Frapper un homme à terre...

Frapper un homme à terre...

Pour peu que l'on se pique de philosophie, j'entends du "plaisir de comprendre les choses", on trouvera par les temps qui courent pas mal de grain à moudre...

Frapper, achever un homme à terre?... Comment est-ce possible ? Est-ce humain ? Et il est "bien",il est heureux que la même scène ait été dans la même journée constatée dans les deux camps... Ce boxeur qui à Paris "finit" à coups de pieds le gendarme et ce flic de Toulon qui en fait autant sur un manifestant.  Il n'y a donc pas de gentil d'un côté et de m&chant de l'autre il s'agit d'un trait commun, d'une composante de base des individus, des hommes.

Ce qu'il y a de plus basique, de plus bas, ressort on le sait bien "grâce" à "l'effet de foule". C'est le plus petit, le plus bas dénominateur commun qui l'emporte.

"Dès qu'on est plus de quatre on est une bande de cons !" (Merci Brassens !)

Et le plus bas dénominateur chez l'homme, c'est l'instinct animal.

Mais encore ? Il n'est pourtant pas rare qu'un animal porte secours à un autre animal en danger. On l'a vu, je l'ai vu !  Il s'agirait donc d'un instinct plus bas que l'instinct animal en général ?

Achever un homme à terre ou un blessé me rappelle cette scène dont "un" ami avait été témoin : Un rapace fondant du ciel s'était abattu  sur un poulet parmi ses congénères dans un pré. Il l'avait pas mal amoché, mais voilà que ce pauvre poulet s'était si bien défendu qu'il avait à grands coups de son petit bec, réussi à faire fuir le rapace. Notre gent volaillère avait trouvé son héros ! Mal en point mais vivant ! Un exemple pour tous ! L'ont-ils porté en triomphe ? En ont-ils fait leur roi ? Que nenni ! Le trouvant affaissé, pantelant, sur le pré, sur le champ, se sont rués sur lui et l'ont parachevé !

Les oiseaux c'est connu sont des dinosauriens... Et l'humain quant à lui est un doux mammalien.

Il faut donc remonter à la génération précédente pour trouver le dénominateur ou l'ancêtre commun.  C'est donc le reptilien ! Le serpent est reptile ? S'agit-il de Satan ?  (Non, là je blague !)

Achever le blessé ? J'y vois certaine ressemblance avec ces énergumènes qui "cassent du pédé"... Dont la motivation est claire, à savoir de tuer en cet autre leurs propres penchants homosexuels. Hominidé, humain, un homme, un homo, soyons pédés mes frères et sauvons les blessés ! (Mais qu'est-ce que je dis ?!)

Il y a pire ou l'on retrouve Satan : Reptilien ? C'est acquis ! Mais reptile avancé, reptile évolué !  Car tuer la faiblesse de l'autre pour la chasser de soi, c'est déjà faire de la faiblesse un concept. Sans concept, sans idéalité, la faiblesse n'existe pas, il n'y a que des sensations de faiblesse. Si ma faiblesse et celle d'autrui participent de la même grand faiblesse, et que les deux sont échangeables c'est un début de savoir, d'intelligence. (Oui, le serpent est intelligent : sacré Satan !)

Il s'agit donc d'une empathie négative. (C'est tout nouveau, ça vient de sortir!)

L'empathie négative reptilienne... Éliminer, tuer sa propre faiblesse, mais dans l'autre et donc, l'autre.

Va falloir évoluer vers l'empathie positive, donner à l'autre de sa force, et non la lui asséner, devenir des mammifères, des hominidés, des vrais hommes : des homos !...

(Ben oui, quoi, ça m'amuse, ça !)

bonjour et bonne année 

bravo beau texte et belle logique , je suis entièrement d'accord avec toi .

bonne journée

"Peu aptes au raisonnement, les foules sont, au contraire, très aptes à l'action.

Le droit divin des foules va remplacer le droit divin des rois.

Les civilisations n'ont été créées et guidées jusqu'ici que par une petite aristocratie intellectuelle, jamais par les foules.

