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Liberté1984

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Réputation sur la communauté

  1. Tu sembles fermée au fait que d'autres types d'agression sexuelle puissent exister que le viol que tu as décrit. Une victime peut se faire violer avec un objet, c'est ce qui m'est arrivé par l'infirmière scolaire qui ma forcé à subir un examen de température rectale sans mon consentement contre ma volonté. Ça répond à la définition officielle du viol car il y a pénétration, et ce même si c'est avec un objet. Le viol que tu as décrit n'est pas le seul type de viol qui existe. Et quand j'affirme que j'ai subit une agression sexuelle par le médecin scolaire du fait de mon non-consentement à l'examen génital, ce n'est pas une comparaison, c'est une vérité. En effet je ne veux pas sortir de mon status de victime, car j'ai accepté mon status de victime. Le problème c'est que certaines personnes s'acharnent à essayer de faire croire que je serais en réalité un "malade mental" et non victime d'une agression. Et ces personnes argumentent, c'est pour ça que je me sens contraint de défendre mon status de victime d'agression.
  2. Désolé, je disait simplement ça car j'ai transposé sur moi, et si j'avais subit le viol décrit par jacky29, j’imagine que pour moi ça aurait été pire que ce que j'ai subit.
  3. Saches que ce n'est pas parcequ'il y a pire agression que les agressions les moins pires ne seraient pas des agressions. Il y a des agressions pire que d'autres c'est un fait. Si quelque chose est insultant ce serait plutôt de dire aux victimes des agressions les moins pires: "tu as vécu ça comme une agression, mais ça n'en était pas une". Pour les actes médicaux, le non-consentement de la personne est suffisant pour dire qu'il y a eut agression.
  4. Le médecin a fait l'examen génital par surprise, et la visite médicale dans son ensemble m'a été imposée de façon autoritaire, je n'avais l'habitude de me rebeller contre les adultes en milieu scolaire à cette époque. On me donnait un ordre et j'obéissais.
  5. Désolé, mais des gens peuvent être en désaccord avec la vérité. Pour moi ce n'est pas une histoire d'opinion, de point de vue, mais de vérité, même si elle est difficile à expliquer. On ne fait pas du bien à quelqu'un en faisant du mal aux autres. Tu dis qu'il ne l'on pas mal vécu, mais ils en souffrent peut-être de façon inconsciente. Par ailleurs faire subir aux non-consentants n'aide aucunement les consentants. Je veux bien quand même admettre que ça a aidé des personnes consentantes. Elles sont consentantes pour agresser l'autre. Etre consentant pour agresser c'est autre chose qu'être consentant pour se faire agresser. Tu veux le cas particulier d'une personne consentante pour se faire agresser ? Prend le cas des masochistes. Quand une personne est consentante, ça peut être quand même une agression, en effet, tu as raison sur ce point. Par exemple, si tu étais consentant pour l'examen génital de médecine scolaire, c'était peut-être quand même une agression sexuelle. Mais quand la personne n'est pas consentante, c'est systématiquement une agression. Pour une raison simple, ça lui porte atteinte du fait même qu'elle subit quelque chose qu'elle ne veut pas subir. Le non-consentement est suffisant pour déclarer l'agression. Dans ce cas, je dit qu'on agresse la personne au cas où elle serait consentante. Puisque tu ne vois pas d'objections à ce qu'une personne puisse être agressée malgrès qu'elle soit consentante. Le sans-consentement est suffisant pour déclarer l'agression. Là, d'accord, c'est une opinion, car je n'en ait pas la preuve. Par contre la vérité c'est qu'un acte médical est un mal pour un bien, par exemple si il faut couper la peau pour opérer, alors le corps de la personne subit bien une agression du simple fait que la peau est coupée. Dès lors qu'il y a mal, il y a agression, même si l'on obtient du bien en échange de ce mal. Voici la preuve: agresser = porter atteinte = faire du mal De plus, le fait que certaines personnes ne souffrent pas d'un examen génital, et donc que sur eux il n'y a pas de mal, ne justifie pas de le faire subir à ceux qui en souffrent. Question de respect d'autrui. Une personne peut également souffrir d'un examen génital forcé ou non de façon inconsciente. C'est peut-être ton cas. C'est un autre sujet, si ça t’intéresse il y a le livre "libre pour apprendre" de Peter Gray. Je ne l'ai pas lut, mais j'ai entendu dire qu'il défend la liberté des jeunes d'apprendre ce qu'ils ont envie d'apprendre, quand ils ont envie de l'apprendre. Le cerveau d'un jeune n'appartient qu'à lui même, c'est comme le corps, à chaque personne de décider pour elle même les informations qui doivent ou non être emmagasinées dans son cerveau. Un cerveau humain c'est pas comme un clé usb prévue pour stocker des poésies et des livres littéraires, en fonction de notre volonté. On ne peut disposer du cerveau d'autrui comme on dispose de sa clé usb. Forcer quelqu'un à subir des cours de musique alors qu'il n'a pas envie de les subir, c'est de la violence psychologique car ça le fait souffir, ça lui fait du mal.
