il y a 8 minutes, Léna-Postrof a dit :

Il y a lui par exemple : 

Ce mec qui dit sur une vidéo "pour coucher avec une nana, il faut de l'argent, parler argent", on sent une pointe de misogynie (je viens de vérifier sur sa chaine)

il y a 1 minute, doug1991 a dit :

Toute logique progressiste consiste à vouloir que l'homme soit une femme avec un pénis.

Logique ?? Et ils ne résistent pas à cette "logique"??

il y a 19 minutes, l'ours 5785 a dit :

Comment les gens peuvent ils réagir a une publicité débile, toutes les pubs sont débiles, elles ne sont là que pour faire du fric et engraisser des multinationales comme Gilette.

Les gens sont comme ils sont, les hommes ont leurs qualités et leurs défaut, les femmes ont leurs qualités et leurs défauts. Ce n'est pas en déblatérant sur une pub de daube que l'on va changer les choses.

Pètes un coup, t'es tout bleu ...Le pire, c'est que tu as raison.

il y a 24 minutes, Kyoshiro02 a dit :

Ce mec qui dit sur une vidéo "pour coucher avec une nana, il faut de l'argent, parler argent", on sent une pointe de misogynie (je viens de vérifier sur sa chaine)

Oui et ?? ce n'est pas vrai  entre un qui "a plein de fric" et "un sans dents" qui c'est qui va se taper le taon ......

Dur réalité que l'on nomme "misogynie" 

Certes les femelle-iniste diront toujours "Que déesse famine à par un soir d’hiver,
Contrainte à relever ses jupons en plein air" 

Ce que j'aime bien, c'est que certaines femmes sont persuadées que la publicité les persecutent plus que les hommes, alors qu'au fond c'est la meme chose. On montre toujours le meilleur pour vendre, le message dans un clip de 30s, il n'y en a pas ;  le but etant de faire de l'onirique pour vendre. 

il y a 17 minutes, jécoute a dit :

Oui et ?? ce n'est pas vrai  entre un qui "a plein de fric" et "un sans dents" qui c'est qui va se taper le taon ......

Ca sent le vécu, ça, non ?

il y a 17 minutes, jécoute a dit :

Certes les femelle-iniste diront toujours "Que déesse famine à par un soir d’hiver,
Contrainte à relever ses jupons en plein air" 

Y a belle lurette que les femmes ne portent plus de jupons. 

Ce qu'il y a à retenir c'est que les pubs ne servent pas seulement à vendre des produits mais aussi à modéliser et à formater l'inconscient d'un individu et celui d'une société. Tout comme les programmes de divertissement, soit dit en passant. 

il y a 22 minutes, BELUGA a dit :

Ca sent le vécu, ça, non ?

Y a belle lurette que les femmes ne portent plus de jupons. 

Bien sûr que ça sent le vécu, je n'ai rien fait de mal  je ne souffre pas de "masculinisme" (c'est quoi encore ça)

et une partie des susnommées ne porte même pas de culottes alors les "jupons"   

il y a 7 minutes, shadockone a dit :

Ce qu'il y a à retenir c'est que les pubs ne servent pas seulement à vendre des produits mais aussi à modéliser et à formater l'inconscient d'un individu et celui d'une société. Tout comme les programmes de divertissement, soit dit en passant. 

Visiblement je pense que oui, nous devrions devenir "Métrosexuel"  (cherche pas cela veut dire tarlouse)

Étymologie[modifier le wikicode]

Ce mot a été formé à partir du québécois tarla, lui-même dérivé du mot tarlais, et qui désigne une personne niaise ; il a ensuite fait référence, de façon impropre et par injure, aux homosexuels ainsi qu’aux hommes jugés « faibles ».

il y a une heure, doug1991 a dit :

Toute logique progressiste consiste à vouloir que l'homme soit une femme avec un pénis.

ben...embryologiquement...c'est pas totalement faux.

il y a 13 minutes, chanou 34 a dit :

ben...embryologiquement...c'est pas totalement faux.

Ca n'a surtout aucun rapport.

