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Les enseignants appelés à la grève lundi 12 novembre

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ouest35

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Membre, Qui est là ?, 36ans Posté(e)
tic-tac Membre 4 597 messages
36ans‚ Qui est là ?,
Posté(e)
Il y a 4 heures, Out of Paprika a dit :

Le souci des filières pro, surtout en région parisienne, sont les mauvaises fréquentations. Elles ne sont pas assez valorisées et servent un peu de fourre tout, des élèves dont on ne sait pas quoi faire, quand d'autres seraient réellement intéressés par la filière.
En tout cas ce serait ma principale préoccupation si ma fille venait à être réorientée. 

Quant aux profs, ils n'ont pas toujours tort mais pas la science infuse non plus ; les conseils sont toujours bons à prendre mais il faut garder son libre arbitre sans se laisser intimider. Combien d'élèves "ric rac" durant toute leur scolarité ont fini par trouver leur voie après le Bac?

C'est un peu pareille pour le général le côté fourre tout...on fout tous les élèves car le " pro" c'est pas bien. Résultat mauvaise notes car les cours les passionnent pas / ou se retrouve décourager car les notes ne suivent pas les efforts. Au collège, c'est les parents qui ont le dernier mot sur l'orientation.

Les mauvaises fréquentations, il y en a aussi dans un lycée générale à l'heure actuelle, vu les faits qui sortent dans la presse.

 

 

Modifié par tic-tac
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Membre, Piment doux, 104ans Posté(e)
Out of Paprika Membre 23 626 messages
104ans‚ Piment doux,
Posté(e)
il y a 21 minutes, tic-tac a dit :

C'est un peu pareille pour le général le côté fourre tout...on fout tous les élèves car le " pro" c'est pas bien. Résultat mauvaise notes car les cours les passionnent pas / ou se retrouve décourager car les notes ne suivent pas les efforts. Au collège, c'est les parents qui ont le dernier mot sur l'orientation.

Les mauvaises fréquentations, il y en a aussi dans un lycée générale à l'heure actuelle, vu les faits qui sortent dans la presse.

 

 

Il y en a partout, maîs je ne mettrai clairement pas mon ado en lycée technique dans le 94. La presse ne sort que ce qui l'arrange. 

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Membre, 54ans Posté(e)
kilitout Membre 2 550 messages
Mentor‚ 54ans‚
Posté(e)
Il y a 21 heures, ouest35 a dit :

"À l'appel de tous les syndicats, du jamais vu depuis le 2011, les enseignants sont appelés à faire grève lundi 12 novembre. Ils dénoncent les suppressions de postes dans l'Éducation nationale.

Ils iront dans la rue pour dénoncer les suppressions de 2.650 postes dans les collèges et les lycées prévues dans le budget 2019. La journée de classe pourrait être perturbée lundi 12 novembre dans les écoles, collèges et lycées : un appel à la grève a été lancé par tous les syndicats représentant l'ensemble des personnels de l'Éducation nationale, une première depuis 2011. Des manifestations sont prévues dans les grandes villes. À Paris, un cortège s'élancera à 14h00 pour rallier le ministère.

Le budget 2019, dont le volet Éducation nationale sera discuté en plénière mardi à l'Assemblée nationale, prévoit de supprimer 2.650 postes dans les collèges et lycées publics, 550 dans le privé, 400 dans l'administration. Quelque 1.800 postes seront créés au primaire, en vertu de "la priorité au primaire" voulue par le ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer.

Les syndicats unis, dans le privé et le public

Les syndicats des fédérations FSU, CFDT et Unsa, dans le primaire (écoles maternelles et élémentaires) et le secondaire (collèges et lycées) ont appelé à la grève, dans le public et le privé, pour réclamer l'annulation de ces suppressions de postes. Les syndicats Éducation nationale d'autres fédérations (CGT, Sud, FO) ont eux aussi lancé un appel à la grève, contre les suppressions de postes mais aussi contre la réforme de l'enseignement professionnel, la réforme du lycée et plus largement contre "la casse du statut général de la fonction publique". Enfin, le syndicat Snalc s'est associé, lui, aux deux plateformes.

