Un examen génital forcé est'il une agression sexuelle ?

Il y a 12 heures, Morfou a dit :

Je le vois bien au service militaire au moment de la visite médicale celui-là...

Je me dis que c'est un troll...ou quelqu'un qui a un problème avec le sexe...et dont la toubib de la MS n'a pas grand chose à voir...

il a un gros problème, morfou! c'est certain! et pour être un troll, il l'est aussi, adepte du sophisme de masse, c'est un fait! il devrait consulter. rires!

A bon entendeur : Il n'y a pas de différence de nature entre la personne malade mentalement et les personnes ordinaires, mais seulement une différence de degré. Par exemple le phobique a une peur irraisonnée et incontrôlable qui prend le dessus mais la "personne normale" a elle aussi à l'occasion des peurs irraisonnées, même si elle reprend le dessus ou que cela ne la gêne pas. Le psychotique a des délires chroniques parfois, il invente des mondes imaginaires ou possède des croyances bizarres, mais nous avons tous par moment des croyances indémontrables et irrationnelles (certains ont même des croyances jugées par les autres comme bizarres) comme des préjugés qui prennent la forme de certitudes indéboulonnables. etc.. etc..

il y a 55 minutes, jacky29 a dit :

il a un gros problème, morfou! c'est certain! et pour être un troll, il l'est aussi, adepte du sophisme de masse, c'est un fait! il devrait consulter. rires!

Oui Liberty a un problème . Celui de ne pas comprendre que sont ressentit ne peut s'appliquer a l'ensemble normo pensante d'où le sophisme que vous lui reprochez.

J'ai les mêmes perceptions traumatisantes des mains que d'aucun ( malgré la plus grande bonne intention   ) ont posées sur moi .

Mais j'ai la chance de savoir reconnaître  que j'ai ce problème. D'ailleurs à ce sujet j'avais posé une question à @Liberté1984 à laquelle il n'a pas répondu.

http://www.droitaucorps.com/decalottage-phimosis-bebe-prepuce

L'auteur de "la maladie de Sachs"...

https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/phimosis/definition-causes-complications-possibles

Le décalottage complet du gland est possible chez :

• seulement 4 % des nouveau-nés ;
• 50 % des enfants de 3 ans ;
• 99 % des garçons à l’adolescence.

-------------

donc ne pas forcer quand c'est trop difficile à faire ... et dans ce cas seul le garçon peut reessayer lui meme autant de fois que necessaire car quand c tres difficile seul l'interessé peut savoir la limite à ne pas depasser ...

Il y a 3 heures, Morfou a dit :

http://www.droitaucorps.com/decalottage-phimosis-bebe-prepuce

L'auteur de "la maladie de Sachs"...

Avec la croissance, le prépuce s’allonge en même temps que le pénis, ce qui permet des érections sans souci. A la puberté, dans l’immense majorité des cas, les garçons se sont déjà décalottés et ont assoupli l’orifice préputial tout seuls et ils n’ont pas de phimosis… Ils ne connaissent même pas le mot !

S'allonger oui mais l'orifice ne s'elargit pas forcement tout seul pour autant ...

Mais je dirais que le phimosis en lui meme ne serait pas douloureux si la peau et surtout le frein du prepuce sont suffisamment long pour suivre l'allongement d'une erection sans decalotter ... Personnellement pdt ma periode de puberté/jeune adulte c'est le frein du prepuce qui me faisait le plus mal : bien qu'ado j'arrivais à decalotter sans erection, une fois en erection le decalottage n'est pas possible et je vois bien que la peau a encore du replis pour supporter l'allongement du penis en erection sans decallotage mais le frein du prepuce est tres court et fait tres mal ... Je me demande à quoi sert vraiment ce frein du prepuce à la con ... Je pense qu'une chirurgie pour couper ce frein du prepuce au lieu de circoncire le prepuce (ce serait bien moche) aurait été justifié ... Je n'ai ni fait couper le frein du prepuce ni fait circoncire le prepuce, mais il a fallu beaucoup de temps pour que ce frein du prepuce finisse par faire moins mal qu'avant ... 

Il y a 6 heures, Sittelle a dit :

Oui Liberty a un problème . Celui de ne pas comprendre que sont ressentit ne peut s'appliquer a l'ensemble normo pensante d'où le sophisme que vous lui reprochez.

J'ai les mêmes perceptions traumatisantes des mains que d'aucun ( malgré la plus grande bonne intention   ) ont posées sur moi .

Mais j'ai la chance de savoir reconnaître  que j'ai ce problème. D'ailleurs à ce sujet j'avais posé une question à @Liberté1984 à laquelle il n'a pas répondu.

bonjour sittelle, j'ai été violée à l'âge de 17 ans, alors les jérémiades du liber, elles me sont insupportables. c'est aussi simple que ça!

