Ne pas avoir d'enfants est le meilleur service à rendre à l'humanité

il y a 6 minutes, Steiner a dit :

Ainsi, nous sommes bien en accord, c'est bien mon propos en arrière plan. Pas certains, néanmoins, que "tout le monde" ait veritablement compris qu'il est tout à fait possible de faire co-exister en un seul être Raison et Religion. (Scolastique).

Très intéressant. Et qui est l'être "Raison et Religion"? Et je ne comprends pas en quoi ta position rejoint celle de Saxopap. Pourrais-tu expliquer stp? 

Note à moi même: Héhé, je me demande ce qu'on doit faire quand le nombre de message se rapproche de notre année de naissance. Je parle pour moi  (Pardon pour le HS). 

il y a 25 minutes, Léna-Postrof a dit :

Bonjour Alinéa, 

La peur de l'accouchement est très fréquente, aucune femme ne part au bloc opératoire, en toute confiance. Il faut dire que l'entourage n'est pas forcément bienveillant ou bien conscient que leurs anecdotes, en ce domaine, peuvent être d'autant plus facteurs de peur, de stress pour une femme qui n'a jamais accouché ou envisage la maternité. Des césariennes, à la péridurale qui n'a pas bien fonctionné, aux sages femmes rustaudes, aux hommes qui pleurent et dont la souffrance n'est jamais assez prise en compte évidemment, rien ne nous est épargné. Vous saurez tout. Dites-vous bien que tous les accouchements ne se ressemblent pas, que la médecine a évolué depuis 1900...et que tous les hommes ne sont pas des lacrymâles, aussi. 

La maternité n'est pas gratifiante c'est vrai... ni dévalorisante pour autant. Ce qui peut être très désagréable pour une femme c'est d'être constamment ramenée à son statut de mère -je vous l'accorde- ce dont certains ne se privent pas, ou d'autres n'ont pas conscience. La maternité est souvent idéalisée, trop souvent. Il faut vraiment arrêter de saouler les femmes avec cela. La Femme doit pouvoir également exister en dehors de son rôle de mère, comme elle doit aussi pouvoir le faire en dehors de celui d'épouse ou de concubine, c'est une nécessité absolue. L'équilibre est une nécessité absolue (dans bien des domaines), il faut aussi être équilibrée pour ce faire : avoir des moments pour la famille, pour le couple (afin qu'il ne meure pas), pour soi. Les enfants finissent par grandir et voler de leurs propres ailes, et là c'est toujours très douloureux pour les mères, trop dévouées... quand bien même ils ne sont pas tous ingrats. 

...ou qui les dévorent quand ceux-ci présentent une anomalie.

 

Ceci dit, j'aimerais, un jour, avoir un avis éclairé et argumenté quant à la/les cause(s) du non désir d'enfant qui relèverait de l'anormal, selon certains. Je note que beaucoup les marginalisent et tentent surtout de culpabiliser ces personnes ne souhaitant pas d'héritiers ou n'en ressentant nullement le besoin dans les boyaux de leur corps ; là où à l'inverse, ceux-ci ne se préoccupent pas trop/du tout de ce qui se passe dans la couche des autres. Ce qui semble tout de même, plus sain. 

Vous n'avez pas connu l'après 68 et la libération dite, sexuelle, qui a changé le comportement de certains qui sont passés allègrement d'un comportement du style, avoir des enfants fait parti de la vie, y compris pour celles qui ne sont pas plus chaudes que cela pour en avoir, à celui du "tu fais encore des mômes à notre époque"?

Bien des gens se préoccupe de ce qui se passe dans la couche des autres...c'était le cas avant, "quoi? vous n'avez toujours pas d'enfant? ou vous n'en voulez qu'un, c'est quoi cette histoire"!

A après "c'est quoi toute cette marmaille? mère inconsciente" (j'en passe et des meilleurs)!

J'ai eu mes enfants à l'époque où c'était loin d'être bien vu, que ceux d'aujourd'hui qui n'en veulent pas fassent comme moi, et assument leur choix!

il y a 1 minute, Steiner a dit :

Ainsi, nous sommes bien en accord, c'est bien mon propos en arrière plan. Pas certains, néanmoins, que "tout le monde" ait veritablement compris qu'il est tout à fait possible de faire co-exister en un seul être Raison et Religion. (Scolastique).