"Ce sont deux appels distincts mais au final, tous les syndicats appellent à la grève", avec comme dénominateur commun l'opposition à la suppression de postes dans l'Éducation nationale, résume à l'AFP Catherine Nave-Bekhti, secrétaire générale du Sgen-CFDT. Selon Stéphane Crochet, à la tête du SE-Unsa, c'est la première fois depuis 2011 qu'un appel à la grève sur une thématique éducation rassemble toutes les organisations syndicales, de la maternelle au lycée, dans le public et dans le privé.

40.000 élèves supplémentaires à chaque rentrée

Les personnels "ne comprennent pas" les réductions d'effectifs dans le secondaire, au regard de la poussée démographique attendue en collège et lycée, souligne Catherine Nave-Bekhti. L'agence des statistiques du ministère de l'Éducation, la Depp, prévoit une hausse de 40.000 élèves à chaque rentrée entre 2019 et 2021. Ces suppressions annoncées passent d'autant moins après le mouvement #PasDeVague suscité par le braquage, avec une arme factice, d'une enseignante par un lycéen, au sein d'un établissement de Créteil en octobre, ajoute Frédérique Rolet, secrétaire générale du Snes-FSU, premier syndicat dans le secondaire.

Les témoignages d'enseignants, publiés sur les réseaux sociaux avec le mot-clé #PasDeVague, vont dans le sens d'un renforcement des équipes pédagogiques (enseignants, conseillers principaux d'éducation, mais aussi psychologues, médecins, infirmiers de l'Éducation nationale), et non d'un affaiblissement, avance-t-elle.

La crainte de suppressions supplémentaires

Enfin, le nombre des suppressions de postes peut paraître faible par rapport à la totalité des agents de l'Éducation nationale (environ un million), mais les syndicats s'attendent à ce qu'elles soient suivies d'autres réductions d'effectifs. Emmanuel Macron a indiqué vouloir supprimer 50.000 postes dans la fonction publique d'État d'ici 2022. L'Éducation nationale, qui représente la moitié des effectifs de cette branche de la fonction publique, risque d'être largement mise à contribution, souligne Frédérique Rolet.

Le Snuipp-FSU, premier syndicat dans le primaire, qui a lui aussi appelé à la grève, s'agace d'"une pseudo-priorité" donnée au primaire, affirmant que les postes créés sont loin de couvrir les besoins nés du dédoublement des classes de CP et CE1 en zone d'éducation prioritaire. Plus généralement, le syndicat critique la politique de Jean-Michel Blanquer, qui donne "le tournis" et créé "une école de la défiance", à l'encontre de "l'école de la confiance" voulue par le ministre.

https://actu.orange.fr/france/ecoles-colleges-et-lycees-les-enseignants-appeles-a-la-greve-lundi-CNT0000018n0jS.html

Supprimer des postes en lycées et collèges pour augmenter le nombre en Primaire  = une excellente initiative! **

 C'est en Primaire que doivent s'acquérir se développer se multiplier des connaissances, des METHODES de travail pour générer des parcours, acquisitions plus faciles, plus "transversales" (très important la transversalité *** à ce niveau...) etc... en collège et lycée : faire le contraire serait pure hérésie!

Au Primaire les élèves ont BESOIN CONTINUELLEMENT du soutien/accompagnement/orientation de leur/s enseignant/s = en pleine "formation"; après, qd ce "travail" a été bien réalisé, les enfants ont acquis une certaine autonomie sur laquelle les enseignants des collèges puis lycées peuvent s'appuyer.

** En collège comme en lycée, les profs trouvent du temps pour des activités "annexes" = que leur temps OBLIGATOIRE d'enseignement, peut leur permettre: ce qui est très rare en Primaire!! (pour les enseignants qui ENSEIGNENT/travaillent  AVEC des élèves ...évidemment!)

*** que permet à ces niveaux, une certaine maturité des élèves.

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Invité Ink 82
Invités, Posté(e)
Invité Ink 82
Invité Ink 82 Invités 0 message
Posté(e)

Bonsoir,

Cette humeur est-elle bien justifiée ? Les effectifs de prof ont considérablement augmenté sous Hollande. Une mesure électoraliste qui ne lui aura pas réussi. J'ai conscience que parcoursup a par exemple augmenté la charge de travail, mais pour les concernés par les terminales. Je ne connais pas les perspectives d'effectifs du secondaire. Je m'interroge donc sans cette donnée. La réforme des spécialisations devrait, me semble-t-il ventiler les élèves avec des besoins différenciés. Alors les problèmes de classes surchargées se posent-ils vraiment ?

