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Je n'ai plus aucune confiance en la politique

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Niou

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
à l’instant, Anatole1949 a dit :

Parce que tu y crois vraiment à ton fantasme ?

Un peu de sérieux !

Quand macron fait un grand débat tu y crois, sauf que lui c'était  du pipeau pour gagner du temps et en faire perdre aux français. 

Donc tu crois au dialogue quand c'est sarko ou macron.

Je te laisse à  ton clan des harpies à  moustache.

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Membre, 132ans Posté(e)
soisig Membre 30 391 messages
132ans‚
Posté(e)
Le 18/04/2019 à 12:12, Niou a dit :

Quels conseils avez-vous à me donner ?

 

si tu prends le temps de lire les interventions, sur ton sujet, je penses que tu as maintenant compris qu'il ne faut plus écouter les autres, mais comme l'a suggéré Juliette, lire les programmes, voter, juger le mandat et en tirer toi même tes propres conclusions. ;)

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, Condorcet a dit :

Euh... c'était ton texte qu'il citait. ;)

Sauf que lui il écrit : quel école et fait la morale.

Mais je te laisse le vieux pansement qui colle partout.

Bonne discute.

Modifié par PASCOU
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Membre, 67ans Posté(e)
Condorcet Membre 10 257 messages
Baby Forumeur‚ 67ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, PASCOU a dit :

Mais les politiques.

Et les avantages et les inconvénients sur un.sujet ne sont pas les mêmes  pour tous.

Un inconvénient pour toi peut etre un avantage pour moi.

Ce que je veux dire c'est pas de surprise on vote en connaissance de cause et ça  force à  un equilbrage.

Il faut que ce quo  propose soit débattu, modifier au besoin, une sorte de contrat que le peupme valide ou non.pour sa mise en.place.

Chaque gouvernement fait sa réforme de l' éducation et c'est  toujours pire, on bricole.

Moi je suis pour un.grand débat ensuite on choisit.

Et on a pas des grèves  tous les 5mn.

Le peuple décide quel ecole il veut. 

Ce n'est pas aux syndicats de profs et d' étudiants,  c'est  l' affaire tous.

 

Modifié par Condorcet
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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)

Entre les promesses non tenues pour des questions de réalités non prises en compte à priori, et les lois votées sans qu'elles aient été présentes dans le programme lors de l'élection, il y a finalement bien peu de garanties qu'un homme politique corresponde à l'idéal qu'il représente.

A gauche les candidats sont souvent élus sur des propositions non réaliste ou non réalisables économiquement, ce qui engendre nécessairement un écart par rapport aux actes une fois qu'ils arrivent aux responsabilités. A droite les candidats aiment souvent renvoyer la responsabilité au citoyen ordinaire, avec des programmes du type "du sang et des larmes" dont on ne voit pas bien en quoi n'importe qui ne pourrait pas promettre la même chose (moi aussi je peux vous promettre que si vous votez pour moi vous allez en baver :p)

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Membre, Posté(e)
frunobulax Membre 17 595 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, PASCOU a dit :

Prends les sondages sur les priorités  des français 

Fichtre ...
Vous auriez donc étrangement oublié que vous ne cessez de dénoncer les supposées "manipulations-à-la-botte-du-pouvoir-des instituts-de-sondage" ..?

Ceci dit, il y a au moins un point sur lequel nous sommes (partiellement) d'accord: 
Les sondages ne sont qu'un reflet de l'opinion à un moment "T" mais seule la votation compte.

Mmmm ...
Quoique, finalement, je ne suis pas si sur que ça que le résultat d'une votation démocratique  vous convainque vraiment ..?
:cool:

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 10 minutes, Quasi-Modo a dit :

Entre les promesses non tenues pour des questions de réalités non prises en compte à priori, et les lois votées sans qu'elles aient été présentes dans le programme lors de l'élection, il y a finalement bien peu de garanties qu'un homme politique corresponde à l'idéal qu'il représente.

A gauche les candidats sont souvent élus sur des propositions non réaliste ou non réalisables économiquement, ce qui engendre nécessairement un écart par rapport aux actes une fois qu'ils arrivent aux responsabilités. A droite les candidats aiment souvent renvoyer la responsabilité au citoyen ordinaire, avec des programmes du type "du sang et des larmes" dont on ne voit pas bien en quoi n'importe qui ne pourrait pas promettre la même chose (moi aussi je peux vous promettre que si vous votez pour moi vous allez en baver :p)

Mais justement c'est là le problème, entre les écarts de langage, ce n'est pas d'annoncer des réformes qui vont être douloureuses c'est le manque de confiance et surtout de résultats;

On préfère par soucis de carrière passer sans faire trop de vague en piquant aux uns, puis aux autres.

