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Le Communautarisme ou Assimilationnisme

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Bluehawk

Le Communautarisme ou Assimilationnisme   

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Il y a 8 heures, Le Dionysiaque a dit :

Bien sûr que si, c'était d'ailleurs un motif de réticence à leur accorder les prestations sociales qui visaient en métropole à relancer la natalité. Depuis, la population en Guadeloupe a doublé. Dans les années 60 à la Réunion, sous de Gaulle, Debré a été jusqu'à y autoriser exceptionnellement l'avortement (et même recourir à des IVG forcées) pour faire face à son explosion démographique. Il n'y a pas que l'Algérie où le problème se posait. De Gaulle aimait les Antillais quand ils étaient deux fois moins nombreux et qu'ils restaient sur leur île. Pour les mêmes raisons qu'il ne voulait pas qu'une immigration arabe dénature la métropole, il n'aurait pas aimé voir les Antillais s'ajouter massivement à l'immigration africaine pour changer le visage de l'Ile-de-France.

J'aime bien non seulement tu ignores l'essentiel de mon précédent message, mais ta présente prose sonne comme siDe Gaule ne voyait pas différemment la question antillaise et celle des Arabes d'Algérie (là on parlais de millions de musulmans car oui pour De Gaule le problème ce n'était pas la couleur de leurs museaux mais bien leur culture et leur religion), or cela est totalement faux, tu t'adonnes à un raccourcit pour mettre ces deux problématiques fort différentes sur le même plan, alors qu'elles sont fort différentes. Déjà la question de la Réunion est également particulière et diffère de celle des Antilles, mais là encore tu fous tout dans le même sac, la peur qu'il y avait pour la réunion ce n'était pas une immigration massive de cette île, faut pas déconner, mais le fait que l'explosion démographique sur un territoire limité et géographiquement très éloigné et difficilement accessible pour la Métropole, et donc risquant vite de devenir ingérable et couteuse en cas de troubles, à côté cela la dimension raciale qui semble t'obséder, ne pèse strictement que dalle. Ne parlons même pas des Antillais qui représentaient encore moins un problème, de fait tu échoue complètement à démontrer en quoi De Gaulle les voyait comme un élément étranger qu'il fallait absolument écarté et pour cause ce n'était pas le cas.

Il y a 8 heures, Le Dionysiaque a dit :

L'identité c'est aussi la race, d'ailleurs de Gaulle parlait sans pudeur de race blanche. Les minorités devaient rester "de toutes petites minorités", c'est-à-dire pas plus de 1%. C'était cependant une erreur de sa part, car ces 1% sont le Cheval de Troie sur le plan moral et idéologique qui permettra les millions d'autres.En effet, c'est une question de principe. Evidemment qu'une dose homéopathique d'immigration dans un peuple déjà solide et homogène n'est pas mortelle, mais quand on commence à ouvrir la boite de pandore de l'immigration cela finit toujours de la même manière, partout. La logique universaliste qui sous-tend un début d'immigration mène irrémédiablement où nous sommes. C'est un lent déclin de l'identité qui ne s'arrête plus.

Non la race c'est uniquement les différences biologiques et phénotypiques visibles, point. L'identité au mieux peut se construire sur ces critères oui, mais elle demeure alors faible, bancale et sans avenir sans appui soit culturel ou idéologique. De Gaulle parlait de race oui, mais c'est normal, les différences raciales par la distance géographique correspondent à des différences culturelles, et de fait lorsque De Gaule parle de Djellabas et de Colombey-les-Deux-Mosquées, c'est bien la dimension culturelle qui est soulignée et personne ici nie l'importance et la limitation du poids démographique. Je n'ai pas envi de ne me répéter et t'invite donc à nouveau à lire mon précédent message concernant ces questions, mais la race est au mieux secondaire, car c'est quelque chose qui s'efface rapidement, par absorption culturelle et métissage des corps (ce qui ne correspond pas toujours à un événement heureux hein, je ne te la joue pas licorne qui chie des arc-en-ciel avec l'ode au métissage, le métissage c'est aussi souvent la violence et la conquête d'un peuple absorbant et acculturant un autre, la question étant de savoir qui absorbe l'autre). Pour le reste la fin de ton message semble parler de l'immigration, une fois le seul des 1% dépassé, comme d'un phénomène inéluctable et inarrêtable comme la marée montante, or cela est fallacieux, l'immigration est un choix politique réitéré par les élites qui sont aux manettes depuis plusieurs décennies, ce n'est pas là un phénomène devenu impossible à maîtriser, c'est un phénomène qui est sciemment encouragé depuis déjà fort longtemps et cela pour des raisons aussi bien économiques que politiques.

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il y a une heure, uno a dit :

J'aime bien non seulement tu ignores l'essentiel de mon précédent message, mais ta présente prose sonne comme siDe Gaule ne voyait pas différemment la question antillaise et celle des Arabes d'Algérie (là on parlais de millions de musulmans car oui pour De Gaule le problème ce n'était pas la couleur de leurs museaux mais bien leur culture et leur religion), or cela est totalement faux, tu t'adonnes à un raccourcit pour mettre ces deux problématiques fort différentes sur le même plan, alors qu'elles sont fort différentes. Déjà la question de la Réunion est également particulière et diffère de celle des Antilles, mais là encore tu fous tout dans le même sac, la peur qu'il y avait pour la réunion ce n'était pas une immigration massive de cette île, faut pas déconner, mais le fait que l'explosion démographique sur un territoire limité et géographiquement très éloigné et difficilement accessible pour la Métropole, et donc risquant vite de devenir ingérable et couteuse en cas de troubles, à côté cela la dimension raciale qui semble t'obséder, ne pèse strictement que dalle. Ne parlons même pas des Antillais qui représentaient encore moins un problème, de fait tu échoue complètement à démontrer en quoi De Gaulle les voyait comme un élément étranger qu'il fallait absolument écarté et pour cause ce n'était pas le cas.

Je n'ai jamais dit qu'il les considérait à l'époque comme un élément étranger qu'il fallait absolument écarté, tu ne m'as pas bien lu et tu caricatures mon propos. D'ailleurs les Antilles sont déjà départementalisés lorsque de Gaulle arrive aux affaires et il a déjà beaucoup à faire pour larguer l'essentiel des colonies restantes qu'il considère comme des boulets économiques, ainsi que des dangers pour l'identité nationale en cas d'intégration (car rien ne les empêcheraient alors de déferler sur la métropole).

 

il y a une heure, uno a dit :

Non la race c'est uniquement les différences biologiques et phénotypiques visibles, point.

Donc si demain le Japon était composé à 100% d'Africains de culture japonaise, ça ne changerait absolument rien à l'identité du peuple japonais ?

Allons, tu te contredis puisque tu reconnaissais précédemment l'importance de l'ascendance des peuples, de leur réalité physique. Et subitement tu réduis ça à de la simple "différence biologique et phénotypique visible" sans importance.

 

il y a une heure, uno a dit :

L'identité au mieux peut se construire sur ces critères oui, mais elle demeure alors faible, bancale et sans avenir sans appui soit culturel ou idéologique.

Je t'invite à mieux me lire : je n'ai pas dit que l'identité se réduisait à la race (sans quoi nous ne pourrions distinguer aucun pays occidental), j'ai dit que la race faisait partie de l'identité, ce qui est l'évidence même. La race noire fait partie de l'identité sénégalaise et la race asiatique de l'identité japonais, et la race blanche ‒ comme affirmait de Gaulle ‒ de l'identité française. Je te conseille à ce sujet de lire la suite avant de répondre.