Il y a 5 heures, jacky29 a dit :

bonjour sittelle, j'ai été violée à l'âge de 17 ans, alors les jérémiades du liber, elles me sont insupportables. c'est aussi simple que ça!

Donc tu n'admets pas toi que quelqu'un d'autre puisse ressentir ce que tu as pu éprouvé . 

Je pense que personne ne devrait juger pour d'autre . 

Tu ne sais pas ce que je vis .Tout comme je ne sais pas ce que tu as vecû.

Tu trouves que les posts de Liberté sont des gérémiades. C'est ton droit. Je suis un peu solidaire avec lui parce que ce qil décrit le l'ai ressenti aussi .

La différence est juste que j'accepte de reconnaître que le problème vient de moi. Il m'a fallut une tentative de suicide et des années de thérapie pour y parvenir.

Et oui j'ai aussi été trippotée par des professionnels de la santé peu scrupuleux.

Il y a 2 heures, Sittelle a dit :

Donc tu n'admets pas toi que quelqu'un d'autre puisse ressentir ce que tu as pu éprouvé . 

Je pense que personne ne devrait juger pour d'autre . 

Tu ne sais pas ce que je vis .Tout comme je ne sais pas ce que tu as vecû.

Tu trouves que les posts de Liberté sont des gérémiades. C'est ton droit. Je suis un peu solidaire avec lui parce que ce qil décrit le l'ai ressenti aussi .

La différence est juste que j'accepte de reconnaître que le problème vient de moi. Il m'a fallut une tentative de suicide et des années de thérapie pour y parvenir.

Et oui j'ai aussi été trippotée par des professionnels de la santé peu scrupuleux.

sittelle, entre un examen fait dans le cadre d'un dépistage scolaire et un viol, je peux t'assurer qu'il n'y a aucun rapport! c'est même insultant de pouvoir y voir une approche! j'entendrais toute ma vie cette phrase: "si tu cries, je t'écrase la gueule!", et après, tu veux connaitre le reste de ce je peux décrire? quand il a fini, je suis rentrée chez moi, la vulve en sang, du foutre plein le vagin et la douleur! tu ne peux pas imaginer! 

Il y a 5 heures, jacky29 a dit :

c'est même insultant de pouvoir y voir une approche!

Saches que ce n'est pas parcequ'il y a pire agression que les agressions les moins pires ne seraient pas des agressions. Il y a des agressions pire que d'autres c'est un fait.

Si quelque chose est insultant ce serait plutôt de dire aux victimes des agressions les moins pires: "tu as vécu ça comme une agression, mais ça n'en était pas une".

Pour les actes médicaux, le non-consentement de la personne est suffisant pour dire qu'il y a eut agression.

C'est fini ces délires "d'agressions les moins pires" "d'agressions pire que d'autres" ? C'est une question de personne, pas d'agression. 

On en est au festival d'indécence maintenant..

il y a 21 minutes, January a dit :

C'est fini ces délires "d'agressions les moins pires" "d'agressions pire que d'autres" ? C'est une question de personne, pas d'agression. 

On en est au festival d'indécence maintenant..

Désolé, je disait simplement ça car j'ai transposé sur moi, et si j'avais subit le viol décrit par jacky29, j’imagine que pour moi ça aurait été pire que ce que j'ai subit.

Il y a 3 heures, Liberté1984 a dit :

Saches que ce n'est pas parcequ'il y a pire agression que les agressions les moins pires ne seraient pas des agressions. Il y a des agressions pire que d'autres c'est un fait.

Si quelque chose est insultant ce serait plutôt de dire aux victimes des agressions les moins pires: "tu as vécu ça comme une agression, mais ça n'en était pas une".

Pour les actes médicaux, le non-consentement de la personne est suffisant pour dire qu'il y a eut agression.

arrête de comparer des choses qui ne sont pas comparables, c'est faire injure à celles et ceux qui ont connu et qui connaissent actuellement ce qu'est un viol. merci.

Tu ne fais pas mieux Jacky, tu es en train d'affirmer qu'il n'y a pas d'agression comparable à un viol, stop, ça aussi c'est faire injure. Faut arrêter, c'est une question de personne, pas d'agression.

Combien de fois faudra-t-il répéter qu'il n'y a aucune hiérarchie dans la souffrance ? Tu veux dire à Liberté que ses enfantillages ça commence à bien faire ? Que par rapport à ce que tu as vécu toi, c'est rien du tout ? Mais qu'est ce que tu en sais ? Tu n'es pas lui.

