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Explication de texte de Schopenhauer


Dave24

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Membre, Pépé fada , râleur , et clairvoyant ., 78ans Posté(e)
Maurice Clampin Membre 10 954 messages
78ans‚ Pépé fada , râleur , et clairvoyant .,
Posté(e)
à l’instant, Blaquière a dit :

Mais peut-être qu'ils se trompent tout simplement ?!

:pap:   Je me suis toujours dit que les grands penseurs ont un immense talent pour dire (écrire) de grandes conneries . 

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Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 18 862 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, Maurice Clampin a dit :

:pap:   Je me suis toujours dit que les grands penseurs ont un immense talent pour dire (écrire) de grandes conneries . 

Voyons voir ces Joyeux Lurons :

index.jpeg.74e2903176ee640c4e756d1ec95f7f42.jpegnietzsche.jpg.5250ab0c3fcdc6d63d357f502fdbc346.jpg

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Membre, Chien Fou forumeur, 90ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
90ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)

Désirer le non désir, tel est le vrai  désir, c'est approcher le Taô

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Membre, 33ans Posté(e)
Loufiat Membre 2 277 messages
Mentor‚ 33ans‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, Promethee_Hades a dit :

Désirer le non désir, tel est le vrai  désir, c'est approcher le Taô

On peut admirer le paradoxe d'une volonté qui pour atteindre une satisfaction (une "paix") infinie en extension et en durée, comme l'est le désir, se retourne contre le désir lui-même.

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Membre, Pépé fada , râleur , et clairvoyant ., 78ans Posté(e)
Maurice Clampin Membre 10 954 messages
78ans‚ Pépé fada , râleur , et clairvoyant .,
Posté(e)
il y a 5 minutes, Promethee_Hades a dit :

Désirer le non désir, tel est le vrai  désir, c'est approcher le Taô

:pap:   Ben , justement j' allais en parler à mon cheval  ILDlyNkeyJu_ane3.gif Quand il aura fini sa gym ...

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Membre, 64ans Posté(e)
raison pratique Membre 1 033 messages
Baby Forumeur‚ 64ans‚
Posté(e)
il y a 20 minutes, Maurice Clampin a dit :

:pap:   Que voila de joyeux lurons ...

Que je suis un bienheureux de les ignorer ! ….

Fallait les lire avant, peut être que tu aurais fais un grand pas ds la vie..

il y a 11 minutes, Promethee_Hades a dit :

Désirer le non désir, tel est le vrai  désir, c'est approcher le Taô

...Toi tu vas comprendre et je le sais

 

On a une bite ;)

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Membre, Pépé fada , râleur , et clairvoyant ., 78ans Posté(e)
Maurice Clampin Membre 10 954 messages
78ans‚ Pépé fada , râleur , et clairvoyant .,
Posté(e)
il y a 7 minutes, Loufiat a dit :

On peut admirer le paradoxe d'une volonté qui pour atteindre une satisfaction (une "paix") infinie en extension et en durée, comme l'est le désir, se retourne contre le désir lui-même.

:pap:   Pffff …. Arrête mon gars , c' est la méningite qui te guette .

Si je comprends bien ce que tu viens d' écrire , c' est comme celui qui ne veut plus avoir la satisfaction de bien bouffer pour ne plus avoir la satisfaction de satisfaire une envie de chier . 

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Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 18 862 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

C'est curieux cette vision négative du désir comme un manque, alors que désirer est une force... a priori.

C'est vivre... Agir.

Avant l'objet même du désir, c'est le désir du/de désir qui existe, qui pousse à vivre.

C'est la respiration. C'est parce qu'on a déjà de l'air qu'on désire respirer....

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Membre, 33ans Posté(e)
Loufiat Membre 2 277 messages
Mentor‚ 33ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, Maurice Clampin a dit :

:pap:   Pffff …. Arrête mon gars , c' est la méningite qui te guette .

Si je comprends bien ce que tu viens d' écrire , c' est comme celui qui ne veut plus avoir la satisfaction de bien bouffer pour ne plus avoir la satisfaction de satisfaire une envie de chier . 

Y a de ça. Une volonté anormalement tyrannique.

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Membre, 51ans Posté(e)
CAL26 Membre 6 571 messages
Maitre des forums‚ 51ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Dave24 a dit :

Bonjour, pouvez-vous m'aider pour l'explication d'un texte ?

