Montpellier: Un commando armé et masqué fait irruption dans la fac de droit

il y a une heure, Constantinople a dit :

 

Non centriste (cocufiée je l'accorde) peut-être penchant légèrement à gauche

Et vous de droite apparemment ?

Et alors on est du même pays non ?

Pas pour les cheminots Constantinople mais pour :

"Le mouvement de protestation contre la nouvelle loi changeant les règles d’accès à l’université, dont la nouvelle plateforme d’inscription Parcoursup, a été lancé à la mi-février au sein de l’université. Mais il est marqué par des « désaccords sur les modalités d’action » au sein des étudiants, et plus particulièrement sur le blocage, décidé à nouveau en AG le 15 mars, reconnait Augustin, de Solidaires Etudiants."

il y a une heure, Constantinople a dit :

 

On a aussi le droit de s'interroger objectivement sur ce qui parait le plus inacceptable d'un point de vue purement républicain:
Occuper un amphi la nuit pour protester contre une réforme ?
Utiliser un groupe armé et cagoulé pour tabasser des opposants et mettre fin à leur protestation ?

Dans la mesure où nous sommes un état de droit, la réponse ne fait aucun doute.
Et l'idéologie politique des uns et des autres n'y change rien.

il y a 21 minutes, ouest35 a dit :

Non centriste (cocufiée je l'accorde) peut-être penchant légèrement à gauche

Et vous de droite apparemment ?

Et alors on est du même pays non ?

Pas pour les cheminots Constantinople mais pour :

"Le mouvement de protestation contre la nouvelle loi changeant les règles d’accès à l’université, dont la nouvelle plateforme d’inscription Parcoursup, a été lancé à la mi-février au sein de l’université. Mais il est marqué par des « désaccords sur les modalités d’action » au sein des étudiants, et plus particulièrement sur le blocage, décidé à nouveau en AG le 15 mars, reconnait Augustin, de Solidaires Etudiants."

http://www.lemonde.fr/universites/article/2018/03/22/l-universite-de-montpellier-a-suspendu-les-cours-jusqu-a-lundi-sur-fond-de-blocage_5274845_4468207.html

Ah ils défendent le tirage au sort en plus ? C'est encore pire.

C'est idiot ils prouvent en plus par leur présence en fac qu'une plus forte sélection à l'Université est indispensable : ces branleurs n'ont rien à y faire. 

( En même temps vous êtes bretonne donc ça se discute...)

Le gvt actuel est de centre gauche. Non cocufiage. Hollande aurait fait peu ou prou la même politique.

il y a une heure, Constantinople a dit :

 

J'ai participé aux blocages de mon université lors des grèves étudiantes contre la LRU. J'étais en Master 2 et plusieurs de mes camarades de promo participaient à ces blocages. Associer le mouvement de contestation à un niveau présupposent bas de résultat est fortement hasardeux. 

il y a 19 minutes, Constantinople a dit :

Ah ils défendent le tirage au sort en plus ? C'est encore pire.

Le tirage au sort n'était pas le fait d'APB, mais du manque de moyens accordés aux facs pour accueillir le nombre d'étudiants que compte le pays... situation objet de contestation chez les étudiants depuis de nombreuses années. Quand j'étais à la fac, on en parlait déjà. 

il y a 42 minutes, Constantinople a dit :

Ah ils défendent le tirage au sort en plus ? C'est encore pire.

C'est idiot ils prouvent en plus par leur présence en fac qu'une plus forte sélection à l'Université est indispensable : ces branleurs n'ont rien à y faire. 

( En même temps vous êtes bretonne donc ça se discute...)

Le gvt actuel est de centre gauche. Non cocufiage. Hollande aurait fait peu ou prou la même politique.

Mon cocufiage c'est par Bayrou ... je l'ai dit moultes fois ! Hollande n'a jamais été du centre  me semble-t-il ! Et perso j'ai fait mes Universités dans la vie quotidienne !

Bonne continuation Constantinople

Le 23/03/2018 à 15:35, PINOCCHIO a dit :

Des fascistes !!

voilà un mot qui me plait

Affaire lancée par le doyen, l'instigateur du commando

http://www.francesoir.fr/societe-faits-divers/info-france-soir-violences-etudiants-universite-de-montpellier-le-doyen-donne-sa-version-video

Le blocage des FAC, des écoles, des manifs avec casse ( pas cagoulés, car ceux-là viennent d'ailleurs ) genre cramage de poubelle, de palette, de pneus, ne sont jamais le fait de la droite, ni même de l'extrême droite, mais toujours des gens qui se réclament de gauche, attisés par des syndicats, SUD et CGT en tête.

Cette fois, il semblerait que la baston viennent d'un groupe d'extrême droite, qui a viré les occupants d'un emphi. Comme par hasard, à la méthode des soit disant "contre la réforme des universités et éducation" le doyen n'y est pour rien. 

