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Agression transphobe à Paris

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Membre, Posté(e)
kinobunika joy Membre 4 440 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 15 heures, Savonarol a dit :

Non ! Ca n'est pas "tout aussi ignoble" quand on s'en sort sans la moindre égratignure, tout juste blessé dans son orgueil que lorsqu'on termine comme un légume parce  qu'on a juste pris la défense d'un couple qui se faisait agresser.
Le mot "agression" nous est servi aujourd'hui à toutes les sauces, si bien qu'il perd de son intensité à force. Et si tout le gotha parisien monte au créneau, c'est pour de pures raisons idéologiques. Jamais un ministre de ce gouvernement n'aurait un mot de compassion pour la victime de souche d'une bande de racailles ethniques. Et ces mêmes personnes nous disent qu'il faut combattre "la haine" sans même se rendre compte que c'est eux qui la génèrent, et que c'est une haine tout à fait légitime.

Savonarol,Francelibre,jécoute et Mr Fox Bonjour,

Non, le mot "agression" n'est pas mis à toutes les sauces, la langue française est riche et il possède une vingtaine de synonymes dont "insulte et agressivité" et il ne perd aucunement de son intensité lorsqu'il décrit la situation qu'a vécu cette personne transgenre.

Comme je ne fais pas partie du gotha je monte au créneau par empathie et non pour des raisons idéologiques.

Enfin sachez que Marin a été honoré puisqu'il a reçu la legion d'honneur (à ce propos je préfère ne rien ajouter).

Enfin sachez également qu'un fil avait été initié par "Soisig" le 3 mars sur ce forum "France" (que vous pourrez retrouver aisément) à propos de la distinction que Marin a reçu et que j'avais fait un post que je soumets à votre appréciation ci dessous.

 kinobunika joy Membre 859 messages
Forumeur accro‚  
Posté(e) 3 mars
 

Posté(e) le 3 mars

 

Bonjour,

 

il manque toujours quelque chose dans un article de presse:

qu'en est il du couple en question ?

a t il assisté à la cérémonie ?

a t il été auprès du jeune homme pendant sa convalescence ?

ou, depuis deux ans de l'eau est passée sous le pont chaque

amoureux est parti vivre de son coté laissant Marin se disant

"tout ça pour ça"..............

Belle fin d'après midi à tous.

________________________________________________________________________________Il me revient en mémoire une phrase concernant le monopole du coeur..mais bon... tout le monde  peut se tromper dit le hérisson en descendant de la brosse.;)

Belle après midi à vous et à tous.

 

 

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Membre, 79ans Posté(e)
marine10 Membre 3 172 messages
Baby Forumeur‚ 79ans‚
Posté(e)

Dans cette culture (de merde), l’homosexualité est «une tare, une honte, une déviance, un outrage aux lois de Dieu». Il faudra sans doute encore bien du temps avant que nos bonnes âmes finissent par admettre que ce sont des hommes immigrés qui ont agressé Julia parce qu’elle est transsexuelle ; admettre qu’elle encourait aussi le risque de se faire agresser dans une rue d’un quelconque pays musulman. Combien de vidéos insoutenables circulent sur le Net montrant des couples se faisant lyncher par la foule, comme à Beni Mellal en mars 2016, ou encore à Fès où un homme est roué de coups de poing et de pied car présenté comme gay?

Il n’y a pas d’ailleurs pas de justice pour ces victimes: ce sont elles que les tribunaux poursuivent. En Tunisie, un jeune infirmier de 25 ans victime d’un viol chez lui a été traduit devant la Cour d’assises avec son violeur, le premier sous le chef d’inculpation de sodomie, le deuxième sous le chef d’inculpation de viol. Où est la justice?

.............................

 

Ainsi si une femme fait l’amour avec un homme qui n’est pas son mari, elle commet l’irréparable. Elle est sale. Elle sera condamnée à mort, exécutée à coups de pierre. Le même sort est réservé à un homme qui fait l’amour à un autre homme. L’islamisme induit ainsi une violence inéluctable et démultipliée dans un monde en pleine «jubilation idéologique» lorsqu’il s’attelle à éradiquer toute différence. Il n’y a qu’à penser à ce documentaire poignant dénonçant le calvaire vécu par les homosexuels où un imam décrivait les mille et une façons de massacrer un «sodomite», comme ils disent.

Elle ne pense sans doute pas à la tragédie que vivent les homosexuels du Maghreb à l’Asie du Sud-est en passant par le Moyen-Orient. L’homosexualité est pénalement sanctionnée dans l’écrasante majorité des pays arabo-musulmans. En Algérie, les articles 333 et 338 du Code pénal prévoient une peine de prison pouvant aller jusqu’à trois ans de détention. La Tunisie et le Maroc ont des dispositions équivalentes dans leur législation. En Égypte, un présentateur de télévision a été condamné à un an de prison pour avoir interviewé un homme homosexuel.