 

Tout désir procède d’une privation, c’est-à-dire d’une souffrance. La satisfaction y met fin ; mais pour un désir satisfait, dix au moins sont contrariés ; de plus le désir est long, et ses exigences tendent à l’infini ; la satisfaction est courte. Mais ce contentement suprême n’est lui-même qu’apparent: le désir satisfait fait place aussitôt à un nouveau désir ; le premier est une déception reconnue, le second est une déception non encore reconnue. La satisfaction d’aucun souhait ne peut procurer de contentement durable et inaltérable. C’est comme l’aumône qu’on jette à un mendiant : elle lui sauve aujourd’hui la vie pour prolonger sa misère jusqu’à demain. Tant que nous sommes asservis à l’impulsion du désir, aux espérances et aux craintes continuelles qu’il fait naître, tant que nous sommes sujets du vouloir, il n’y a pour nous ni bonheur durable, ni repos. Poursuivre ou fuir, craindre le malheur ou chercher la jouissance, c’est en réalité tout un: l’inquiétude d’une volonté toujours exigeante, sous quelque forme qu’elle se manifeste, emplit et trouble sans cesse la conscience; or, sans repos le véritable bonheur est impossible.

 

Le monde comme volonté et comme représentation, Schopenhauer.

 

Je pense avoir trouvé la thèse : pour lui le désir comblé n'amène pas au bohneur mais au malheur. C'est une cause de notre souffrance.

Il faut aussi que je trouve les différentes parties du texte : je pense que c'est  : de "Tout désir..." à "y met fin", puis de "mais pour un..." à "jusqu'à demain" et enfin de "tant que nous sommes..." jusqu'à la fin du texte.

Je ne comprends pas trop ce qu'il dit à partir de "tant que nous sommes..." jusqu'à la fin. Est-il en train de dire qu'il faut arrêter de désirer ?

Il s'agit plutôt du constat de notre soumission aux désirs ,source sans cesse renouvelée de frustration. Son texte ne semble pas être  extrait d'un guide pour le bien-être donc pas de conseil de ce genre dans son texte. Après, tu peux aborder dans "l'intérêt philosophique" du texte la problématique du désir, de son rôle, de sa maîtrise... mais cela viendra après l'analyse du texte.

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Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 18 862 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, Dave24 a dit :

Bonjour, pouvez-vous m'aider pour l'explication d'un texte ?

 

Tout désir procède d’une privation, c’est-à-dire d’une souffrance. La satisfaction y met fin ; mais pour un désir satisfait, dix au moins sont contrariés ; de plus le désir est long, et ses exigences tendent à l’infini ; la satisfaction est courte. Mais ce contentement suprême n’est lui-même qu’apparent: le désir satisfait fait place aussitôt à un nouveau désir ; le premier est une déception reconnue, le second est une déception non encore reconnue. La satisfaction d’aucun souhait ne peut procurer de contentement durable et inaltérable. C’est comme l’aumône qu’on jette à un mendiant : elle lui sauve aujourd’hui la vie pour prolonger sa misère jusqu’à demain. Tant que nous sommes asservis à l’impulsion du désir, aux espérances et aux craintes continuelles qu’il fait naître, tant que nous sommes sujets du vouloir, il n’y a pour nous ni bonheur durable, ni repos. Poursuivre ou fuir, craindre le malheur ou chercher la jouissance, c’est en réalité tout un: l’inquiétude d’une volonté toujours exigeante, sous quelque forme qu’elle se manifeste, emplit et trouble sans cesse la conscience; or, sans repos le véritable bonheur est impossible.

 

Le monde comme volonté et comme représentation, Schopenhauer.

 

Je pense avoir trouvé la thèse : pour lui le désir comblé n'amène pas au bohneur mais au malheur. C'est une cause de notre souffrance.

Il faut aussi que je trouve les différentes parties du texte : je pense que c'est  : de "Tout désir..." à "y met fin", puis de "mais pour un..." à "jusqu'à demain" et enfin de "tant que nous sommes..." jusqu'à la fin du texte.

Je ne comprends pas trop ce qu'il dit à partir de "tant que nous sommes..." jusqu'à la fin. Est-il en train de dire qu'il faut arrêter de désirer ?

Bon, on va pas faire les salauds... Il faut l'aider pour son devoir. On est d'accord.

Mais @Aethra a fait le boulot ! 'et ses conseils aussi, (pour le dire avec ses propres mots.)

