi l'étape ultime d'un processus d'annihilation paroxystique au terme duquel il n'y aurait plus à juger que de l'ignorance d'être soi que seule la mort inspire.

Mais tu as le droit de dire absolument tout ce qui te passe par la tête...

En revanche, kidnapper la relativité générale ou restreinte pour...lui faire dire n'importe quoi est ... du vol...

Plusieurs personnes te l'ont dit l'année dernière en science, je t'ai linké des extraits in extenso d'auteurs et tu persistes et signe.

Tu as tout pour me plaire avec ta délation.

C'est une philosophie en ligne avec le reste.

Et c'est aussi ton droit le plus strict.

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  • 4 mois après...
Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Cf. A Partir du Néant dans la section philosophie de ce forum

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  • 3 mois après...
Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
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Nous existons en ayant l'idée du néant.

Or, concevoir le néant par l'esprit, c'est annihiler de façon récursive toute chose présente à soi, jusqu'à soi, de sorte que l'inconscience soit l'unique reliquat qui soit jamais possible au terme d'un processus d'annihilation paroxystique.

Si bien que pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi, il faille enfin toujours créer paradoxalement afin d'être conscient.

L'être humain serait ainsi la partie consciente, insoupçonnée jusqu'ici, d'une entité d'annihilation de toute chose présente à elle-même jusqu'à sa propre inconscience.

Le temps qui passe en serait la manifestation la plus évidente puisqu'une succession d'instants recèle l'idée d'annihilation de ce qui est présent à soi. Et la mort, la preuve ultime qu'il faille tout annihiler jusqu'à soi.

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Membre, 69ans Posté(e)
Maroudiji Membre 6 485 messages
Forumeur expérimenté‚ 69ans‚
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Il y a 5 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Nous existons en ayant l'idée du néant.

Les athées se forcent à cette idée, contre la civilisation et contre la nature. L'enfant mal grandi regarde le ciel mais ne voit pas les étoiles. Il est vide et lui fait peur. Le noir devient son Dieu suprême qu'il nomme néant. 

Il y a des enfants qui grandissent mais restent mal dans leur peau, ils sont hantés par les espaces vides et noirs. 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Il faut donc s'accepter ou se nier pour s'aliéner en détruisant sa propre vérité pour ne plus être à son insu.

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Membre, 69ans Posté(e)
Maroudiji Membre 6 485 messages
Forumeur expérimenté‚ 69ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, JOSEPH DELETRE a dit :

Il faut donc s'accepter ou se nier pour s'aliéner en détruisant sa propre vérité pour ne plus être à son insu.

Ta spéculation ne vaut que pour ta vérité. Elle ne dépasse pas les circonvulations de ton cerveau. Quand tu meurs il n'en restera plus rien. Autant en emporte le vent. Vanité, tout cela n'est que vanité. 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Si bien que le néant ne puisse désigner l'aporie d'un milieu ontologisant.

Et qu'il doive être appréhendé par l'inconscience: cette métaphore sensible du néant que seule la mort inspire.

Car sans conscience, peu importent l'éternité et l'infini.

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Membre, 69ans Posté(e)
Maroudiji Membre 6 485 messages
Forumeur expérimenté‚ 69ans‚
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Il y a 1 heure, JOSEPH DELETRE a dit :

Car sans conscience, peu importent l'éternité et l'infini

On appelle cette réalisation un pont aux ânes. C'est comme dire ; sans la vie peu importe la mort. 

  • Haha 1
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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
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Car il faut bien comprendre que nous existons en ayant l'idée du néant.

Et qu'au paroxysme d'un processus d'annihilation, quelle que soit la réalité de départ, l'inconscience serait irréductible.

Puisqu'après avoir retiré la nature, il faudrait nécessairement se retirer soi de sorte que l'inconscience serait jamais que l'unique reliquat possible au terme de ce processus.

Or, l'inconscience ne saurait être annihilée que par antithèse, si bien que pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi, il faille enfin toujours créer paradoxalement afin d'être conscient.

L'impression du temps qui passe en serait la manifestation la plus évidente puisqu'une succession d'instants recèle l'idée d'annihilation de ce qui est présent. Et la mort, la preuve ultime qu'il faille tout annihiler jusqu'à soi.

Ainsi, nous ferions jamais que passer de la nature inconsciente au sujet conscient dans une itération sans fin pour tout annihiler.

 

 

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
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il y a 10 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Car il faut bien comprendre que nous existons en ayant l'idée du néant.

Et qu'au paroxysme d'un processus d'annihilation, quelle que soit la réalité de départ, l'inconscience serait irréductible.

Puisqu'après avoir retiré la nature, il faudrait nécessairement se retirer de sorte que l'inconscience serait l'unique reliquat possible au terme de ce processus.

Or, l'inconscience ne saurait être annihilée que par antithèse, si bien que pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi, il faille enfin toujours créer paradoxalement afin d'être conscient.

L'impression du temps qui passe en serait la manifestation la plus évidente. Et la mort, la preuve ultime qu'il faille tout retirer jusqu'à soi.