Il faut aussi comprendre que cette violence institutionnelle encourage le harcèlement de rue dont sont victimes les homosexuels. L’écrivain marocain Abdellah Taia, dans un entretien publié dans Le Monde, explique parfaitement qu’à partir du moment où «la loi marocaine dit qu’un citoyen homosexuel est un criminel, elle donne l’autorisation à tous les autres citoyens de maltraiter les homosexuels. Les lynchages sont une continuité du silence du pouvoir. En évitant de condamner les agressions, les responsables politiques les encouragent de fait.»

Les témoignages sont de plus en plus nombreux du calvaire vécu par des homosexuels dans les quartiers dits sensibles en France. Récemment France 2, dans son émission Envoyé spécial en février dernier, a diffusé un reportage glaçant montrant le quotidien des gays victimes de guet-apens menés par des voyous pour «se taper des PD». L’Express a publié un reportage de Romain Scotto qui retranscrit les propos d’une jeune femme qui à la caisse d’une supérette en profita pour déverser sa haine des homos «pédés», «tarlouzes», «pédales», «sales chbed», «une honte pour la France qui mérite de mourir», «en Algérie les mecs comme vous, on les égorge». À la différence des pays arabes, cette femme a été déférée devant le tribunal correctionnel de Nanterre.

http://www.lefigaro.fr/vox/societe/jeannette-bougrab-ce-que-revele-l-agression-homophobe-de-la-manifestation-anti-bouteflika-20190404#xtor=AL-201

 

 

 

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Membre, 57ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 57ans‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, marine10 a dit :

Dans cette culture (de merde), l’homosexualité est «une tare, une honte, une déviance, un outrage aux lois de Dieu». Il faudra sans doute encore bien du temps avant que nos bonnes âmes finissent par admettre que ce sont des hommes immigrés qui ont agressé Julia parce qu’elle est transsexuelle ; admettre qu’elle encourait aussi le risque de se faire agresser dans une rue d’un quelconque pays musulman. Combien de vidéos insoutenables circulent sur le Net montrant des couples se faisant lyncher par la foule, comme à Beni Mellal en mars 2016, ou encore à Fès où un homme est roué de coups de poing et de pied car présenté comme gay?

Il n’y a pas d’ailleurs pas de justice pour ces victimes: ce sont elles que les tribunaux poursuivent. En Tunisie, un jeune infirmier de 25 ans victime d’un viol chez lui a été traduit devant la Cour d’assises avec son violeur, le premier sous le chef d’inculpation de sodomie, le deuxième sous le chef d’inculpation de viol. Où est la justice?

.............................

 

Ainsi si une femme fait l’amour avec un homme qui n’est pas son mari, elle commet l’irréparable. Elle est sale. Elle sera condamnée à mort, exécutée à coups de pierre. Le même sort est réservé à un homme qui fait l’amour à un autre homme. L’islamisme induit ainsi une violence inéluctable et démultipliée dans un monde en pleine «jubilation idéologique» lorsqu’il s’attelle à éradiquer toute différence. Il n’y a qu’à penser à ce documentaire poignant dénonçant le calvaire vécu par les homosexuels où un imam décrivait les mille et une façons de massacrer un «sodomite», comme ils disent.

Elle ne pense sans doute pas à la tragédie que vivent les homosexuels du Maghreb à l’Asie du Sud-est en passant par le Moyen-Orient. L’homosexualité est pénalement sanctionnée dans l’écrasante majorité des pays arabo-musulmans. En Algérie, les articles 333 et 338 du Code pénal prévoient une peine de prison pouvant aller jusqu’à trois ans de détention. La Tunisie et le Maroc ont des dispositions équivalentes dans leur législation. En Égypte, un présentateur de télévision a été condamné à un an de prison pour avoir interviewé un homme homosexuel.

Il faut aussi comprendre que cette violence institutionnelle encourage le harcèlement de rue dont sont victimes les homosexuels. L’écrivain marocain Abdellah Taia, dans un entretien publié dans Le Monde, explique parfaitement qu’à partir du moment où «la loi marocaine dit qu’un citoyen homosexuel est un criminel, elle donne l’autorisation à tous les autres citoyens de maltraiter les homosexuels. Les lynchages sont une continuité du silence du pouvoir. En évitant de condamner les agressions, les responsables politiques les encouragent de fait.»

Les témoignages sont de plus en plus nombreux du calvaire vécu par des homosexuels dans les quartiers dits sensibles en France. Récemment France 2, dans son émission Envoyé spécial en février dernier, a diffusé un reportage glaçant montrant le quotidien des gays victimes de guet-apens menés par des voyous pour «se taper des PD». L’Express a publié un reportage de Romain Scotto qui retranscrit les propos d’une jeune femme qui à la caisse d’une supérette en profita pour déverser sa haine des homos «pédés», «tarlouzes», «pédales», «sales chbed», «une honte pour la France qui mérite de mourir», «en Algérie les mecs comme vous, on les égorge». À la différence des pays arabes, cette femme a été déférée devant le tribunal correctionnel de Nanterre.

http://www.lefigaro.fr/vox/societe/jeannette-bougrab-ce-que-revele-l-agression-homophobe-de-la-manifestation-anti-bouteflika-20190404#xtor=AL-201

 

 

 

la chrétienté comme le judaisme condmane aussi l'homosexualité. sinon, en afrique chrétienne c'est pas mieux que dans les pays musulmans, mais ça chuut hein marine0000, ...