  6. Il me semble avoir lut que dans certains cas on peut se passer d'opération grâce à des exercices fréquents d'assouplissement du prépuce et que certains médecins étaient mal informés. Je me dis que si le jeune est dans l'un de ces cas, faut peut-être pas forcer jusqu'au bout. Mais ça on peut l'expliquer à un jeune de 14 ans, il comprendra sans aucun problèmes et pourra faire lui-même l'examen médical si il ne veux pas se faire toucher par le médecin.
  7. C'est le consentement ou non-consentement de la personne qui détermine si c'est une agression sexuelle ou pas. En quoi forcer un jeune non-consentant à subir un examen génital va rendre service à ceux qui sont consentants ? Si un jeune a des problèmes de santé et n'est pas consentant pourquoi le forcer, c'est sa vie à lui, c'est pas la tienne. Occupes toi de ta vie à toi, pas de celle des autres. Donc c'est une atteinte à la vie privée en plus d'une agression sexuelle. Car le fait qu'un jeune ait ou non des problèmes de santé, c'est sa vie privée, le médecin scolaire n'a pas à le savoir, c'est à chaque personne de révéler sa vie privée à qui elle veut, qu'il soit médecin ou non. Le médecin scolaire n'a pas plus le droit que les autres personnes de connaitre la vie privée des jeunes. Le médecin est un être humain comme un autre, ce n'est pas un dieu qui a des droit supérieurs à ceux des êtres humains. Ce n'est pas un dieu qui a des droits sur le corps des êtres humains. A mon avis, un jeune peu très bien forcer lui-même, pas besoin d'être médecin pour faire ça. Et je doute que forcer soit une bonne chose, car après le problème est de recalotter.
  8. J'ai oublié de préciser dans mon précédent post, mais en fait je me demande ce que fera concrètement le médecin, est-ce qu'ils fera des gestes que seul un médecin peut faire, par exemple avec un instrument médical prévu pour ça. Peut-être que certains de tes camarades n'ont pas osé dire qu'ils avaient développé des problèmes psychiques ou psychologiques suite à ça. Ils ont peut-être préféré garder le secret médical. De plus, je vois mal un jeune de 14 ans avouer à ses camarades de classe qu'il a été traumatisé, la psychologie masculine est différente de celle des filles. Les garçons ont un comportement social différent de celui des filles. D'un point de vue social avouer être traumatisé et avoir des problèmes de santé psychologique peut être perçut comme une faiblesse. Et d'un point de vue reproductif, je suppose qu'une personne qui a des problèmes de santé psychologique visibles ou avoués est moins attractive. J'ai lut une étude canadienne sur les garçons victimes d'agression sexuelle qui dit qu'ils sont moins enclin à se considérer comme victimes, et ont plus tendance que les filles à nier le fait qu'il y a eut transgression d'un interdit de la part de l'agresseur.
  9. Si il a un phimosis, comment on fait pour décalotter ? Faut une machine spéciale qui permet de décalotter et recalotter ? Qu'est ce qu'on fait concrètement pour décalotter quand il y a phimosis ?
  10. Je parle pas de traiter, mais de dépister, comment ça se dépiste ? Ce n'est pas ce que dit wikipedia: "Certaines femmes naissent avec un hymen clos qui ferme complètement le vagin, ce qui exige, avant la puberté, une intervention médicale (d'un gynécologue, le plus souvent) pour laisser s'écouler les règles" Et si la jeune fille n'en parle pas à sa mère ? ou à son père dans le cas d'une famille monoparentale ? Et si la jeune fille refuse de consulter un gynécologue ? Mais elle n'est pas médecin, ni gynécologue ? Selon toi, les filles seraient donc capables de trouver des anomalies en elles, mais pas les garçons ?
