Peut on être morale et libre ?

il y a 1 minute, hell-spawn a dit :

Bouddha, Jésus pour les plus connus, et pleins d'illustres inconnus qui ont vécu pour les autres avant de penser a un petit bonheur égoïste et fermé.

Boudha , Jesus ne court pas les rues, peut-on connaitre le bonheur, sans connaitre la liberté? La liberté d'être... peut être égoïstement mais la liberté d'être

il y a 2 minutes, hell-spawn a dit :

C'est typique d'un esprit qui s'égare dans l'intellect en oubliant le sentiment et la responsabilité.

Si vous êtes profondément moral, non seulement vous avez le sens de la justice, mais aussi du devoir. 

Abandonnerez vous des êtres qui ont besoin de vous pour vivre votre "liberté"  ?

Alors vous m'aurez bien mal compris  Moi, oublier la responsabilité? Arf!...

Mais je vous réponds: 

1. je ne suis pas "moral", et ne le serai jamais;
2. le sens de la justice implique celui du devoir, je vous l'accorde; mais il implique d'abord celui du droit! C'est le droit qui crée le devoir, et non l'inverse;
3. non, je n'abandonne jamais des êtres qui ont besoin de moi (a fortiori pour vivre "ma" liberté, ce qui me semblerait contradictoire...); par contre: je n'hésite pas un instant à instruire ces "êtres" des moyens de leur autonomie et de leur liberté de ma protection, et là, une fois là, je n'hésite pas un instant à les "abandonner"!  

il y a 45 minutes, LIBRETHEUREUX a dit :

Le bien et le mal sont contextuels, ils changent avec l’époque et le lieu. Le bien et le mal conditionnent les peuples en fonctions des lieux et des époques. Le bien et le mal sont des valeurs morales non immuables. (Exemple : Le pape Nicolas V à considéré l’esclavage de l’Afrique comme une bonne chose et l’a légalisé à l’époque l’esclavage et a permis que s’effectue la traite négrière, ainsi à cette époque l’église à permis l’un des plus grands drames de notre ère en considérant ceci comme « bien »).

Ainsi pour être libre, nous ne considéreront pas les choses en termes de bien et de mal, car ceci n’a aucune valeur réelle. La morale change avec les gens et les époques. Ainsi dans une quête sincère du bonheur et de liberté , les critères moraux ne peuvent être pris sérieusement en compte. D’autres critères devront alors entrer en jeu…

 

https://donnerunsensalavie.home.blog/2019/11/24/la-liberte-a-legard-de-la-morale/

Tant que c'est le bon choix c'est moral, la liberté réside au fait que le bon choix soit pour tous et tout soit absolu.

il y a 21 minutes, LIBRETHEUREUX a dit :

Le bien et le mal sont-ils le même pour l'agresseur et l’agressé? La victime et le terroriste?

Ta réponse conforte ma méfiance.

il y a 1 minute, LIBRETHEUREUX a dit :

Boudha , Jesus ne court pas les rues, peut-on connaitre le bonheur, sans connaitre la liberté? La liberté d'être... peut être égoïstement mais la liberté d'être

 

 

Oui c'est exact, il faut déja pouvoir s'isoler pour trouver la liberté, mais aprés l'avoir trouvé il semble que l'on soit obligé de l'abandonner ( tel Bouddha )

il y a 1 minute, Boutetractyxreqs a dit :

Tant que c'est le bon choix c'est morale, la liberté réside au fait que le bon choix soit pour tous et tout soit absolu.

Les "bons" choix verient selons les individus , les époques et les lieux

il y a 2 minutes, LIBRETHEUREUX a dit :

Les "bons" choix verient selons les individus , les époques et les lieux

C'est pourquoi je parle d'un bon choix absolu qui serait la liberté alors que le bon choix qui varie selon les individus reste moral.

il y a 1 minute, Gouderien a dit :

Ta réponse conforte ma méfiance.

Elles bien ancrée, passe lui le bonjour!

il y a 3 minutes, hell-spawn a dit :

Oui c'est exact, il faut déja pouvoir s'isoler pour trouver la liberté, mais aprés l'avoir trouvé il semble que l'on soit obligé de l'abandonner ( tel Bouddha )

Je propose de réfléchir ensemble aux notions de bonheur et de liberté, sur mon site nouvellement créer je pense que je vais le tourner sur le mode collaboratif afin que vous puissiez tous donnez vos avis

il y a 10 minutes, LIBRETHEUREUX a dit :

la verité serait dans les nimbes?

Pourquoi pas?

"J'ai k'ça !" (Kacem Wappalek)

À toi maintenant...

il y a 3 minutes, Guillaume_des_CS a dit :

Alors vous m'aurez bien mal compris  Moi, oublier la responsabilité? Arf!...

Mais je vous réponds: 

1. je ne suis pas "moral", et ne le serai jamais;
2. le sens de la justice implique celui du devoir, je vous l'accorde; mais il implique d'abord celui du droit! C'est le droit qui crée le devoir, et non l'inverse;
3. non, je n'abandonne jamais des êtres qui ont besoin de moi (a fortiori pour vivre "ma" liberté, ce qui me semblerait contradictoire...); par contre: je n'hésite pas un instant à instruire ces "êtres" des moyens de leur autonomie et de leur liberté de ma protection, et là, une fois là, je n'hésite pas un instant à les "abandonner"!  

1  dépend de ce que vous entendez par "moral"

2 Je ne suis pas d'accord avec vous sur la primauté du droit sur le devoir, le droit c'est quelque chose d'élaboré, le devoir c'est quelque chose qui se sent.