Les foules n'ont de puissance que pour détruire.

Leur domination représente toujours une phase de barbarie.

Quand l'édifice d'une civilisation est vermoulu, ce sont toujours les foules qui amènent l'écroulement."

Psychologie de la foule. Gustave Le Bon

Après l'ère des démocraties gouvernées par des élites intellectuelles, voici l'émocratie: la gouvernance des peuples par l'affect... sous le regard atterré des autres peuples. 

Il y a 1 heure, Blaquière a dit :

Frapper un homme à terre...

Toujours cette posture moralisante du spectateur incapable de se mettre dans la peau des acteurs…

La violence des uns ou des autres, s’expriment dans un moment précis, dans un contexte, dans un climat, dans une peur, une menace, qu’un simple cliché arrêt sur image ne peut pas percevoir ou interpréter.

Si la police qui a la responsabilité d’exercer une violence légale d’état n’étaient pas là pour freiner les velléités meurtrière et destructrices de quelques-uns… Cette violence pourrait très vite dégénérer, pour s’en convaincre il suffit d’observer comment les Hutus ont tranché les têtes et les membres de 800 000 Tutsi en quelques semaines.

La violence, comme la guerre, on sait toujours quand cela commence, mais jamais quand elle peut finir.

Il y a 2 heures, Blaquière a dit :

Frapper un homme à terre...

Pour peu que l'on se pique de philosophie, j'entends du "plaisir de comprendre les choses", on trouvera par les temps qui courent pas mal de grain à moudre...

Frapper, achever un homme à terre?... Comment est-ce possible ? Est-ce humain ? Et il est "bien",il est heureux que la même scène ait été dans la même journée constatée dans les deux camps... Ce boxeur qui à Paris "finit" à coups de pieds le gendarme et ce flic de Toulon qui en fait autant sur un manifestant.  Il n'y a donc pas de gentil d'un côté et de m&chant de l'autre il s'agit d'un trait commun, d'une composante de base des individus, des hommes.

Ce qu'il y a de plus basique, de plus bas, ressort on le sait bien "grâce" à "l'effet de foule". C'est le plus petit, le plus bas dénominateur commun qui l'emporte.

"Dès qu'on est plus de quatre on est une bande de cons !" (Merci Brassens !)

Et le plus bas dénominateur chez l'homme, c'est l'instinct animal.

Mais encore ? Il n'est pourtant pas rare qu'un animal porte secours à un autre animal en danger. On l'a vu, je l'ai vu !  Il s'agirait donc d'un instinct plus bas que l'instinct animal en général ?

Achever un homme à terre ou un blessé me rappelle cette scène dont "un" ami avait été témoin : Un rapace fondant du ciel s'était abattu  sur un poulet parmi ses congénères dans un pré. Il l'avait pas mal amoché, mais voilà que ce pauvre poulet s'était si bien défendu qu'il avait à grands coups de son petit bec, réussi à faire fuir le rapace. Notre gent volaillère avait trouvé son héros ! Mal en point mais vivant ! Un exemple pour tous ! L'ont-ils porté en triomphe ? En ont-ils fait leur roi ? Que nenni ! Le trouvant affaissé, pantelant, sur le pré, sur le champ, se sont rués sur lui et l'ont parachevé !

Les oiseaux c'est connu sont des dinosauriens... Et l'humain quant à lui est un doux mammalien.

Il faut donc remonter à la génération précédente pour trouver le dénominateur ou l'ancêtre commun.  C'est donc le reptilien ! Le serpent est reptile ? S'agit-il de Satan ?  (Non, là je blague !)

Achever le blessé ? J'y vois certaine ressemblance avec ces énergumènes qui "cassent du pédé"... Dont la motivation est claire, à savoir de tuer en cet autre leurs propres penchants homosexuels. Hominidé, humain, un homme, un homo, soyons pédés mes frères et sauvons les blessés ! (Mais qu'est-ce que je dis ?!)