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 43 minutes, Ink 82 a dit :

Cette humeur est-elle bien justifiée ? Les effectifs de prof ont considérablement augmenté sous Hollande. 

Les augmentations sous Hollande n'ont jamais pu compenser les diminutions de l'ère Sarkozy. 

 

Il y a 9 heures, doug1991 a dit :

Toujours ce mépris pour les filières pro, il y a des choses qui changent pas dans l'EN. 

Je ne vois pas où je méprise les filières pro dans mon message. 

Mon avis est que vous vouliez voir apparaître du mépris pour les filières pro, et qu'en voyant mon message, vous vous êtes dit "voilà l'occasion !"

Mon message rappelait un fait tout à fait vérifiable : les filières pro, en France ou dans le reste de l'Europe, sont des espaces de relégations des classes exploitées. 

Le rappeler n'est pas un mépris. En revanche, votre message s'impose en matière de mépris pour vos interlocuteurs. Bien joué :bo:

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Membre, Troll Rural, 33ans Posté(e)
doug1991 Membre 7 461 messages
33ans‚ Troll Rural,
Posté(e)
il y a 7 minutes, PLS maker a dit :

Je ne vois pas où je méprise les filières pro dans mon message. 

Mon avis est que vous vouliez voir apparaître du mépris pour les filières pro, et qu'en voyant mon message, vous vous êtes dit "voilà l'occasion !"

Mon message rappelait un fait tout à fait vérifiable : les filières pro, en France ou dans le reste de l'Europe, sont des espaces de relégations des classes exploitées. 

Le rappeler n'est pas un mépris. En revanche, votre message s'impose en matière de mépris pour vos interlocuteurs. Bien joué :bo:

Des que quelqu'un propose de mettre en avant les sections pro, tu t'oppose par principe.

les filières pro sont ce que les profs en font.

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Membre, Directeur, Administrateur, 42ans Posté(e)
Fuck Them All Membre 12 661 messages
42ans‚ Directeur, Administrateur,
Posté(e)

C'est dure la vie de prof quand même, je regardais ces gens brûlés en Californie et ensuite ces profs se plaindre d'avoir jusqu'à 30 élèves par classe. Quelle catastrophe ! 

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Membre, 114ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 114ans‚
Posté(e)
il y a une heure, Ink 82 a dit :

Cette humeur est-elle bien justifiée ? Les effectifs de prof ont considérablement augmenté sous Hollande. Une mesure électoraliste qui ne lui aura pas réussi. J'ai conscience que parcoursup a par exemple augmenté la charge de travail, mais pour les concernés par les terminales. Je ne connais pas les perspectives d'effectifs du secondaire. Je m'interroge donc sans cette donnée. La réforme des spécialisations devrait, me semble-t-il ventiler les élèves avec des besoins différenciés. Alors les problèmes de classes surchargées se posent-ils vraiment ?

non ce n'est pas justifié ... Ce qui le serait c'est une revendication salariale .. moins de profs ,mais recrutés avec un master minimum et mieux payés ,avec un domaine de compétence principal et un autre secondaire leur permettant de remplacer un collègue absent ...

12 millions d'élèves pour 860.000 enseignants ,un million et demi de salariés , 49 milliards de budget et 50,5 l'an prochain la 6° entreprise privée au monde ,ça devrait suffire avec un minimum d'organisation ...

Modifié par stvi
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Invité Ink 82
Invités, Posté(e)
Invité Ink 82
Invité Ink 82 Invités 0 message
Posté(e)

Les profs sont déjà recrutés avec un master minimum. La cour des comptes souhaite d'ailleurs revenir sur cette mesure, car l'éducation nationale peine à recruter. Vu le cursus et la difficulté du CAPES, du CAFEP et de l'agrégation, vous ne pourrez jamais enseigner en l'espace d'un master un niveau acceptable dans deux matières comme vous le préconisez. C'est ainsi d'ailleurs que pour des matières mixtes comme l'histoire géo, il y a une dominante jusqu'au concours même. Bonne soirée

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 37 minutes, doug1991 a dit :

Des que quelqu'un propose de mettre en avant les sections pro, tu t'oppose par principe.