 

il y a une heure, uno a dit :

De Gaule parle de Djellabas et de Colombey-les-Deux-Mosquées, c'est bien la dimension culturelle qui est soulignée

Il disait dans le même propos « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. »

Il ne parlait donc pas seulement de culture mais également de race pour définir l'identité nationale. Il en parlait même avant la culture, c'est le premier point qu'il donne, puis la culture, puis la religion. Race > culture > religion. Dans cet ordre.

 

Citation

la race est au mieux secondaire, car c'est quelque chose qui s'efface rapidement, par absorption culturelle et métissage des corps

Cela s'efface quand il s'agit d'une poignée de Maures qui violent une poignée de Blanches dans un village corse. Cela ne s'efface pas quand il s'agit de plusieurs millions d'Africains et de Maghrébins. C'est le Blanc qui va essentiellement s'effacer au profit d'un peuple de type brésilien, et c'est irreversible contrairement à la culture, à la religion et à la politique.

 

il y a une heure, uno a dit :

Pour le reste la fin de ton message semble parler de l'immigration, une fois le seul des 1% dépassé, comme d'un phénomène inéluctable et inarrêtable comme la marée montante, or cela est fallacieux, l'immigration est un choix politique réitéré par les élites qui sont aux manettes depuis plusieurs décennies, ce n'est pas là un phénomène devenu impossible à maîtriser, c'est un phénomène qui est sciemment encouragé depuis déjà fort longtemps et cela pour des raisons aussi bien économiques que politiques.

Je n'ai pas dit que ce n'était pas un choix politique, bien au contraire. Tu as tort en revanche de réduire le problème à un simple choix d'ordre administratif. C'est bien plus profond, cela touche à la définition que l'on se fait de l'identité. Tu ne vois pas également la continuité idéologique entre l'universalisme qui amène la France aux Africains et l'universalisme qui amène les Africains à la France : c'est le même. D'ailleurs la famille politique qui veut de l'immigration est la même qui voulait de la colonisation. Celle qui ne voulait pas de la colonisation est la même qui ne veut pas de l'immigration. Tu ne perçois pas cette continuité des choses.

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il y a 6 minutes, Le Dionysiaque a dit :

Je n'ai jamais dit qu'il les considérait à l'époque comme un élément étranger qu'il fallait absolument écarté, tu ne m'as pas bien lu et tu caricatures mon propos. D'ailleurs les Antilles sont déjà départementalisés lorsque de Gaulle arrive aux affaires et il a déjà beaucoup à faire pour larguer l'essentiel des colonies restantes qu'il considère comme des boulets économiques, ainsi que des dangers pour l'identité nationale en cas d'intégration (car rien ne les empêcheraient alors de déferler sur la métropole).

Désolé mais tu rétropédales assez maladroitement, ta position de départ était bien d'expliquer en quoi les Antillais auraient posé problème et était ou sont à considéré comme des élément exogènes non-français au mêmes titres que les populations des colonies africaines en général et algérienne en particulier. Si maintenant tu défends d'avoir eu pareille positon je te rappellerais que dans tes précédents propos tu ne précisais pas ces nuances.

il y a 6 minutes, Le Dionysiaque a dit :

Donc si demain le Japon était composé à 100% d'Africains de culture japonaise, ça ne changerait absolument rien à l'identité du peuple japonais ?

Je n'aime pas qualifier une question de stupide, mais là c'est difficile de faire autrement, surtout venant d'un gus qui me reproche de caricaturer ses propos alors qu'il caricature les miens au travers de cette question, relis mes messages précédents et tu verras l'importance que j'ai souligné à l'ascendance. Mais puisqu'il me faut y répondre allons-y clairement. Il est impossible que demain le Japon soit peuplé de 100% d'Africains de cultures japonaises. Pourquoi? Parce que si la culture peut se transmettre dans une certaine mesure horizontalement, elle nécessite toujours une transmission verticales (de générations en générations), et qu'on ne peut remplacer l'entièreté d'une population par une autre sans que la populations remplaçant abandonne entièrement sa culture au profit de la population remplacée. Et je te mets au défis de citer un seul de mes message où j'aurais tenu une positon aussi stupide!

il y a 6 minutes, Le Dionysiaque a dit :

Allons, tu te contredis puisque tu reconnaissais précédemment l'importance de l'ascendance des peuples, de leur réalité physique. Et subitement tu réduis ça à de la simple "différence biologique et phénotypique visible" sans importance. Je t'invite à mieux me lire : je n'ai pas dit que l'identité se réduisait à la race (sans quoi nous ne pourrions distinguer aucun pays occidental), j'ai dit que la race faisait partie de l'identité, ce qui est l'évidence même. La race noire fait partie de l'identité sénégalaise et la race asiatique de l'identité japonais, et la race blanche ‒ comme affirmait de Gaulle ‒ de l'identité française. Je te conseille à ce sujet de lire la suite avant de répondre.

Non la race ne fait pas partie, elle est au mieux un marqueurs de différenciation (il n'y a jamais eu de noir au japon, donc les noirs ne sont pas japonais). Mais de fait l'identité n'est pas éternellement lié ou tributaire d'un marqueurs seul, l'identité est malléable mais demeure tant qu'elle a un socle solide. Un antillais peut intégrer l'identité française, un Français peut considérer un antillais comme étant un des siens, et de fait une fois ce pas initial franchit à suffisamment grande échelle, la barrière du marqueur initiale disparait par absorption de la population distinctes dans la populations dominante (mais elle doit l'être à la fois démographiquement et culturellement, ce n'est déjà plus le cas pour le second en France et peut-être un jour même plus pour le premier). C'était déjà dans ce lien pour l'explication plus détaillé et pompeuse. Pour le reste la citation de De Gaulle je connaissais déjà, cela ne change rien, de fait De Gaulle n'a pas détaillé en quoi la race est un problème mais il l'a fait pour la culture avec des données concrètes (religions, habitudes culturelles et vestimentaires). Et s'il avait parlé des Noirs, il n'aurait pas pu mentionné le phénotype, mais ce serait également tourné vers des marqueurs culturels des populations africaines, De Gaulle parlait de race, car c'était usuelle, et de fait un marqueurs qui se confondait avec la culture, peut-être pensait-il réellement que la culture découle de la race, de prédispositions génétiques, c'était usuelles, mais l'on sait aujourd'hui que non, de fait si un lien entre race et culture existe il est même inversé (la culture façonnant le génome, et de fait fluctuant indépendamment du génome) mais c'est un autre et vaste sujet. Tout cela pour dire que te rattacher à cette citation de De Gaulle ne change rien et ne permet en aucun cas de soutenir ton point de vu.

il y a 6 minutes, Le Dionysiaque a dit :

Cela s'efface quand il s'agit d'une poignée de Maures qui violent une poignée de Blanches dans un village corse. Cela ne s'efface pas quand il s'agit de plusieurs millions d'Africains et de Maghrébins. C'est le Blanc qui va essentiellement s'effacer au profit d'un peuple de type brésilien, et c'est irreversible contrairement à la culture, à la religion et à la politique.