Un détail, si les emmerdeurs n'en ont rien à foutre, d'autres veulent bosser.

il y a 6 minutes, Scrongneugneu a dit :

Le blocage des FAC, des écoles, des manifs avec casse ( pas cagoulés, car ceux-là viennent d'ailleurs ) genre cramage de poubelle, de palette, de pneus, ne sont jamais le fait de la droite, ni même de l'extrême droite, mais toujours des gens qui se réclament de gauche, attisés par des syndicats, SUD et CGT en tête.

Cette fois, il semblerait que la baston viennent d'un groupe d'extrême droite, qui a viré les occupants d'un emphi. Comme par hasard, à la méthode des soit disant "contre la réforme des universités et éducation" le doyen n'y est pour rien. 

Un détail, si les emmerdeurs n'en ont rien à foutre, d'autres veulent bosser.

Le doyen à donné sa démission, il devait pas être bien clair celui là, malgré qu'il avait l'air de dire qu'il y était pour rien la dedans

il y a 55 minutes, Scrongneugneu a dit :

Le blocage des FAC, des écoles, des manifs avec casse ( pas cagoulés, car ceux-là viennent d'ailleurs ) genre cramage de poubelle, de palette, de pneus, ne sont jamais le fait de la droite, ni même de l'extrême droite, mais toujours des gens qui se réclament de gauche, attisés par des syndicats, SUD et CGT en tête.

Cette fois, il semblerait que la baston viennent d'un groupe d'extrême droite, qui a viré les occupants d'un emphi. Comme par hasard, à la méthode des soit disant "contre la réforme des universités et éducation" le doyen n'y est pour rien. 

Un détail, si les emmerdeurs n'en ont rien à foutre, d'autres veulent bosser.

ahahahahaha

bon je te répondrai plus longuement ce soir, de retour de mon taf !

extraits

professeurs identifiés

Plusieurs étudiants en droit ont reconnu certains de leurs professeurs sous les cagoules. Philippe Pétel a avoué lui-même que « parmi les personnes cagoulées, oui, c’est possible qu’il y ait un prof de droit, c’est possible ».⁽⁴⁾ Un étudiant a identifié « un professeur en droit civil et un professeur d’histoire du droit. »⁽⁵⁾ Selon nos informations, au moins un étudiant serait prêt à porter plainte contre eux.

Plusieurs témoignages accablent les policiers : « La police n’a pas arrêté ces hommes [les agresseurs]. Ils sont sortis par la sortie de secours, et les policiers les entouraient, comme une escorte de ministre. » Un article publié sur le site d’extrême-droite « Réseau libre » revendique cette collusion avec la police : « Le doyen de la fac et les vigiles de l’université ouvrent le chemin à une quinzaine de costauds, cagoulés, planches de bois et barres de fer en mains […]. Le commando est ensuite aimablement raccompagné vers la sortie, remplacé par quelques policiers ».⁽⁶⁾

^{......(.....)......}

Ce sont des petits gars du GUD »

Dans ce même article, on peut lire : « Selon nos infos, ce sont des petits gars du GUD qui ont fait le boulot, à la demande du Doyen que nous félicitons pour sa détermination ! ». Le GUD (Groupe Union Défense), organisation étudiante fasciste réputée pour ses actions violentes, n’est pourtant pas connu pour être présent à Montpellier.

en entier sur

http://www.lepoing.net/affaire-petel-police-complice-enfumage-de-la-ministre-profs-agresseurs-identifies/

Un doyen de faculté qui recourt à une milice armée contre des étudiants n'a pas sa place dans notre institution. Si les faits finissent par s'avérer (remercions d'ailleurs la propension du GUD à évoquer glorieusement ses faits d'armes), espérons que ce sera suivi de sanctions.

Fort heureusement, le doyen de la faculté de Montpellier III Paul Valéry a démissionné.

Quels que soit les motifs de protestations des étudiants, il avait la possibilité de faire appel à la police et non à des petites frappes masquées et armées qui ont blessé plusieurs étudiants. On vit en République où le maintien de l'ordre est assuré par la police.

Il y a 2 heures, PLS maker a dit :

Un doyen de faculté qui recourt à une milice armée contre des étudiants n'a pas sa place dans notre institution. Si les faits finissent par s'avérer (remercions d'ailleurs la propension du GUD à évoquer glorieusement ses faits d'armes), espérons que ce sera suivi de sanctions.

Si je peux être d'accord sur le fait que la baston ne doit pas exister, le blocage idéologique d'une FAC, d'une école ou d'un collège non plus. C'est toujours fait à l'appel des gauchistes en tout genre. Maintenant, il est vrai que le GUD prend de plus en plus d'ampleur. Mais les provocations pour se victimiser en cas de bavure aussi.