Citation ? 

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Membre, 114ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 114ans‚
Posté(e)
il y a 23 minutes, Ink 82 a dit :

Les profs sont déjà recrutés avec un master minimum. La cour des comptes souhaite d'ailleurs revenir sur cette mesure, car l'éducation nationale peine à recruter. Vu le cursus et la difficulté du CAPES, du CAFEP et de l'agrégation, vous ne pourrez jamais enseigner en l'espace d'un master un niveau acceptable dans deux matières comme vous le préconisez. C'est ainsi d'ailleurs que pour des matières mixtes comme l'histoire géo, il y a une dominante jusqu'au concours même. Bonne soirée

les concours internes sont déjà  limités à bac+3...

"Le niveau de qualification pour les concours internes CPRE : bac+3."

Il ne s'agit pas de posséder des connaissances extraordinaires pour remplacer pour quelques heures un collègue absent ...ou alors conserver le même niveau de rémunération pour les professeurs titulaires et embaucher des intérimaires non qualifiés à la place d'administratifs ... le budget de l'EN n'est pas extensible .. il y a aussi le choix de supprimer le redoublement ce qui allègerait l'effectif d'élèves de plus d'un million ... le redoublement est une spécialité française 

En même temps, je préfère que les enfants soient en train de parler anglais avec une personne bilingue plutôt que de traîner dans le parc en face du lycée parce qu’il "n’y a pas cours". Ce "Il n’y a pas de prof aujourd’hui" auquel parents comme élèves se sont habitués. Il ne passe pas une semaine sans qu’une heure saute dans chaque classe

Modifié par stvi
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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
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Posté(e)
il y a 2 minutes, stvi a dit :

Il ne s'agit pas de posséder des connaissances extraordinaires pour remplacer pour quelques heures un collègue absent ...

C'est clair, pour les remplacements, un enseignement au rabais suffit, de toute façon c'est que quelques heures :rolle: 

il y a 3 minutes, stvi a dit :

En même temps, je préfère que les enfants soient en train de parler anglais avec une personne bilingue plutôt que de traîner dans le parc en face du lycée parce qu’il "n’y a pas cours".

Gnagnagna il suffit d'être bilingue pour enseigner les langues looool 

:facepalm:

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 34 minutes, Ink 82 a dit :

Les profs sont déjà recrutés avec un master minimum. La cour des comptes souhaite d'ailleurs revenir sur cette mesure, car l'éducation nationale peine à recruter. Vu le cursus et la difficulté du CAPES, du CAFEP et de l'agrégation, vous ne pourrez jamais enseigner en l'espace d'un master un niveau acceptable dans deux matières comme vous le préconisez.

Il y a un autre moyen : encourager le recours à la qualification dans une autre matière après entretien avec un inspecteur de la matière visée. 

Pour l'instant, ce processus n'est aisé que pour obtenir une qualification en LV. Si un collègue de math peut obtenir une qualification en anglais, le contraire est encore trop rare et semble marqué par la réticence des inspecteurs. Il conviendrait de rendre plus facile ces ponts, tout en étant très attentifs sur les qualités d'enseignement dans cette matière seconde par le candidat, et pousser assez loin l'entretien. 

il y a 15 minutes, stvi a dit :

les concours internes sont déjà  limités à bac+3...

"Le niveau de qualification pour les concours internes CPRE : bac+3."

Mais après combien d'années d'expérience ? :o°

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Membre, 54ans Posté(e)
kilitout Membre 2 550 messages
Mentor‚ 54ans‚
Posté(e)

Ceci pour compléter mon message précédent:

-Pourquoi les enseignants du Primaire jusqu'au lycée ne passeraient-ils pas le CONTRAT suivant avec leur ministre?

- "OK pour plus de postes en Primaire (rappel: où tout se joue, pour la suite) qu'en collège et lycée mais vous oubliez illico TOUS ces "référentiels" internationaux que sont "PISA" et autres.