 

LGBT à Kinshasa et au Congo: état des lieux

ajouter à la liste d'envies  
 
Comme dans la plupart des pays subsahariens, le chemin vers l’égalité des droits entre personnes hétérosexuelles et homosexuelles est encore long.

En République démocratique du Congo, si aucune loi ne criminalise spécifiquement les relations homosexuelles, elles tombent néanmoins sous le coup des lois sur « la bonne moralité ». Or, en 2010 et 2013, des propositions de loi visant à pénaliser l’homosexualité sont arrivées sur la table de l’Association du Peuple. Aucune d’entre elles n’a été adoptée mais la Constitution ne reconnait cependant pas les minorités. Un flou juridique qui autorise toutes les interprétations, y compris les plus restrictives.

Comme dans la plupart des pays subsahariens, le chemin vers l’égalité des droits entre personnes hétérosexuelles et homosexuelles est encore immensément long. Et si les agressions physiques demeurent l’exception - à comparer par exemple avec la situation dans l’Ouganda voisin -, l’homophobie reste vivace dans une société congolaise qui cultive encore de nombreux préjugés. L’homosexualité est associée à une forme de sorcellerie ou d’occultisme, à une maladie mentale voire à une pratique « culturelle » importée par les blancs…

D’autre part, dans un pays très religieux comme le Congo, l’influence des églises chrétiennes et de certaines congrégations religieuses telles que Les Églises du Réveil, qui continuent dans leurs prêches à assimiler homosexualité à pédophilie et la « menace » du mariage gay (suite à son adoption par la France en 2013) à un « mal purement occidental », reste un frein sociétal puissant à un déblocage des mentalités.

 

Congo, homosexualité, droits humains, discrimination, Kinshasa, URBN, URBNportraits, activisme, République démocratique du Congo, Patou Izai  Plus

publié le 19 Juillet 2017 par Yannick Hustache

Comme dans la plupart des pays subsahariens, le chemin vers l’égalité des droits entre personnes hétérosexuelles et homosexuelles est encore long.

En République démocratique du Congo, si aucune loi ne criminalise spécifiquement les relations homosexuelles, elles tombent néanmoins sous le coup des lois sur « la bonne moralité ». Or, en 2010 et 2013, des propositions de loi visant à pénaliser l’homosexualité sont arrivées sur la table de l’Association du Peuple. Aucune d’entre elles n’a été adoptée mais la Constitution ne reconnait cependant pas les minorités. Un flou juridique qui autorise toutes les interprétations, y compris les plus restrictives.

Comme dans la plupart des pays subsahariens, le chemin vers l’égalité des droits entre personnes hétérosexuelles et homosexuelles est encore immensément long. Et si les agressions physiques demeurent l’exception - à comparer par exemple avec la situation dans l’Ouganda voisin -, l’homophobie reste vivace dans une société congolaise qui cultive encore de nombreux préjugés. L’homosexualité est associée à une forme de sorcellerie ou d’occultisme, à une maladie mentale voire à une pratique « culturelle » importée par les blancs…

D’autre part, dans un pays très religieux comme le Congo, l’influence des églises chrétiennes et de certaines congrégations religieuses telles que Les Églises du Réveil, qui continuent dans leurs prêches à assimiler homosexualité à pédophilie et la « menace » du mariage gay (suite à son adoption par la France en 2013) à un « mal purement occidental », reste un frein sociétal puissant à un déblocage des mentalités.

 

 

Pour beaucoup, au quotidien, face au danger d’une stigmatisation quotidienne, l’anonymat est souvent une condition d’existence subie. Peur du rejet, du déshonneur (dans la famille), voire déni devant l’évidence, chasteté contrainte, jusqu’à la décision pour certains d’opter pour une « guérison » (?) selon les critères religieux. Pour d’autres c’est l’exclusion du foyer familial et le « regroupement » en communautés, avec aussi le danger réel d’une possible chute dans la prostitution. Non seulement ils sont bien davantage exposés aux risques d’infections sexuellement transmissibles (IST) et au SIDA que la population congolaise en général, mais il existe encore, au sein du corps médical congolais une sorte d’homophobie rampante à l’égard de patients homosexuels.

 

Les lesbiennes congolaises souffrent des mêmes maux que leurs homologues masculins, mais doivent en plus composer avec leur « statut » de femme africaine qui, aux yeux de la société traditionnelle se résume avant tout à leurs rôles d’épouse (entretenues par leur mari) et de mère. Ne pas se marier équivaut pour elles à se priver de soutiens économiques et familiaux. Si on a pu relever quelques cas de viol collectifs de lesbiennes « pour les remettre dans le droit chemin de l’hétérosexualité », ces faits restent heureusement fort rares. Et si des familles monoparentales existent au Congo, c’est de façon officieuse, sans aucun statut légal.

Mais les choses semblent doucement évoluer. Les autorités réalisent la nécessité d’améliorer la prise en charge médicale des populations cibles dans sa lutte contre le SIDA. Depuis 2014, la communauté LGBT de Kinshasa, qui a développé son propre idiome (le kipopo), célèbre la journée mondiale contre l’homophobie et ci et là associations et sites Internet donnent un peu plus de visibilité à la réalité LGBT au Congo.

