Florence Foresti s'insurge contre les revues pornos affichées dans les rues

Agacée par le présence de revues pornographiques affichées bien en évidence dans les kiosques à journaux des rues parisiennes, Florence Foresti a...

View the full article

Elle a bien raison 

Il faudrait qu'elle se batte aussi pour tout ce qui tellement facilement accessible sur le Net.

Puis, pas facile de rester cachée !

Elle "offre" son corps à Maurice...

Tu parles d'un cadeau  

si l'on a méme plus le droit de se rincer l'oeil , tu parles d'une société !!!!!!!!

C'est pour ça qu'elle s'allonge ? pour rincer son œil ?

Je ne vois rien de pornographique sur les photos volées ou pas de Foresti !

Il y a tout de même une différence, et de taille encore, entre les revues pornographiques et les femmes qui font du topless.

La marchandisation du corps d'un côté et une pratique visant à uniformiser un bronzage, de l'autre. 

(Il serait étonnant aussi que Florence Foresti ait invité les paparazzis à ses séances de bronzage).

Pourquoi à Paris ? Dans ma commune de 8000 habitants aussi il y en a des affiches ! En plus, les nanas en photos sont des filles hyper maquillées avec des seins siliconés. Autrement dit, DES THONS !

il y a 7 minutes, pila a dit :

Pourquoi à Paris ? Dans ma commune de 8000 habitants aussi il y en a des affiches ! En plus, les nanas en photos sont des filles hyper maquillées avec des seins siliconés. Autrement dit, DES THONS !

J'avance une hypothèse : parce qu'elle est parisienne ?

La phrase aura peut-être été tirée hors de son contexte, lors d'une interview, pour l'article. 

Des sirènes, vous vouliez dire, évidemment. 

Des THONS !!!

Après ce type de revues a aussi son public, c'est normal d'en faire la promotion. Généralement ces affiches sont positionnées en haut des kiosques, par vraiment à hauteur des yeux des enfants...

il y a 8 minutes, pila a dit :

Des THONS !!!

Pas très respectueux. Il va s'en dire que vous êtes aussi bien conservé que Tom Cruise *sourire en coin* 

Après, il existe des textes.

La loi du 29 juillet 1881, en son article 1er, pose le principe de la liberté de la presse. Aucune restriction générale et absolue ne peut être apportée à ce principe de nature constitutionnelle (art. 11 de la déclaration des droits de l'homme et article 10 de la Convention européenne des droits de l'homme). Cependant des dérogations existent afin de prévenir des troubles à l'ordre public. Ainsi sur la base de l'article L. 2212-2 du code général des collectivités territoriales, le maire dispose de la possibilité d'interdire par décision motivée au regard des circonstances locales l'affichage sur sa commune d'images et de textes qui présenteraient un risque sérieux et grave de trouble à l'ordre public (CE 6 octobre 1996, Commune de Taverny). Par ailleurs, le ministre de l'intérieur, en application de l'article 14 de la loi du 16 juillet 1949 peut prononcer des interdictions relatives à la diffusion de revues qui présentent un danger pour les personnes. Ces interdictions peuvent être de trois natures : interdiction de vente aux mineurs ; interdiction d'exposition et de publicité par voie d'affichage ; interdiction de publicité par tout autre moyen. Ces décisions sont prises dans le respect du principe constitutionnel de la liberté d'expression. Elles sont motivées et tout projet d'interdiction est précédé de la procédure contradictoire préalable prévue par l'article 24 de la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les administrations. Au cours de l'année 2008, sept mesures d'interdictions ont ainsi été prononcées. Depuis le 1er janvier 2009, onze mesures ont déjà été prononcées. Le ministre précise à l'honorable parlementaire que la plupart de ces mesures ont été prises en conformité avec les avis prononcés par la commission de surveillance des publications destinées à l'enfance et à l'adolescence présidée par un conseiller d'État et composée paritairement de représentants des pouvoirs publics (du ministère de la culture, de la justice, de l'intérieur, de l'éducation nationale, de la jeunesse et des sports...), de professionnels de l'édition, de l'enseignement, d'associations familiales, de parlementaires et de magistrats.

Eux ne font pas le Buzz

il y a 9 minutes, Plouj a dit :

Après, il existe des textes.

La loi du 29 juillet 1881, en son article 1er, pose le principe de la liberté de la presse. Aucune restriction générale et absolue ne peut être apportée à ce principe de nature constitutionnelle (art. 11 de la déclaration des droits de l'homme et article 10 de la Convention européenne des droits de l'homme). Cependant des dérogations existent afin de prévenir des troubles à l'ordre public. Ainsi sur la base de l'article L. 2212-2 du code général des collectivités territoriales, le maire dispose de la possibilité d'interdire par décision motivée au regard des circonstances locales l'affichage sur sa commune d'images et de textes qui présenteraient un risque sérieux et grave de trouble à l'ordre public (CE 6 octobre 1996, Commune de Taverny). Par ailleurs, le ministre de l'intérieur, en application de l'article 14 de la loi du 16 juillet 1949 peut prononcer des interdictions relatives à la diffusion de revues qui présentent un danger pour les personnes. Ces interdictions peuvent être de trois natures : interdiction de vente aux mineurs ; interdiction d'exposition et de publicité par voie d'affichage ; interdiction de publicité par tout autre moyen. Ces décisions sont prises dans le respect du principe constitutionnel de la liberté d'expression. Elles sont motivées et tout projet d'interdiction est précédé de la procédure contradictoire préalable prévue par l'article 24 de la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les administrations. Au cours de l'année 2008, sept mesures d'interdictions ont ainsi été prononcées. Depuis le 1er janvier 2009, onze mesures ont déjà été prononcées. Le ministre précise à l'honorable parlementaire que la plupart de ces mesures ont été prises en conformité avec les avis prononcés par la commission de surveillance des publications destinées à l'enfance et à l'adolescence présidée par un conseiller d'État et composée paritairement de représentants des pouvoirs publics (du ministère de la culture, de la justice, de l'intérieur, de l'éducation nationale, de la jeunesse et des sports...), de professionnels de l'édition, de l'enseignement, d'associations familiales, de parlementaires et de magistrats.

Eux ne font pas le Buzz

Sans doute parce que rien ne semble avoir changé.

Interdire alors que le sexe, ou le corps des femmes fait vendre depuis Mathusalem presque, ceci dit il serait bon au moins de ne pas mettre en avant ces magazines. Les lecteurs habituels savent de toute façon où les trouver. 

Et en quoi ça la gêne ?

Pour les enfants ?

Pour les personnes qui ne veulent pas être confronté à cette réalité ?

Je trouve qu'effectivement ça ne devrait pas être aussi visible, mais bon, autant le banaliser, plus personne n'en a rien à foutre des revues de Q et faudrait vraiment être idiot pour encore en acheter avec tout ce qui est disponible 24 sur 24, 365 jours par an et gratuitement sur le net !

Il y a 2 heures, pila a dit :

Pourquoi à Paris ? Dans ma commune de 8000 habitants aussi il y en a des affiches ! En plus, les nanas en photos sont des filles hyper maquillées avec des seins siliconés. Autrement dit, DES THONS !

Eh, quand on a du plastique dans les océans, il y en a aussi dans les thons!

La photo de Florence a disparu ?

Je ne pensais pas avoir posté du porno !

il y a 24 minutes, Plouj a dit :

La photo de Florence a disparu ?

Je ne pensais pas avoir posté du porno !

je n'y suis pour rien jte jure, mais j'en suis contente qd même  c'était du hs, on va dire  

Dans la plupart des librairies, ces mêmes revues porno sont visibles.