"Nous travaillons avec de la "matière" PENSANTE mutante, muable etc...et seules les  compétences  de nos "apprenants" et leur évolution et "désirs d'avenir", doivent nous occuper AB SO LU MENT RIEN d'AUTRE et surtout pas de quelconques "référentiels" mondiaux pour au pire,  faire de nos apprenants et D'ABORD...de la "chair à multinationale/s esclavagiste/s"

NB/l'école D'ABORD, DOIT accueillir TOUS les enfants, handicapés de tout ordre compris!!!!!!!!! Donc et re: "foin" des "référentiels! SEULS COMPTENT les compétences DE DEPART des élèves et l'évolution de ces compétences induisant de fait, leur évaluation : un "contrat" entre l'enseignant et son "apprenant" pas entre l'enseignant et l'élève et un quelconque "référentiel"!!!!!!Nuance!

Les enseignants eux DEVANT à TOUT INSTANT AJUSTER/REAJUSTER leur enseignement/leurs progressions pour coller au mieux AUX REALITES de leurs élèves, pris individuellement!

C'est DUR!! Oui! Mais faisable.Enseigner n'est pas donné à n'importe qui.

 

 

 

 

à l’instant, kilitout a dit :

Ceci pour compléter mon message précédent:

-Pourquoi les enseignants du Primaire jusqu'au lycée ne passeraient-ils pas le CONTRAT suivant avec leur ministre?

- "OK pour plus de postes en Primaire (rappel: où tout se joue, pour la suite) qu'en collège et lycée mais vous oubliez illico TOUS ces "référentiels" internationaux que sont "PISA" et autres.

"Nous travaillons avec de la "matière" PENSANTE mutante, muable etc...et seules les  compétences  de nos "apprenants" et leur évolution et "désirs d'avenir", doivent nous occuper AB SO LU MENT RIEN d'AUTRE et surtout pas de quelconques "référentiels" mondiaux pour au pire,  faire de nos apprenants et D'ABORD...de la "chair à multinationale/s esclavagiste/s"

NB/l'école D'ABORD, DOIT accueillir TOUS les enfants, handicapés de tout ordre compris!!!!!!!!! Donc et re: "foin" des "référentiels! SEULS COMPTENT les compétences DE DEPART des élèves et l'évolution de ces compétences induisant de fait, leur évaluation : un "contrat" entre l'enseignant et son "apprenant" pas entre l'enseignant et l'élève et un quelconque "référentiel"!!!!!!Nuance!

Les enseignants eux DEVANT à TOUT INSTANT AJUSTER/REAJUSTER leur enseignement/leurs progressions pour coller au mieux AUX REALITES de leurs élèves, pris individuellement!

C'est DUR!! Oui! Mais faisable.Enseigner n'est pas donné à n'importe qui.

 

 

 

 

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"SeulEs comptent..."

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Membre, 71ans Posté(e)
jacky29 Membre 40 501 messages
Maitre des forums‚ 71ans‚
Posté(e)
Il y a 15 heures, ouest35 a dit :

si cela n'est pas HS, j'applaudis! et évite de faire ton pinochet, merci. 

je rappelle que le projet du gouvernement n'est pas voté. et ne me dis pas que je trolle, merci.

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Membre, 88ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 230 messages
Maitre des forums‚ 88ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, jacky29 a dit :

si cela n'est pas HS, j'applaudis! et évite de faire ton pinochet, merci. 

je rappelle que le projet du gouvernement n'est pas voté. et ne me dis pas que je trolle, merci.

" évite de faire ton pinochet " ?????

Développez s'il vous plait ... l'insulte le mérite. Je vous signale également que j'ai mis le lien sans commentaires d'où mon interrogation sur ma ressemblance avec Pinochet et "ma faute HS" ...

Hors sujet le contenu du lien ????

"AFP, publié le lundi 12 novembre 2018 à 16h05

La grève contre les suppressions de postes dans l'Education était suivie lundi par près d'un enseignant sur deux dans le second degré et un sur quatre dans le primaire selon les syndicats, le ministère ne recensant que 10% de grévistes dont certains ont défilé dans plusieurs villes en France.

"25% des enseignants du premier degré sont en grève pour exiger un autre budget et une autre politique éducative", a indiqué à la mi-journée le Snuipp-FSU, premier syndicat dans le primaire.