 

https://www.pointculture.be/magazine/articles/focus/lgbt-kinshasa-et-au-congo-etat-des-lieux/

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Membre, 79ans Posté(e)
marine10 Membre 3 172 messages
Baby Forumeur‚ 79ans‚
Posté(e)
il y a 8 minutes, azed1967 a dit :

la chrétienté comme le judaisme condmane aussi l'homosexualité. sinon, en afrique chrétienne c'est pas mieux que dans les pays musulmans, mais ça chuut hein marine0000, ...

 

LGBT à Kinshasa et au Congo: état des lieux

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Comme dans la plupart des pays subsahariens, le chemin vers l’égalité des droits entre personnes hétérosexuelles et homosexuelles est encore long.

En République démocratique du Congo, si aucune loi ne criminalise spécifiquement les relations homosexuelles, elles tombent néanmoins sous le coup des lois sur « la bonne moralité ». Or, en 2010 et 2013, des propositions de loi visant à pénaliser l’homosexualité sont arrivées sur la table de l’Association du Peuple. Aucune d’entre elles n’a été adoptée mais la Constitution ne reconnait cependant pas les minorités. Un flou juridique qui autorise toutes les interprétations, y compris les plus restrictives.

Comme dans la plupart des pays subsahariens, le chemin vers l’égalité des droits entre personnes hétérosexuelles et homosexuelles est encore immensément long. Et si les agressions physiques demeurent l’exception - à comparer par exemple avec la situation dans l’Ouganda voisin -, l’homophobie reste vivace dans une société congolaise qui cultive encore de nombreux préjugés. L’homosexualité est associée à une forme de sorcellerie ou d’occultisme, à une maladie mentale voire à une pratique « culturelle » importée par les blancs…

D’autre part, dans un pays très religieux comme le Congo, l’influence des églises chrétiennes et de certaines congrégations religieuses telles que Les Églises du Réveil, qui continuent dans leurs prêches à assimiler homosexualité à pédophilie et la « menace » du mariage gay (suite à son adoption par la France en 2013) à un « mal purement occidental », reste un frein sociétal puissant à un déblocage des mentalités.

 

Congo, homosexualité, droits humains, discrimination, Kinshasa, URBN, URBNportraits, activisme, République démocratique du Congo, Patou Izai  Plus

publié le 19 Juillet 2017 par Yannick Hustache

Comme dans la plupart des pays subsahariens, le chemin vers l’égalité des droits entre personnes hétérosexuelles et homosexuelles est encore long.

En République démocratique du Congo, si aucune loi ne criminalise spécifiquement les relations homosexuelles, elles tombent néanmoins sous le coup des lois sur « la bonne moralité ». Or, en 2010 et 2013, des propositions de loi visant à pénaliser l’homosexualité sont arrivées sur la table de l’Association du Peuple. Aucune d’entre elles n’a été adoptée mais la Constitution ne reconnait cependant pas les minorités. Un flou juridique qui autorise toutes les interprétations, y compris les plus restrictives.

Comme dans la plupart des pays subsahariens, le chemin vers l’égalité des droits entre personnes hétérosexuelles et homosexuelles est encore immensément long. Et si les agressions physiques demeurent l’exception - à comparer par exemple avec la situation dans l’Ouganda voisin -, l’homophobie reste vivace dans une société congolaise qui cultive encore de nombreux préjugés. L’homosexualité est associée à une forme de sorcellerie ou d’occultisme, à une maladie mentale voire à une pratique « culturelle » importée par les blancs…

D’autre part, dans un pays très religieux comme le Congo, l’influence des églises chrétiennes et de certaines congrégations religieuses telles que Les Églises du Réveil, qui continuent dans leurs prêches à assimiler homosexualité à pédophilie et la « menace » du mariage gay (suite à son adoption par la France en 2013) à un « mal purement occidental », reste un frein sociétal puissant à un déblocage des mentalités.

 

 

Pour beaucoup, au quotidien, face au danger d’une stigmatisation quotidienne, l’anonymat est souvent une condition d’existence subie. Peur du rejet, du déshonneur (dans la famille), voire déni devant l’évidence, chasteté contrainte, jusqu’à la décision pour certains d’opter pour une « guérison » (?) selon les critères religieux. Pour d’autres c’est l’exclusion du foyer familial et le « regroupement » en communautés, avec aussi le danger réel d’une possible chute dans la prostitution. Non seulement ils sont bien davantage exposés aux risques d’infections sexuellement transmissibles (IST) et au SIDA que la population congolaise en général, mais il existe encore, au sein du corps médical congolais une sorte d’homophobie rampante à l’égard de patients homosexuels.

 

Les lesbiennes congolaises souffrent des mêmes maux que leurs homologues masculins, mais doivent en plus composer avec leur « statut » de femme africaine qui, aux yeux de la société traditionnelle se résume avant tout à leurs rôles d’épouse (entretenues par leur mari) et de mère. Ne pas se marier équivaut pour elles à se priver de soutiens économiques et familiaux. Si on a pu relever quelques cas de viol collectifs de lesbiennes « pour les remettre dans le droit chemin de l’hétérosexualité », ces faits restent heureusement fort rares. Et si des familles monoparentales existent au Congo, c’est de façon officieuse, sans aucun statut légal.

