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L’Etudiant dévoile son nouveau classement des meilleures villes étudiantes 2025. Pour cette édition, la rédaction de l’Etudiant a comparé 47 villes françaises qui accueillent plus de 8.000 étudiants. A partir de la 11e place, les villes sont classées par intervalles de dix rangs et sont donc à égalité sur ces intervalles. Ainsi, il faut lire pour Paris : "Entre la 11e et la 20e place", etc. Le top 3 des meilleures villes étudiantes Quel est le top 3 des meilleures villes étudiantes en 2025 ? La rédaction de l'Etudiant a comparé les 47 villes sur la base de ses critères habituels (voir le détail ci-après). En 2025, Toulouse (31) est la meilleure ville étudiante de France. En comparaison avec ses concurrentes, la Ville rose progresse sur à peu près tous les critères, de la part d'étudiants aux transports en passant par les initiatives locales. Seules légères baisses : le logement et l'offre culturelle. La deuxième ville est Besançon (25). Déjà très bien classée en 2024, la capitale de la Franche-Comté profite de l'étoffement de deux critères de notre classement : la santé et les transports. Nous prenons désormais en compte l'accessibilité à des spécialistes de santé rares et précieux sur un territoire, comme les dermatologues et gynécologues, et la part des actifs de l'agglomération qui utilisent le réseau de transport. Enfin, Montpellier (34), double tenante du titre de notre classement, perd une place et prend la deuxième place ex-aequo. La capitale héraultaise reste première sur les transports avec sa gratuité totale pour les habitants du territoire. Mention honorable à Caen (14), troisième meilleure ville étudiante de notre classement en 2024 et cinquième cette année. La capitale du Calvados connaît des évolutions contrastées sur plusieurs critères que nous avons étoffés : du positif sur la santé et une baisse conséquente sur l'offre de logement. Cette dernière corrobore les retours de terrain que nous avons eus, évoquant des difficultés à se loger dans l'agglomération caennaise ces dernières rentrées. https://www.letudiant.fr/classements/classement-des-villes-etudiantes.html
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Bonjour, Une mère célibataire de 39 ans qui vit avec son fils de 13 ans et demi, explique avoir été contrainte de quitter à la hâte son logement à Port-de-Bouc, dans les Bouches-du-Rhône, car elle a refusé de faire la nourrice pour des trafiquants de drogue. Un jour de décembre, des hommes, "âgés entre 35 et 40 ans ", ont sonné chez elle, "ils m'ont proposé de garder pour eux de la drogue, pour 200 euros par jour, et avoir aussi des produits pour ma consommation personnelle", raconte-t-elle. Une proposition aussitôt rejetée par la mère de famille de 39 ans. " Je leur ai répondu que je ne me droguais pas et que je ne le ferai pas, mais ils ont insisté". Bien renseignés, ces trafiquants ont répondu "qu'ils savaient que j'étais maman solo, j'avais besoin de cet argent". Sans travail et au RSA, elle dit avoir maintenu sa position fermement et a continué de refuser la proposition. Si dans un premier temps, ils sont partis, c'est pour mieux revenir deux jours plus tard. "Ils ont frappé directement à ma porte cette fois-ci et m'ont tutoyé, en me disant "on sait où va ton fils au collège". Elle répond : "quoi ? Que va-t-il se passer ?" Mais visiblement cela ne les impressionne pas et ils vont commencer à devenir de plus en plus menaçants et intimidants, en disant "on va revenir, réfléchis bien !' Et effectivement, le lendemain, ils sont revenus chez elle et se seraient montrés encore plus menaçants, " je leur ai dit ok, je vais le faire, pour les faire patienter, mais dès qu'ils sont partis, j'ai pris toutes mes affaires. Et avec mon fils, on est allés à l’hôtel. C’était en décembre et depuis je ne suis pas rentrée chez moi". Depuis décembre, cette mère de famille passe la totalité de son RSA dans des nuitées " j'arrive à payer une dizaine de nuits à l'hôtel et en Airbnb, mais ensuite, je dois emprunter, j'en suis à plus de 2 800 euros de dettes, je suis au bout du bout. Mon fils aussi n'en peut plus, comment voulez-vous qu'il puisse se concentrer à l'école. " Quand à la police, elle a pris sa plainte, mais elle ne pouvait pas "pas laisser une patrouille en bas de chez elle". Article entier : https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone/on-va-revenir-reflechis-bien-une-mere-celibataire-refuse-de-faire-la-nourrice-pour-des-dealers-et-finit-a-la-rue-3149225.html