Tu ne me comprends pas, je ne nie pas que l'immigration massive venant d'Afrique peut de fait effacer la culture française, tant démographiquement que par la faiblesse culturelle contemporaine de la France. Cela personne ne le nie. Mais justement si le souhait de De Gaule avait vu le jour avec une France forte culturellement, refusant toute immigration massive et affirmant son identité, l'assimilation complète des Antillais aurait été possible, malgré les différences phénotypiques. Tout dépend de qui domine de qui absorbe qui et à ce jeu là mieux ne vaut pas être celui qui est absorbé je confirme.

il y a 6 minutes, Le Dionysiaque a dit :

Je n'ai pas dit que ce n'était pas un choix politique, bien au contraire. Tu as tort en revanche de réduire le problème à un simple choix d'ordre administratif. C'est bien plus profond, cela touche à la définition que l'on se fait de l'identité. Tu ne voix pas également la continuité idéologique entre l'universalisme qui amène la France aux Africains et l'universalisme qui amène les Africains à la France : c'est le même. D'ailleurs la famille politique qui veut de l'immigration est la même qui voulait de la colonisation. Celle qui ne voulait pas de la colonisation est la même qui ne veut pas de l'immigration. Tu ne perçois pas cette continuité des choses.

Je ne nie pas la continuité mais elle est cependant très limité car ce phénomène n'est pas exclusivement français. De plus la continuité avec l'ordre républicain, ordre républicain qui était impitoyable avec les catholiques, est totalement castré si ce n'est pas inexistant avec l'Islam qui se voit même protéger par la gauche que tu mentionne, gauche qui maintenant a repris bien plus les codes déconstructivistes anglosaxons que celui de l'universalisme républicain, au mieux celui-ci est utilisé comme justification à l'ouverture toujours plus grande des frontières, mais ne ramenons pas le mal au républicanisme car de fait ce mal a d'autres racines bien plus sombres, dégueulasse et étendu que tu sembles le penser, ce n'est pas qu'un phénomène français c'est un phénomène qui concerne l'ensemble du monde occidental et je pèse mes mots.

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il y a une heure, uno a dit :

Désolé mais tu rétropédales assez maladroitement, ta position de départ était bien d'expliquer en quoi les Antillais auraient posé problème et était ou sont à considéré comme des élément exogènes non-français au mêmes titres que les populations des colonies africaines en général et algérienne en particulier. Si maintenant tu défends d'avoir eu pareille positon je te rappellerais que dans tes précédents propos tu ne précisais pas ces nuances.

Non, j'ai toujours cette position. Je conçois seulement que de Gaulle ne l'avait pas à l'époque pour les raisons que j'ai données. Ça deviendra très clair si tu me lis correctement.

il y a une heure, uno a dit :

Il est impossible que demain le Japon soit peuplé de 100% d'Africains de cultures japonaises.

Evidemment que c'est impossible. -__-

Ça s'appelle un exercice de pensée. Le but est de te faire comprendre que la race fait irrémédiablement partie de l'identité même si cette dernière ne se réduit pas à ça.

il y a une heure, uno a dit :

Non la race ne fait pas partie, elle est au mieux un marqueurs de différenciation

C'est drôle d'être aussi réticent dès qu'on touche au sujet interdit. C'est très irrationnel.

il y a une heure, uno a dit :

Pour le reste la citation de De Gaulle je connaissais déjà, cela ne change rien, de fait De Gaulle n'a pas détaillé en quoi la race est un problème mais il l'a fait pour la culture avec des données concrètes (religions, habitudes culturelles et vestimentaires).

Tu es clairement de mauvaise foi. Il n'a pas cité la race comme élément de l'identité française pour faire joli, et il n'a pas commencé par là par hasard.

il y a une heure, uno a dit :

De Gaulle parlait de race, car c'était usuelle, et de fait un marqueurs qui se confondait avec la culture, peut-être pensait-il réellement que la culture découle de la race, de prédispositions génétiques

N'importe quoi. Dans ce cas il n'aurait jamais dit aux Antillais "vous êtes tellement Français", comme tu l'as fait remarquer précédemment. C'est un festival de contradictions. Le propos de Charles de Gaulle montre bien qu'il croit en l'assimilation de certaines populations à très petites doses.

il y a une heure, uno a dit :

De Gaule avait vu le jour avec une France forte culturellement, refusant toute immigration massive et affirmant son identité, l'assimilation complète des Antillais aurait été possible, malgré les différences phénotypiques. Tout dépend de qui domine de qui absorbe qui et à ce jeu là mieux ne vaut pas être celui qui est absorbé je confirme.

Nous sommes d'accord sur la question des proportions (sauf peut-être sur la limite) mais j'ai envie de dire peu importe. Une petite dose d'immigration, même non-assimilée, n'est pas mortelle car la communauté est trop peu nombreuse, trop faible et isolée pour être encore nuisible. Et quand le seuil augmente l'assimilation n'est plus possible. Autrement dit : le seuil à partir duquel une minorité communautariste devient nuisible est le même à partir duquel une minorité que l'on souhaite assimiler n'est plus assimilable. Par conséquent, l'assimilation n'est possible que pour une dose tellement faible d'immigrés extra-européens que leur non-assimilation (communautarisme) sous ce seuil ne serait même pas nuisible. Les deux modèles reviennent globalement au même, et nous le voyons bien en comparant aujourd'hui la France et le Royaume-Uni, les deux sont dans la merde.

Autre exemple dans un autre registre car il s'agit d'une autre nature d'immgration : l'immigration italienne aux Etats-Unis et son communautarisme a t-elle été moins réussie, au final, que l'immigration italienne en France sous un modèle assimilationniste ?

il y a une heure, uno a dit :

De plus la continuité avec l'ordre républicain, ordre républicain qui était impitoyable avec les catholiques, est totalement castré si ce n'est pas inexistant avec l'Islam qui se voit même protéger par la gauche que tu mentionne

En réalité les laïcards n'ont pas été sévères avec la religion en général mais seulement avec le catholicisme parce qu'il était lié à l'Ancien régime. Ils ont eu dans le même temps toutes les sympathies pour le protestantisme et le judaisme, puis l'islam. En 1922, Maurras s'étonnait déjà que la Grande Mosquée de Paris fut financée avec l'argent public sous l'impulsion des mêmes laïcards bouffeurs de curé.

Enfin, l'universalisme républicain auquel je fais référence existe bien entendu sans sa forme républicaine ailleurs en occident. Dans la colonisation française aux accents très républicains il y avait aussi des spécificités en comparaison à la colonisation anglo-saxonne, cela restait cependant le même mouvement dans les grandes lignes.

 

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Il y a 6 heures, Le Dionysiaque a dit :

Non, j'ai toujours cette position. Je conçois seulement que de Gaulle ne l'avait pas à l'époque pour les raisons que j'ai données. Ça deviendra très clair si tu me lis correctement.

De Gaule qui disait «Vous êtes tellement Français» pour rappel, sérieusement tu projettes sur ma petite personne des contradictions dont seul toi fait preuve ici. Mais aller tu deviens confus quelle est donc ta position sur les Antillais? Et soit clair et fait gaffe car tes propos initiaux sont toujours lisibles.

 

Il y a 6 heures, Le Dionysiaque a dit :

Ça s'appelle un exercice de pensée. Le but est de te faire comprendre que la race fait irrémédiablement partie de l'identité même si cette dernière ne se réduit pas à ça.

Ben c'est raté mon grand, parce que là ce n'est pas la race, mais l'ascendance et la transmission verticale, tu sais la même raison qui a rendu- les Français inassimilables par le Canada anglais mais aussi d'autres populations fussent-elles de même race pour ainsi dire. La race se confond avec des différences culturelles, elle peut aussi être utilisé comme marqueur identitaire, mais elle n'est pas réellement une composante de l'identité. Une fois que tu as digérer ces nécessaires mises au point tu comprend en quoi ton exercice de pensée ne démontre pas ta position.

 

Il y a 6 heures, Le Dionysiaque a dit :

C'est drôle d'être aussi réticent dès qu'on touche au sujet interdit. C'est très irrationnel.