Mais les choses semblent doucement évoluer. Les autorités réalisent la nécessité d’améliorer la prise en charge médicale des populations cibles dans sa lutte contre le SIDA. Depuis 2014, la communauté LGBT de Kinshasa, qui a développé son propre idiome (le kipopo), célèbre la journée mondiale contre l’homophobie et ci et là associations et sites Internet donnent un peu plus de visibilité à la réalité LGBT au Congo.

 

https://www.pointculture.be/magazine/articles/focus/lgbt-kinshasa-et-au-congo-etat-des-lieux/

Comme dans la plupart des pays subsahariens, le chemin vers l’égalité des droits entre personnes hétérosexuelles et homosexuelles est encore immensément long. Et si les agressions physiques demeurent l’exception - à comparer par exemple avec la situation dans l’Ouganda voisin -, l’homophobie reste vivace dans une société congolaise qui cultive encore de nombreux préjugés. L’homosexualité est associée à une forme de sorcellerie ou d’occultisme, à une maladie mentale voire à une pratique « culturelle » importée par les blancs…

D’autre part, dans un pays très religieux comme le Congo, l’influence des églises chrétiennes et de certaines congrégations religieuses telles que Les Églises du Réveil, qui continuent dans leurs prêches à assimiler homosexualité à pédophilie et la « menace » du mariage gay (suite à son adoption par la France en 2013) à un « mal purement occidental », reste un frein sociétal puissant à un déblocage des mentalités.

 

Comme dans la plupart des pays subsahariens, le chemin vers l’égalité des droits entre personnes hétérosexuelles et homosexuelles est encore immensément long. Et si les agressions physiques demeurent l’exception - à comparer par exemple avec la situation dans l’Ouganda voisin -, l’homophobie reste vivace dans une société congolaise qui cultive encore de nombreux préjugés. L’homosexualité est associée à une forme de sorcellerie ou d’occultisme, à une maladie mentale voire à une pratique « culturelle » importée par les blancs…

D’autre part, dans un pays très religieux comme le Congo, l’influence des églises chrétiennes et de certaines congrégations religieuses telles que Les Églises du Réveil, qui continuent dans leurs prêches à assimiler homosexualité à pédophilie et la « menace » du mariage gay (suite à son adoption par la France en 2013) à un « mal purement occidental », reste un frein sociétal puissant à un déblocage des mentalités.

 

(Vous bégayez, mon cher).

mais ça chuut hein marine0000, ...

Heu, je m'appelle Marine10

Essaies-tu de m'assimiler à James Bond ?

 

Je ne refuse pas de voir ce qui se passe au Congo, mais ils n'ont pas le même férocité que dans les pays musulmans où ça tourne au sadisme et à la jouissance du mal.

 

 

 

Modifié par marine10
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Membre, 57ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 57ans‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, marine10 a dit :

Comme dans la plupart des pays subsahariens, le chemin vers l’égalité des droits entre personnes hétérosexuelles et homosexuelles est encore immensément long. Et si les agressions physiques demeurent l’exception - à comparer par exemple avec la situation dans l’Ouganda voisin -, l’homophobie reste vivace dans une société congolaise qui cultive encore de nombreux préjugés. L’homosexualité est associée à une forme de sorcellerie ou d’occultisme, à une maladie mentale voire à une pratique « culturelle » importée par les blancs…

D’autre part, dans un pays très religieux comme le Congo, l’influence des églises chrétiennes et de certaines congrégations religieuses telles que Les Églises du Réveil, qui continuent dans leurs prêches à assimiler homosexualité à pédophilie et la « menace » du mariage gay (suite à son adoption par la France en 2013) à un « mal purement occidental », reste un frein sociétal puissant à un déblocage des mentalités.

 

 

 

Comme dans la plupart des pays subsahariens, le chemin vers l’égalité des droits entre personnes hétérosexuelles et homosexuelles est encore immensément long. Et si les agressions physiques demeurent l’exception - à comparer par exemple avec la situation dans l’Ouganda voisin -, l’homophobie reste vivace dans une société congolaise qui cultive encore de nombreux préjugés. L’homosexualité est associée à une forme de sorcellerie ou d’occultisme, à une maladie mentale voire à une pratique « culturelle » importée par les blancs…

D’autre part, dans un pays très religieux comme le Congo, l’influence des églises chrétiennes et de certaines congrégations religieuses telles que Les Églises du Réveil, qui continuent dans leurs prêches à assimiler homosexualité à pédophilie et la « menace » du mariage gay (suite à son adoption par la France en 2013) à un « mal purement occidental », reste un frein sociétal puissant à un déblocage des mentalités.

mais ça chuut hein marine0000, ...

Heu, je m'appelle Marine10

Essaies-tu de m'assimiler à James Bond ?

 

Je ne refuse pas de voir ce qui se passe au Congo, mais ils n'ont pas le même férocité que dans les pays musulmans où ça tourne au sadisme et à la jouissance du mal.