Il y a pire ou l'on retrouve Satan : Reptilien ? C'est acquis ! Mais reptile avancé, reptile évolué !  Car tuer la faiblesse de l'autre pour la chasser de soi, c'est déjà faire de la faiblesse un concept. Sans concept, sans idéalité, la faiblesse n'existe pas, il n'y a que des sensations de faiblesse. Si ma faiblesse et celle d'autrui participent de la même grand faiblesse, et que les deux sont échangeables c'est un début de savoir, d'intelligence. (Oui, le serpent est intelligent : sacré Satan !)

Il s'agit donc d'une empathie négative. (C'est tout nouveau, ça vient de sortir!)

L'empathie négative reptilienne... Éliminer, tuer sa propre faiblesse, mais dans l'autre et donc, l'autre.

Va falloir évoluer vers l'empathie positive, donner à l'autre de sa force, et non la lui asséner, devenir des mammifères, des hominidés, des vrais hommes : des homos !...

(Ben oui, quoi, ça m'amuse, ça !)

Ben non, le flic a bien été fini à terre et pas l'autre ! Ou alors on n'a pas vu la même vidéo !

L'être humain est ainsi fait qu'il dérape lorsqu'il agit en masse ! Si on regarde bien, sur la vidéo du boxeur, on aperçoit des coups venant d'un gilet jaune sur la passerelle, qui profite de la confusion !

Andrieux qui frappe, on le voit et on voit aussi que des CRS se précipitent pour arrêter l'action, ils ne sont pas tous à mettre dans le même sac.. par contre, côté GJ pas grand monde pour stopper le boxeur, au contraire !

Chez beaucoup d'animaux c'est la chasse en meute, en groupe plutôt qu'en solitaire ! Mais il est rare que ce soit par plaisir, envie, habitude !

Et que dire des jardiniers et autres amoureux d'espaces verts qui taillent et retaillent, coupent, décapitent et étêtent alors que la nature s'en chargerait toute seule ?? mmhhh ?

L'instinct animal, oui. Les charognards se régalent de la proie à terre.

Ce qui permet à l'homme de s'éloigner de l'état animal ou de s'en extraire, c'est la transmission des valeurs, l'éducation. 

C'est moche, c'est lâche, mais quel est le degré de colère, combien de provocations et d'insultes encaissées et essuyées et  quel est le degré d'exaspération des uns et  des autres?

il y a 3 minutes, Léna-Postrof a dit :

L'instinct animal, oui. Les charognards se régalent de la proie à terre.

Ce qui permet à l'homme de s'éloigner de l'état animal ou de s'en extraire, c'est la transmission des valeurs, l'éducation. 

 

Il est parfois bien mince le vernis de la civilisation!

il y a 11 minutes, querida13 a dit :

C'est moche, c'est lâche, mais quel est le degré de colère, combien de provocations et d'insultes encaissées et essuyées et  quel est le degré d'exaspération des uns et  des autres?

Il est parfois bien mince le vernis de la civilisation!

C'est une colère élémentaire, pulsionnelle, dangereuse puisqu'incontrôlable, no limit. Si des revendications sont justes, rien ne justifie pour autant de frapper l'homme qui est à terre, l'homme qui exerce son métier. L'homme qui sera couvert de louanges quand il aura aidé à déjouer un attentat par exemple. 

Chacun réagit à sa façon !

Je constate que Enchantant et Plouj sont du côté de la police. Ils ont le droit ! Il faut dire qu'on a une bonne propagande dans ce sens.

On a quand même déjà vu des gilet jaune qui dégageeaient de flics et des flics qui tabassaient de hommes à terre.

Moi je les mets à égalité.

Pour ce qui est des idées plus générales... la démocratie ?

On nous en rabat les oreilles, mais le peuple, demos n'est pas la foule. (Ne pas confondre "démos", le peuple et deïmos, la terreur, quoi que le peuple inspire la terreur à beaucoup ! Et je dois reconnaître qu'il me fasse un peu peur à moi aussi...)

Tiens, ce serait intéressant de voir une foule de PDG (si ça peut exister ?!) attaquée aux lacrymos : comment qu'elle réagirait ?