Tout dépend, sans doute, du degré d'importance de la religion pour la personne!

à l’instant, Vilaine a dit :

Très intéressant. Et qui est l'être "Raison et Religion"? Et je ne comprends pas en quoi ta position rejoint celle de Saxopap. Pourrais-tu expliquer stp? 

Note à moi même: Héhé, je me demande ce qu'on doit faire quand le nombre de message se rapproche de notre année de naissance. Je parle pour moi  (Pardon pour le HS). 

Née avant ou après 86?

il y a 3 minutes, Steiner a dit :

Ainsi, nous sommes bien en accord, c'est bien mon propos en arrière plan. Pas certains, néanmoins, que "tout le monde" ait veritablement compris qu'il est tout à fait possible de faire co-exister en un seul être Raison et Religion. (Scolastique).

LoL.  Vous êtes dur avec moi. Il ne s'agit pas de co-existence puisqu'il s'agit de deux domaines différents. 

Puis je être un grand scientifique et être croyant? Mais bien évidement, puisque la croyance est sentiment, désir, culture familial , le plaisir de faire plaisir à tes parents qui sont tellement heureux de te retrouver le dimanche matin à l'église..puis le repas dominical avec enfants et petits enfants....etc.;

Perso je n'ai aucun besoin de tout cela, il y a tant de sujets qui m'intéressent. Mais je me battrais toujours bec et ongle pour faire , non pas juste accepter, mais faire comprendre la dimension affective ou émotionnelle d'une croyance religieuse.

La raison n'a pas sa place dans l'amour que je porte à mes enfants et ma femme. C'est juste vrai et super important pour moi, quel idiot me demanderait de m'en expliquer??   idem pour la croyance mes amis!

( Dieu sait que je m'en tape le coquillart de ces truc de religions.  Lol..j 'espère etre compris. Et si un défaut vous apparait dans mon raisonnement, je modifierai mon jugement, je suis toujours curieux de la juste pensée.

À vous relire.  SaXo

il y a 19 minutes, saxopap a dit :

 

Je ne sais pour quelle raison tes mots sonnent avec humour et gentillesse, alors que ce qui est dit est....lol

Je suis sincèrement très heureux de te lire enfin joyeux, enjoué. Tu sais cher philosophe comme j'attendais de te lire ainsi, empli de félicité.  Bien à toi.  

Papa de trois enfants, je me permet tres modestement d'ajouter quelques idées à celles de Léna.

La joie d'enfanter est telle que tout semble plus facile. Une femme en ceinte est shootée aux hormones, la rendant plus forte, plus heureuse, plus solide. Je n'ai jamais fait la moindre remarque à ce sujet à ma femme, juste l'accompagner, l'écouter, lui faire simplement plaisir car admiratif de ce qu'elle supportait. Selon ses dires, elle en souffrait parfois mais le bonheur est une force motrice tres puissante.

Un dernier mot: Une personne avertie en vaut deux!  le baby blues correspond à la "chute" de ces hormones progestatives apres l'accouchement. Le moral peut en être atteint. Bien souvent, lorsque les mamans se préparent à cette brutale variation hormonale, le baby blues est bien mieux vécu, bien mieux accepté car compris. ( juste de la chimie...les oestrogènes..tout le corps subit un choc hormonal, chimique)

Il est fort dommage d'avoir besoin de la maternité pour se sentir -plus- forte. je trouve cela même très triste. 

Avant le baby blues, qui n'est d'ailleurs pas automatique (précisons-le), il y a aussi parfois/souvent des nausées (pas que matinales, et pas que les 3 premiers mois). L'odorat peut aussi se décupler, toute odeur devient alors insupportable et celle du conjoint, bah oui, aussi. Des vomissements plus ou moins importants éventuels, la possibilité de devoir établir un campement dans les toilettes, l'envie de souvent uriner, les problèmes de circulation sanguine et l'oedème (les bas de contention c'est si seks), la sensation de ressembler à Roselyne Bachelot H24, entre autres choses... Arrêtons de mentir aux femmes : ce n'est pas toujours une sinécure. L'avantage c'est que cela dure 9 mois. 

il y a 47 minutes, Léna-Postrof a dit :

Ceci dit, j'aimerais, un jour, avoir un avis éclairé et argumenté quant à la/les cause(s) du non désir d'enfant qui relèverait de l'anormal, selon certains. Je note que beaucoup les marginalisent et tentent surtout de culpabiliser ces personnes ne souhaitant pas d'héritiers ou n'en ressentant nullement le besoin dans les boyaux de leur corps ; là où à l'inverse, ceux-ci ne se préoccupent pas trop/du tout de ce qui se passe dans la couche des autres. Ce qui semble tout de même, plus sain. 