 

 

 

non james bond c'est 007 toi c'est  0000 :)

ces musulmans qui vous ont libérés pendant les deux guerres, là ils étaient les bienvenues hein, ...

dans les pays musulmans comme en afrique il vaut mieux vivre son homosexualité caché . et dans les pays musulmans la sexualité tout court.

comme on dit pour vivre heureux vivons caché.

avec la montée de l'extreme droite en europe on en reparlera bientot !

 

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Membre, 79ans Posté(e)
marine10 Membre 3 172 messages
Baby Forumeur‚ 79ans‚
Posté(e)

Je ne rentrerai pas dans vos insultes.

J'ai bien le droit de dénoncer la bestialité de la religion musulmane.

Et je dénoncerai haut et fort ses crimes, ne vous en déplaise.

Conseiller de vivre caché, c'est digne d'une lopette.

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Membre, 55ans Posté(e)
cubes2 Membre 1 146 messages
Forumeur survitaminé‚ 55ans‚
Posté(e)
Le 03/04/2019 à 11:56, jécoute a dit :

Comment ça "Elle" donc il suffit que je mette une mini jupe et ça y est je suis une fââââmmeuuuu, parce que dans ma tête je me sens femme ....

Et ben ... on n'est pas sorti de l'auberge si tout un chacun ayant un problème psychologique revendique ... revendique quoi au fait .... ne pas ce faire agresser .. entièrement d'accord pour ça :sleep:

Etre "reconnu" pour sa spécificité ... désolé la société n'a pas à se conformé aux exceptions.

Une société, c'est la façon de vivre ensemble au sein d'un groupe donné, pendant une certaine période. Ca évolue, il n'y a aucune immuabilité en ce domaine. Ne vous en déplaise, nous vivons actuellement dans une société qui essaie de reconnaître et d'aider ses minorités et exceptions. 

Modifié par cubes2
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Membre, 39ans Posté(e)
CM07591 Membre 1 382 messages
Baby Forumeur‚ 39ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, azed1967 a dit :

ces musulmans qui vous ont libérés pendant les deux guerres, là ils étaient les bienvenues hein, ...

 

Tu parles d'une époque révolu ou d'ailleurs la grande majorité d'entre nous n'étaient même pas nés et clairement déjà à l'époque la population n'avait pas son mot à dire.

Donc, au prétexte que leur aïeux se sont battu pour la France leur descendant ont toutes légitimité à en insulter sa culture à la détruire ou à l'humilié ?

Continuez de jouer les pauvre petite victime en pleurant et en accusant les occidentaux de tous les maux de la terre, cette comédie ne prend encore qu'avec quelques niais mais la colère monte petit à petit et la note va être salé.

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Membre, 55ans Posté(e)
cubes2 Membre 1 146 messages
Forumeur survitaminé‚ 55ans‚
Posté(e)
Le 03/04/2019 à 14:08, Plouj a dit :

En 1791, la France est le premier pays à dépénaliser totalement l'homosexualité. La religion n'avait plus son mot à dire ! L'État, en 1942, a remis ça, pendant la guerre.

Est-il aussi simple de changer les choses dans certaines religions ?

C'est quasiment impossible puisque les religions disent répendre la parole de dieu, gravée dans le marbre une bonne foi pour toute il y a plusieurs siècles. Allez faire changer d'avis à un dieu, tiens !

Juste une précision, l'état français de Pétain, contrairement à l'idée bien répandue, n'a pas repénalisé l'homosexualité. Entre adulte c'était toujours autorisé mais il y a eu une discrimination d'instaurée au niveau de la majorité sexuelle, 13 ans pour les hétéros, 21 pour des relations homo. 

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Membre, 55ans Posté(e)
cubes2 Membre 1 146 messages
Forumeur survitaminé‚ 55ans‚
Posté(e)
Il y a 18 heures, jécoute a dit :

Dont l'apparence, le comportement, s'écarte (volontairement) des habitudes sociales.

Une habitude sociale, ce n'est qu'une tendance majoritaire, ca n'est pas une loi. En France, chacun fait ce qu'il veut dans le cadre de la loi et DOIT être protégé en cas d'agression.

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Membre, Posté(e)
lucdf Membre 4 113 messages
Forumeur balbutiant‚
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Il y a 2 heures, azed1967 a dit :

la chrétienté comme le judaisme condmane aussi l'homosexualité. sinon, en afrique chrétienne c'est pas mieux que dans les pays musulmans, mais ça chuut hein marine0000, ...

 

C'est pour la raison pour laquelle on peut considérer les religions comme des plaies de l'humanité. Le bouddhisme semble plus intelligent à cet égard mais cela reste à vérifier.

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 110 612 messages
70ans‚ Voyageur,
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il y a une heure, cubes2 a dit :

C'est quasiment impossible puisque les religions disent répendre la parole de dieu, gravée dans le marbre une bonne foi pour toute il y a plusieurs siècles. Allez faire changer d'avis à un dieu, tiens !

