C'est qui le chef ?

En dehors de nos responsabilités individuelles, la société à besoin de " chefs " ( au sens noble du terme ). Ils cultivent le sens du  devoir accompli comme de bons petits écoliers qui ne jouent pas  dans la même cour ;  en relevant  des défis avec en tête le soucis du moindre petit  détail. Des perfectionnistes, des meneurs d'hommes avec un profond sens de l'honneur qui ne souffre d'aucune équivoque. Ces missions sont du pain bénis pour les hommes ou femmes actifs. Devenus maîtres d'oeuvre ils inspirent le respect, l écoute, l'estime de soi à travers les délégations qu'ils donnent en toute connaissance de cause. Et le soir venu, devant sa glace nu (e) le chef sourira et ira se coucher sans arrière pensée devant le travail accompli et sans se soucier du qu'en-dira-t-on.

Naît'on chef ou le devenons nous ?

Fifty/fifty.

Je pense qu'un vrai chef relève d'une éducation traditionnelle ; les valeurs ont changé: les responsables avec.

Ça se répète un peu, non ?

il y a 7 minutes, Plouj a dit :

Ça se répète un peu, non ?

 

Cela s'amplifie, et tu ne réponds toujours pas au sujet. 

il y a 1 minute, Niti a dit :

Cela s'amplifie, et tu ne réponds toujours pas au sujet. 

C'est le problème du répétitif !

il y a 1 minute, Plouj a dit :

C'est le problème du répétitif !

hs

il y a 5 minutes, Niti a dit :

Cela s'amplifie, et tu ne réponds toujours pas au sujet. 

Le sujet a été créé une première fois. Pourquoi ne pas y répondre là ? 

Du coup je l'ai signalé 

il y a 38 minutes, Niti a dit :

En dehors de nos responsabilités individuelles, la société à besoin de " chefs " ( au sens noble du terme ). Ils cultivent le sens du  devoir accompli comme de bons petits écoliers qui ne jouent pas  dans la même cour ;  en relevant  des défis avec en tête le soucis du moindre petit  détail. Des perfectionnistes, des meneurs d'hommes avec un profond sens de l'honneur qui ne souffre d'aucune équivoque. Ces missions sont du pain bénis pour les hommes ou femmes actifs. Devenus maîtres d'oeuvre ils inspirent le respect, l écoute, l'estime de soi à travers les délégations qu'ils donnent en toute connaissance de cause. Et le soir venu, devant sa glace nu (e) le chef sourira et ira se coucher sans arrière pensée devant le travail accompli et sans se soucier du qu'en-dira-t-on.

Naît'on chef ou le devenons nous ?

 

T'es sérieux ou tu blagues? Perso j'ai toujours eu du mal avec la hiérarchie, alors les chefs franchement je m'en tamponne le coquillard, comme on disait autrefois.

il y a 36 minutes, Niti a dit :

 

Naît'on chef ou le devenons nous ?

 

Je pense qu'on le devient, quand l'expérience fait qu'on a les capacités d'encadrer une équipe. On le devient aussi après avoir poursuivi des études de cadres. 

il y a 1 minute, Kâli a dit :

Le sujet a été créé une première fois. Pourquoi ne pas y répondre là ? 

Du coup je l'ai signalé 

Signale c'est tout ce que tu sais faire  pas digne d'un chef 

il y a 2 minutes, Gouderien a dit :

T'es sérieux ou tu blagues? Perso j'ai toujours eu du mal avec la hiérarchie, alors les chefs franchement je m'en tamponne le coquillard, comme on disait autrefois.

je comprends c'est ta vie Gouderien

il y a 37 minutes, eric51454 a dit :

Je pense qu'un vrai chef relève d'une éducation traditionnelle ; les valeurs ont changé: les responsables avec.

effectivement, et avec un vrai sens de l'honneur.

il y a 9 minutes, soisig a dit :

Je pense qu'on le devient, quand l'expérience fait qu'on a les capacités d'encadrer une équipe. On le devient aussi après avoir poursuivi des études de cadres. 

Oui, nous sommes raccord, merci pour ta réponse soisig. Les autres apprécieront.

Je vous conseille de regarder Koh-Lanta : la guerre des chefs, vendredi prochain sur TF1.

Comme dirait le roi Arthur : un grand chef, c'est celui qui se bat pour que les faibles vivent dans la dignité. (On va dire que c'est ça ou à peu près).

Le principe de la démocratie c'est le roulement du chef. On quitte donc cette illusion du chef unique et plein de moralité pour embrasser un système où je peux être chef tout simplement parce qu'on est sur un domaine que je maitrise. Et en quittant mon domaine je place ma confiance en quelqu'un qui, comme moi maitrise le domaine dans lequel nous nous trouvons.

En dehors de ça, et qui n'a strictement rien à voir avec le bon déroulement d'une société, il y a des gens qui naissent non pas chef mais avec des hormones plus agressives le poussant à vouloir prendre le pouvoir. Comme une portée de chiots, on voit rapidement qu'il y a des chiots qui veulent prendre l'ascendant sur les autres alors que, et je crois que c'est claire pour tout le monde: le chiot ne maitrise absolument pas son entourage et ne possède aucune expérience sur rien. Là on vient de démontrer qu'on ne nait pas chef, on nait juste avec un taux de testostérones un peu plus élevés que les autres. 

Être chef, ce n'est pas que vouloir être chef parce que des cons qui estiment pouvoir expliquer à Federer comment on joue au tennis ou à Zidane comment on joue au foot, ça ne manque pas. Être chef c'est réussir à convaincre les autres que nous avons tous intérêt à le suivre, il faut que ce soit gagnant pour tout le monde. Le chef n'a peut être même pas envie de le devenir mais il accepte le poste parce qu'il sait qu'il est seul du moment à pouvoir sortir tout le monde de la merde, et qu'il a besoin des autres pour un projet commun. De là, convaincre des abrutis c'est plutôt facile mais convaincre des gens finauds, là ça implique d'être soit même très finaud.

• Pierre Mondy, Kaamelott, Livre VI, 6 : Nuptiæ, écrit par Alexandre Astier.

Merci.

On peut devenir un "chef" dès la petite enfance quand par exemple on confie à un enfant la surveillance de son cadet ou bien quand on lui donne différentes responsabilités.

Pour répondre à Gouderien qui ne supporte pas la hiérarchie, il doit bien se rendre compte qu'il y a deux sortes de chefs :

- le "petit chef" qui est détestable par son attitude envers ses subordonnés d'autres diraient qu'il a atteint son niveau d'incomptétence et ne peut pas assumer ses responsabilité sans être tyranique.

- le chef qui a la compétence et le sens des responsabilités. 

La société a toujours de hiérarchies même quand les tâches sont partagées. Je connais une entreprise rachetée par des employés. Il y a encore des chefs selon les secteurs : production, commerce, comptabilité...Les grandes décisions se font entre les 3 ou 4 dirigeants-patrons mais chacun d'eux est "chef" de son secteur et les employés lambda les suivent m^me si dans l'ancienne entreprise ils étaient à égalité.

Doublon, comme indiqué plus avant.