Mon avis n'a rien de particulièrement éclairé, mais ça me choque profondément qu'on puisse considérer comme anormal un non désir d'enfant. Ça relève du manque de respect de l'intimité et de la personnalité de chacune. J'ai deux sœurs qui n'ont pas eu d'enfants, elles s'en portent très bien, personne dans la famille n'a jugé intéressant d'y mettre son grain de sel.  A + de 65 ans elles sont toujours parfaitement saines d'esprit, disponibles et agréables à fréquenter. Sans doute plus que ceux ou celles qui se mêlent des désirs d'autrui.

il y a une heure, Léna-Postrof a dit :

Ceci dit, j'aimerais, un jour, avoir un avis éclairé et argumenté quant à la/les cause(s) du non désir d'enfant qui relèverait de l'anormal, selon certains.

J'aimerais aussi...

il y a 1 minute, hybridex a dit :

Mon avis n'a rien de particulièrement éclairé, mais ça me choque profondément qu'on puisse considérer comme anormal un non désir d'enfant. Ça relève du manque de respect de l'intimité et de la personnalité de chacune. J'ai deux sœurs qui n'ont pas eu d'enfants, elles s'en portent très bien, personne dans la famille n'a jugé intéressant d'y mettre son grain de sel.  A + de 65 ans elles sont toujours parfaitement saines d'esprit, disponibles et agréables à fréquenter. Sans doute plus que ceux ou celles qui se mêlent des désirs d'autrui.

Je respecte ceux qui ne peuvent/veulent pas avoir d'enfants, mais oui, je ne considère pas cela comme naturel. Je ne parle pas de normalité, parce que les normes évoluent.

Je pense qu'on peut très bien se porter avec ou sans enfants (heureusement). On vit très bien sans enfants (toutes les mère sont passées par là), mais la vie est clairement plus belle avec, et la plupart des parents le confirment. 

il y a 13 minutes, Morfou a dit :

Vous n'avez pas connu l'après 68 et la libération dite, sexuelle, qui a changé le comportement de certains qui sont passés allègrement d'un comportement du style, avoir des enfants fait parti de la vie, y compris pour celles qui ne sont pas plus chaudes que cela pour en avoir, à celui du "tu fais encore des mômes à notre époque"?

Bien des gens se préoccupe de ce qui se passe dans la couche des autres...c'était le cas avant, "quoi? vous n'avez toujours pas d'enfant? ou vous n'en voulez qu'un, c'est quoi cette histoire"!

A après "c'est quoi toute cette marmaille? mère inconsciente" (j'en passe et des meilleurs)!

J'ai eu mes enfants à l'époque où c'était loin d'être bien vu, que ceux d'aujourd'hui qui n'en veulent pas fassent comme moi, et assument leur choix!

Tout dépend, sans doute, du degré d'importance de la religion pour la personne!

Vous savez c'est ce qu'ils font déjà (assumer leur choix) et comme vous le dites si bien ils ont et auront toujours droit à des remarques, stupides. Mes grands-mères ont eu respectivement 7 et 6 enfants et toutes les remarques qui vont avec, pourtant personne n'a jamais manqué de rien. J'aime beaucoup les grandes tablées, néanmoins je me suis toujours dit que jamais je ne reproduirai ce schéma, et je ne m'en porte pas plus mal. C'est toujours une question de choix, qu'une femme et qu'un homme doivent pouvoir faire en toute liberté. 

il y a 2 minutes, Vilaine a dit :

 

Je respecte ceux qui ne peuvent/veulent pas avoir d'enfants, mais oui, je ne considère pas cela comme naturel. Je ne parle pas de normalité, parce que les normes évoluent.

Je pense qu'on peut très bien se porter avec ou sans enfants (heureusement). On vit très bien sans enfants (toutes les mère sont passées par là), mais la vie est clairement plus belle avec, et la plupart des parents le confirment. 