Liberté, relativise un peu. Et accepte le fait que ce soit anormal que tu sois obsessionnel avec ça tant d'années après. Qu'il y a un problème, que tu as un problème plus énorme encore que l'initial : puisque tu ne veux pas résoudre ce problème. Tu veux rester en colère, accuser sans fin le système, contredire quiconque n'ira pas dans ton sens, diaboliser la profession médicale, le milieu scolaire, tourner en boucle H24 sur le sujet etc etc... 

Ce "palier" on le trouve chez les victimes qui ne digèrent pas après être restées dans le déni un moment, ou encore chez certaines victimes qui se mettent à militer. En règle générale c'est un "palier", on ne reste pas là dedans, à moins : de ne pas vouloir sortir de son statut de victime. 

Et là : Adieu veau vache cochon couvée...et bon courage.

il y a 39 minutes, jacky29 a dit :

arrête de comparer des choses qui ne sont pas comparables, c'est faire injure à celles et ceux qui ont connu et qui connaissent actuellement ce qu'est un viol. merci.

Tu sembles fermée au fait que d'autres types d'agression sexuelle puissent exister que le viol que tu as décrit.

Une victime peut se faire violer avec un objet, c'est ce qui m'est arrivé par l'infirmière scolaire qui ma forcé à subir un examen de température rectale sans mon consentement contre ma volonté. Ça répond à la définition officielle du viol car il y a pénétration, et ce même si c'est avec un objet.

Le viol que tu as décrit n'est pas le seul type de viol qui existe.

Et quand j'affirme que j'ai subit une agression sexuelle par le médecin scolaire du fait de mon non-consentement à l'examen génital, ce n'est pas une comparaison, c'est une vérité.

il y a 25 minutes, January a dit :

Ce "palier" on le trouve chez les victimes qui ne digèrent pas après être restées dans le déni un moment, ou encore chez certaines victimes qui se mettent à militer. En règle générale c'est un "palier", on ne reste pas là dedans, à moins : de ne pas vouloir sortir de son statut de victime. 

En effet je ne veux pas sortir de mon status de victime, car j'ai accepté mon status de victime. Le problème c'est que certaines personnes s'acharnent à essayer de faire croire que je serais en réalité un "malade mental" et non victime d'une agression. Et ces personnes argumentent, c'est pour ça que je me sens contraint de défendre mon status de victime d'agression.

Tu as refusé d'aller voir quiconque aurait pu t'aider, mais on ne se fait pas une belle vie en revendiquant son statut de victime ad vitam. Si tu en restes là, tu garderas aux pieds tes gamelles pour toujours. La début de la fin du parcours, c'est quand l'histoire devient non souffrante et qu'on devient : EX victime, plus jamais victime. 

il y a 30 minutes, January a dit :

Tu ne fais pas mieux Jacky, tu es en train d'affirmer qu'il n'y a pas d'agression comparable à un viol, stop, ça aussi c'est faire injure. Faut arrêter, c'est une question de personne, pas d'agression.

Combien de fois faudra-t-il répéter qu'il n'y a aucune hiérarchie dans la souffrance ? Tu veux dire à Liberté que ses enfantillages ça commence à bien faire ? Que par rapport à ce que tu as vécu toi, c'est rien du tout ? Mais qu'est ce que tu en sais ? Tu n'es pas lui.

mais enfin, january, un dépistage n'a strictement rien à voir avec un viol... sommes-nous d'accord? et quand je subodore son âge, je me dis qu'il a un réel problème avec sa psyché! il n'y a pas eu agression, c'est la différence que je vois, moi! je vois surtout un bonhomme qui à force de se triturer l'esprit en arrive à écrire des inepties. si à 14 ans et avec le reste sa classe, il y a eu ce dépistage médical en milieu scolaire pour les garçons, où est l'agression? moi, je n'en vois pas! tu évoques son ressenti, j'en tombe à la renverse! est-il si immature pour reconnaître que personne ne l'a agressé? il est heureux que je ne sois pas lui, ce que j'ai vécu n'a en aucune manière influé sur ce que je suis devenue après. j'ai eu des liaisons plus ou moins longues avec ce que j'étais déjà, bisexuelle, j'ai pu profiter de la vie, m'intéresser à beaucoup de choses, je ne suis pas restée au stade de la victime, lui s'y complait!   

Liberté, relativise un peu. Et accepte le fait que ce soit anormal que tu sois obsessionnel avec ça tant d'années après. Qu'il y a un problème, que tu as un problème plus énorme encore que l'initial : puisque tu ne veux pas résoudre ce problème. Tu veux rester en colère, accuser sans fin le système, contredire quiconque n'ira pas dans ton sens, diaboliser la profession médicale, le milieu scolaire, tourner en boucle H24 sur le sujet etc etc... 

