Les hommes connus ou/et de pouvoir doivent-ils faire plus attention aux femmes que les autres ?

il y a 2 minutes, Léna-Postrof a dit :

Manifestement, vous avez le nombril plus haut que les oreilles...et ce frein que vous avez toujours du mal à ronger.

Prenez donc un pisse-mémé Émile ou allez donc tirer un coup. Bon ça ne changera rien au fait indubitable que vous ne pipez rien -sans vilain jeu de mots- mais au moins, ça vous détendra. 

N.B : Oh et vous serez bien urbain de vouloir bien ne plus m'inviter sur ce genre de sujet faussement polémique. Je ne ferai jamais figure de Samu social. Les lacrymâles m'ennuient, vraiment. 

Pauvre petite qui se croit obligée de rabaisser ou d'infantiliser systématiquement les hommes pour affirmer son pseudo féminisme, quelle misère que cette verticalité de façade, faussement provocatrice car incapable de se remettre en question, tu me fais de la peine  ^^

il y a 6 minutes, fx. a dit :

Pauvre petite qui se croit obligée de rabaisser ou d'infantiliser systématiquement les hommes pour affirmer son pseudo féminisme, quelle misère que cette verticalité de façade, faussement provocatrice car incapable de se remettre en question, tu me fais de la peine  ^^

Je ne me sens pas bien tant que je n'ai pas castré deux ou trois mâles dans une journée. C'est comme Sega, c'est plus fort que moi. 

"Rabaisser, infantiliser systématiquement" des hommes qui viennent se jeter sous mes jupes, tout postillonnants, parce qu'il leur est insupportable que je puisse écrire que le voile est patriarcal, ou encore qu'il est intolérable d'accorder plus de valeur à la parole d'un homme sous prétexte exclusif "qu'il dispose d'un service 3 pièces" en 2018... mais avec plaisir, je continuerai. Manquerait plus que je leur fasse des bisous.

Il est d'usage, en effet de brandir le féminisme à tout va -comme si c'était vraiment un vilain mot- de les enfermer dans cette chapelle idéologique, de qualifier les femmes de misandres, d'hystériques et j'en passe et des meilleures, de les diffamer par tous les moyens possibles et imaginables, pour tenter de les museler. J'ai une info pour vous : ça ne marche pas. 

il y a 2 minutes, Léna-Postrof a dit :

Je ne me sens pas bien tant que je n'ai pas castré deux ou trois mâles dans une journée. C'est comme Sega, c'est plus fort que moi. 

"Rabaisser, infantiliser systématiquement" des hommes qui viennent se jeter sous mes jupes, tout postillonnants, parce qu'il leur est insupportable que je puisse écrire que le voile est patriarcal, ou encore qu'il est intolérable d'accorder plus de valeur à la parole d'un homme sous prétexte exclusif "qu'il dispose d'un service 3 pièces" en 2018... mais avec plaisir, je continuerai. Manquerait plus que je leur fasse des bisous.

Il est d'usage, en effet de brandir le féminisme à tout va -comme si c'était vraiment un vilain mot- de les enfermer dans cette chapelle idéologique, de qualifier les femmes de misandres, d'hystériques et j'en passe et des meilleures, de les diffamer par tous les moyens possibles et imaginables, pour tenter de les museler. J'ai une info pour vous : ça ne marche pas. 

Aucune féministe n'a jamais fait progresser qui que ce soit en le traitant de mongolien, tu reproduis tous les schémas de domination du patriarcat de manière caricaturale.

Je pense que chaque milieu, comme une caste, a ses codes et ses normes …dites ou pas explicitement…et que les affinités électives ( je ne parle pas de Boerhave ou Goethe hein…. mais de la « sympathie née d'une ressemblance profonde entre les caractères, les opinions, les goûts de deux personnes »)….ont une importance non négligeable…

Cela n’exclut pas les relations éphémères, mais un véritable engagement, à mon sens, ne pourra exister que dans la convergence d’idées et de valeurs.... d’ailleurs la plupart des gens l’appliquent d’eux-mêmes sans y être forcés …

Cependant, dans certains milieux, les relations entre les gens sont bien plus libérées qu’ailleurs ce qui entraîne un flou dans les relations professionnelles, une sorte de tolérance implicite, et qui entraine la perte des repères de bon comportement comme le fait remarquer Ping….