La vie est sûrement plus belle pour ceux qui en veulent. Pour certains autres, ceux qui ont cédés aux diverses pressions, sociale, familiale, sans réel désir d'en avoir, elle est peut-être subie...

il y a 6 minutes, Vilaine a dit :

 

Je respecte ceux qui ne peuvent/veulent pas avoir d'enfants, mais oui, je ne considère pas cela comme naturel. Je ne parle pas de normalité, parce que les normes évoluent.

Je pense qu'on peut très bien se porter avec ou sans enfants (heureusement). On vit très bien sans enfants (toutes les mère sont passées par là), mais la vie est clairement plus belle avec, et la plupart des parents le confirment. 

C'est ton expérience, c'était ton désir, partagés par beaucoup je n"en disconviendrai pas. Mais pourquoi en faire une généralité valable pour absolument tout le monde?

il y a 1 minute, Mite_Railleuse a dit :

La vie est sûrement plus belle pour ceux qui en veulent. Pour certains autres, ceux qui ont cédés aux diverses pressions, sociale, familiale, sans réel désir d'en avoir, elle est peut-être subie...

Alors tu vois, moi je n’ai jamais voulu d’enfants car j’aimais trop mon confort et m’a tranquillité. Mais aimant aussi trop le sexe et ne voulant pas de contraception, je me suis retrouvée avec 4 enfants sur le dos et je ne le regrette pas. Je suis plus riche à tous niveaux et surtout à ce niveau: €€€.

il y a 2 minutes, hybridex a dit :

C'est ton expérience, c'était ton désir, partagés par beaucoup je n"en disconviendrai pas. Mais pourquoi en faire une généralité valable pour absolument tout le monde?

J’expose juste un point de vue. Je ne l’impose pas. Je pourrais ensuite t’opposer le point de vue chrétien mais je ne sais pas s’il t’intéresse.

il y a 2 minutes, Mite_Railleuse a dit :

La vie est sûrement plus belle pour ceux qui en veulent. Pour certains autres, ceux qui ont cédés aux diverses pressions, sociale, familiale, sans réel désir d'en avoir, elle est peut-être subie...

Certainement. Il y a des cas où ça se passe extrêmement bien, où l'enfant non désiré au départ comble sa mère. Dans les autres cas bonjour les dégâts, pour la maman, et encore plus pour l'enfant.

il y a 2 minutes, Léna-Postrof a dit :

Vous savez c'est ce qu'ils font déjà (assumer leur choix) et comme vous le dites si bien ils ont et auront toujours droit à des remarques, stupides. Mes grands-mères ont eu respectivement 7 et 6 enfants et toutes les remarques qui vont avec, pourtant personne n'a jamais manqué de rien. J'aime beaucoup les grandes tablées, néanmoins je me suis toujours dit que jamais je ne reproduirai ce schéma, et je ne m'en porte pas plus mal. C'est toujours une question de choix, qu'une femme et qu'un homme doivent pouvoir faire en toute liberté. 

Je ne suis pas d'une famille prolifique! mes grands-mères ont eu une enfant pour l'une et deux pour l'autre! nées dans les années 1886!

à l’instant, hybridex a dit :

Certainement. Il y a des cas où ça se passe extrêmement bien, où l'enfant non désiré au départ comble sa mère. Dans les autres cas bonjour les dégâts, pour la maman, et encore plus pour l'enfant.

Et des enfants désirés au départ, puis le climat familial changeant, pour diverses raisons, les enfants deviennent un boulet psychologique pour l'un quand ce n'est pas les deux parents!

N'oublions pas non plus toutes ces séparations où le père, non seulement ne paie pas la pension alimentaire, alors que c'est lui qui a refait sa vie, mais en plus, qui ne reprennent jamais contact avec leurs enfants!

Des mères aussi!

Sont plus nombreux que l'on ne pense...

il y a une heure, Léna-Postrof a dit :

Bonjour Alinéa, 

La peur de l'accouchement est très fréquente, aucune femme ne part au bloc opératoire, en toute confiance. Il faut dire que l'entourage n'est pas forcément bienveillant ou bien conscient que leurs anecdotes, en ce domaine, peuvent être d'autant plus facteurs de peur, de stress pour une femme qui n'a jamais accouché ou envisage la maternité. Des césariennes, à la péridurale qui n'a pas bien fonctionné, aux sages femmes rustaudes, aux hommes qui pleurent et dont la souffrance n'est jamais assez prise en compte évidemment, rien ne nous est épargné. Vous saurez tout. Dites-vous bien que tous les accouchements ne se ressemblent pas, que la médecine a évolué depuis 1900...et que tous les hommes ne sont pas des lacrymâles, aussi. 