3 Oui pour les êtres qui peuvent obtenir leur autonomie de vous ( tel le disciple avec le maître qui est en principe son devoir d'enseignement ) mais ce n'est qu'un cas particulier.

il y a 6 minutes, Boutetractyxreqs a dit :

C'est pourquoi je parle d'un bon choix absolu qui serait la liberté alors que le bon choix qui varie selon les individus reste moral.

il y a 1 minute, hell-spawn a dit :

dépend de ce que vous entendez par "moral"

le sens du dictionnaire, tout simplement

il y a 1 minute, hell-spawn a dit :

Je ne suis pas d'accord avec vous sur la primauté du droit sur le devoir, le droit c'est quelque chose d'élaboré, le devoir c'est quelque chose qui se sent.

Non, vous raisonnez (et comparez) sur deux plans différents, simultanément: le devoir est défini par le droit. Quand vous définissez le devoir "moral", vous sortez du droit. Vous parlez alors "d'obligation" spirituelle... Vous ne parlez plus de "devoir" mais de "conformité" en regard de la morale... 

il y a 3 minutes, hell-spawn a dit :

Oui pour les êtres qui peuvent obtenir leur autonomie de vous ( tel le disciple avec le maître qui est en principe son devoir d'enseignement ) mais ce n'est qu'un cas particulier.

Ou peut-être, tout simplement, en regard de mes propres... enfants? J'ai toujours considéré que c'était mon devoir premier, en tant que père, que de leur permettre l'accès à la "vraie" liberté... Mais je vous l'accorde: ça marche aussi dans l'enseignement.  Et ça marche encore dans l'entreprise, et dans la solidarité associative, et dans les jeux d'enfants des colonies de vacances, et dans... et dans... et...

il y a 8 minutes, LIBRETHEUREUX a dit :

Si le bien et le mal, la morale et la liberté ne sont que des représentations qui varient selon les individus alors il sera difficile d'en parler.

Alors que le bien et le mal peuvent être pris en compte par la morale quant au bon choix, qui variant d'un individu à l'autre, peut faire le mauvais choix pour l'autre. La morale étant que cela reste tout de même un bon choix pour l'un donc il y aurait tout de même une définition du bien malgré le mal.

Et la liberté serait tout simplement de par la définition du bien par la morale de réussir a faire le bon choix qui n'est pas qu'égoïste.

il y a 3 minutes, Guillaume_des_CS a dit :

le sens du dictionnaire, tout simplement

Vous vous fiez au dictionnaire pour définir la moral de manière exhaustive ?

Des pages et des pages, d'innombrables livres n'y suffisent pas.

il y a 1 minute, hell-spawn a dit :

Vous vous fiez au dictionnaire pour définir la moral de manière exhaustive ?

Des pages et des pages, d'innombrables livres n'y suffisent pas.

Pour qui veut s'embrouiller peut-être... Quant à moi, les dicos sont mes amis. Il m'arrive de les compléter, mais je les tiens pour valeurs sûres de notre état. Et discuter suppose quand même d'être d'accord sur des bases, non? Sinon, il ne s'agit plus de discuter mais d'imposer selon ses propres références, non? (???)

il y a 5 minutes, Guillaume_des_CS a dit :

Non, vous raisonnez (et comparez) sur deux plans différents, simultanément: le devoir est défini par le droit. Quand vous définissez le devoir "moral", vous sortez du droit. Vous parlez alors "d'obligation" spirituelle... Vous ne parlez plus de "devoir" mais de "conformité" en regard de la morale... 

Le droit c'est l'intellect qui raisonne, bien ou mal.

Le devoir c'est quelque chose de plus profond. ( ça mériterait un développement beaucoup plus long )

il y a 15 minutes, Guillaume_des_CS a dit :

"J'ai k'ça !" (Kacem Wappalek)

À toi maintenant...

Je ne sais pas qui je suis mais je sais qui je veux être,

Train de vie et indécence,

Tant que de ma vie je suis le maître,

Hors de ma vue votre morale,

Gardez cela cela pour bien paraaître,

J'aime le sexe, l'argent et jouir,

Cela participe de mon bien être,

Rien de sale dans ces écrit,

Voici mon être décrit en lettres

il y a 1 minute, Guillaume_des_CS a dit :

Pour qui veut s'embrouiller peut-être... Quant à moi, les dicos sont mes amis. Il m'arrive de les compléter, mais je les tiens pour valeurs sûres de notre état. Et discuter suppose quand même d'être d'accord sur des bases, non? Sinon, il ne s'agit plus de discuter mais d'imposer selon ses propres références, non? (???)

Voyez les plus grands philosophes, tous ont dit des choses qui leur étaient propres sur la morale.

il y a 1 minute, hell-spawn a dit :

Voyez les plus grands philosophes, tous ont dit des choses qui leur étaient propres sur la morale.

and ?... ??? Quel est votre avis, à vous? Il est beaucoup, beaucoup plus important pour moi et surtout pour vos enfants que celui des "grands" philosophes du passé! Je ne vis pas dans le passé, mais dans l'avenir: celui de mes enfants! Je me fous de vos philosophes empoussiérés à peu près comme de l'An... 40?

notre propre vérité n'est pas toujours la vérité.

Qui nous dit qu'une personne dit la vérité plus qu'une autre personne.

Qui nous prouve quelle vérité est la bonne ?

Peut être que  là la vérité c'est que je dis n'importe quoi