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Bonjour, Un bon nombre de propriétaires va devoir passer à la caisse... Le logement, un puits financier sans fin pour les propriétaires. Coût du crédit, charges de copropriété, taxe foncière… Sans compter, évidemment, l'entretien de son habitation. La facture chiffre vite et, chaque année, elle augmente, inexorablement, au rythme de l'inflation des prix du quotidien. Une pression budgétaire de plus en plus importante et qui n'est pas près de s'arrêter. Une nouvelle facture, obligatoire, va contraindre les propriétaires à mettre, une fois de plus, la main au portefeuille. Ou du moins, les copropriétaires. En effet, seuls les détenteurs de biens dans des immeubles ou sur un terrain comportant plusieurs maisons sont concernés par ce prochain passage en caisse. Article entier : https://www.linternaute.com/argent/magazine/5170558-article-dpe-ppt-bis/
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Bonjour, Le projet de loi du gouvernement concernant les revenus des habitants des H.L.M. inquiète. Voici un reportage à Marseille, où beaucoup de gens vivent dans ces habitats: (article entier https://www.francetvinfo.fr/economie/immobilier/immobilier-indigne/reportage-avec-ce-que-j-ai-on-ne-me-prend-pas-dans-le-prive-a-marseille-le-projet-de-loi-sur-le-logement-inquiete-les-locataires-actuels-de-hlm_6523364.html). "Ça m'inquiète, confie une habitante. Je fais des heures supplémentaires pour essayer d'arrondir les fins de mois donc je vais arrêter de les faire et je vais être à découvert. Et puis quand je ne pourrai pas payer, je ne paierai plus mon loyer." "C'est toujours pareil, s'énerve une autre habitante marseillaise, nous travaillons, nous payons nos loyers et si malheureusement dans un couple, il y a un euro qui va dépasser, on va dire de payer un surloyer ou alors on va être expulsé." Pour un habitant, "les HLM, c'est pour les gens qui n'ont pas un bon salaire. La personne qui gagne davantage, automatiquement elle ne va pas rester dans un HLM, elle va acheter." "Moi je sais qu'avec ce que j'ai, on ne me prend pas dans le privé. Alors comment on fait ?", s'alarme une autre habitante. Une question que se pose aussi le bailleur Habitat Marseille Provence de la résidence : ce projet de loi signerait la fin de la mixité dans les HLM. "On ne peut construire, entretenir, réhabiliter que par les revenus locatifs. Si on a une population à risque, on risque d'avoir de gros contentieux et ça peut créer un problème économique", explique Patrick Pappalardo, président d'Habitat Marseille-Provence. Actuellement, lorsque les revenus d'un locataire dépassent les plafonds de plus de 20%. Il paye un supplément de loyer de solidarité. Dans le projet de loi, ce surloyer s'appliquerait dès le 1er euro dépassé et ça change beaucoup de choses. "Ça nous paraît relativement sévère, explique Robin Hamadi, directeur de l'association régionale HLM Provence-Alpes-Côte d'Azur. Une personne seule qui occuperait un logement de 40 m2 de surface habitable s'il dépasse de 30 % le plafond de ressources, non seulement il pourrait se voir notifier un congé de la part de son bailleur social et le supplément de loyer solidarité serait d'environ 94 euros mensuels." Ce projet de loi pour mettre fin au logement social à vie sera présenté le 7 mai : https://www.publicsenat.fr/actualites/politique/hlm-le-gouvernement-presentera-un-projet-de-loi-pour-mettre-fin-au-logement-social-a-vie-le-7-mai-confirme-christophe-bechu L'objectif est de lutter contre la pénurie de logements sociaux. Est-ce bien nécessaire ? Ou pourrait-on faire plus intelligent ? Est-ce que, si cette loi passe, on ne va pas à terme se retrouver avec des quartiers hlm peuplés seulement de très pauvres et d'autres quartiers de logements intermédiaires peuplés d'à peine plus riches ? Est-ce que cette loi, finalement, ne briserait pas une certaine mixité sociale ? Autrement dit ne favoriserait pas la ghettoïsation ? Qu'en pensez-vous ?