Pour moi, la seule différence qui existe entre ces 2 extrêmes cagoulés, l'un lève le poing droit, l'autre le gauche, toujours manipulés par des têtes qui ne se mouillent pas.

il y a 20 minutes, Scrongneugneu a dit :

Si je peux être d'accord sur le fait que la baston ne doit pas exister, le blocage idéologique d'une FAC, d'une école ou d'un collège non plus. C'est toujours fait à l'appel des gauchistes en tout genre. Maintenant, il est vrai que le GUD prend de plus en plus d'ampleur. Mais les provocations pour se victimiser en cas de bavure aussi.

Pour moi, la seule différence qui existe entre ces 2 extrêmes cagoulés, l'un lève le poing droit, l'autre le gauche, toujours manipulés par des têtes qui ne se mouillent pas.

Sauf que ceux qui occupaient l'amphi "paisiblement" étaient à visage découvert et n'avaient pas de planches ou de gourdin et autres ...

Pour moi c'est une sérieuse différence ... (ces étudiants étaient "tous" gauchos ? vous le savez ?" )

Il y a 4 heures, Pierrot89 a dit :

Fort heureusement, le doyen de la faculté de Montpellier III Paul Valéry a démissionné.

 

 

mais non c'est celui de la fac de droit!

https://www.francetvinfo.fr/replay-jt/france-3/soir-3/montpellier-le-doyen-de-la-fac-de-droit-demissionne_2673546.html

Montpellier III s'appelle "Droit et science politique" géré par M. Pétel qui a eu un comportement inadmissible en ouvrant les portes à des membres cagoulés et armés pour blesser les étudiants.

L'enquête devrait permettre d'identifier les agresseurs et de les punir sévèrement.

Il

Il y a 16 heures, ouest35 a dit :

Sauf que ceux qui occupaient l'amphi "paisiblement" étaient à visage découvert et n'avaient pas de planches ou de gourdin et autres ...

Pour moi c'est une sérieuse différence ... (ces étudiants étaient "tous" gauchos ? vous le savez ?" )

Ce que je dis est simple. La provocation est à visage découvert en espérant "une bavure" pour se situer en victime. La baston et la casse toujours cagoulés par des "petites mains". Dans les 2 cas, les têtes pensantes attisent, mais restent en arrière, puis se montrent dans les médias avides de sensation. 

Au bout du compte, ce sont les emmerdeurs qui gagnent et les "pov'cons" qui bossent payent.

Surement des profs en colère qui réclament leur machine à café depuis des mois, et n'obtiennent pas gains de cause, résultat du manque de moyen dans les universités, les intéressés se rebellent, ben forcément ça mets en colère... Un bon coup de batte de baseball dans les roubignoles, ça remets les idées en place, c'est uniquement le but recherché... j'espère qu'ils auront leur machine à café...

Demain avec quelques collègues on va utiliser la même méthode, lame de rasoir, cagoule, batte, poing américain, non pas pour un machine à café mais pour une fontaine à eau... mais demain c'est du sang qui devrait couler de la fontaine...

Le monde est fou...

extraits

Qui étaient-ils ces tristes sires qui voulaient nous virer ? Des doctorants, chargés de cours, en particulier des membres fondateurs de la dite Association Montpelliéraine des Jeunes Historiens du Droit (l’AMJHD), mais aussi un professeur du droit de la santé, notamment membre du comité local d’éthique du CHU de Montpellier, et une poignée de prétentieux étudiants aux cheveux gominés. Ils ont troublé l’assemblée toute l’après-midi, et n’ont pas lésiné sur les provocations et les menaces. « Dormez d’un œil ». L’idée fut bien émise plusieurs fois de les mettre à la porte, mais nous ne l’avons fait que plus tard, suite à une altercation physique qu’ils avaient provoqué. Et nous les avons ensuite de nouveau laissé rentrer. Nous les avons laissé tranquilles, nous profiler, alors qu’ils organisaient en secret notre évacuation. Il faut le dire, nous avons été trop gentils. Nous n’imaginions pas ce qui allait arriver.

Nous avons même invité le doyen, Philippe Pétel, qui formait bande avec eux, à parler à l’assemblée afin qu’il nous explique son point de vue et nous renseigne sur une possible intervention policière. Nous lui avons demandé s’il oserait sans vergogne nous faire gazer et matraquer. Il nous a répondu qu’on ne serait pas évacué « au napalm » et nous a demandé dans quel pays on se croyait. « En France, monsieur ». La suite nous prouvera tout le cynisme de sa démarche.
Selon la version des faits qu’il a présentée, la préfecture ne lui a pas donné l’intervention policière dont il rêvait, malgré ses vives et longues réclamations. Dans le hall, il a passé bien du temps au téléphone et ce toute la soirée. Sans doute avec le préfet, sans doute avec d’autres aussi.