Les vraies réformes seront douloureuses pour ceux qui ne sont pas habitués à trinquer et qui sont toujours épargnés.

 

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Membre, Doctor feel good, 60ans Posté(e)
brooder Membre 5 285 messages
60ans‚ Doctor feel good,
Posté(e)
Le 18/04/2019 à 13:45, Sexophone a dit :

@Niou, @riad**, ne me remerciez pas : je n'ai fait que étaler mon amertume. Mon cheminement politique est chaotique : je suis même devenu sympathisant royaliste (c'est dire !), mais ce milieu me déçoit et me dégoûte tout autant : querelles dynastiques, immobilisme, attentisme, refus de proposer quoi que se soit, individu douteux, certains très malhonnête...

Enfin, la vie continue tant bien que mal et le forum permet parfois de lâcher du leste.

 

Tu dois être bien dégouté de vouloir le retour d'un roi au pouvoir !

Ceci dit, le clivage droite/gauche est même dépassé n'ayant pas voulu s'accorder sur quelques actions communes sinon leurs propres intérêts !

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, frunobulax a dit :

Fichtre ...
Vous auriez donc étrangement oublié que vous ne cessez de dénoncer les supposées "manipulations-à-la-botte-du-pouvoir-des instituts-de-sondage" ..?

Ceci dit, il y a au moins un point sur lequel nous sommes (partiellement) d'accord: 
Les sondages ne sont qu'un reflet de l'opinion à un moment "T" mais seule la votation compte.

Mmmm ...
Quoique, finalement, je ne suis pas si sur que ça que le résultat d'une votation démocratique  vous convainque vraiment ..?
:cool:

Tu racontes n'importe quoi.

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)
il y a 10 minutes, PASCOU a dit :

Mais justement c'est là le problème, entre les écarts de langage, ce n'est pas d'annoncer des réformes qui vont être douloureuses c'est le manque de confiance et surtout de résultats;

On préfère par soucis de carrière passer sans faire trop de vague en piquant aux uns, puis aux autres.

Les vraies réformes seront douloureuses pour ceux qui ne sont pas habitués à trinquer et qui sont toujours épargnés.

C'est vrai : les gens seraient pour beaucoup prêts à faire des efforts, y compris pécuniers, s'ils avaient l'assurance que cela permettrait par exemple d'assurer un meilleur avenir à leurs enfants, de sauver le régime de retraites ou la sécurité sociale. Là le problème c'est qu'on est toujours plus taxés, qu'on a toujours plus de prélèvements, mais qu'on ne voit rien qui s'améliore (au contraire !).

Sinon j'ai trouvé une analyse que je trouve assez juste, surtout ce passage :

Citation

Je crois que ce qui est en cause est moins l'opposition entre peuple et élite que le renoncement ou l'incapacité de ceux qui occupent les places en vue à constituer une véritable élite. Faire partie d'une élite, cela suppose respecter un certain nombre de formes. Parler correctement, par exemple. «La raison de ma présence ici, c'est pour la liberté d'expression»: ainsi parle François Hollande en arrivant au Salon du livre- échantillon emblématique du type de français pratiqué dans les sphères dirigeantes de notre pays. Appartenir à une élite, c'est aussi savoir qu'il n'y a d'honneurs légitimes que proportionnés aux services que l'on rend, aux devoirs auxquels on s'astreint. Au lieu que pour les prétendues élites actuelles, politiques ou financières, le pouvoir est d'abord une façon de s'affranchir des règles communes. L'écrivain Francis Scott Fitzgerald disait à son confrère Ernest Hemingway: «Les gens riches sont différents de nous.» Hemingway acquiesçait: «Oui, ils ont plus d'argent.» Voilà ce que sont les élites aujourd'hui: juste des gens qui occupent des places, ou qui ont plus d'argent, et qui en profitent sans contrepartie. Cela finit par rendre le «peuple» un peu nerveux.

http://ac.matra.free.fr/FB/20170118rey.pdf

Modifié par Quasi-Modo
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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, Quasi-Modo a dit :

C'est vrai : les gens seraient pour beaucoup prêts à faire des efforts, y compris pécuniers, s'ils avaient l'assurance que cela permettrait par exemple d'assurer un meilleur avenir à leurs enfants, de sauver le régime de retraites ou la sécurité sociale. Là le problème c'est qu'on est toujours plus taxés, qu'on a toujours plus de prélèvements, mais qu'on ne voit rien qui s'améliore (au contraire !).