Du côté des enseignants du second degré (collège et lycée), "près d'un sur deux est en grève", a recensé le Snes-FSU, premier syndicat dans le secondaire, jugeant que "c'est un mécontentement profond qui s'exprime".

Les taux de grévistes communiqué par le ministère de l'Education sont bien moindres: 8,7% dans le premier degré, 13,8% dans le second degré, soit une moyenne générale de près de 10% chez l'ensemble des personnels (11,3% chez les seuls enseignants) pour cette première mobilisation d'ampleur contre la politique du ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer.

Des manifestations étaient parallèlement prévues dans les grandes villes.

A Paris, le cortège de plusieurs centaines de personnes s'est élancé du jardin du Luxembourg pour rallier le ministère peu après 14H00 sous une banderole indiquant: "Pour une autre politique dans l'éducation. Refus de toutes les suppressions de postes".

"On nous dit qu'on va supprimer des postes alors qu'on a des réformes dans le secondaire et une hausse de la démographie des élèves", a déclaré à l'AFP Frédéric Marchand, secrétaire général de la fédération SE-Unsa.

"Toutes les organisations syndicales se retrouvent sur un socle commun: les suppressions de postes; tout le monde s'est mis d'accord pour dire stop", a expliqué Stéphane Crochet, à la tête du SE-Unsa éducation. Selon le syndicaliste, c'est la première fois depuis 2011 qu'un appel à la grève dans l'éducation rassemble toutes les organisations syndicales, de la maternelle au lycée, dans le public et dans le privé.

- "Plus tendu" -

Sophie Sauvageot, conseillère principale d'éducation (CPE) au lycée polyvalent Gustave-Monod d'Enghien-les-Bains (Val d'Oise), explique que son établissement a "perdu 7 personnes l'an dernier dans l'équipe de vie scolaire alors qu'il y en avait 18 l'année d'avant. C'est plus tendu parce que les élèves sentent que l'adulte n'est plus là".

A Marseille, la manifestation a réuni dans la matinée 1.000 personnes, selon la police. "Ca fait un an que le gouvernement fait du marketing avec un discours très séduisant pour les familles, mais sa réforme se traduit en fait par des suppressions de postes", a déclaré Laurent Tramoni, responsable régional du Snes-FSU.

A Lyon, 2.500 personnes ont manifesté, selon les syndicats, 1.800 selon la préfecture. Philippe Savoye, professeur au lycée La Martinière Duchère, redoute la réforme du lycée: "Elle aura des conséquences sur les effectifs".

Josepha Balsalobre, prof d'éco-gestion, s'inquiète, elle, de la diminution du personnel administratif. "On va surcharger le personnel administratif des établissements, ce qui va induire une dégradation du suivi des élèves" assuré notamment par les proviseurs adjoints.

Le budget 2019, dont le volet Education nationale sera discuté en session plénière mardi à l'Assemblée nationale, prévoit de supprimer 2.650 postes dans les collèges et lycées publics, 550 dans le privé, 400 dans l'administration. Quelque 1.800 postes seront créés au primaire, en vertu de "la priorité au primaire" voulue par Jean-Michel Blanquer.

Les syndicats ne comprennent pas ces réductions d'effectifs, au regard de la poussée démographique attendue en collèges et lycées. L'agence des statistiques du ministère de l'Éducation prévoit en effet une hausse de 40.000 élèves à chaque rentrée entre 2019 et 2021 dans le secondaire.

Le nombre des suppressions peut paraître faible par rapport à la totalité des agents de l'Education nationale (environ un million), mais les syndicats s'attendent à ce qu'elles soient suivies d'autres baisses d'effectifs.

A Nantes, environ 850 personnes selon la police, entre 1.200 et 1.500 selon les organisateurs, se sont rassemblées. Axel Benoist, secrétaire national du Snuep-FSU, proteste principalement contre la réforme de l'enseignement professionnel : elle vise, selon lui, à "supprimer plus de 10% d'heures de cours pour les élèves, donc des professeurs". 

Quelque 800 personnes ont aussi défilé à Caen, et 700 à Clermond-Ferrand, selon les préfectures. A Saint-Etienne, une manifestation a réuni un millier de personnes selon les organisateurs, 700 d'après la police.