Là y'a tout ce qu'il lui faut ;

http://jmgate.philo.pagesperso-orange.fr/Schopenhauer - le desir.htm

 

Ceci dit revenons à Schopenhauer :

"Tout désir procède d’une privation"!

Ça, c'est quand même un grosse connerie !

 

Enfin, je suis pas un extraterrestre ?!

Je suis bien comme tout le monde ?!

C'est pas ça, le désir !  Le désir, on l'a tous ressenti ?!  Non ?

Le désir, c'est le désir de désirer ! Le désir, c'est respirer plus fort, c'est manquer d'air alors qu'on en a déjà trop ! C'est une ivresse princeps : une ivresse à la base !

C'est comme une explosion interne, un rayonnement !

Une nécessité de s'enfler, de s'épandre, de se répandre !

C'est la grenouille qui veut se faire plus grosse que le bœuf !

(Elle est con, cette grenouille !)

Le désir, c'est la cigale qui ne sait qui ne peut que chanter !

Le désir, c'est "le monde et la planète sont mon village bien trop petits !"

Et bon sang, que j'y suis bien !

Le désir, c'est le monde, c'est moi !

Et je veux y être encore mieux !

Je vous aime tous !...

J'éjacule ! Et toi tu jouis plus fort que jamais !

Merde, c'est ça le désir, c'est pas un manque !

Rien à voir avec un manque, le désir !

Le désir, c'est un trop plein !

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

tout désir procède d’une privation, c’est-à-dire d’une souffrance. La satisfaction y met fin ;

définition du désir : je désire ce dont je suis privé, ce que je pense être mien et que je n'ai pas, ce qui me manque donc et ce dont je souffre l'absence. Je suis satisfait lorsque je retrouve mon bien.

mais pour un désir satisfait, dix au moins sont contrariés ; de plus le désir est long, et ses exigences tendent à l’infini ; la satisfaction est courte.

situation de l'homme désirant : il souffre en permanence (une jouissance brève qui se paye dans le même instant par la souffrance liée aux autres désirs)

Mais ce contentement suprême n’est lui-même qu’apparent: le désir satisfait fait place aussitôt à un nouveau désir ; le premier est une déception reconnue, le second est une déception non encore reconnue.

la jouissance ne dure pas car elle vire à la déception et donne naissance à un autre désir, à l'idée que l'objet obtenu n'est certes pas le bon mais que cet autre que je désire maintenant sera le bon. 

La satisfaction d’aucun souhait ne peut procurer de contentement durable et inaltérable. C’est comme l’aumône qu’on jette à un mendiant : elle lui sauve aujourd’hui la vie pour prolonger sa misère jusqu’à demain. 

situation de l'homme désirant : l'objet qu'il obtient lui aura permis de désirer et d'espérer, mais déjà il est en train d'en désirer un autre

Tant que nous sommes asservis à l’impulsion du désir, aux espérances et aux craintes continuelles qu’il fait naître, tant que nous sommes sujets du vouloir, il n’y a pour nous ni bonheur durable, ni repos.

situation de l'homme désirant : il ne se repose jamais, il n'est jamais apaisé et sa jouissance est éphémère. Il vit dans la crainte et l'espérance.

Poursuivre ou fuir, craindre le malheur ou chercher la jouissance, c’est en réalité tout un: l’inquiétude d’une volonté toujours exigeante, sous quelque forme qu’elle se manifeste, emplit et trouble sans cesse la conscience; or, sans repos le véritable bonheur est impossible.

situation de l'homme désirant : il est une volonté qui interpelle le moi du sujet qui voudrait enfin goûter le repos

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Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 18 862 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)
Il y a 6 heures, Ooo a dit :

tout désir procède d’une privation, c’est-à-dire d’une souffrance. La satisfaction y met fin ;

définition du désir : je désire ce dont je suis privé, ce que je pense être mien et que je n'ai pas, ce qui me manque donc et ce dont je souffre l'absence. Je suis satisfait lorsque je retrouve mon bien.

mais pour un désir satisfait, dix au moins sont contrariés ; de plus le désir est long, et ses exigences tendent à l’infini ; la satisfaction est courte.

situation de l'homme désirant : il souffre en permanence (une jouissance brève qui se paye dans le même instant par la souffrance liée aux autres désirs)

Mais ce contentement suprême n’est lui-même qu’apparent: le désir satisfait fait place aussitôt à un nouveau désir ; le premier est une déception reconnue, le second est une déception non encore reconnue.

la jouissance ne dure pas car elle vire à la déception et donne naissance à un autre désir, à l'idée que l'objet obtenu n'est certes pas le bon mais que cet autre que je désire maintenant sera le bon. 