Sinon j'ai trouvé une analyse que je trouve assez juste, surtout ce passage :

http://ac.matra.free.fr/FB/20170118rey.pdf

Oui,j'en suis persuadé.

La confiance et un plan avec des résultats qui sont visibles tout de suite.

Les gens ont trop été trompés.

On peut faire un effort mais pas 40 ans sans rien au bout.

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Membre, 59ans Posté(e)
landbourg Membre 2 511 messages
Mentor‚ 59ans‚
Posté(e)
il y a 7 minutes, PASCOU a dit :

Les gens ont trop été trompés.

Voila une certitude, il faut partir de lá. Et le top départ c les gjaunes. 

 

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Membre, Posté(e)
frunobulax Membre 17 595 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 29 minutes, PASCOU a dit :

Tu racontes n'importe quoi.

Fichtre ...
Vous pensez VRAIMENT qu'une affirmation aussi caricaturalement péremptoire puisse en quoi que ce soit avoir une quelconque valeur argumentaire ..?
:p

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Membre, 36ans Posté(e)
TheRealBishop Membre 1 530 messages
Forumeur balbutiant‚ 36ans‚
Posté(e)
Le 18/04/2019 à 12:12, Niou a dit :

Salut,

En tant que citoyenne, je suis complètement perdue en politique. On me demande de voter et j'ai beaucoup de mal à comprendre les enjeux politiques et ce que mon vote implique. Actuellement, je vote par défaut : je suis le vote de mes parents.

De mon regard, les politiciens ne tiennent jamais leurs paroles (encore récemment avec Macron) ; je n'écoute plus leurs discours et leurs « promesses ». Je n'ai plus confiance en ces personnes, je vote donc pour le « moins pire ».

Je suis également influencée par la dissipation de mon petit vote dans la masse, que représente vraiment mon vote ?

Je pense éventuellement à ne plus aller voter aux prochaines élections.

Quels conseils avez-vous à me donner ?

 

Ne plus voter ! la meilleure décision !

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Membre, 59ans Posté(e)
landbourg Membre 2 511 messages
Mentor‚ 59ans‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, TheRealBishop a dit :

Ne plus voter ! la meilleure décision !

La meilleur je sais pas, mais la plus agréable oui. Loin de ce jeu de cons. 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 10 heures, landbourg a dit :

Voila une certitude, il faut partir de lá. Et le top départ c les gjaunes. 

 

Oui je crois que c'est beaucoup plus important que ce qu'on  veut bien faire croire.

Il y a 10 heures, frunobulax a dit :

Fichtre ...
Vous pensez VRAIMENT qu'une affirmation aussi caricaturalement péremptoire puisse en quoi que ce soit avoir une quelconque valeur argumentaire ..?
:p

Il y a un moment où il faut savoir arrêter une discution stérile quand son nterlocuteur est plus  dans le réflexe  que dans la réflexion. 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 12 heures, Quasi-Modo a dit :

Entre les promesses non tenues pour des questions de réalités non prises en compte à priori, et les lois votées sans qu'elles aient été présentes dans le programme lors de l'élection, il y a finalement bien peu de garanties qu'un homme politique corresponde à l'idéal qu'il représente.

A gauche les candidats sont souvent élus sur des propositions non réaliste ou non réalisables économiquement, ce qui engendre nécessairement un écart par rapport aux actes une fois qu'ils arrivent aux responsabilités. A droite les candidats aiment souvent renvoyer la responsabilité au citoyen ordinaire, avec des programmes du type "du sang et des larmes" dont on ne voit pas bien en quoi n'importe qui ne pourrait pas promettre la même chose (moi aussi je peux vous promettre que si vous votez pour moi vous allez en baver :p)

Un article que j'ai trouvé intéressant et qui résume bien je trouve le cheminement absurde qui nous a conduit à ce que nous vivons actuellement.