Ainsi, nous ferions jamais que passer de la nature inconsciente au sujet conscient dans itération sans fin pour tout annihiler.

 

J'ai l'impression que ça fait plusieurs fois que tu essaies de dire un truc. ça a l'air de te tenir à cœur...

Une sorte d'identification de l'inconscient au néant. A moins que ce ne soir une identification du néant, de la mort,  à l'inconscient. Il faut que tu nous développes... C'est intéressant. Même si ça a un petit côté mystique. (Genre la mort c'est pas la mort).

Modifié par Blaquière
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Membre, 69ans Posté(e)
Maroudiji Membre 6 485 messages
Forumeur expérimenté‚ 69ans‚
Posté(e)
il y a 25 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Car il faut bien comprendre que nous existons en ayant l'idée du néant.

On dirait un disque rayé. 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Ce qu'il faut comprendre, c'est qu'au paroxysme d'un processus d'annihilation, l'unique reliquat possible serait jamais que l'inconscience.

Car après avoir retiré les voitures et la nature, l'air et les champs scalaires, puis tout objet qu'il soit possible de penser jusqu'à soi, comment retirer l'inconscience?

Que par antithèse, si bien que pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi, il faille enfin toujours créer paradoxalement afin d'être conscient.

L'erreur du néant, c'est donc d'en faire l'aporie d'un milieu ontologisant.

Lorsqu'il ne peut être appréhendé que par l'inconscience: cette métaphore sensible du néant que seule la mort inspire.

Car sans conscience, peu importe l'infini et l'éternité car aucune différence sensible ne pourrait jamais être mise en évidence entre un tel état et le néant.

A-t-on conscience des choses qui nous entourent dans une sédation profonde à l'image d'un état de coma ou d'un sommeil profond? A-t-on conscience qu'avant de voir le jour, 13,8 milliards d'années ont été nécessaires à ce que nous venions au monde? 

Non, car dans un état d'inconscience, des milliards d'années et l'infini du cosmos ne sont rien avant d'ouvrir les yeux pour se connaître.

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Il faut revenir à l'essentiel: nous existons en ayant l'idée du néant.

Concevoir le néant par l'esprit, c'est annihiler de façon récursive toute chose présente à soi, jusqu'à soi, si bien que l'inconscience soit l'unique reliquat qui soit jamais possible au paroxysme d'un tel processus.

Or, l'inconscience ne saurait être annihilée que par antithèse de sorte que pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi, il faille enfin toujours créer paradoxalement afin d'être conscient.

L'impression du temps qui passe en serait la manifestation la plus évidente puisqu'une succession d'instants recèle l'idée d'annihilation de ce qui est présent. Et la mort, la preuve ultime qu'il faille tout annihiler jusqu'à soi.

 

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Membre, Posté(e)
system3 Membre 625 messages
Forumeur expérimenté‚
Posté(e)
Il y a 7 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Il faut revenir à l'essentiel: nous existons en ayant l'idée du néant.

Concevoir le néant par l'esprit, c'est annihiler de façon récursive toute chose présente à soi, jusqu'à soi, si bien que l'inconscience soit l'unique reliquat qui soit jamais possible au paroxysme d'un tel processus.

Or, l'inconscience ne saurait être annihilée que par antithèse de sorte que pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi, il faille enfin toujours créer paradoxalement afin d'être conscient.

L'impression du temps qui passe en serait la manifestation la plus évidente puisqu'une succession d'instants recèle l'idée d'annihilation de ce qui est présent. Et la mort, la preuve ultime qu'il faille tout annihiler jusqu'à soi.

 

Je suis d'accord avec l'essentiel de tes idées. Mais moi j'étais parti de la question "Quel est le sens de l'être ? " question principale de la philosophie de Heidegger. 

Cependant je pense qu'on ne peut pas trouver un sens à la question de l'être directement, il faut donc partir de l'idée du néant ou de la mort : Quel est le sens de la mort ? Cette question nous concerne directement puisque l'homme ou le dasein peut légitimement se poser cette question qui est en fait son destin (la mort).

D'après moi le sens de la mort c'est d'être le point final d'une période, un point qui complète une période. Cette période c'est notre existence mais alors si notre être est une période quel est son sens ? Son sens c'est de confirmer le temps, car le temps ne peut être confirmer dans son existence que sur des périodes, l'éternité n'est pas compatible avec la notion du temps.

Pour aller un peu plus loin je me suis amusé à me questionner sur le sens du temps. Le sens du temps pour moi c'est qu'il est un signe de la notion d'éternité, car là ou le temps s'arrête l'éternité commence...

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Si l'inconscience ne saurait être annihilée que par antithèse, alors il faut enfin toujours créer paradoxalement afin d'être conscient.

Or, la conscience implique de se connaître ce qui n'est possible qu'en comprenant sa propre condition.

Par conséquent, donner une raison par la raison à l'existence est donc notre seule raison d'être.

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