Ce qui me dérange le plus, et pas forcément en tant qu'homme, c'est l'utilisation d'une marque du féminisme où un mec dans un bureau s'est dit "oh putain, ce sont les femmes qui font les courses!!! Comment alors les influencer pour qu'elles achètent nos produits plutôt que ceux des concurrents?! On va faire une pub féministe et moraliste..."

Ce qui est très bien au demeurant mais l'utilisation commercial me dérange. Comme cette pub pour une assurance qui est pour les gens ultra gentil qui servent les autres... wow... La pub leur achète une image positive, la gentillesse devient alors un produit de consommation... mais bon, j'ai un problème avec les pubs depuis toujours... 

il y a 3 minutes, doug1991 a dit :

Ca n'a surtout aucun rapport.

oui c'est vrai

surtout que ceux qui raisonnent comme ça sont en général des quiches en embryo ,comme 95% de la population remarque.

il y a une heure, jécoute a dit :

Oui et ?? ce n'est pas vrai  entre un qui "a plein de fric" et "un sans dents" qui c'est qui va se taper le taon ......

Celui qui saura le mieux parler

Il y a 2 heures, Léna-Postrof a dit :

POURQUOI LA NOUVELLE PUB GILLETTE REND-ELLE FOUS LES MASCULINISTES?

Pour l’instant diffusée uniquement aux Etats-Unis et sur Youtube, la nouvelle campagne des rasoirs Gillette a retenu la leçon de #MeToo et invite ses utilisateurs à échanger les codes de la virilité toxique contre ceux d’une masculinité positive. Ô surprise! Le message a du mal à passer.

A la fin des années 80, Gillette diffusait une pub restée culte dont le slogan était: “Gillette, la perfection au masculin” (toutes nos excuses aux lectrices qui auront sans doute le jingle dans la tête toute la journée…) Un statement, plus qu’une promesse dérivée du slogan américain: “The best a man can get”, jeu de mot que l’on pourrait traduire par “le meilleur qu’un homme puisse obtenir”, mais aussi “le meilleur qu’un homme puisse être”: entre être et avoir, l’anglais 2-en-1 n’impose pas de choisir -pratique, et puis quel gain de temps! Ainsi dans le spot publicitaire de l’époque, l’homme Gillette “avait” tout (un menton carré et donc, bien rasé, une grosse voiture, des gros biceps, un attaché case symbole de réussite professionnelle, et une femme mince, jeune et belle. Et blanche, blonde et bien coiffée, bien entendu). Puisqu’il “avait” tout, il “était” donc un homme, un vrai. L’accumulation des signes visibles de masculinité faisait de lui l’archétype de l’homme alpha, le Label Rouge de la virilité.

“C’est seulement en nous incitant à faire mieux que nous deviendrons meilleurs.”

Trente ans plus tard, le slogan de Gillette est devenu: “The best men can be”. L’homme des années 80 est devenu “les hommes”, et l’ambiguïté du terme “get” a été abandonnée au profit d’un “be” (“être”) sans équivoque. Diffusé lundi aux Etats-Unis et sur Youtube, le spot (voir ci-dessous) met en scène des hommes de tous âges devant leur miroir qui semblent méditer sur eux-mêmes, puis égrène des situations stéréotypées mais banalisées du quotidien: le harcèlement sexuel, le harcèlement d’un enfant par une bande de garçons, un clip de rap à base de muscles et de filles passives, une bagarre entre deux gamins sous l’oeil bienveillant de leurs pères campés derrière leur barbecue, à la fois fatalistes et fiers, rassurés que leurs héritiers cochent toutes les cases de la masculinité: “Boys will be boys”, “les garçons sont comme ça”, sous-entendu: “Ce n’est pas leur faute, c’est leur nature.” La deuxième partie du spot publicitaire incite les spectateurs à laisser tomber ces excuses pour “rendre des comptes aux autres hommes”, selon les termes de l’acteur américain Terry Crews, l’un des premiers (et rares) hommes célèbres à s’être engagés publiquement en faveur du mouvement #MeToo. Des jeunes hommes interrompent leurs potes qui sifflent des filles dans la rue ou les harcèlent en soirée, un père sépare deux garçons qui se battent, un autre prend la défense d’un enfant contre ses harceleurs, sous le regard de petits garçons d’aujourd’hui, qui seront les hommes de demain. Le film conclut: “C’est seulement en nous incitant à faire mieux que nous deviendrons meilleurs”, avant d’annoncer un soutien financier de trois ans à l’association Boys&Girls Clubs of America, qui encourage les jeunes notamment issus de milieux défavorisés à réaliser leurs projets.