 

LE SUJET : Grève dans l'Education nationale lundi 12 novembre 2018 !

Développez le HS je suis tous yeux ....

 

 
 

 

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Membre, 71ans Posté(e)
jacky29 Membre 40 501 messages
Maitre des forums‚ 71ans‚
Posté(e)
il y a 3 minutes, ouest35 a dit :

" évite de faire ton pinochet " ?????

Développez s'il vous plait ... l'insulte le mérite. Je vous signale également que j'ai mis le lien sans commentaires d'où mon interrogation sur ma ressemblance avec Pinochet et la "ma faute HS" ...

Hors sujet le contenu du lien ????

"AFP, publié le lundi 12 novembre 2018 à 16h05

La grève contre les suppressions de postes dans l'Education était suivie lundi par près d'un enseignant sur deux dans le second degré et un sur quatre dans le primaire selon les syndicats, le ministère ne recensant que 10% de grévistes dont certains ont défilé dans plusieurs villes en France.

"25% des enseignants du premier degré sont en grève pour exiger un autre budget et une autre politique éducative", a indiqué à la mi-journée le Snuipp-FSU, premier syndicat dans le primaire.

Du côté des enseignants du second degré (collège et lycée), "près d'un sur deux est en grève", a recensé le Snes-FSU, premier syndicat dans le secondaire, jugeant que "c'est un mécontentement profond qui s'exprime".

Les taux de grévistes communiqué par le ministère de l'Education sont bien moindres: 8,7% dans le premier degré, 13,8% dans le second degré, soit une moyenne générale de près de 10% chez l'ensemble des personnels (11,3% chez les seuls enseignants) pour cette première mobilisation d'ampleur contre la politique du ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer.

Des manifestations étaient parallèlement prévues dans les grandes villes.

A Paris, le cortège de plusieurs centaines de personnes s'est élancé du jardin du Luxembourg pour rallier le ministère peu après 14H00 sous une banderole indiquant: "Pour une autre politique dans l'éducation. Refus de toutes les suppressions de postes".

"On nous dit qu'on va supprimer des postes alors qu'on a des réformes dans le secondaire et une hausse de la démographie des élèves", a déclaré à l'AFP Frédéric Marchand, secrétaire général de la fédération SE-Unsa.

"Toutes les organisations syndicales se retrouvent sur un socle commun: les suppressions de postes; tout le monde s'est mis d'accord pour dire stop", a expliqué Stéphane Crochet, à la tête du SE-Unsa éducation. Selon le syndicaliste, c'est la première fois depuis 2011 qu'un appel à la grève dans l'éducation rassemble toutes les organisations syndicales, de la maternelle au lycée, dans le public et dans le privé.

- "Plus tendu" -

Sophie Sauvageot, conseillère principale d'éducation (CPE) au lycée polyvalent Gustave-Monod d'Enghien-les-Bains (Val d'Oise), explique que son établissement a "perdu 7 personnes l'an dernier dans l'équipe de vie scolaire alors qu'il y en avait 18 l'année d'avant. C'est plus tendu parce que les élèves sentent que l'adulte n'est plus là".

A Marseille, la manifestation a réuni dans la matinée 1.000 personnes, selon la police. "Ca fait un an que le gouvernement fait du marketing avec un discours très séduisant pour les familles, mais sa réforme se traduit en fait par des suppressions de postes", a déclaré Laurent Tramoni, responsable régional du Snes-FSU.

A Lyon, 2.500 personnes ont manifesté, selon les syndicats, 1.800 selon la préfecture. Philippe Savoye, professeur au lycée La Martinière Duchère, redoute la réforme du lycée: "Elle aura des conséquences sur les effectifs".

Josepha Balsalobre, prof d'éco-gestion, s'inquiète, elle, de la diminution du personnel administratif. "On va surcharger le personnel administratif des établissements, ce qui va induire une dégradation du suivi des élèves" assuré notamment par les proviseurs adjoints.

Le budget 2019, dont le volet Education nationale sera discuté en session plénière mardi à l'Assemblée nationale, prévoit de supprimer 2.650 postes dans les collèges et lycées publics, 550 dans le privé, 400 dans l'administration. Quelque 1.800 postes seront créés au primaire, en vertu de "la priorité au primaire" voulue par Jean-Michel Blanquer.