Réticent sur quel sujet interdit? Tu sais les histoire de race j'en ai déjà discuté souvent et si tu as oinon que tu juges interdite balance là moi tu verra bien si nous ne pouvons pas en discuter rationnellement.

Il y a 6 heures, Le Dionysiaque a dit :

Tu es clairement de mauvaise foi. Il n'a pas cité la race comme élément de l'identité française pour faire joli, et il n'a pas commencé par là par hasard.

Ai-je dis cela, j'ai cité au moins deux raison probables et possibles de pourquoi il cité la race. Tu me dis qu'il faut que je te relises alors que c'est bien toi qui ne me relis pas correctement pour projeter sur ma personne une mauvaise foi que tu ne cesse d'afficher, ce serait sympa de changer d'attitude.

Il y a 6 heures, Le Dionysiaque a dit :

N'importe quoi. Dans ce cas il n'aurait jamais dit aux Antillais "vous êtes tellement Français", comme tu l'as fait remarquer précédemment. C'est un festival de contradictions. Le propos de Charles de Gaulle montre bien qu'il croit en l'assimilation de certaines populations à très petites doses.

Je cherche encore en quoi la citation de De Gaule contredit les propos que tu cites ici et sincèrement je ne vois pas. J'ai l'impression que tu ne sais plus quoi répondre.

 

Il y a 6 heures, Le Dionysiaque a dit :

Nous sommes d'accord sur la question des proportions (sauf peut-être sur la limite) mais j'ai envie de dire peu importe. Une petite dose d'immigration, même non-assimilée, n'est pas mortelle car la communauté est trop peu nombreuse, trop faible et isolée pour être encore nuisible. Et quand le seuil augmente l'assimilation n'est plus possible. Autrement dit : le seuil à partir duquel une minorité communautariste devient nuisible est le même à partir duquel une minorité que l'on souhaite assimiler n'est plus assimilable. Par conséquent, l'assimilation n'est possible que pour une dose tellement faible d'immigrés extra-européens que leur non-assimilation (communautarisme) sous ce seuil ne serait même pas nuisible. Les deux modèles reviennent globalement au même, et nous le voyons bien en comparant aujourd'hui la France et le Royaume-Uni, les deux sont dans la merde.

Une petite dose d'immigration non-assimilé n'est pas nuisible je confirme, mais cela ne change rien quand au fait que l'assimilation est plus facile si le nombre est restreint, mais aussi si le pays d'accueil a une culture forte. Il y a plusieurs facteurs qui rendent l'assimilation possible ou au contraire difficile voir impossible, le nombre est l'un des facteur majeurs mais d'autres sont important.

 

Il y a 6 heures, Le Dionysiaque a dit :

Autre exemple dans un autre registre car il s'agit d'une autre nature d'immgration : l'immigration italienne aux Etats-Unis et son communautarisme a t-elle été moins réussie, au final, que l'immigration italienne en France sous un modèle assimilationniste ?

Ce que tu appelles nature de l'immigration c'est en fait la culture de l'immigration, tu dois déjà connaitre ma position concernant le fait que toutes les cultures ne sont pas aussi facilement assimilables ou compatibles avec le pays d'accueil, surtout si ce dernier ne cherche même pas à assimiler la population. Bref personne ne nie ici l'impact de la culture, la question est de savoir si tu penses à autre chose à savoir à la race mais je ne veux pas t'attribuer de propos que tu n'a pas tenu à toi de préciser tes propos.

Il y a 6 heures, Le Dionysiaque a dit :

En réalité les laïcards n'ont pas été sévères avec la religion en général mais seulement avec le catholicisme parce qu'il était lié à l'Ancien régime. Ils ont eu dans le même temps toutes les sympathies pour le protestantisme et le judaisme, puis l'islam. En 1922, Maurras s'étonnait déjà que la Grande Mosquée de Paris fut financée avec l'argent public sous l'impulsion des mêmes laïcards bouffeurs de curé. Enfin, l'universalisme républicain auquel je fais référence existe bien entendu sans sa forme républicaine ailleurs en occident. Dans la colonisation française aux accents très républicains il y avait aussi des spécificités en comparaison à la colonisation anglo-saxonne, cela restait cependant le même mouvement dans les grandes lignes.

Je pense que tu sous-estimes gravement l'origine exogènes, c'est-à-dire non-française de l'idéologie migratoire et multiculturel mortifère qui nous contamine. Mais j'y reviendrai quand j'aurais d'avantage de temps.

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Il y a 3 heures, uno a dit :

De Gaule qui disait «Vous êtes tellement Français» pour rappel , sérieusement tu projettes sur ma petite personne des contradictions dont seul toi fait preuve ici

C'est bien de te le rappeler, ça montre que ta théorie sur de Gaulle qui parlait de race au prétexte qu'il ne pensait pas que culture et race pouvaient se séparer est parfaitement ridicule. Théorie qui montre d'ailleurs une méconnaissance profonde du personnage, l'histoire n'est pas ton domaine de prédilection je l'avais compris. Cette citation à elle-seule contredit ta théorie, ce qui est vraiment cocasse car c'est toi qui as sorti ce propos à l'origine.

Pour résumer :

1- Tu montres que de Gaulle croit en l'assimilation des Noirs en citant son opinion sur les Antilles.

2- Tu supposes que pour de Gaulle "la culture découle de la race", raison pour laquelle il employait le mot race avec celui de culture quand il définissait l'identité nationale.

C'est assez comique dans le registre "se prendre les pieds dans le tapis".

Il y a 3 heures, uno a dit :

Je cherche encore en quoi la citation de De Gaule contredit les propos que tu cites ici et sincèrement je ne vois pas.

Les Antillais ne seraient jamais devenus "tellement Français" si la culture découlait de la race ! Sincèrement tu m'inquiètes. Tu pousses la mauvaise foi très loin. Reprends-toi.

Il y a 3 heures, uno a dit :

Mais aller tu deviens confus quelle est donc ta position sur les Antillais? Et soit clair et fait gaffe car tes propos initiaux sont toujours lisibles.

La confusion c'est ta spécialité, je ne saurais rivaliser dans ce domaine. Ce sont justement mes propos initiaux qu'il faut relire pour comprendre ma position sur les Antillais. Je vais même te citer un passage où j'explique ce qui me distingue de la position de De Gaulle :

Il y a 22 heures, Le Dionysiaque a dit :

De Gaulle aimait les Antillais quand ils étaient deux fois moins nombreux et qu'ils restaient sur leur île. Pour les mêmes raisons qu'il ne voulait pas qu'une immigration arabe dénature la métropole, il n'aurait pas aimé voir les Antillais s'ajouter massivement à l'immigration africaine pour changer le visage de l'Ile-de-France. Et ce n'est pas qu'une question de culture comme on fait semblant de le croire, c'est aussi une question de visage. L'identité c'est aussi la race, d'ailleurs de Gaulle parlait sans pudeur de race blanche. Les minorités devaient rester "de toutes petites minorités", c'est-à-dire pas plus de 1%. C'était cependant une erreur de sa part, car ces 1% sont le Cheval de Troie sur le plan moral et idéologique qui permettra les millions d'autres.

En effet, c'est une question de principe. Evidemment qu'une dose homéopathique d'immigration dans un peuple déjà solide et homogène n'est pas mortelle, mais quand on commence à ouvrir la boite de pandore de l'immigration cela finit toujours de la même manière, partout. La logique universaliste qui sous-tend un début d'immigration mène irrémédiablement où nous sommes. C'est un lent déclin de l'identité qui ne s'arrête plus.