La plupart des top managers dans certaines organisations reçoivent des modules de formations sur les « risques spécifiques liés à la fonction »…et dans ces cours une grande partie est au sujet des relations avec les collaboratrices ou même les rencontres féminines…

D’ailleurs pourquoi les entreprises qui aimeraient recruter n’ envoient pas un cadre de 55 ans qui a le même parcours que la personne qu’ils veulent pour aller boire un verre en parlant du passé comme deux vieux copains de régiment….mais leur très élégante, cultivée et distinguée Madame DRH c’est aussi pour donner une image intéressante de l’entreprise et attirer l’attention par sa personnalité …(oui il faut bien le reconnaître …ou alors être un fameux hypocrite…)

Si j’étais seul …ce serait effectivement par affinité de valeurs et spirituelle, pas forcément de milieu car une personne issue d’un milieu modeste mais qui aura étudié et qui sera éduquée pourra avoir assimilé les codes des deux « mondes » et s’intégrer parfaitement….mais je pense, et aussi expérience faite,  que les oppositions de valeurs profondes ainsi que de convictions religieuses ou politiques font que le couple dure rarement …parceque demander à l’autre de « changer » si lui-même n’est pas dans cette démarche, c’est une illusion….

Il y a 10 heures, Léna-Postrof a dit :

Je ne me sens pas bien tant que je n'ai pas castré deux ou trois mâles dans une journée. C'est comme Sega, c'est plus fort que moi. 

"Rabaisser, infantiliser systématiquement" des hommes qui viennent se jeter sous mes jupes, tout postillonnants, parce qu'il leur est insupportable que je puisse écrire que le voile est patriarcal, ou encore qu'il est intolérable d'accorder plus de valeur à la parole d'un homme sous prétexte exclusif "qu'il dispose d'un service 3 pièces" en 2018... mais avec plaisir, je continuerai. Manquerait plus que je leur fasse des bisous.

Il est d'usage, en effet de brandir le féminisme à tout va -comme si c'était vraiment un vilain mot- de les enfermer dans cette chapelle idéologique, de qualifier les femmes de misandres, d'hystériques et j'en passe et des meilleures, de les diffamer par tous les moyens possibles et imaginables, pour tenter de les museler. J'ai une info pour vous : ça ne marche pas. 

Hum. Vous pourriez vous relire ( la première phrase ) ?

Bah je vous aide. Vous réécrivez le tout au féminin. Voilà qui sonne bizarre non ?

De rien.

" Cherche potiche sensible à cinquante nuances de grès "

Il y a 21 heures, Foraveur a dit :

Je pense que chaque milieu, comme une caste, a ses codes et ses normes …dites ou pas explicitement…et que les affinités électives ( je ne parle pas de Boerhave ou Goethe hein…. mais de la « sympathie née d'une ressemblance profonde entre les caractères, les opinions, les goûts de deux personnes »)….ont une importance non négligeable…

Cela n’exclut pas les relations éphémères, mais un véritable engagement, à mon sens, ne pourra exister que dans la convergence d’idées et de valeurs.... d’ailleurs la plupart des gens l’appliquent d’eux-mêmes sans y être forcés …

Cependant, dans certains milieux, les relations entre les gens sont bien plus libérées qu’ailleurs ce qui entraîne un flou dans les relations professionnelles, une sorte de tolérance implicite, et qui entraine la perte des repères de bon comportement comme le fait remarquer Ping….