Les syndicats ne comprennent pas ces réductions d'effectifs, au regard de la poussée démographique attendue en collèges et lycées. L'agence des statistiques du ministère de l'Éducation prévoit en effet une hausse de 40.000 élèves à chaque rentrée entre 2019 et 2021 dans le secondaire.

Le nombre des suppressions peut paraître faible par rapport à la totalité des agents de l'Education nationale (environ un million), mais les syndicats s'attendent à ce qu'elles soient suivies d'autres baisses d'effectifs.

A Nantes, environ 850 personnes selon la police, entre 1.200 et 1.500 selon les organisateurs, se sont rassemblées. Axel Benoist, secrétaire national du Snuep-FSU, proteste principalement contre la réforme de l'enseignement professionnel : elle vise, selon lui, à "supprimer plus de 10% d'heures de cours pour les élèves, donc des professeurs". 

Quelque 800 personnes ont aussi défilé à Caen, et 700 à Clermond-Ferrand, selon les préfectures. A Saint-Etienne, une manifestation a réuni un millier de personnes selon les organisateurs, 700 d'après la police.

 

LE SUJET : Grève dans l'Education nationale lundi 12 novembre 2018 !

Développez le HS je suis tous yeux ....

 

 
 

 

dis-moi en quoi cette grève du zèle apporte quoi que se soit puisque les discussions sur ce projet ne sont pas encore effectives? pour faire grève, il me semble, il faut que des négociations soient rompues, je me trompe peut être? mais c'est ainsi que je vois les choses... une grève pour rien n'apporte rien en définitive sauf à emmerder les parents qui n'y peuvent mais. au lieu de discuter du bien fondé du projet en question et de son élaboration, les enseignants préfèrent la grève pour rien! c'est curieux, je m'interroge sur la pertinence de ces personnes qui s'engouffrent dans un système qui a démontré par le passé qu'il en devient obsolète alors que les discussions ne sont pas encore à l'ordre du jour?! 

et vis à vis de ma remarque, menacer les internantes de faire fermer un topic même si c'est le sien revient à censurer, Pinochet ne s'en privait pas et il ne fut pas le seul! point.

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Membre, 88ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 230 messages
Maitre des forums‚ 88ans‚
Posté(e)
il y a 10 minutes, jacky29 a dit :

dis-moi en quoi cette grève du zèle apporte quoi que se soit puisque les discussions sur ce projet ne sont pas encore effectives? pour faire grève, il me semble, il faut que des négociations soient rompues, je me trompe peut être? mais c'est ainsi que je vois les choses... une grève pour rien n'apporte rien en définitive sauf à emmerder les parents qui n'y peuvent mais. au lieu de discuter du bien fondé du projet en question et de son élaboration, les enseignants préfèrent la grève pour rien! c'est curieux, je m'interroge sur la pertinence de ces personnes qui s'engouffrent dans un système qui a démontré par le passé qu'il en devient obsolète alors que les discussions ne sont pas encore à l'ordre du jour?! 

et vis à vis de ma remarque, menacer les internantes de faire fermer un topic même si c'est le sien revient à censurer, Pinochet ne s'en privait pas et il ne fut pas le seul! point.

" et vis à vis de ma remarque, menacer les internantes de faire fermer un topic même si c'est le sien revient à censurer,....

Pinochet ne s'en privait pas et il ne fut pas le seul! point."

 

Ouest35 = Pinochet :fille:

 

 

Modifié par ouest35
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Membre, 153ans Posté(e)
chanou 34 Membre 25 913 messages
Maitre des forums‚ 153ans‚
Posté(e)
il y a 17 minutes, jacky29 a dit :

 

et vis à vis de ma remarque, menacer les internantes de faire fermer un topic même si c'est le sien revient à censurer, Pinochet ne s'en privait pas et il ne fut pas le seul! point.

Naaan mais jacky ça va pas bien là? :D

Comparer Ouest à Pinochet? :D

C'est tout aussi ridicule que de comparer la décision de se servir des réseaux sociaux pour traquer les fraudeurs à la stasi!

  • Merci 2
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 772 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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