Juste une précision, l'état français de Pétain, contrairement à l'idée bien répandue, n'a pas repénalisé l'homosexualité. Entre adulte c'était toujours autorisé mais il y a eu une discrimination d'instaurée au niveau de la majorité sexuelle, 13 ans pour les hétéros, 21 pour des relations homo. 

J'avais lu 15 ans.

J'ai trouvé :

  • Un adulte n'a pas le droit d'avoir des relations sexuelles avec un enfant de moins de 15 ans (art. 227-25 du Code pénal) Cela est même considéré comme une circonstance agravante (art. 222-29 et 222-24)
  • Après 15 ans, s'il est d'accord, unE adolescentE peut avoir des relations sexuelles avec un adulte sauf si ce dernier est l'un de ses ascendantEs (parent, grand parent...) ou s'il est amené a s'occuper de lui/elle (beau parent, professeur, moniteur sportif, animateur....)
  • Entre enfants de moins de 15 ans, les relations sexuelles ne sont pas interdites par la loi et ne peuvent être poursuivis à condition qu'il n'y ait pas agression au sens de la loi (ni violence, ni contraintes, menaces ou surprises)

 

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 110 612 messages
70ans‚ Voyageur,
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Amusant de lire l'Afrique chrétienne !

L'Afrique est, et je pense restera, animiste de cœur.

Elle fait plaisir aux bonimenteurs qui imposent les autres religions, mais dans le fond, elle s'en tape royalement !

Quoi de mieux que de croire en un esprit, une force vitale, qui anime les êtres vivants, les objets mais aussi les éléments naturels, comme les pierres ou le vent, ainsi qu'en des génies protecteurs.

Chaman Vaudou, gris-gris, c'est plus sympa, non ?

 

 

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Membre, 43ans Posté(e)
hanss Membre 48 144 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
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Il y a 3 heures, azed1967 a dit :

la chrétienté comme le judaisme condmane aussi l'homosexualité. sinon, en afrique chrétienne c'est pas mieux que dans les pays musulmans, mais ça chuut hein marine0000, ...

 

LGBT à Kinshasa et au Congo: état des lieux

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Comme dans la plupart des pays subsahariens, le chemin vers l’égalité des droits entre personnes hétérosexuelles et homosexuelles est encore long.

En République démocratique du Congo, si aucune loi ne criminalise spécifiquement les relations homosexuelles, elles tombent néanmoins sous le coup des lois sur « la bonne moralité ». Or, en 2010 et 2013, des propositions de loi visant à pénaliser l’homosexualité sont arrivées sur la table de l’Association du Peuple. Aucune d’entre elles n’a été adoptée mais la Constitution ne reconnait cependant pas les minorités. Un flou juridique qui autorise toutes les interprétations, y compris les plus restrictives.

Comme dans la plupart des pays subsahariens, le chemin vers l’égalité des droits entre personnes hétérosexuelles et homosexuelles est encore immensément long. Et si les agressions physiques demeurent l’exception - à comparer par exemple avec la situation dans l’Ouganda voisin -, l’homophobie reste vivace dans une société congolaise qui cultive encore de nombreux préjugés. L’homosexualité est associée à une forme de sorcellerie ou d’occultisme, à une maladie mentale voire à une pratique « culturelle » importée par les blancs…

D’autre part, dans un pays très religieux comme le Congo, l’influence des églises chrétiennes et de certaines congrégations religieuses telles que Les Églises du Réveil, qui continuent dans leurs prêches à assimiler homosexualité à pédophilie et la « menace » du mariage gay (suite à son adoption par la France en 2013) à un « mal purement occidental », reste un frein sociétal puissant à un déblocage des mentalités.

 

Congo, homosexualité, droits humains, discrimination, Kinshasa, URBN, URBNportraits, activisme, République démocratique du Congo, Patou Izai  Plus

publié le 19 Juillet 2017 par Yannick Hustache

Comme dans la plupart des pays subsahariens, le chemin vers l’égalité des droits entre personnes hétérosexuelles et homosexuelles est encore long.

En République démocratique du Congo, si aucune loi ne criminalise spécifiquement les relations homosexuelles, elles tombent néanmoins sous le coup des lois sur « la bonne moralité ». Or, en 2010 et 2013, des propositions de loi visant à pénaliser l’homosexualité sont arrivées sur la table de l’Association du Peuple. Aucune d’entre elles n’a été adoptée mais la Constitution ne reconnait cependant pas les minorités. Un flou juridique qui autorise toutes les interprétations, y compris les plus restrictives.

Comme dans la plupart des pays subsahariens, le chemin vers l’égalité des droits entre personnes hétérosexuelles et homosexuelles est encore immensément long. Et si les agressions physiques demeurent l’exception - à comparer par exemple avec la situation dans l’Ouganda voisin -, l’homophobie reste vivace dans une société congolaise qui cultive encore de nombreux préjugés. L’homosexualité est associée à une forme de sorcellerie ou d’occultisme, à une maladie mentale voire à une pratique « culturelle » importée par les blancs…

D’autre part, dans un pays très religieux comme le Congo, l’influence des églises chrétiennes et de certaines congrégations religieuses telles que Les Églises du Réveil, qui continuent dans leurs prêches à assimiler homosexualité à pédophilie et la « menace » du mariage gay (suite à son adoption par la France en 2013) à un « mal purement occidental », reste un frein sociétal puissant à un déblocage des mentalités.