  11. Tu admets donc penser qu'un examen gynécologique forcé de prévention serait "utile", que ce soit ou non en milieu scolaire ? Il me semble aussi avoir lut sur internet que chez certaines filles il y avait une malformation de l'hymen, un hymen non percé qui empêche l'écoulement des règles et qui se traite par une intervention chirurgicale.
  12. Non. Tu inverse les rôles. C'est toi qui évites mes questions, c'est une évidence pour tous les lecteurs Ca peut pas être dangereux de décalotter quand il ya un phimosis ? Defois que l'on arrive pas recalloter ? Tu refuse de réfléchir à cette supposition ? Et les filles qui ont une malformation de l'hymen, en supposant que ça existe, tu penses que c'est tant pis pour elles ?
  13. Non, ce n'est pas ce que j'ai dit, relis mon post. Parce que c'est si compliqué que ça de décalotter un pénis ? Je suis sûr qu'un jeune de 6 ans le faire lui-même. J'ai demandé si ça peut lui faire du mal ou non, si ça peut altérer sa santé psychologique. Tu préfère peut-être un examen gynécologique forcé fait sur une jeune fille qui n'est plus vierge puisque tu parlait d'hymen. Au fait, toi qui est si calée en médecine, les malformations de l'hymen, ça existe ou pas ? D'une part j'ai un système nerveux, d'autre part, en suivant ta logique faudrait faire des examen génitaux forcés une fois par mois, au cas où ? Et la souffrance psychique, la souffrance psychologique ?
  14. Je vois que tu essayes de me poser ce que le personnel médical appelle un "cas concret". Alors je vais de faciliter la tâche. Un enfant de 6 ans se plaint de douleurs génitales à ses parents, logiquement ses parent l’emmènent chez un médecin, et le médecin dit au jeune: "est ce que tu es d'accord pour que je regarde ton sexe, je vais devoir te toucher ?". Si je jeune réponds "Non, je veux pas que tu me touche t'es trop moche." Que faut'il faire ? A mon avis faut l’emmener chez un autre médecin. Si c'est pareil chez un autre médecin, on peut en essayer un troisième. Si c'est pareil chez le troisième, je pense qu'il faut expliquer à l'enfant qu'il n'y a pas le choix si il veux que le problème soit réglé, ou lui proposer que ce soient ses parents qui le touchent et que le médecin ne fasse que regarder. Le problème principal du non-consentement de ce jeune, c'est que c'est pénible pour l'entourage qui fera une obsession sur ce problème. Donc je pense qu'il y a des cas particuliers où il y a nécessité d'agresser le jeune afin de régler le problème, mais étant donné que le jeune n'est pas consentant, il s'agit bien d'une agression sexuelle. Car c'est le consentement ou non-consentement de la personne qui détermine si c'est une agression ou pas. Ma vie privée n'est pas le sujet de ce fil de discussion. Si ça m'a fait du mal à moi ! et un toucher non consentit du clitoris, ça peut faire du mal ou pas ? Je savais que je n'avais pas de bouton bizarres et je savais que mes testicules étaient bien descendue, et je savais que je n'avais pas de phimosis. C'est la vérité, pas besoin d'être médecin pour savoir ça. Je n'ai jamais dit que l'on m'avais masturbé de force, où es tu allée chercher ça ? Le médecin scolaire m'a fait subir une agression sexuelle injustifiée. Aucun cas particulier ne justifiait cette agression.
  15. Des garçonnet de quel age ? Sont'ils en age de savoir ce qu'est ce que tu nommes un "bobo" ? S'agit'il d'un cas particulier où la personne n'est pas en état de donner son consentement, par exemple en raison d'un handicap mental ? Moi je parle d'examen génitaux forcé, et si faut vérifier le sexe des "garçonnet", pourquoi moi on ne m'a vérifié qu'à l'age de 14 ans. Expliques moi ? D'autre part, pourquoi pas des examen gynécologiques forcé pour les filles ? Pourquoi tu ne parles que des "garçonnets", les filles, quelque soit leur age, ne peuvent pas avoir de problème de santé sexuelle ? Et si la personne sait qu'elle n'a pas de problèmes génitaux, comme c'était mon cas avant l'examen génital forcé que j'ai subit ? Ce n'est pas le sujet de ce fil de discussion.
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