Et quelle soirée ! Au caractère parfois ubuesque : des anticapitalistes discutant avec des nostalgiques de l’Ancien Régime, un chargé de cours d’extrême droite, payé par le public, affirmant sans sourciller que la séparation des pouvoirs est un des grands problèmes de notre société (il sera heureux de la réforme de la justice), de joyeuses engueulades, France 3 qui s’invite à la fête, des types en cravate choqués par un instrument aussi sauvage que le tambour sicilien, deux mondes inconciliables qui se sont longuement côtoyé : des fanatiques coincés du cul et nous, aussi charmant.e.s que désinvoltes.

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Quand les « anti-bloqueurs » nous traitent de fainéants, ils n’imaginent peut-être pas les courtes nuits que l’on peut passer. Au choc et à l’incrédulité succède la juste colère. Il fallait travailler, raconter ce qu’il s’était passé, diffuser les vidéos. Sans ces dernières, il est d’ailleurs à noter qu’on nous aurait sans doute traité de menteurs. Leur paroles contre la nôtre.

Deux thèses, celle des occupants et celle de l’administration. Deux récits antithétiques et incompatibles. Pour la première, une milice fasciste a attaqué brutalement et sans raison les paisibles occupants de l’Amphi A. Pour la seconde, les occupants étaient violents, agressifs et ils ont eux-mêmes provoqué l’altercation avec des « étudiants de droit » qui ne voulaient que protéger « leur » fac. Seulement, l’existence des vidéos vient balayer sans concession cette dernière thèse et le doyen, aussi ingénu qu’ordurier, ayant oublié que les smartphones existent, se prend les pieds dans le tapis. Face à la caméra de la télé publique, il ment sans sourciller et se dit même « fier » de ses « étudiants », c’est-à-dire de la milice pour laquelle il a fait office de petit chef. Puis, ébloui par sa propre bêtise, il brille en lâcheté et tente de faire porter le chapeau à un autre salaud, hiérarchiquement inférieur, un prof d’extrême droite alors présent. Mais il n’y a plus rien à faire, il se fait logiquement démissionner moins de 24 heures après les faits, affirme qu’il n’est pas coupable et celui qui a été piégé par ses propres mensonges dénonce une campagne de calomnie le visant …

Il faut dire que le matin même, il était clairement dénoncé lors de l’important rassemblement qui a eu lieu devant la faculté de droit. « Nous demandons la mise en examen de Philippe Pétel, doyen de la faculté de droit de Montpellier, pour association de malfaiteurs ». Beaucoup de personnes ne voulaient d’abord pas y croire. Il leur faudra entendre nos nombreux témoignages. Pétel a quelques soutiens étudiants qui parlent de diffamation, mais ils décident finalement de quitter une assemblée dans laquelle ils n’ont rien à faire. Il est d’ailleurs à noter qu’une des personnes menaçantes de la veille a même le culot de venir se pointer là, tout comme – plus tard – le même néofasciste et d’autres de ses comparses tourneront autour du rassemblement ayant lieu devant la préfecture, malgré la présence du dispositif policier.

............................(......................).

Mais, lors de l’AG devant la préfecture, c’est aussi une autre question qui se pose. La veille, des policiers étaient aussi présents sur les lieux : pourquoi ont-ils laissé fuir les malfaiteurs sans même un contrôle ?

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https://lundi.am/Montpellier

Il y a 4 heures, Scrongneugneu a dit :

Ce que je dis est simple. La provocation est à visage découvert en espérant "une bavure" pour se situer en victime. La baston et la casse toujours cagoulés par des "petites mains". Dans les 2 cas, les têtes pensantes attisent, mais restent en arrière, puis se montrent dans les médias avides de sensation. 

Au bout du compte, ce sont les emmerdeurs qui gagnent et les "pov'cons" qui bossent payent.

Votre avis ... je lis mais je ne pense pas ainsi !

Le ‎25‎/‎03‎/‎2018 à 08:38, PLS maker a dit :

Un doyen de faculté qui recourt à une milice armée 

Sachant que l'Université bénéficie, depuis des lustres, d'un régime d'exception quant à l'entrée de la police, c'est une belle question de droit : les autorités de l'Université peuvent-elles revêtir leur service de sécurité de pièces leur couvrant le visage, à l'instar de corps ou unités spécifiques au sein des forces de l'ordre ?

La seconde question est : la Faculté de Droit de cet établissement est-elle une UFR ou un Institut ? Son doyen possédait-il les prérogatives pour se substituer, en la matière, au Président de l'Université ? Je crains que sa principale faute soit d'avoir agi en dehors de toute délégation. 

il y a une heure, ouest35 a dit :

Votre avis ... je lis mais je ne pense pas ainsi !

C'est sûr ! Ceux qui ne pensent qu'à foutre le bordel, sont heureux.