 

Il y a 3 heures, uno a dit :

Ben c'est raté mon grand, parce que là ce n'est pas la race, mais l'ascendance et la transmission verticale

C'est drôle comme tu es incapable de te projeter dans un exercice de pensée ou alors tu le fais exprès. Mon propos n'a jamais été de demander ce qui rendrait impossible que 100% des Japonais puissent être des Africains assimilés. Mon propos était de dire que quand bien même c'était le cas, l'identité japonaise ne serait plus la même. Si avec le temps la France métropolitaine se composait d'une majorité de non-Blancs "assimilés" de type antillais par exemple, ce ne serait plus le peuple français mais autre chose, car la race fait aussi partie de l'identité. Sur ce point je suis exactement sur la ligne de De Gaulle qui rappelle que nous sommes avant tout un peuple de race blanche, que cela fait partie de notre identité française et européenne, outre les questions culturelles.

 

Il y a 3 heures, uno a dit :

tu sais la même raison qui a rendu- les Français inassimilables par le Canada anglais

Quand ai-je dit qu'une race commune suffisait à une assimilation instantanée ? J'ai répété à plusieurs reprises que si la race faisait partie de l'identité, l'identité ne se réduisait évidemment pas à la race sans quoi nous ne pourrions distinguer aucune nationalité européenne. Tu grossis mon propos, tu fais fi des nuances, tu réponds à ce qui n'existe pas pour compenser ton incapacité à contredire mes propos réels. C'est assez décevant.

 

Il y a 3 heures, uno a dit :

La race se confond avec des différences culturelles, elle peut aussi être utilisé comme marqueur identitaire, mais elle n'est pas réellement une composante de l'identité.

La race devient une composante de l'identité dès lors que nous sommes confrontés à d'autres races ; évidemment que si l'on reste entre Blancs, c'est transparent pour ainsi dire. Même schéma pour la langue plusieurs peuples différents peuvent partager une même langue, elle se confond avec des différences culturelles, mais on prend pleinement conscience de sa composante identitaire lorsque nous sommes confrontés à une langue étrangère.

 

Il y a 3 heures, uno a dit :

Je pense que tu sous-estimes gravement l'origine exogènes, c'est-à-dire non-française de l'idéologie migratoire et multiculturel mortifère qui nous contamine.

Le nihilisme occidental n'est pas moins français que anglo-saxon. Les choses se sont accélérées sous l'hégémonie états-unienne mais la France était depuis longtemps gagnée au cosmopolitisme.

Tu serais surpris en lisant Barrès de voir à quel point les discussions étaient les mêmes il y a un siècle au sujet de l'immigration, les arguments étaient exactement les mêmes.

Quand la France faisait venir une immigration européenne, les Etats-Unis faisait déjà venir une immigration non-occidentale. Nous aurions également débuté l'immigration extra-européenne au même moment, il y a plus d'un siècle, si nous n'avions pas eu des voisins européens pour nous envoyer des immigrés. Nous avions déjà à l'époque l'idéologie, les arguments, les motivations économiques, et la morale universaliste pour faire advenir l'immigration que l'on connait aujourd'hui.

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@uno En définitive, partir du fait qu'il existe des individus basanés qui sont assimilés pour en tirer la grande conclusion que la race n'a aucune importance dans l'identité d'un peuple, montre une certaine indigence. Partir du fait que deux peuples blancs peuvent montrer des différences identitaires importantes pour en tirer la grande conclusion que la race ne fait pas partie de l'identité d'un peuple, redouble d'indigence.

 

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uno Membre 6 484 messages
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Le 25/10/2019 à 10:56, Le Dionysiaque a dit :

C'est bien de te le rappeler, ça montre que ta théorie sur de Gaulle qui parlait de race au prétexte qu'il ne pensait pas que culture et race pouvaient se séparer est parfaitement ridicule. Théorie qui montre d'ailleurs une méconnaissance profonde du personnage, l'histoire n'est pas ton domaine de prédilection je l'avais compris. Cette citation à elle-seule contredit ta théorie, ce qui est vraiment cocasse car c'est toi qui as sorti ce propos à l'origine.

Non toute ta présente prose repose sur le fait d'ignorer très sélectivement certains propos et arguments de mes précédents messages, or devoir à chaque foi faire avec ta présente mauvaise foi est pour le moins agaçant. Premièrement Culture et Race se confondent souvent, pour la simple raison que les fossés culturels et les différences dites raciales, sont toutes deux largement tributaire de la séparation géographique. Deuxièmement tu parles de la supposition que j'ai fait des propos de De Gaulle sur la race et t'en moques, mais ce n'est qu'une supposition pas une assertion, supposition qui se base sur le fait qu'à l'époque pareille idée était encore largement répandu, non ce que j'essaie de te dire et que tu te bornes à ne pas comprendre, c'est que dans cette célèbre citation De Gaulle na dit absolument rien de précis sur la notion ou l'importance de la race. C'est-à-dire il ne fait qu'exprimer un truisme (les français sont clairement historiquement de race blanche) mais sans en expliquer l'importance, en revanche dans cette même citation, il parvient à souligner sans problème, non pas l'importance de race, mais celle de la culture (différences vestimentaires, et religieuses menaçant de réellement changer la France et sa culture). D'ailleurs tu échoue à démontrer toi-même en quoi la race constitue réellement une identité, par exemple, pour l'identité française. J'ai déjà expliqué au mieux en quoi c'était un marqueur (ou comment si on veux en faire une identité il faut alors y foutre encore y foutre une construction idéologique autour de celle-ci mais justement ce n'est pas le cas pour l'identité française) et je t'invite à relire correctement mes message précédent.

Le 25/10/2019 à 10:56, Le Dionysiaque a dit :

Les Antillais ne seraient jamais devenus "tellement Français" si la culture découlait de la race ! Sincèrement tu m'inquiètes. Tu pousses la mauvaise foi très loin. Reprends-toi.

Sincèrement considérant ta position initiale sur les Antillais et que tu attribuait à De Gaulle je commence à te soupçonner d'avoir totalement perdu la maîtrise de ta dissonance cognitive, petit rappel:

«De Gaulle aimait les Antillais quand ils étaient deux fois moins nombreux et qu'ils restaient sur leur île. Pour les mêmes raisons qu'il ne voulait pas qu'une immigration arabe dénature la métropole, il n'aurait pas aimé voir les Antillais s'ajouter massivement à l'immigration africaine pour changer le visage de l'Ile-de-France.» Le Dionysiaque

Donc tu soutenais que De Gaulle voulaient que les Antillais restent sur leur île pour les mêmes raisons qu'il ne voulait pas d'une immigration arabe. Or justement à présent tu as déjà rétropédaler non seulement en admettant que De Gaulle considérait les Antillais comme français (parce que justement il n'y a pas de même raison les enjeux culturelles et démographiques ne sont pas du tout les mêmes), mais en plus en reconnaissant que pour ce même De Gaulle la race n'était au final pas un facteur primordiale. Or justement ce que je t'explique c'est que De Gaulle n'avait aucune idée construite sur l'importance de la race en dehors du truisme évident qu'il constitue. C'est autre chose te concernant le Dionysiaque puisque pour toi la race est importante, même si tu échoue à expliquer comment. Et pour cause tu n'as toi-même pas d'idée construite et claire, car de fait tu confond toi-même la race en tant que conséquence de l'isolation géographique, se confondant donc naturellement avec l'éloignement des cultures, et le fait que la culture et l'identité dépendent également d'une transmission verticale de génération en génération, et se fonde sur l'idée d'ascendance commune, cela favorisant encore davantage la confusion avec la race et donc l'importance accordé à celle-ci (notamment pourquoi elle finit par être utilisé si souvent comme marqueur identitaire). Mais donc la race n'est pas réellement une part de l'identité et cela tu échoues à le comprendre. Pour le reste comme toujours je t'invite à lire correctement mes messages précédent.