La maternité n'est pas gratifiante c'est vrai... ni dévalorisante pour autant. Ce qui peut être très désagréable pour une femme c'est d'être constamment ramenée à son statut de mère -je vous l'accorde- ce dont certains ne se privent pas, ou d'autres n'ont pas conscience. La maternité est souvent idéalisée, trop souvent. Il faut vraiment arrêter de saouler les femmes avec cela. La Femme doit pouvoir également exister en dehors de son rôle de mère, comme elle doit aussi pouvoir le faire en dehors de celui d'épouse ou de concubine, c'est une nécessité absolue. L'équilibre est une nécessité absolue (dans bien des domaines), il faut aussi être équilibrée pour ce faire : avoir des moments pour la famille, pour le couple (afin qu'il ne meure pas), pour soi. Les enfants finissent par grandir et voler de leurs propres ailes, et là c'est toujours très douloureux pour les mères, trop dévouées... quand bien même ils ne sont pas tous ingrats. 

...ou qui les dévorent quand ceux-ci présentent une anomalie.

Oui bien parlé. 

il y a une heure, Léna-Postrof a dit :

Ceci dit, j'aimerais, un jour, avoir un avis éclairé et argumenté quant à la/les cause(s) du non désir d'enfant qui relèverait de l'anormal, selon certains. Je note que beaucoup les marginalisent et tentent surtout de culpabiliser ces personnes ne souhaitant pas d'héritiers ou n'en ressentant nullement le besoin dans les boyaux de leur corps ; là où à l'inverse, ceux-ci ne se préoccupent pas trop/du tout de ce qui se passe dans la couche des autres. Ce qui semble tout de même, plus sain. 

Je suis heureux de te lire. Tu défends le droit à chacun et chacune de décider librement. Cela est tres tres important!     Une femme qui fait grossesse apres grossesse , parce qu'elle y trouve une joie, une satisfaction, MÈRITE AUTANT LE RESPECT QU'UNE AUTRE FEMME NON DÉSIREUSE D'ENFANTER!

Il est tres important de ne pas juger; il est tellement plus agréable et productif d'accepter, écouter, comprendre, aider lorsque cela est possible. La diversité des sentiments, des désirs, des opinions, est une force pour une nation qui a un regard juste.

Enfin, pour repondre à ta question du début, il ne s'agit que de gout. ( en fait je fait trop simple et cela est faux. Le gout est loin d'être primordial en ce domaine....il y a les circonstances, l'environnement ( péristase)  l'état émotionnel. ( je préfère ne pas développer car cela serait gênant)

Un petit mot: l'ocytocine est (pour faire simple) l'hormone de l'attachement. Incroyable comme nos enfants sont la prunelle de nos yeux!   lol.  là encore la chimie. ( hormone)

il y a 31 minutes, Vilaine a dit :

Je suis très admirative envers les mères. L'accouchement est douloureux - une douleur que seules les mères peuvent ressentir - mais la résilience post-accouchement est quelque chose de magnifique. 

Mais ce que j'admire le plus, c'est leur amour et leur dévouement. Une mère comprend le vrai sens du mot "amour", avec tout ce que cela implique de positif ET négatif. L'amour que l'on porte à un enfant n'est pas le même que celui que l'on porte à un animal. Il est plus intense, plus riche, plus bouleversant. 

Je remarque aussi que les mères au travail sont plus épanouies parce qu'elles découvrent un équilibre de vie qui les rend heureuse. Je n'idéalise pas la maternité (non non), et je ne dis pas qu'une femme sans enfant ressentira un manque ou un quelconque déséquilibre, mais pour moi, c'est une étape incontournable dans une vie de femme (plus incontournable que le fait d'avoir une Patek à 30 ans  ) et donc oui, il y a un côté "raté" si on passe à côté de ce beau projet de vie. 

 

OUIIII   notre societé doit permettre aux femmes de travailler. Je pense que cela se passe bien en france, d'autant que le congé vint d'être accordé au papa..cool cela

il y a 8 minutes, Léna-Postrof a dit :

Il est fort dommage d'avoir besoin de la maternité pour se sentir -plus- forte. je trouve cela même très triste. 

