Les critères pour rejoindre une colocation deviennent insensés

La crise du logement frappe l'ensemble de l'Europe, de l'Espagne à la Suède. Dans ces conditions, tout est permis pour sélectionner les locataires.

On se rappelle de L'Auberge Espagnole de Cédric Klapisch comme du film qui nous a fait rêver de colocation. Cette image de la jeunesse issue des quatre coins de l'Europe, entassée dans une petite chambre et heureuse d'être ensemble n'a pourtant pas grand-chose à voir avec les colocations d'aujourd'hui.

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Avec une telle demande, les propriétaires se permettent d'être excessivement regardant·es, non plus seulement sur les revenus, mais aussi sur la personnalité des candidat·es à la location. Ce droit, les locataires établi·es d'une colocation se l'arrogent aussi. Ainsi exigera-t-on d'une candidate qu'elle ne soit pas Capricorne, d'un autre qu'il ne soit pas anthropologue.

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Source et suite de l'article

Je trouve ça raisonnable d'exclure les anthropophages, sans parler des odeurs.

Première règle : Jamais de porc. Que ce soit dans la maison ou le frigo.

A-t-on le droit de faire une annonce genre "obligation de manger du porc, au moins une fois par mois ?"

A part le porc qui est trop à connotation religieuse,  j'ai envie de dire que je suis assez d'accord avec la liste surtout si celle ci est établie avant le contrat 

Le monde, le bruit, les douches pendant des heures ou la cuisine qu'un locataire s'accapare sans penser aux autres habitants, ça me gonflerait assez 

Ne parlons même pas de ceux qui se servent des affaires des autres !

Mais je n'ai pas un tempérament fait pour la colocation 

Édit : cet article parle surtout des propriétaires mais quid des colocataires qui doivent s'infuser des individus mal éduqués et peu respectueux des autres ?

Landlord

Moi non plus, je n'apprécie pas la communauté. Mais au besoins, autantsavoir si j'ai affaire à des gens ultra chiants dans ce genre avant de leur louer une chambre. Ils ont donc raison d'annoncer la couleur.
On gagne du temps.

il y a 31 minutes, titenath a dit :

La crise du logement frappe l'ensemble de l'Europe, de l'Espagne à la Suède. Dans ces conditions, tout est permis pour sélectionner les locataires.

Par analogie, mon père me disait que les logements en location était tellement rare à Paris, dans la période entre les deux guerres, qu’il était spécifié le règlement suivant par les propriétaires :

·        Pas d’enfants.

·        Pas d’animaux.

·        Pas de piano.

Ceux qui ne comprennent pas vraiment ce qui signifie l’offre et la demande d'un marché, peuvent réfléchir à la question, c’est le moment ! 

colocation = quelle horreur ! devoir supporter les autres....

Il y a 2 heures, Enchantant a dit :

Par analogie, mon père me disait que les logements en location était tellement rare à Paris, dans la période entre les deux guerres, qu’il était spécifié le règlement suivant par les propriétaires :

·        Pas d’enfants.

·        Pas d’animaux.

·        Pas de piano.

Ceux qui ne comprennent pas vraiment ce qui signifie l’offre et la demande d'un marché, peuvent réfléchir à la question, c’est le moment ! 

Et le violon ou le saxophone?

il y a 3 minutes, Atipique a dit :

Et le violon ou le saxophone?

Non... seulement le pipeau ! 

Il y a 2 heures, Enchantant a dit :

      Pas d’enfants.

·        Pas d’animaux.

·        Pas de piano.

Bon pas d'enfants, ça se comprend. pas de piano, si vous tombez sur un mauvais joueur , ça se comprend aussi. mais pas d'animaux, ça, c'est incompréhensible... franchement....

J'ai été en colocation trois fois...avec mon plus jeune fils, les trois fois, et la troisième avec, en plus, ma fille aînée... animaux compris, chiens et chats!

C'est super, cela permet d'avoir de grand logement, grand terrain, pour pas cher pour chacun!