Ce "palier" on le trouve chez les victimes qui ne digèrent pas après être restées dans le déni un moment, ou encore chez certaines victimes qui se mettent à militer. En règle générale c'est un "palier", on ne reste pas là dedans, à moins : de ne pas vouloir sortir de son statut de victime. 

Et là : Adieu veau vache cochon couvée...et bon courage.

Tu ne peux pas ressentir ce que ressent quelqu'un d'autre. Personne ne peut, même avec beaucoup d'efforts, il y a toujours une part de nous-mêmes qui viendra fausser ce ressenti. Alors pourquoi être dans le jugement ? Pourquoi s'obstiner à parler d'actes plutôt que de personnes ? 

Regarde, tu le dis toi-même : "moi j'ai réussi à m'en sortir". Bah... pas lui. C'est comme ça, accepte le, ou quitte le sujet, comme beaucoup l'ont fait ici avec leur avis, comme j'avais fait d'ailleurs, je suis revenue parce que j'ai lu un truc qui piquait. Mais je ne vais pas rester dans le coin longtemps. C'est le CQFD de ce que je disais à Liberté plus tôt, chaque participant décrochera plus ou moins vite, le sujet se retrouvera désert. Dans la vie c'est pareil quand on serine son statut de victime sans accepter de répartie, d'explications ou de réponses qui vont à l'encontre de son ressenti, il arrive un moment où on se retrouve tout seul. 

Et puis on peut toujours y aller haut et fort à grand renfort de détails sordides (qui ne regardent personne ) ça n'y changera rien. 

Le 20/01/2019 à 10:14, Quasi-Modo a dit :

A bon entendeur : Il n'y a pas de différence de nature entre la personne malade mentalement et les personnes ordinaires, mais seulement une différence de degré. Par exemple le phobique a une peur irraisonnée et incontrôlable qui prend le dessus mais la "personne normale" a elle aussi à l'occasion des peurs irraisonnées, même si elle reprend le dessus ou que cela ne la gêne pas. Le psychotique a des délires chroniques parfois, il invente des mondes imaginaires ou possède des croyances bizarres, mais nous avons tous par moment des croyances indémontrables et irrationnelles (certains ont même des croyances jugées par les autres comme bizarres) comme des préjugés qui prennent la forme de certitudes indéboulonnables. etc.. etc..

Oui enfin....si içi un schizophéne vient içi, par exemple, et nous raconte un gros délire.....au bout d'un moment, on ne va pas déblatérer sans fin là-dessus.........quand c'est pathologique, c'est pathologique! Là, on a quelqu'un complétement enfermé dans son délire sans aucune capacité de comprendre un avis différent..........ou on a quelqu'un qui teste la patience des gens.........donc next.........

Le 21/01/2019 à 19:34, coucoucou a dit :

Oui enfin....si içi un schizophéne vient içi, par exemple, et nous raconte un gros délire

Qui es le schizophrène et quel est le délire ? Comment tu justifies ton diagnostique ?

Le 21/01/2019 à 19:34, coucoucou a dit :

Là, on a quelqu'un complétement enfermé dans son délire sans aucune capacité de comprendre un avis différent

Le prétendu "délire" c'est quand une personne pense qu'un prétendu "examen génital" forcé est une agression sexuelle ?

Pourtant la loi dit clairement que qu'aucun acte médical ne peut être fait sans le consentement de la personne et que le consentement peut être retiré à tout moment.

Les députés qui ont voté cette loi seraient donc selon toi tous des schizophrènes ?

Le 21/01/2019 à 09:30, January a dit :

Tu as refusé d'aller voir quiconque aurait pu t'aider, mais on ne se fait pas une belle vie en revendiquant son statut de victime ad vitam.

Comment aider une personne victime d'agression sexuelle ? En l'envoyant chez un psychologue qui va lui réciter des formules magiques qui vont remonter le temps pour annuler l'agression ?

Ou encore mieux, en l'envoyant chez un psychiatre qui va lui prescrire des drogues ou des prétendus médicament ?

Regardes le discours des certaines personnes, ils traitent de schizophrène enfermé dans son délire. La personne qui a le pseudo coucoucou semble travailler dans le domaine médical et elle traite de schizophrène.

La victime va voir un psychiatre qui va lui dire "alors il a vécu ça comme une agression le monsieur, il ignore la différence entre une agression et un acte médical, c'est une schizophrénie, faut prendre des neuroleptiques".

Et si la victime porte plainte et que l'expert psychiatre, un confrère du médecin agresseur, rédige un rapport disant "la victime est un schizophrène enfermée dans son délire", la victime va se retrouver condamnée pour une prétendue "dénonciation calomnieuse" ?

Qu'on me dise qui peut aider les victimes d'agressions sexuelles déguisées en "actes médicaux" ?