 

 

“Whaouh, enfin un publicitaire qui vend intelligemment des rasoirs en s’adressant au cerveau des consommateurs et pas aux clichés qui y macèrent!”: telle ne fut pas, bizarrement, la réaction d’une écrasante majorité d’hommes parmi lesquels certains appellent désormais à faire pousser leur barbe en réaction “aux pathétiques assauts globalisés contre la masculinité” de Gillette, pour citer un article du journaliste anglais Piers Morgan, l’un des premiers hommes à s’être indigné publiquement contre ce spot odieux qui incite les hommes à se comporter comme des êtres humains fréquentables. Il n’est pas le seul: ce matin sur la chaîne Youtube de la marque, la nouvelle pub Gillette scorait 226 000 pouces levés… contre 593 000 pouces débandant.

 

Pourquoi tant d’hommes ont-ils l’impression que Gillette fait une OPA sur leur virilité?

 

Mais enfin, pourquoi tant de rage? Pourquoi toutes ces photos de rasoirs ou de mousse à raser Gillette gisant dans des poubelles sur les réseaux sociaux? Pourquoi l’avocat masculiniste canadien Ezra Levant a-t-il appelé au boycott de Gillette en twittant: “Une pub pour des rasoirs masculins réalisée par une mégère féministe à cheveux roses est à peu près aussi efficace qu’une pub pour les tampons réalisée par un homme d’âge moyen”, la mégère féministe à cheveux roses désignant Kim Gehrig, la directrice du spot à laquelle on doit l’excellente campagne “This Girl Can” pour Sport England? La masculinité est-elle uniquement une affaire de bonhommes, merci aux femmes de s’occuper de leurs chattes qui saignent? Pourquoi tant d’hommes ont-ils l’impression que Gillette fait une OPA sur leur virilité? Pourquoi défendre si fièrement ces comportements hostiles envers l’écrasante majorité de la population comme étant constitutifs de leur identité d’homme? “Ben si je peux pas siffler les meufs ou leur pincer les fesses, harceler des garçons qui respectent les filles et les adultes, défoncer la gueule de mes copains et soulever de la fonte pendant que trois filles lèchent lascivement la sueur qui perle sur mes pectoraux turgescents, je jette mon rasoir et je me fais pousser la barbe, thug life!”: sérieusement?!?

La pub au service d’une masculinité bienveillante

Le vrai problème, c’est que pour la première fois de l’histoire de la pub, une marque incite les hommes à changer non pas seulement de produit mais de comportement vis-à-vis notamment des femmes. Les femmes sont habituées à s’entendre dire qu’elles doivent changer, c’est même le nerf de la publicité depuis qu’elle existe. Depuis plus de cent ans, les marques nous disent qu’on a tort, qu’on est trop (grosses, poilues…) ou pas assez (bien coiffées, minces, organisées dans “notre” cuisine et “notre” intérieur) mais qu’un produit nous “aidera” à “devenir meilleures”. Pendant ce temps, les marques vendent des produits à des hommes en leur disant qu’ils sont au top, et qu’à ce titre, ils “méritent” le “meilleur” de tous les produits. Et tout d’un coup, les perspectives sont inversées. Soudain, alors que la société coulait des jours paisibles et tellement sereins depuis l’Antiquité, quelqu’un -quelqu’une, en plus!- suggère aux hommes non pas de déposer leur virilité à leurs pieds, mais plus simplement de réviser leurs standards de virilité afin que le moins de monde possible en souffre. Or depuis plus d’un siècle, la publicité fait partie intégrante de la culture et contribue à façonner les représentations de la société. Aujourd’hui, pour la première fois, une publicité est susceptible de populariser l’idée d’une masculinité non pas exclusive et dominatrice mais inclusive et bienveillante. Il y a vraiment de quoi flipper pour le patriarcat, en effet…