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Dans un rapport publié début février, le Haut Comité pour le Droit au Logement (HCDL) pointe du doigt les conditions de logements qui se dégradent en France, particulièrement dans les Outre-mer. Le HCDL formule plusieurs préconisations pour réduire le fossé qui se creuse années après années entre l’Hexagone et les territoires ultramarins. À l’origine des problématiques, une précarité socio-économique dans un fond de mal-logement. Une situation qui s’accentue notamment en raison d’une trop forte croissante démographique face à une offre trop faible de logements abordables. Certains territoires semblent davantage marqués par un ensemble de difficultés. C'est le cas des Départements et Régions d’Outre-Mer (DROM) qui, pour un ensemble de facteurs, limitent l'accès à un logement décent à ses habitants. Les habitats indignes et précaires se chiffrent quant à eux à 110.000 dans les Outre-mer. Avec 45 % des Guyanais qui n’ont pas accès à l’eau chaude courante ou encore que 53 % des Martiniquais et 49 % des Réunionnais vivent dans des logements trop humides, tous les feux sont au rouge et mettent en avant la détresse de la situation actuelle. SOURCE: https://la1ere.francetvinfo.fr/logement-en-outre-mer-il-y-a-urgence-a-agir-1463070.html
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Le budget du ministère de la cohésion des territoires, adopté en première lecture dans l’hémicycle, prévoit notamment une réduction de 1,7 milliard d’euros des APL en 2018. L’Assemblée nationale a adopté, dans la nuit du jeudi 2 au vendredi 3 novembre, en première lecture, le budget du ministère de la cohésion des territoires qui fait chuter de 1,7 milliard d’euros les financements alloués aux aides au logement (APL) dès l’an prochain. Parmi les grands perdants du projet de loi de finances pour 2018, le budget de ce ministère qui regroupe les politiques du logement, de l’aménagement des territoires et de la ville, va chuter de 9,8 %, pour passer de 18,3 milliards d’euros en 2017 à 16,5 milliards en 2018. Une mise en œuvre progressive Un amendement contesté déposé par le gouvernement doit permettre une « mise en œuvre progressive » de cette ponction financière : les loyers du logement social baisseront de 800 millions d’euros en 2018, 1,2 milliard en 2019, puis 1,5 milliard par an à compter de 2020, pour compenser une baisse des APL équivalente. Il n’a pas été soumis au vote. Mais l’économie budgétaire annuelle de 1,5 milliard d’euros visée par le gouvernement sera atteinte dès l’an prochain grâce à une hausse, en parallèle, de la cotisation versée par les bailleurs sociaux à la Caisse de garantie du logement locatif social (CGLLS). « Le gouvernement fera des propositions visant à préciser ce mécanisme », a indiqué M. Mézard. Objet d’une douzaine d’amendements de suppression, tous rejetés, l’article 52 a « fait l’unanimité contre lui, tellement il est profondément injuste » a affirmé l’ex-ministre du logement Sylvia Pinel (PRG), stigmatisant « l’improvisation et l’impréparation » de la réforme. Pour Clémentine Autain, de La France insoumise, cet article « orchestre la mise en péril de tout le système du logement social, avec une perte de recettes considérable » des bailleurs sociaux. ... http://abonnes.lemonde.fr/logement/article/2017/11/03/l-assemblee-vote-des-coupes-claires-dans-les-aides-au-logement_5209455_1653445.html