Pour revenir à la démocratie qu'on nous clame, et dont on nous affirme qu'elle est notre régime actuel, elle s'est transformée au moyen du capitalisme et/ou du libéralisme, peu à peu en une sorte de ploutocratie.

(La ploutocratie¹ (du grec ploutos : dieu de la richesse et kratos : pouvoir) consiste en un système de gouvernement où la richesse constitue la base principale du pouvoir politique).

C'est un fait ! Pour tout dire, on a un banquier, là, comme président ! Et s'il arrive qu'un non-riche accède à un certain pouvoir, il est tôt corrompu. Nous vivons donc sous le régime d'une certaine aristocratie de (relativement) nantis. Ça n'est pas le peuple, ça n'est pas la démocratie.

Et c'est pour ça que les gilets jaunes dérangent et font peur au pouvoir : Ces benêts voudraient seulement vivre correctement de leur travail, ils n'espèrent même pas s'enrichir ! (Quelle idée que d'accepter de travailler !!!)

Autre idée générale : la République. La chose -res- publique ?!  Est-ce que dilapider -vendre- le bien public (les autoroutes, les aéroports... (qui rapportent, il faut le préciser) est-ce encore la République ? Par définition, non !...

Puisqu'on en est à la "boîte à idées" --le grand débat--, en voici une d'idée qu'il importerait de soumettre à référendum : "Voulez-vous, oui ou non que vos biens publics soient dilapidés?"

Ma formulation est à peine orientée !

la guerre c'est la guerre, et encore plus s'il s'agit de protéger ta vie,

donc moi je n'ai aucun soucis à cogner quelqu'un par terre,

le combat au sol ca fait aussi partie du MMA.

Ca fait trop longtemps que les Francais vivent dans leur cocon

il y a 10 minutes, Blaquière a dit :

Chacun réagit à sa façon !

Je constate que Enchantant et Plouj sont du côté de la police. Ils ont le droit ! Il faut dire qu'on a une bonne propagande dans ce sens.

On a quand même déjà vu des gilet jaune qui dégageeaient de flics et des flics qui tabassaient de hommes à terre.

Moi je les mets à égalité.

Pour ce qui est des idées plus générales... la démocratie ?

On nous en rabat les oreilles, mais le peuple, demos n'est pas la foule. (Ne pas confondre "démos", le peuple et deïmos, la terreur, quoi que le peuple inspire la terreur à beaucoup ! Et je dois reconnaître qu'il me fasse un peu peur à moi aussi...)

Tiens, ce serait intéressant de voir une foule de PDG (si ça peut exister ?!) attaquée aux lacrymos : comment qu'elle réagirait ?

Pour revenir à la démocratie qu'on nous clame, et dont on nous affirme qu'elle est notre régime actuel, elle s'est transformée au moyen du capitalisme et/ou du libéralisme, peu à peu en une sorte de ploutocratie.

(La ploutocratie¹ (du grec ploutos : dieu de la richesse et kratos : pouvoir) consiste en un système de gouvernement où la richesse constitue la base principale du pouvoir politique).

C'est un fait ! Pour tout dire, on a un banquier, là, comme président ! Et s'il arrive qu'un non-riche accède à un certain pouvoir, il est tôt corrompu. Nous vivons donc sous le régime d'une certaine aristocratie de (relativement) nantis. Ça n'est pas le peuple, ça n'est pas la démocratie.

Et c'est pour ça que les gilets jaunes dérangent et font peur au pouvoir : Ces benêts voudraient seulement vivre correctement de leur travail, ils n'espèrent même pas s'enrichir ! (Quelle idée que d'accepter de travailler !!!)

Autre idée générale : la République. La chose -res- publique ?!  Est-ce que dilapider -vendre- le bien public (les autoroutes, les aéroports... (qui rapportent, il faut le préciser) est-ce encore la République ? Par définition, non !...

Puisqu'on en est à la "boîte à idées" --le grand débat--, en voici une d'idée qu'il importerait de soumettre à référendum : "Voulez-vous, oui ou non que vos biens publics soient dilapidés?"

Ma formulation est à peine orientée !