Fiona Schmidt 

L’article se trouve ici :

http://m.cheekmagazine.fr/societe/pub-gillette-masculinistes/

 

Bonjour Léna-Postrof, souffrez d'un baise main

J'ai pas bien compris, j'ai pas vraiment lu , en plus en survolant.

Bon ce que j'ai compris ça concerne la pub, c'est  a dire ça ne me concerne pas, la pub ça m'offre des bouton, ou je suis un publiphobe. Je refuse d'acheter un produit au vue d'une de ses pub. Quand aux concepts sous jacent de la pub, je laisse ça à tout les demeurés de la planète.

Quand à savoir si je suis un homme, bien j'en ai rien à faire aux yeux de la société, là je préfère même dire, va savoir c'est une incertitude. Je sais de par moi même ce que je suis, sans avoir besoin de l’approbation de quiconque, que ça plaise ou pas c'est pas mon tracas, ni mon problème du simple fait que je m'assume. 

Il y a 2 heures, Léna-Postrof a dit :

Même pas mal : ils sont virils et forts. 

 Ouais ! 

Cette pub ne dérange que les petit fachos et les beaufs machiste qui y voient en celle-ci une remise en cause de leur mode de vie archaique, depuis cette Pub, les ventes de Gilettes ont fortement augmenté normal quand on sait que c'est Bobone qui s'occupe de faire les course. 

Et sinon, entre le gros lourd épancheur de "Kro" par voie urinaire et le "fif" sanctifié par la neo dingo hysterico-nevrosée feministe, il y a pénurie de juste milieu  ? 

Il y a 9 heures, jécoute a dit :

Oui et ?? ce n'est pas vrai  entre un qui "a plein de fric" et "un sans dents" qui c'est qui va se taper le taon ......

Je pense que tu as tort : les femmes vont se taper le meilleur coup, qui n'a pas forcément le plus de fric...

L'éducation par la publicité...on aura tout vu !

Supprimons l'éducation nationale et donnons ces millions aux publicistes...

Sachant que le budget de l'éducation est le plus important...quel soulagement... nous laisserons le soin aux publicistes , personnes totalement neutres, désintéressées, altruistes et soucieuses d'une bonne éducation équilibrée, humaniste et bienveillante..

La publicité qui fait croire qu'elle veut le bien des gens. et non celui des portes-feuilles des actionnaires...visiblement ça marche !

Je ne serai pas surpris de voir des enseignant(e)s diffuser ce spot à leurs élèves.... les actionnaires de Gillette seront alors pliés en deux...ils auront réussi le "coup" psychologique : "respect des femmes = Gillette "

Un prix Noble 2019 pour Gillette ??

Un tel spot devrait venir de l'éducation nationale ou d'associations de parents, ou d'éducateurs, etc....

Quelle tristesse!

Il y a 13 heures, Paul hochon a dit :

 C'est pas sérieux, il a surtout la haine pour l'anti blanc.

 

La pleurnicherie est une constante chez les mectons qui flirtent avec l'extrême-droite (la faute aux femmes, la faute aux étrangers). C'est oublier les prémisses de #Metoo, l'affaire Bill Cosby. C'est oublier que dans le milieu du show business et de la sphère politique, les blancs sont plus visibles et majoritaires (logique donc que des gros nababs, ou des acteurs un peu tripoteurs tombent). 