 

http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2018/09/04/31001-20180904ARTFIG00223-pourquoi-le-peuple-francais-n-a-t-il-plus-confiance-en-ses-presidents.php

Si je suis désavoué par une majorité d'entre vous, ma tâche deviendra évidemment impossible et j'en tirerai aussitôt les conséquences». Cette déclaration du général de Gaulle à la veille du référendum de 1969 est emblématique de sa conception de la République, fondée sur le respect des Français. Chez lui, une impopularité présidentielle est inconcevable. La mission du chef de l'État repose exclusivement sur la confiance du peuple. Par le recours fréquent au référendum, le président de la République pose périodiquement la question de confiance à la Nation et il se retire si celle-ci est rompue. La Constitution de 1958 confie des prérogatives importantes au chef de l'État. Mais, selon un principe, qui est le socle de toute démocratie, ce pouvoir a une contrepartie: la responsabilité permanente devant le peuple.

Or depuis 1970, il existe une constante: les présidents de la République sont toujours plus impopulaires les uns que les autres. L'institution présidentielle est prise dans l'engrenage d'une rupture toujours plus profonde avec la Nation. La chute est vertigineuse si l'on prend en compte la cote de confiance des chefs de l'État après un an de mandat: de Gaulle 69%, Pompidou 59%, Valéry Giscard d'Estaing 59%, Mitterrand 57%, Chirac 42%, Sarkozy 33% (Kantar-tns-Sofres). Un sondage Ifop Paris Match de septembre 2018 donne le président Macron encore plus impopulaire que son prédécesseur avec 31% de satisfaits (contre 32%) au même stade de leur mandat.

La médiatisation à outrance sert à masquer ou à faire oublier la défaite du politique sur le terrain de la réalité.

Les causes profondes de cette déchéance sont multiples. Depuis le tournant des années 1980, le politique échoue face aux grands problèmes de fond des Français: dette publique, déficits, violence et insécurité, chômage de masse, pauvreté, déclin industriel, maîtrise des frontières, situation des banlieues, déclin de l'Éducation nationale. Pour couvrir les échecs, les chefs d'État modernes s'exposent dans une surcommunication. La médiatisation à outrance sert à masquer ou à faire oublier la défaite du politique sur le terrain de la réalité. Cependant, ce faux remède ne fait qu'aggraver le mal. Par cette surexposition, en prétendant incarner à eux seuls le pouvoir politique, dans une logique qui écrase le Parlement et le Gouvernement, les présidents se posent involontairement en boucs émissaires naturels de la Nation, incarnation de ses maux et de ses angoisses. Par le plus tragique des paradoxes, le chef de l'État, censé incarner le prestige national, finit par incarner de facto la déchirure, les souffrances et les angoisses de la Nation.

La question de la responsabilité présidentielle face à la Nation, au cœur de la République gaullienne, est annihilée, comme incongrue. Au contraire, les occupants de l'Élysée se placent dans une posture de rupture avec le peuple. Ils se persuadent de leur vocation à diriger le pays sans le soutien de la population, en ne comptant que sur eux-mêmes (voire une coterie de courtisans). Tel est le paroxysme en politique de la société narcissique et nihiliste décrite par Gilles Lipovetsky dans l'Ère du vide.

Cette erreur fondamentale est une source des malheurs politiques de la France contemporaine. Aucune démocratie ne peut être gouvernée sans la confiance durable de la Nation. Le général de Gaulle a sorti la France de la guerre d'Algérie, son plus grand défi depuis 1945, en s'appuyant sur la confiance du pays. Oui, la France est gouvernable, oui elle est réformable, mais sous réserve de la confiance du peuple en ses dirigeants. Le principe de l'autorité verticale, du haut vers le bas, l'autocratie, est absurde et illusoire dans le monde moderne. Il est inutile d'édicter des normes si la confiance n'est pas au rendez-vous, à tous les niveaux pour relayer les choix de société et les faire vivre.

Un président de la République sans la confiance populaire est condamné à l'isolement et à l'impuissance.

Un président de la République sans la confiance populaire, qui est la courroie de transmission entre l'Élysée et le monde des réalités, est condamné à l'isolement et à l'impuissance. La confiance du peuple permet seule de légitimer l'action publique et de surmonter les intérêts particuliers et les obstacles intermédiaires. Il n'existe pas d'autorité, en démocratie, ni de réforme possible, en dehors de la confiance populaire. Comment peut renaître la confiance? Autour de valeurs comme la vérité, la modestie (contraire de la vanité stérile), l'action authentique, l'intérêt général, les responsabilités partagées avec le Premier ministre, les ministres et le parlement, la simplicité, le respect, l'honnêteté, la sincérité, l'écoute, la vision de l'avenir, la volonté unique de servir la France.

Modifié par PASCOU
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