 

Eh bien il me semble qu'il y a eu des manifestations de juristes, des avocats, il n'y a pas si longtemps et que tout le monde s'est bien tenu. 

https://www.liberation.fr/france/2018/04/11/a-paris-la-journee-justice-morte-fait-le-plein-de-robes-noires_1642680

Manifester est un droit, passages à tabac et dégradations sont au moins constitutifs d'un délit. 

il y a 21 minutes, Léna-Postrof a dit :

Eh bien il me semble qu'il y a eu des manifestations de juristes, des avocats, il n'y a pas si longtemps et que tout le monde s'est bien tenu. 

https://www.liberation.fr/france/2018/04/11/a-paris-la-journee-justice-morte-fait-le-plein-de-robes-noires_1642680

Manifester est un droit, passages à tabac et dégradations sont au moins constitutifs d'un délit. 

Le surmoi des juristes est donc plus sévère que celui des flics et ds gilets jaunes...

Je le note...

il y a 28 minutes, Blaquière a dit :

Le surmoi des juristes est donc plus sévère que celui des flics et ds gilets jaunes...

Je le note...

Difficile de juger des personnes, qui ne font que leur travail (et que nous sommes bien contents de trouver par ailleurs). Les forces de l'Ordre sont là pour maintenir l'ordre. S'ils dérapent, en principe ils sont jugés et parfois destitués de leurs fonctions. 

La noblesse d'ame ou la noblesse du guerrier : ne jamais frapper un homme a terre, ne jamais s'attaquer a plus faible que soi, c'est indigne.

Le fort cherche des défis a surmonter, le faible cherche a profiter de la faiblesse des autres.

La désobéissance civile est justifiable dans certains cas, mais la violence physique ne peut l'être que s'il y a tyrannie. Or, à ma connaissance, les citoyens français ont encore le droit de vote, et s'ils votent toujours pour les mêmes cons, alors ils n'ont qu'eux-mêmes à blâmer.

En fait tous les hommes qui frappent un homme frappent forcément homme par Terre.

A moins de sauter suffisamment longtemps entre deux coups de poings ou avoir des ailes.

Il y a 4 heures, Blaquière a dit :

Je constate que Enchantant et Plouj sont du côté de la police.

Ce que je constate c’est que les premiers à gueuler que la police n’est pas là pour assurer leur protection sont les premiers à critiquer cette administration, lorsqu’elle ne vient pas immédiatement ?

Être cohérent entre ses propos et ses actes, c’est reconnaître que la violence légale d’un état de droit et d’une démocratie, c’est à la police que revient cette mission et  qu'elle n’est pas simple à remplir.

Certainement pas au pékin lambda, frustré, qui s’autorise à faire n’importe quoi au prétexte qu’il n’est pas satisfait de son sort.

Blaquière, à votre âge, raisonner comme un adolescent, c’est pitoyable… il n'y a vraiment plus rien à espérer chez vous !

il y a une heure, zenalpha a dit :

En fait tous les hommes qui frappent un homme frappent forcément homme par Terre.

A moins de sauter suffisamment longtemps entre deux coups de poings ou avoir des ailes.

Ah ça me fait penser au mythe d'Hercule combattant Antée.

Bien souvent ( peut etre pas toujours ) la violence est un retrait de la conscience, le violent est comme possédé par une force extérieure.

il y a une heure, Enchantant a dit :

Ce que je constate c’est que les premiers à gueuler que la police n’est pas là pour assurer leur protection sont les premiers à critiquer cette administration, lorsqu’elle ne vient pas immédiatement ?

Être cohérent entre ses propos et ses actes, c’est reconnaître que la violence légale d’un état de droit et d’une démocratie, c’est à la police que revient cette mission et  qu'elle n’est pas simple à remplir.

Certainement pas au pékin lambda, frustré, qui s’autorise à faire n’importe quoi au prétexte qu’il n’est pas satisfait de son sort.

Blaquière, à votre âge, raisonner comme un adolescent, c’est pitoyable… il n'y a vraiment plus rien à espérer chez vous !

Je t'emmerde !