Le 25/10/2019 à 10:56, Le Dionysiaque a dit :

La confusion c'est ta spécialité, je ne saurais rivaliser dans ce domaine. Ce sont justement mes propos initiaux qu'il faut relire pour comprendre ma position sur les Antillais. Je vais même te citer un passage où j'explique ce qui me distingue de la position de De Gaulle.

Oui allons je met en extrait le passage le plus absurde de ta présente citation.

«C'était cependant une erreur de sa part, car ces 1% sont le Cheval de Troie sur le plan moral et idéologique qui permettra les millions d'autres.» Le Dionysiaque

Le Cheval de Troie comment? Par quel processus. Si tu as un 1% de Noirs disons, chrétiens (issus des divers îles et de la Guyane), comment constituent-ils un Cheval de Troie pour l'immigration de millions de musulmans venu de colonies dont Charles De Gaulle à justement chercher à se débarrasser pour des raisons culturelles qui cette fois-ci font sens et qu'il est parvenu à expliquer? Ta position n'a aucune cohérence et je n'ose même pas imaginer comment tu parviens à l'expliquer.

 

Le 25/10/2019 à 10:56, Le Dionysiaque a dit :

C'est drôle comme tu es incapable de te projeter dans un exercice de pensée ou alors tu le fais exprès. Mon propos n'a jamais été de demander ce qui rendrait impossible que 100% des Japonais puissent être des Africains assimilés. Mon propos était de dire que quand bien même c'était le cas, l'identité japonaise ne serait plus la même. Si avec le temps la France métropolitaine se composait d'une majorité de non-Blancs "assimilés" de type antillais par exemple, ce ne serait plus le peuple français mais autre chose, car la race fait aussi partie de l'identité. Sur ce point je suis exactement sur la ligne de De Gaulle qui rappelle que nous sommes avant tout un peuple de race blanche, que cela fait partie de notre identité française et européenne, outre les questions culturelles.

Non ton exercice de pensée c'est de la merde car elle est impossibilité technique ou si tu préfères anthropologique. Je me tue à te répéter qu'une identité culturelle et ethnique se bâti sur la transmission de génération, donc demande plusieurs générations successives pour se construire, avec inéluctablement pour base l'idée de filiation commune. Une fois cette réalité anthropologique admise et surtout comprise, on comprend pourquoi on ne peut pas préserver une culture et remplaçant massivement la population de cette culture initiale par des populations venant d'ailleurs et ayant déjà elles-même leur identité et culture, également construites sur leur sentiment d'appartenance à une filiation commune bordel de merde! La question de l'assimilation d'une population minoritaire ne dépendant pas de la race, mais justement du fait qu'elle doit être à la base minoritaire, mais aussi que la population qui l'assimile ait une force et un attrait culturel fort (et que la population a assimilé n'ait pas des caractéristiques culturelles et identitaires fortes en porte à faux avec celle qui veut l'assimiler), par la suite l'échange horizontale ainsi que le mélange des corps feront le reste et assimileront la population à la culture et à l'identité dominante. La race dans tout cela on s'en bat les couilles frère, c'est au mieux un marqueur identitaire affiché, mais ce n'est pas une part réelle de l'identité et elle n'est même pas nécessaire pour empêcher l'assimilation tout elle ne s'oppose pas à l'assimilation si les autres critères favorables à l'assimilation, sont présents.

Le 25/10/2019 à 10:56, Le Dionysiaque a dit :

Quand ai-je dit qu'une race commune suffisait à une assimilation instantanée ? J'ai répété à plusieurs reprises que si la race faisait partie de l'identité, l'identité ne se réduisait évidemment pas à la race sans quoi nous ne pourrions distinguer aucune nationalité européenne. Tu grossis mon propos, tu fais fi des nuances, tu réponds à ce qui n'existe pas pour compenser ton incapacité à contredire mes propos réels. C'est assez décevant.

C'est sûr que tu as été obligé de mettre énormément d'eau dans ton vin, si bien qu'à présent on a plus l'impression de boire une San Pellegrino qu'un Château Bonnet, aller laisse moi reposter les propos du vrai Le Dionysiaque, celui qui n'avait pas encore rétropédaler.

 

«Tout ce qui relève de "l'universalisme républicain", de l'arbitraire administratif et des "valeurs" qui définissent la nationalité en faisant fi qu'un peuple est d'abord un génome, une ascendance, une filiation, la "terre de nos morts".» Le Dionysiaque

Et non je ne cite pas cette présente prose pour me moquer de toi, car tu ne dis pas de la merde, tu as même pour le plus grande partie raison, un peuple c'est bien une filiation, une ascendance et la Terre de nos morts, tout-à-fait, c'est ce qui forge l'idée d'une appartenance commune et d'un destin commun. La petite couille, celle qui est à l'origine de tes confusions, transparaît néanmoins, et le fait que tu la place avant le termes «ascendance, filiation et Terre de nos Morts» est révélateur, et tu l'as compris, c'est le terme «génome». C'est le terme le plus en lien avec la notion de «race» et tu le fous en premier. Or, et je te demande d'être très attentif à ce que je dis là, le génome ne définit pas l'identité d'un peuple, au mieux il n'est que la conséquence de son histoire commune. Notons que l'assimilation d'autres populations fonctionnent de la même façon, à terme les populations assimilé seront également assimiler dans le «génome» ou mieux dit dans le «pool génétique» de la population qui l'a assimilée. C'est là que se situe aussi la confusion, voir la race comme marque de l'identité c'est prendre toute la problématique de l'identité à l'envers pour ainsi dire, car la race n'est pas participé à la construction de l'identité d'un peuple, elle n'a été prise en compte que lorsqu'un dit peuple rencontre des peuples très éloignée et donc physiquement différents, mais ce n'est pas une part de l'identité pour autant. Et le prie c'est que sans le savoir tu l'admet toi-même dans le passage suivant de ton présent message. J'espère que tu prendras le temps de comprendre ou se situe ta confusion, et non il n'y a pas de quoi en avoir honte, c'est tout à fait normal, mais s'il te plait cesse te t'attacher à un détail secondaire qui n'a même pas d'importance dans les enjeux civilisationnels majeurs que tu nous traversons actuellement.

Le 25/10/2019 à 10:56, Le Dionysiaque a dit :

La race devient une composante de l'identité dès lors que nous sommes confrontés à d'autres races ; évidemment que si l'on reste entre Blancs, c'est transparent pour ainsi dire. Même schéma pour la langue plusieurs peuples différents peuvent partager une même langue, elle se confond avec des différences culturelles, mais on prend pleinement conscience de sa composante identitaire lorsque nous sommes confrontés à une langue étrangère.

Quand je dis que tu luttes avec tes dissonance cognitives pour tenter de maintenir l'illusion d'une pensée cohérente je ne m'étais pas tromper. Aller je reposte ta citation que j'avais déjà posté car elle est malgré toi en porte-à-faux avec ta présente prose.