La plupart des top managers dans certaines organisations reçoivent des modules de formations sur les « risques spécifiques liés à la fonction »…et dans ces cours une grande partie est au sujet des relations avec les collaboratrices ou même les rencontres féminines…

D’ailleurs pourquoi les entreprises qui aimeraient recruter n’ envoient pas un cadre de 55 ans qui a le même parcours que la personne qu’ils veulent pour aller boire un verre en parlant du passé comme deux vieux copains de régiment….mais leur très élégante, cultivée et distinguée Madame DRH c’est aussi pour donner une image intéressante de l’entreprise et attirer l’attention par sa personnalité …(oui il faut bien le reconnaître …ou alors être un fameux hypocrite…)

Si j’étais seul …ce serait effectivement par affinité de valeurs et spirituelle, pas forcément de milieu car une personne issue d’un milieu modeste mais qui aura étudié et qui sera éduquée pourra avoir assimilé les codes des deux « mondes » et s’intégrer parfaitement….mais je pense, et aussi expérience faite,  que les oppositions de valeurs profondes ainsi que de convictions religieuses ou politiques font que le couple dure rarement …parceque demander à l’autre de « changer » si lui-même n’est pas dans cette démarche, c’est une illusion….

Des modules sur la loi anti corruption pour les cadres travaillant à l'international, des modules sur la protection des données, nouvellement... des modules sur les relations hommes-femmes afin de prévenir les hommes et les femmes (oui "top manager" n'est sans doute pas un poste réservé exclusivement à la gente masculine) de ne pas saisir la moindre occas' pour sauter sur tout ce qui bouge ? C'est désolant de devoir rappeler certains basiques. 

De plus en plus d'entreprises font déjà signer à l'arrivée de nouveaux employés une charte de bonne conduite (harcèlement, discrimination raciale interdits etc...) et envoient un petit mail de temps à autre, pour rappel. C'est aussi le travail de la DRH, oh et à ce propos l'élégance et la distinction peuvent être très subjectives, jusqu'à présent je n'ai croisé que des rombières en poste et un homme (oui oui il y en a tout de même). Au passage, un lien intéressant sur les inégalités salariales, dans cette profession : 

https://www.lesechos.fr/29/11/2017/lesechos.fr/030946038629_salaires---mieux-vaut-etre-un-drh-qu-une-drh.htm

Il y a 20 heures, HariSeldon a dit :

Hum. Vous pourriez vous relire ( la première phrase ) ?

Bah je vous aide. Vous réécrivez le tout au féminin. Voilà qui sonne bizarre non ?

De rien.

Vous pouvez effectivement vous arrêter sur cette première phrase, tout en faisant fî du contexte, de l'intervenant auquel je réponds... ou bien lire la seconde qui peut-être aussi indice, vous demander, si peut-être, au grand peut-être, il est possible que j'eus usé d'ironie. Enfin c'est vous qui voyez, en bonne féministe castratrice que je suis, je ne vous oblige pas, ne vous force pas, ne vous enjoins même pas. 

Pour le reste, considérer que ces hommes avilissant les femmes, phallocrates, et encore ceux qui ont assez de souffle pour se plaindre ou tenter de se faire plaindre alors que des femmes sont réellement victimes -viols, agressions sexuelles, harcèlements- sont très représentatifs des hommes, comme vous venez de le faire, reste dangereux et indigne. Si vous ne savez pas faire la différence entre ceux-ci et les hommes modernes, progressistes, des plus charmants, personnellement, je sais la faire. Finalement, vous être très proche de ce féminisme "puritain", ah c'est moche.

Et sinon, bienvenue.

Il y a 10 heures, Léna-Postrof a dit :

Des modules sur la loi anti corruption pour les cadres travaillant à l'international, des modules sur la protection des données, nouvellement... des modules sur les relations hommes-femmes afin de prévenir les hommes et les femmes (oui "top manager" n'est sans doute pas un poste réservé exclusivement à la gente masculine) de ne pas saisir la moindre occas' pour sauter sur tout ce qui bouge ? C'est désolant de devoir rappeler certains basiques. 

De plus en plus d'entreprises font déjà signer à l'arrivée de nouveaux employés une charte de bonne conduite (harcèlement, discrimination raciale interdits etc...) et envoient un petit mail de temps à autre, pour rappel. C'est aussi le travail de la DRH, oh et à ce propos l'élégance et la distinction peuvent être très subjectives, jusqu'à présent je n'ai croisé que des rombières en poste et un homme (oui oui il y en a tout de même). Au passage, un lien intéressant sur les inégalités salariales, dans cette profession : 

https://www.lesechos.fr/29/11/2017/lesechos.fr/030946038629_salaires---mieux-vaut-etre-un-drh-qu-une-drh.htm

Vous pouvez effectivement vous arrêter sur cette première phrase, tout en faisant fî du contexte, de l'intervenant auquel je réponds... ou bien lire la seconde qui peut-être aussi indice, vous demander, si peut-être, au grand peut-être, il est possible que j'eus usé d'ironie. Enfin c'est vous qui voyez, en bonne féministe castratrice que je suis, je ne vous oblige pas, ne vous force pas, ne vous enjoins même pas. 