Illustration :

#sponsorisé par Kleenex #Stalinejtkif <3 #petitscomplotspourbrillerensociété

Il y a 11 heures, jécoute a dit :

Bien sûr que ça sent le vécu, je n'ai rien fait de mal  je ne souffre pas de "masculinisme" (c'est quoi encore ça)

et une partie des susnommées ne porte même pas de culottes alors les "jupons"   

Visiblement je pense que oui, nous devrions devenir "Métrosexuel"  (cherche pas cela veut dire tarlouse)

Étymologie[modifier le wikicode]

Ce mot a été formé à partir du québécois tarla, lui-même dérivé du mot tarlais, et qui désigne une personne niaise ; il a ensuite fait référence, de façon impropre et par injure, aux homosexuels ainsi qu’aux hommes jugés « faibles ».

Vous avez tout de même l'humour qui sent l'huile de friture, en plus du reste.

Un métrosexuel n'est ni plus ni moins qu'un homme qui prend soin de lui, peut-être un peu trop au regard des hommes se revendiquant virils.  craspouilles.

Et non, les femmes s'intéressent de moins en moins au portefeuille de ces messieurs, pour la bonne et simple raison, qu'elles sont aujourd'hui plus indépendantes financièrement. 

Il y a 11 heures, Promethee_Hades a dit :

Bonjour Léna-Postrof, souffrez d'un baise main

J'ai pas bien compris, j'ai pas vraiment lu , en plus en survolant.

Bon ce que j'ai compris ça concerne la pub, c'est  a dire ça ne me concerne pas, la pub ça m'offre des bouton, ou je suis un publiphobe. Je refuse d'acheter un produit au vue d'une de ses pub. Quand aux concepts sous jacent de la pub, je laisse ça à tout les demeurés de la planète.

Quand à savoir si je suis un homme, bien j'en ai rien à faire aux yeux de la société, là je préfère même dire, va savoir c'est une incertitude. Je sais de par moi même ce que je suis, sans avoir besoin de l’approbation de quiconque, que ça plaise ou pas c'est pas mon tracas, ni mon problème du simple fait que je m'assume. 

 

Bonjour Prométhée_Hadès, check,

Ni plus ni moins que des hommes qui pètent une durite, parce que certains de leurs comportements des plus nocifs, sont épinglés à travers une publicité, une publicité scénarisée par une féministe. Ils l'ont mauvaise. Le message positif du spot -faites-en sorte d'être meilleurs/ vous avez en mains les clés du bien vivre ensemble pour le futur/ élevez vos fils, montrez-leur la bonne voie- est passé totalement à la trappe. La réponse est claire, il ne faudra absolument pas compter sur ces hommes (ceux qui s'insurgent) pour élever leur fils, correctement. Ces sont des balourds. 

Et en dehors de cela il y a (eu) des pubs marrantes, sympas, intelligentes. Il y a des vrais génies du marketing. 

Il y a 10 heures, Steiner a dit :

 Ouais ! 

il y a une heure, libredeparler a dit :

L'éducation par la publicité...on aura tout vu !

Supprimons l'éducation nationale et donnons ces millions aux publicistes...

Sachant que le budget de l'éducation est le plus important...quel soulagement... nous laisserons le soin aux publicistes , personnes totalement neutres, désintéressées, altruistes et soucieuses d'une bonne éducation équilibrée, humaniste et bienveillante..

La publicité qui fait croire qu'elle veut le bien des gens. et non celui des portes-feuilles des actionnaires...visiblement ça marche !

Je ne serai pas surpris de voir des enseignant(e)s diffuser ce spot à leurs élèves.... les actionnaires de Gillette seront alors pliés en deux...ils auront réussi le "coup" psychologique : "respect des femmes = Gillette "

Un prix Noble 2019 pour Gillette ??

Un tel spot devrait venir de l'éducation nationale ou d'associations de parents, ou d'éducateurs, etc....

 

Quelle tristesse!

 

Toutes les initiatives tant qu'elles vont dans le bon sens, sont bonnes à prendre. Pourquoi pas ?

Si un gamin tombe sur la pub entre "les chtis versus les marseillais" et "les anges de la téléréalité", que cela apporte une base de réflexion autour du repas familial, alors elle n'aura pas été conçue en vain. L'essentiel est de parler pour démystifier, apporter des solutions. La base de l'éducation en somme.