«Tout ce qui relève de "l'universalisme républicain", de l'arbitraire administratif et des "valeurs" qui définissent la nationalité en faisant fi qu'un peuple est d'abord un génome, une ascendance, une filiation, la "terre de nos morts".» Le Dionysiaque

Tout du moins le passage du génome est en porte-à-faux, car évidemment le génome et donc l'altérité physique avec d'autres races n'a jamais été constitutive à la construction l'identité d'un peuple, la race n'est devenu qu'un marqueur une fois que l'on a découvert d'autres peuples ayant des caractéristiques phénotypiques différentes, différences phénotypiques qui se confondent naturellement avec des différences culturelles. Dès lors je ne vais pas répéter mes précédentes mises au point, mais met toi bien cela dans le crâne, un peuple ce n'est pas d'abord un «génome», mais bel et bien une histoire et non ce n'est pas la même chose.

Le 25/10/2019 à 10:56, Le Dionysiaque a dit :

Le nihilisme occidental n'est pas moins français que anglo-saxon. Les choses se sont accélérées sous l'hégémonie états-unienne mais la France était depuis longtemps gagnée au cosmopolitisme.

C'est plus compliqué que cela, de fait sous la République l'universalisme était également un prétexte idéologique pour la colonisation, tu connais déjà la très célèbre citation de Jules Ferry.

«Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! Il faut dire ouvertement qu’en effet les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures.  Je répète qu’il y a pour les races supérieures un droit, parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures. Ces devoirs ont souvent été méconnus dans l’histoire des siècles précédents, et certainement quand les soldats et les explorateurs espagnols introduisaient l’esclavage dans l’Amérique centrale, ils n’accomplissaient pas leur devoir d’hommes de race supérieure. Mais de nos jours, je soutiens que les nations européennes s’acquittent avec largeur, grandeur et honnêteté de ce devoir supérieur de la civilisation.» Jules Ferry

Donc bon le cosmopolitisme français de le république de l'époque avait une autre gueule que le cosmopolitisme actuel où il consiste à s'autoflageller par haine de sa propre civilisation et de sa propre histoire. De fait je ne soutien aucune de ces deux position celle de Jules Ferry ou celle actuelle, et je reconnais même qu'il y a un lien entre les deux. Mais la mal qui nous ronge actuellement est difficilement attribuable à l'universalisme républicain français et aurait même pu existé sans ce dernier, il y a également d'autres influences bien plus importantes, allant du marxisme au postmoderniste, en passant par l'école de Francfort et divers courants de penser ayant principalement prospérer dans le monde anglosaxon. L'universalisme républicain français a sans aucun doute apporter sa pierre à cette merde mais aujourd'hui son influence et minime en comparaison de qui s'exporte de plus en plus rapidement depuis les États-Unis.

Modifié par uno
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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 229 messages
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Posté(e)
Le 24/10/2019 à 22:45, uno a dit :

Désolé mais tu rétropédales assez maladroitement, ta position de départ était bien d'expliquer en quoi les Antillais auraient posé problème et était ou sont à considéré comme des élément exogènes non-français au mêmes titres que les populations des colonies africaines en général et algérienne en particulier. Si maintenant tu défends d'avoir eu pareille positon je te rappellerais que dans tes précédents propos tu ne précisais pas ces nuances.

Je n'aime pas qualifier une question de stupide, mais là c'est difficile de faire autrement, surtout venant d'un gus qui me reproche de caricaturer ses propos alors qu'il caricature les miens au travers de cette question, relis mes messages précédents et tu verras l'importance que j'ai souligné à l'ascendance. Mais puisqu'il me faut y répondre allons-y clairement. Il est impossible que demain le Japon soit peuplé de 100% d'Africains de cultures japonaises. Pourquoi? Parce que si la culture peut se transmettre dans une certaine mesure horizontalement, elle nécessite toujours une transmission verticales (de générations en générations), et qu'on ne peut remplacer l'entièreté d'une population par une autre sans que la populations remplaçant abandonne entièrement sa culture au profit de la population remplacée. Et je te mets au défis de citer un seul de mes message où j'aurais tenu une positon aussi stupide!

Non la race ne fait pas partie, elle est au mieux un marqueurs de différenciation (il n'y a jamais eu de noir au japon, donc les noirs ne sont pas japonais). Mais de fait l'identité n'est pas éternellement lié ou tributaire d'un marqueurs seul, l'identité est malléable mais demeure tant qu'elle a un socle solide. Un antillais peut intégrer l'identité française, un Français peut considérer un antillais comme étant un des siens, et de fait une fois ce pas initial franchit à suffisamment grande échelle, la barrière du marqueur initiale disparait par absorption de la population distinctes dans la populations dominante (mais elle doit l'être à la fois démographiquement et culturellement, ce n'est déjà plus le cas pour le second en France et peut-être un jour même plus pour le premier). C'était déjà dans ce lien pour l'explication plus détaillé et pompeuse. Pour le reste la citation de De Gaulle je connaissais déjà, cela ne change rien, de fait De Gaulle n'a pas détaillé en quoi la race est un problème mais il l'a fait pour la culture avec des données concrètes (religions, habitudes culturelles et vestimentaires). Et s'il avait parlé des Noirs, il n'aurait pas pu mentionné le phénotype, mais ce serait également tourné vers des marqueurs culturels des populations africaines, De Gaulle parlait de race, car c'était usuelle, et de fait un marqueurs qui se confondait avec la culture, peut-être pensait-il réellement que la culture découle de la race, de prédispositions génétiques, c'était usuelles, mais l'on sait aujourd'hui que non, de fait si un lien entre race et culture existe il est même inversé (la culture façonnant le génome, et de fait fluctuant indépendamment du génome) mais c'est un autre et vaste sujet. Tout cela pour dire que te rattacher à cette citation de De Gaulle ne change rien et ne permet en aucun cas de soutenir ton point de vu.

Tu ne me comprends pas, je ne nie pas que l'immigration massive venant d'Afrique peut de fait effacer la culture française, tant démographiquement que par la faiblesse culturelle contemporaine de la France. Cela personne ne le nie. Mais justement si le souhait de De Gaule avait vu le jour avec une France forte culturellement, refusant toute immigration massive et affirmant son identité, l'assimilation complète des Antillais aurait été possible, malgré les différences phénotypiques. Tout dépend de qui domine de qui absorbe qui et à ce jeu là mieux ne vaut pas être celui qui est absorbé je confirme.

Je ne nie pas la continuité mais elle est cependant très limité car ce phénomène n'est pas exclusivement français. De plus la continuité avec l'ordre républicain, ordre républicain qui était impitoyable avec les catholiques, est totalement castré si ce n'est pas inexistant avec l'Islam qui se voit même protéger par la gauche que tu mentionne, gauche qui maintenant a repris bien plus les codes déconstructivistes anglosaxons que celui de l'universalisme républicain, au mieux celui-ci est utilisé comme justification à l'ouverture toujours plus grande des frontières, mais ne ramenons pas le mal au républicanisme car de fait ce mal a d'autres racines bien plus sombres, dégueulasse et étendu que tu sembles le penser, ce n'est pas qu'un phénomène français c'est un phénomène qui concerne l'ensemble du monde occidental et je pèse mes mots.

Jamais eu de noirs au Japon...donc, les japonais ne viennent pas d'Afrique comme tout un chacun?:sleep:

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Membre, 41ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
Posté(e)
Le 25/10/2019 à 11:34, Le Dionysiaque a dit :

@uno En définitive, partir du fait qu'il existe des individus basanés qui sont assimilés pour en tirer la grande conclusion que la race n'a aucune importance dans l'identité d'un peuple, montre une certaine indigence. Partir du fait que deux peuples blancs peuvent montrer des différences identitaires importantes pour en tirer la grande conclusion que la race ne fait pas partie de l'identité d'un peuple, redouble d'indigence.