Pour le reste, considérer que ces hommes avilissant les femmes, phallocrates, et encore ceux qui ont assez de souffle pour se plaindre ou tenter de se faire plaindre alors que des femmes sont réellement victimes -viols, agressions sexuelles, harcèlements- sont très représentatifs des hommes, comme vous venez de le faire, reste dangereux et indigne. Si vous ne savez pas faire la différence entre ceux-ci et les hommes modernes, progressistes, des plus charmants, personnellement, je sais la faire. Finalement, vous être très proche de ce féminisme "puritain", ah c'est moche.

Et sinon, bienvenue.

Merci pour l'accueil.

Ce qui est m'interpelle en fin de compte c'est le mythème sous-jacent. La renaissance contemporaine de la figure de l'ogre en quelque sorte ...

Il y a 10 heures, HariSeldon a dit :

Merci pour l'accueil.

Ce qui est m'interpelle en fin de compte c'est le mythème sous-jacent. La renaissance contemporaine de la figure de l'ogre en quelque sorte ...

 

Si les filles sont encore aujourd'hui élevées dans la crainte du viol (et de l'agression sexuelle) ce n'est pour le plaisir de conter un récit fabuleux fait de personnages mythiques, chimériques, ou pour le plaisir de leur faire peur... de développer un imaginaire, plutôt parce que c'est un danger réel, factuel.

Le viol est évoqué partout et depuis fort longtemps, sans doute parce que cela existe depuis des lustres. Le viol est bien installé dans notre paysage. Il se retrouve aussi notamment, dans la littérature, chez Casanova -personnage du XVIII ème siècle- dans ses récits autobiographiques, avec le passage de la calèche où il est question littéralement de "serrer" ou de "coincer" une femme qui a peur de l'orage, ou encore dans les Liaisons dangereuses avec le viol de Cécile par Valmont... mais aussi dans le cinéma, où il peut être ressort narratif, et je passe volontairement sur les oeuvres pornographiques où il dit fantasme ; dans la chanson, également, avec certains artistes des plus flous et des plus inquiétants. 

Culture, dénonciation, apologie... banalisation aussi qui pourrait expliquer pourquoi des hommes et des femmes y sont devenus insensibles. Clairement, il n'est pas question de demander à tout à chacun de militer pour les femmes, on peut tout à fait ne pas être sensible à une cause, quelle qu'elle soit, et dès lors ne pas se prononcer ni en sa faveur... et donc en contrepartie, ni en sa défaveur. En outre, il est vrai que pour certains tant qu'ils ne sont pas victimes ou que l'entourage proche n'a pas eu à en pâtir, le viol peut être très abstrait et inimaginable, tout à fait improbable. Ce qui est réellement choquant et répréhensible c'est cet élan de solidarité d'hommes envers des violeurs, allant même parfois jusqu'à réfuter l'existence même des agressions sexuelles, du viol, ou accusant les victimes d'être tentatrices, de l'avoir bien cherché (liste des dégueulasseries, non exhaustives)... Il serait tout à fait légitime de se demander si ces sympathisants ne sont pas aspirants violeurs. 

Si des hommes ont la sensation actuellement qu'il leur tombe des tombereaux de reproches, c'est évidemment parce que la loi du silence qui était bien installée auparavant, n'a plus cours. Maintenant que l'omerta a pris fin, certaines réactions restent pour le moins curieuses, quand il s'agit de dénoncer des hommes ayant un comportement sexuellement inapproprié, et non -tous- les hommes, certains hommes peut-être particulièrement sensibles - ou paranoïaques- se crispent quand ils ne sont pas concernés ; qu'ils aillent se faire une tisane à la gentiane, ça va bien se passer ! Concrètement, quand des hommes dénoncent le comportement de femmes, je ne me sens pas concernée, comme d'autres femmes, puisque je ne suis pas ces femmes, et qu'elles ne sont pas -toutes- les femmes, et quand bien même certains peuvent généraliser ou être très virulents. Cela n'altère pas les relations hommes/femmes, au réel, en général, il y a la réalité des plateaux télé mais aussi la réalité observable. 