 

 

Pour beaucoup, au quotidien, face au danger d’une stigmatisation quotidienne, l’anonymat est souvent une condition d’existence subie. Peur du rejet, du déshonneur (dans la famille), voire déni devant l’évidence, chasteté contrainte, jusqu’à la décision pour certains d’opter pour une « guérison » (?) selon les critères religieux. Pour d’autres c’est l’exclusion du foyer familial et le « regroupement » en communautés, avec aussi le danger réel d’une possible chute dans la prostitution. Non seulement ils sont bien davantage exposés aux risques d’infections sexuellement transmissibles (IST) et au SIDA que la population congolaise en général, mais il existe encore, au sein du corps médical congolais une sorte d’homophobie rampante à l’égard de patients homosexuels.

 

Les lesbiennes congolaises souffrent des mêmes maux que leurs homologues masculins, mais doivent en plus composer avec leur « statut » de femme africaine qui, aux yeux de la société traditionnelle se résume avant tout à leurs rôles d’épouse (entretenues par leur mari) et de mère. Ne pas se marier équivaut pour elles à se priver de soutiens économiques et familiaux. Si on a pu relever quelques cas de viol collectifs de lesbiennes « pour les remettre dans le droit chemin de l’hétérosexualité », ces faits restent heureusement fort rares. Et si des familles monoparentales existent au Congo, c’est de façon officieuse, sans aucun statut légal.

Mais les choses semblent doucement évoluer. Les autorités réalisent la nécessité d’améliorer la prise en charge médicale des populations cibles dans sa lutte contre le SIDA. Depuis 2014, la communauté LGBT de Kinshasa, qui a développé son propre idiome (le kipopo), célèbre la journée mondiale contre l’homophobie et ci et là associations et sites Internet donnent un peu plus de visibilité à la réalité LGBT au Congo.

 

https://www.pointculture.be/magazine/articles/focus/lgbt-kinshasa-et-au-congo-etat-des-lieux/

Oui enfin dés que tu traverses la Méditerranée au delà du paramètre religieux c’est pas très reluisant niveau mentalité quoi. 

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 110 612 messages
70ans‚ Voyageur,
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il y a 1 minute, hanss a dit :

Oui enfin dés que tu traverses la Méditerranée au delà du paramètre religieux c’est pas très reluisant niveau mentalité quoi. 

Après la traversée se fait dans les deux sens !!! Ça promet !

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Membre, 43ans Posté(e)
hanss Membre 48 144 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
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à l’instant, Plouj a dit :

Après la traversée se fait dans les deux sens !!! Ça promet !

Oui bon vaut mieux toujours aller vers le Nord c’est bien le Nord c’est mieux le Nord :D

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
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Il y a 3 heures, kinobunika joy a dit :

Savonarol,Francelibre,jécoute et Mr Fox Bonjour,

Non, le mot "agression" n'est pas mis à toutes les sauces, la langue française est riche et il possède une vingtaine de synonymes dont "insulte et agressivité" et il ne perd aucunement de son intensité lorsqu'il décrit la situation qu'a vécu cette personne transgenre. 

Comme je ne fais pas partie du gotha je monte au créneau par empathie et non pour des raisons idéologiques. 

Enfin sachez que Marin a été honoré puisqu'il a reçu la legion d'honneur (à ce propos je préfère ne rien ajouter). 

Enfin sachez également qu'un fil avait été initié par "Soisig" le 3 mars sur ce forum "France" (que vous pourrez retrouver aisément) à propos de la distinction que Marin a reçu et que j'avais fait un post que je soumets à votre appréciation ci dessous. 

 

 

Quid de l'agression supportée ici et maintenant par ces malheureuses victimes du système qu'on stigmatise ici alors qu'elles n'ont fait que faire profiter Julia de la diversité magnifique qui compose la France ?

Ou si j'arrête deux minutes avec l'ironie quand est-ce qu'on décide que l'égalité est une valeur de la république et qu'on arrête de mettre une échelle de valeurs digne du parti nazi, avec au degré sous-homme le français-cisgenre-blanc-hétéro-mâle et au dessus une ligne qui se démarque de plus en plus clairement en fonction du scandale que constitue l'agression d'un représentant des races supérieures ?

L'égalité ça commence avec le même traitement pour tous. Quand je lis ce genre d'histoires je pense à Macron qui allait mettre tous les 50 sans abris parisiens au chaud pour l'hiver.

Donc ouais des franco-algériens ont pété la tête à quelqu'un parce qu'elle ne leur revenait pas. Ca arrive 10000 fois par jour, tous les jours.

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 110 612 messages
70ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a 4 minutes, Mr_Fox a dit :

Donc ouais des franco-algériens ont pété la tête à quelqu'un parce qu'elle ne leur revenait pas. Ca arrive 10000 fois par jour, tous les jours.

Tu es toujours dans l'ironie ou c'est absolument normal et nous devrons accepter cette habitude ??

Modifié par Plouj
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