Non, pardon, j ai dû mal m'expliquer. UN homme n'aurait jamais la force de porter un enfant 9 mois.  La femme est un peu aidée par des hormones ( issues du placenta notamment ).

Et lorsque cette " aide chimique" s'arrête, il faut y etre préparé . 

il y a 8 minutes, Léna-Postrof a dit :

Avant le baby blues, qui n'est d'ailleurs pas automatique (précisons-le), il y a aussi parfois/souvent des nausées (pas que matinales, et pas que les 3 premiers mois). L'odorat peut aussi se décupler, toute odeur devient alors insupportable et celle du conjoint, bah oui, aussi. Des vomissements plus ou moins importants éventuels, la possibilité de devoir établir un campement dans les toilettes, l'envie de souvent uriner, les problèmes de circulation sanguine et l'oedème (les bas de contention c'est si seks), la sensation de ressembler à Roselyne Bachelot H24, entre autres choses... Arrêtons de mentir aux femmes : ce n'est pas toujours une sinécure. L'avantage c'est que cela dure 9 mois. 

Lol.  et vous méritez pour cela toute notre admiration. Nous avions beaucoup écrit à ce sujet, sur le topic de la député australienne qui allaite en plein Sénat en france.  super sujet, et perso je trouvais géniale qu'elle allaite sur les bancs des sénateurs, plutôt que d'aller se cacher dans les toilettes !!!

Nombre de fourreurs n'étaient pas dac avec moi !!!   question de PUDEUR  qu'ils disaient. 

ben z'avez qu'a tourner la tête par respect, ce n'est pas à la maman allaitante d'aller se cacher !!

il y a 5 minutes, Vilaine a dit :

J’expose juste un point de vue. Je ne l’impose pas. Je pourrais ensuite t’opposer le point de vue chrétien mais je ne sais pas s’il t’intéresse.

Tu peux me l'expliquer si tu veux, pas me l'opposer. J'ai rompu avec le christianisme. Je m'en suis déjà expliqué sur ce forum.

Pour moi le dieu de la bible, des juifs, du coran ou des chrétiens est un tyran cruel et pervers narcissique de la pire espèce, il me révulse. J'en témoigne à l'occasion, ce n'est que mon avis. Ça n'entache en rien ma considération et ma sympathie pour ceux et celles qui pensent différemment de moi. J'espère toujours que la réciproque sera vraie.

il y a 14 minutes, Vilaine a dit :

Alors tu vois, moi je n’ai jamais voulu d’enfants car j’aimais trop mon confort et m’a tranquillité. Mais aimant aussi trop le sexe et ne voulant pas de contraception, je me suis retrouvée avec 4 enfants sur le dos et je ne le regrette pas. Je suis plus riche à tous niveaux et surtout à ce niveau: €€€.

HE LES MECS,  VILAINE AIME LE SEXE !!!

il y a 1 minute, Mite_Railleuse a dit :

HE LES MECS,  VILAINE AIME LE SEXE !!!

Super, mais les retraitées ne me tentent pas du tout

il y a 55 minutes, Vilaine a dit :

 

Note à moi même: Héhé, je me demande ce qu'on doit faire quand le nombre de message se rapproche de notre année de naissance. Je parle pour moi  (Pardon pour le HS). 

ce qu'on doit faire ? on paye sa tournée des bars !

il y a 12 minutes, Morfou a dit :

.....

Et des enfants désirés au départ, puis le climat familial changeant, pour diverses raisons, les enfants deviennent un boulet psychologique pour l'un quand ce n'est pas les deux parents!

N'oublions pas non plus toutes ces séparations où le père, non seulement ne paie pas la pension alimentaire, alors que c'est lui qui a refait sa vie, mais en plus, qui ne reprennent jamais contact avec leurs enfants!

Des mères aussi!

Sont plus nombreux que l'on ne pense...

Le désir d'enfant, tel qu'on le rêve, c'est comme le prince charmant, très romantique.

Quand vient le vrai bébé, si les parents sont un tant soit peu immatures c'est une autre paire de manches.

Quant à l'enfant boulet psychologique, il existe, mais tout autant l'enfant à qui on fait porter le chapeau d'un mal-être dont il n'est guère responsable.