N.B : Vos propos sont maladroits. 

Tout le monde est logé  a la même  enseigne mais c'est vrai que le fric et le pouvoir peuvent donner des idées  et il faut se mefier.

Dans un autre registre , j'ai pris le train récemment  et a côté  de moi s'est assis ne fille . Au debut du voyage j'ai pensé  que si elle avait un grain  elle pourrait inventer une histoire et difficile de prouver que c'est faux.

J'ai préféré  m'installer  au bar

Il y a 2 heures, Léna-Postrof a dit :

Si les filles sont encore aujourd'hui élevées dans la crainte du viol (et de l'agression sexuelle) ce n'est pour le plaisir de conter un récit fabuleux fait de personnages mythiques, chimériques, ou pour le plaisir de leur faire peur... de développer un imaginaire, plutôt parce que c'est un danger réel, factuel.

Le viol est évoqué partout et depuis fort longtemps, sans doute parce que cela existe depuis des lustres. Le viol est bien installé dans notre paysage. Il se retrouve aussi notamment, dans la littérature, chez Casanova -personnage du XVIII ème siècle- dans ses récits autobiographiques, avec le passage de la calèche où il est question littéralement de "serrer" ou de "coincer" une femme qui a peur de l'orage, ou encore dans les Liaisons dangereuses avec le viol de Cécile par Valmont... mais aussi dans le cinéma, où il peut être ressort narratif, et je passe volontairement sur les oeuvres pornographiques où il dit fantasme ; dans la chanson, également, avec certains artistes des plus flous et des plus inquiétants. 

Culture, dénonciation, apologie... banalisation aussi qui pourrait expliquer pourquoi des hommes et des femmes y sont devenus insensibles. Clairement, il n'est pas question de demander à tout à chacun de militer pour les femmes, on peut tout à fait ne pas être sensible à une cause, quelle qu'elle soit, et dès lors ne pas se prononcer ni en sa faveur... et donc en contrepartie, ni en sa défaveur. En outre, il est vrai que pour certains tant qu'ils ne sont pas victimes ou que l'entourage proche n'a pas eu à en pâtir, le viol peut être très abstrait et inimaginable, tout à fait improbable. Ce qui est réellement choquant et répréhensible c'est cet élan de solidarité d'hommes envers des violeurs, allant même parfois jusqu'à réfuter l'existence même des agressions sexuelles, du viol, ou accusant les victimes d'être tentatrices, de l'avoir bien cherché (liste des dégueulasseries, non exhaustives)... Il serait tout à fait légitime de se demander si ces sympathisants ne sont pas aspirants violeurs. 

Si des hommes ont la sensation actuellement qu'il leur tombe des tombereaux de reproches, c'est évidemment parce que la loi du silence qui était bien installée auparavant, n'a plus cours. Maintenant que l'omerta a pris fin, certaines réactions restent pour le moins curieuses, quand il s'agit de dénoncer des hommes ayant un comportement sexuellement inapproprié, et non -tous- les hommes, certains hommes peut-être particulièrement sensibles - ou paranoïaques- se crispent quand ils ne sont pas concernés ; qu'ils aillent se faire une tisane à la gentiane, ça va bien se passer ! Concrètement, quand des hommes dénoncent le comportement de femmes, je ne me sens pas concernée, comme d'autres femmes, puisque je ne suis pas ces femmes, et qu'elles ne sont pas -toutes- les femmes, et quand bien même certains peuvent généraliser ou être très virulents. Cela n'altère pas les relations hommes/femmes, au réel, en général, il y a la réalité des plateaux télé mais aussi la réalité observable. 

N.B : Vos propos sont maladroits. 

Il ne s'agit évidemment pas de cautionner le moindre "élan de solidarité d'hommes envers des violeurs" .