 

C'est marrant je te reproche moi-même cette indigence, non pas parce que tu t'adonnes à cette confusion à la base mais parce que tu ne vois même pas, après avoir tenter de développer tes propos, en quoi cette confusion te pousse à te contredire.

il y a 1 minute, Morfou a dit :

Jamais eu de noirs au Japon...donc, les japonais ne viennent pas d'Afrique comme tout un chacun?:sleep:

L'expansion d'Homo sapiens hors d'Afrique et la colonisation de l'archipel japonais est bien plus ancienne que l'apparition du Japon, ne parlons pas du timing incertain des changements phénotypiques des populations humaines lors de leur expansion à travers le monde. Bref la préhistoire est ici hors sujet par apport à une discussion sur des événement historique bien plus récents.

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Membre, 42ans Posté(e)
hanss Membre 45 319 messages
Maitre des forums‚ 42ans‚
Posté(e)

Je ne vote ni l’un ni l’autre. 

On peut rester soi même en respectant l’autre et les lois de pays dans lequel on est considéré comme étranger et tant pis pour ceux à qui ça ne plait pas. 

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Nouveau, 33ans Posté(e)
JeromeDeLaGloire Nouveau 2 messages
Baby Forumeur‚ 33ans‚
Posté(e)

Ils peuvent célébrer leurs cultures et valeurs, par contre, il faut respecter le mode de vie du pays auquel ils ont décidé d'immigrer. Ça tombe un peu entre la communautarisme et l'assimilationnisme. Sinon, le pays risquera de confronter des difficultés dû aux intérêts divergents des citoyens.

 

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Membre, 71ans Posté(e)
new caravage Membre 34 801 messages
Maitre des forums‚ 71ans‚
Posté(e)
Il y a 16 heures, Morfou a dit :

Jamais eu de noirs au Japon...donc, les japonais ne viennent pas d'Afrique comme tout un chacun?:sleep:

          Et au Japon il y aussi des musulmans ( 0,1% de la population) mais:

                       

Au début des années 2000, on estime qu'il y a environ 100 000 musulmans au Japon, soit moins de 0,1 % de la population totale du pays5,9,10. En 2000, Keiko Sakurai estime le nombre de musulmans japonais au Japon à 63 552, et environ 70 000 à 100 000 musulmans étrangers résidant dans le pays11. Les estimations ne sont pas officielles, le gouvernement japonais ne maintenant aucune statistique sur la pratique de l'islam9.

Les personnes japonaises converties sont souvent des femmes ayant épousé un homme musulman non japonais12, bien qu'il existe un nombre faible mais croissant de Japonais se convertissant de leur propre initiative13.

La majorité des musulmans au Japon est d'origine non japonaise, généralement issus de familles pakistanaises, bangladeshi ou indonésiennes13. La première vague d'immigration de musulmans vient du sous-continent indien avant son indépendance ; ce sont eux qui ont construit la mosquée de Kobe. Ils sont suivis des indépendantistes tatars puis des musulmans indonésiens et malais1.

En dehors de la pratique religieuse, les Japonais musulmans participent régulièrement à des festivals culturels d'origine shintoïste, à boire de l'alcool ou encore à s'habiller de la même façon que leur compatriotes, ce qui les rend difficilement identifiables et limite les conflits en société2

  • Merci 1
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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 229 messages
Maitre des forums‚ 73ans‚
Posté(e)
Il y a 20 heures, hanss a dit :

Je ne vote ni l’un ni l’autre. 

On peut rester soi même en respectant l’autre et les lois de pays dans lequel on est considéré comme étranger et tant pis pour ceux à qui ça ne plait pas. 

Autrement dit, l'intégration!

Je ne vote pas non plus et ne suis d'accord ni pour le communautarisme ni pour l'assimilation!

--------------Employé dans un sens plutôt péjoratif, le terme communautarisme désigne une forme d'ethnocentrisme ou de sociocentrisme qui donne à la communauté (ethnique, religieuse, culturelle, sociale, politique, mystique, sportive...) une valeur plus importante qu'à l'individu, avec une tendance au repli sur soi.

------------------Tant qu'il ne nuit pas à l'intégration et le vivre ensemble!

  • Like 1
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Membre, Posté(e)
Pierrot89 Membre 6 975 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

En vérité l'homme moderne dit homo sapiens venant d'Afrique pour se rependre progressivement dans le monde entier est à peau noire qui protège mieux des radiations solaires.

Mais lors de la "révolution" du néolithique les populations de chasseurs du nord se sont mis à l'agriculture et donc mangeaient moins de produits de la chasse et de la pêche riches en vitamine D. C'est pourquoi, relativement récemment les populations eurasiatiques ont vu leur peau devenir plus blanche.

Mais la couleur de la peau n'est qu'un critère très secondaire de différentiations des diverses populations humaines qui ne sont qu'une seule espèce interféconde.

 

Je doute que ces vérités intéressent les lecteurs très ignorants de ce forum...

 

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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 229 messages
Maitre des forums‚ 73ans‚
Posté(e)
il y a 11 minutes, Pierrot89 a dit :

En vérité l'homme moderne dit homo sapiens venant d'Afrique pour se rependre progressivement dans le monde entier est à peau noire qui protège mieux des radiations solaires.

Mais lors de la "révolution" du néolithique les populations de chasseurs du nord se sont mis à l'agriculture et donc mangeaient moins de produits de la chasse et de la pêche riches en vitamine D. C'est pourquoi, relativement récemment les populations eurasiatiques ont vu leur peau devenir plus blanche.

Mais la couleur de la peau n'est qu'un critère très secondaire de différentiations des diverses populations humaines qui ne sont qu'une seule espèce interféconde.

 

Je doute que ces vérités intéressent les lecteurs très ignorants de ce forum...

 

Qu'est-ce que cela change dans l'absolu?

 

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Membre, Posté(e)
Pierrot89 Membre 6 975 messages
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Il y a 3 heures, Morfou a dit :

Qu'est-ce que cela change dans l'absolu?

 

Nous somme tus cousins d'une même famille et donc la haine des étrangers est inadmissible.

Il y a une voie commune entre le maintien de certaines traditions qui ne discriminent pas ne font pas d'appel à un prosélytisme religieux ou culturel et une politique d'assimilation par respect aux lois de la république laïque telle que bien définie par les lois.

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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 229 messages
Maitre des forums‚ 73ans‚
Posté(e)
il y a 33 minutes, Pierrot89 a dit :

Nous somme tus cousins d'une même famille et donc la haine des étrangers est inadmissible.

Il y a une voie commune entre le maintien de certaines traditions qui ne discriminent pas ne font pas d'appel à un prosélytisme religieux ou culturel et une politique d'assimilation par respect aux lois de la république laïque telle que bien définie par les lois.

Allez raconter cela "aux étrangers"...

Sont marrants les genss...

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Membre, Posté(e)
Pierrot89 Membre 6 975 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 2 heures, Morfou a dit :

Allez raconter cela "aux étrangers"...

Sont marrants les genss...

Je parle souvent avec des étrangers car vivant à Paris c'est une ville magnifique et multiculturelle où les partis extrémistes n'ont que peu de succès (moins de 7 %), rien à voir avec l'effroi des ploucs de province à l'idée de voir un jour un étranger venir dans leurs villages.

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Membre, 41ans Posté(e)
uno Membre 6 484 messages
Maitre des forums‚ 41ans‚
Posté(e)
il y a 38 minutes, Pierrot89 a dit :

Je parle souvent avec des étrangers car vivant à Paris c'est une ville magnifique et multiculturelle où les partis extrémistes n'ont que peu de succès (moins de 7 %), rien à voir avec l'effroi des ploucs de province à l'idée de voir un jour un étranger venir dans leurs villages.

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