La satisfaction d’aucun souhait ne peut procurer de contentement durable et inaltérable. C’est comme l’aumône qu’on jette à un mendiant : elle lui sauve aujourd’hui la vie pour prolonger sa misère jusqu’à demain. 

situation de l'homme désirant : l'objet qu'il obtient lui aura permis de désirer et d'espérer, mais déjà il est en train d'en désirer un autre

Tant que nous sommes asservis à l’impulsion du désir, aux espérances et aux craintes continuelles qu’il fait naître, tant que nous sommes sujets du vouloir, il n’y a pour nous ni bonheur durable, ni repos.

situation de l'homme désirant : il ne se repose jamais, il n'est jamais apaisé et sa jouissance est éphémère. Il vit dans la crainte et l'espérance.

Poursuivre ou fuir, craindre le malheur ou chercher la jouissance, c’est en réalité tout un: l’inquiétude d’une volonté toujours exigeante, sous quelque forme qu’elle se manifeste, emplit et trouble sans cesse la conscience; or, sans repos le véritable bonheur est impossible.

situation de l'homme désirant : il est une volonté qui interpelle le moi du sujet qui voudrait enfin goûter le repos

Et ça sert à quoi que Blaquière y se décarcasse ?

Qu'il éjacule à la volée ?

:smile2:

 

Vous confondez le désir avec le besoin et l'envie.

Le désir, c'est désirable, l'envie c'est l'envieux et le besoin, c'est besogneux....

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
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il y a 22 minutes, Blaquière a dit :

Le désir, c'est désirable

sans soute, mais le désirable, il faut qu'il soit là 

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Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 18 862 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)
Il y a 9 heures, Ooo a dit :

sans soute, mais le désirable, il faut qu'il soit là 

En disant que le désir (désirer, désirable) est un ;manque, on en fait un principe négatif. C'est là je pense qu'est l'erreur. Le vivant n'a que deux pulsions fondamentales qui génèrent toutes ses modalités : inclure et exclure.

Le principe du vouloir (ou du désir) est objectivement aussi bien induit par un manque que par un surplus. En faire seulement un manque c'est l'amputer d'une moitié. C'est pour cela qu'on n'y retrouve qu'une négativité qui bascule entre "la souffrance" et 'l'ennui" !

Le curseur du désir varie en réalité du "pas assez au trop". Du besoin vital d'inclure dans soi à la nécessité d'exclure de soi.

De même que l'intelligence ne se contente pas de com-prendre et qu'elle est aussi création comme le corps l'est d procréation : et qu'un créateur est "gros" de son oeuvre avant de la formuler. Pas de manque du tout dans ce désir là de créer...

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 25 minutes, Blaquière a dit :

ce désir là de créer...

oui, tu tournes autour de quelque chose de juste, sans nul doute. La distinction à gros traits que l'on observe sans cesse semble pointer dans deux directions : le désir et le narcissisme. D'un côté, l'objet obscur du désir qui semble être là puis qui nous déçoit. Et la sublimation, l'objet que l'on produit et qui est comme une sorte de représentant d'on ne se sait quoi, à la fois soi, à la fois l'objet ..c'est cette unité sans doute qui lui donne son "être" ..

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Membre, 23ans Posté(e)
Dave24 Membre 16 messages
Baby Forumeur‚ 23ans‚
Posté(e)

J'ai encore un doute sur la thèse. Est ce que c'est le désir qui amène au malheur ou la satisfaction du désir qui amène au malheur ?
Sinon merci pour tout le reste !

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Membre, Posté(e)
g.champion Membre 700 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, Dave24 a dit :

Est ce que c'est le désir qui amène au malheur ou la satisfaction du désir qui amène au malheur ?

le désir car la satisfaction est bonne (mais trop brève)

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Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 18 862 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)
il y a 46 minutes, Tequila Moor a dit :

 

Purée, le bruit que ça fait ! J'ai tenu que 5 secondes !

BOUM ! BOUM ! BOUM !

J'ai pas écouté; mais je suis d'accord ! :smile2:

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