ET s'il y a dans la littérature du  XVIIIème siècle maints romans libertins qui vont jusqu'au sadisme ( au sens propre ), ils nous renseignent sur les recoins obscurs de l'âme humaine, non pas sur une quelconque "culture du viol" qui se confondrait en définitive avec notre culture occidentale. Dans le cas contraire la seule conclusion à en tirer serait de les faire interdire, de les mettre à l'Index, et surtout de ne plus les enseigner.

Mais comme vous me faites remarquer que mes propos sont maladroits j'accepte la critique et je ne développerai pas plus avant la référence à la figure archétypale de l'ogre, évitons tout quiproquo.

Peut-être nous retrouverons-nous sur d'autres sujets ...

Il y a 14 heures, bcbg a dit :

Tout le monde est logé  a la même  enseigne mais c'est vrai que le fric et le pouvoir peuvent donner des idées  et il faut se mefier.

Dans un autre registre , j'ai pris le train récemment  et a côté  de moi s'est assis ne fille . Au debut du voyage j'ai pensé  que si elle avait un grain  elle pourrait inventer une histoire et difficile de prouver que c'est faux.

J'ai préféré  m'installer  au bar

 

Nous vivons dans une société encore très patriarcale et les femmes d'anciennes générations ont été éduquées, habituées à aduler le mâle. Le pouvoir, l'argent sont, en conséquence, attrayants à leurs yeux et moyens pour accéder à un poste ou une vie meilleure :"l'homme est le sauveur". 

Aujourd'hui, les femmes sont de plus en plus valorisées et espèrent ainsi gravir les échelons et accéder à une vie plus riche tout simplement grâce à leurs compétences, leurs propres moyens. C'est d'autant mieux qu'il n'y a pas dès lors un sentiment d'usurpatrice (pouvant occasionner une dissonance). Les mentalités évoluent, doucement.

Difficile de prouver quand c'est vrai surtout. Combien d'affabulatrices pour combien de victimes ? Combien de victimes obtiennent gain de cause auprès de la justice ? 

Dans un autre registre, j'ai déjà croisé un type ou deux se vanter se mettre la tête contre le mur pour ensuite porter plainte contre d'autres pour coups et blessures... ah mais faudrait plus sortir de chez soi. 

Il y a 11 heures, HariSeldon a dit :

Il ne s'agit évidemment pas de cautionner le moindre "élan de solidarité d'hommes envers des violeurs" .

ET s'il y a dans la littérature du  XVIIIème siècle maints romans libertins qui vont jusqu'au sadisme ( au sens propre ), ils nous renseignent sur les recoins obscurs de l'âme humaine, non pas sur une quelconque "culture du viol" qui se confondrait en définitive avec notre culture occidentale. Dans le cas contraire la seule conclusion à en tirer serait de les faire interdire, de les mettre à l'Index, et surtout de ne plus les enseigner.

Mais comme vous me faites remarquer que mes propos sont maladroits j'accepte la critique et je ne développerai pas plus avant la référence à la figure archétypale de l'ogre, évitons tout quiproquo.

Peut-être nous retrouverons-nous sur d'autres sujets ...

 

 

 

 

 

 

Ce qui est évident pour les uns, ne l'est pas toujours pour les autres.

Certains verront ces oeuvres faire l'apologie, parleront "culture du viol", d'autres dénoncer et parleront dès lors d'oeuvres "profondément féministes" (d'autres vues sont encore possibles). Elles renseignent sur les recoins les plus obscurs de l'âme ou sur les abjections dont sont capables quelques uns. Les interdire ? Arrêter de se servir du viol comme ressort narratif, maintenant, serait déjà engageant. J'opterais pour la banalisation, dans le plupart des cas. Dans le cinéma, vous verrez par exemple, une héroïne se faire violer (banal) puis tirer des missiles avec sa jambe de bois (trop cool).

Quand vous faites référence au mythe, à l'ogre, vous renvoyez à l'imaginaire, au rêve, à l'irréel, là où le danger est bel et bien existant. Les femmes ne sont pas des Don Quichotte, il ne s'agit pas de se battre contre des ennemis imaginaires.

Au plaisir de vous lire ailleurs *révérence et etc...*