Une maman jugée pour avoir donné une claque à son enfant

Il y a 1 heure, sirielle a dit :

Il est quand même probable que si l'infirmière a réagi ainsi c'est que la mère n'y était pas allée de main morte à ses yeux. Il aurait pu aussi être éventuellement question de sa responsabilité concernant la non-assistance si l'enfant était en danger. Il y a les claques qu'on sent à peine et celles dont les conséquences peuvent être beaucoup plus graves. Mais effectivement dans ce cas-là l'enfant n'a probablement pas eu de séquelles sinon la mère aurait été certainement condamnée.

Oui c'est clair que l'intention d'une mère c'est de tuer son enfant, c'est bien connu !

Il suffit que l'infirmière s'appelait January ou Tithenath, là c'est sûre qu'une simple claque peut être perçu comme violence extrême !

à l’instant, Fuck Them All a dit :

Oui c'est clair que l'intention d'une mère c'est de tuer son enfant, c'est bien connu !

Il suffit que l'infirmière s'appelait January ou Tithenath, là c'est sûre qu'une simple claque peut être perçu comme violence extrême !

Tu te trompes parce que je ne suis pas contre la fessée. T'es mal tombé

Par contre il faut appeler un chat un chat et donner une claque à un gamin, c'est le frapper, quoi que tu en dises.

^Wow!  Frapper son enfant hospitalisé, imaginez lorsqu'elle seule chez elle avec cet enfant.

Ah et il a deux ans et demi en plus, c'est bien...

il y a 20 minutes, Fuck Them All a dit :

Il suffit que l'infirmière s'appelait January ou Tithenath, là c'est sûre qu'une simple claque peut être perçu comme violence extrême !

Je ne sais pas comment elle s'appelait mais elle a bien décrit un coup violent.

Bah un coup dans la tronche d'un bébé ne doit pas laisser une infirmière indifférente, plutôt rassurant.

Pour qu'elle ait signalé le geste c'est qu'elle a dû être choquée, ce n'était probablement pas une caresse de joue.

il y a une heure, Fuck Them All a dit :

Oui c'est clair que l'intention d'une mère c'est de tuer son enfant, c'est bien connu !

Il suffit que l'infirmière s'appelait January ou Tithenath, là c'est sûre qu'une simple claque peut être perçu comme violence extrême !

Les violences ne sont pas forcément intentionnellement dangereuses. Dans certains cas les parents ont besoin d'aide pour bien s'occuper de leur enfant qu'on les blâme ou pas concernant leur sévérité ou leurs méthodes. La mère a expliqué qu'elle était exténuée, son geste n'était dans ce cas pas vraiment un geste maîtrisé. Les décisions juridiques concernant les enfants consistent parfois simplement à apporter une aide à la famille. Quant au sursis il s'apparente surtout à un avertissement dissuasif. Heureusement dans ce cas-là ce n'était peut-être pas nécessaire, d'ailleurs le généraliste de l'enfant n'avait rien remarqué d'inquiétant auparavant, mais une enquête est parfois une précaution pour s'en assurer. Par contre il est vrai que des parents et familles ont été dans certains cas victimes d'excès de zèle "héroïque" dû entre autres aux divergences d'opinions par rapport à l'éducation ou à divers intérêts autres que réellement celui des enfants.

Bonjour. 

Le 25/09/2017 à 10:10, January a dit :

L'infirmière a eu le bon réflexe. Merci madame. Peu nombreuses sont les personnes à se rendre compte que les alertes comptent. Si cette maman a été relaxée, alors le tribunal a peut être décidé qu'elle avait perdu ses moyens uniquement ce jour-là. Mais il aurait aussi pu mettre en lumière qu'elle maltraitait son gamin régulièrement. Alors, si ç'avait été, l'infirmière aurait bien agi ou ... ? 

Bonjour. Ceux qui maltraitent leur enfant ne le font pas devant témoin. Un pourri ne perd pas ses moyens et surtout pas devant une infirmière, s'il veut continuer à maltraiter il faut que rien ne filtre de ses agissements.il ou elle est pourri mais pas idiot. 

Hum....Pas toujours.  Il y a maints pourris-es qui sont idiots-es. On a vu bien des cas de parents qui maltraitaient leurs enfants même en public ici par exemple, il y a eu n cas d'un "père" qui a foutu un coup de poing dans le visage de son très jeune enfant en pleine épicerie car l'enfant avait osé rire lorsque le père s,était échappé une conserve sur le pied, ou un autre cas ou un père agressait sexuellement sa fille à l'hôpital ...Non, plusieurs abuseurs sont des idiots finis!

être jugée pour avoir giflé son enfant est tout aussi normal que le contraire  ...on n'a pas vu par exemple de réactions indignées quand Jackie Quartz s'est retrouvé devant le tribunal pour avoir giflé sa mère ...or c'était juste pour l'éduquer et ça partait d'un bon sentiment ...

à moins qu'on considère que l'enfant est la propriété des parents or aucun individu ,enfant ou adulte n'appartient à personne ,les parents ont la responsabilité éducative de leurs enfants ,mais ils n'ont pas le droit de propriété sur eux . 

"De la chanson au prétoire, l’ex-star des années quatre-vingts Jakie Quartz a franchi le pas. L’interprète du tube «Juste une mise au point», a été reconnue coupable de violences sur sa mère hier par le tribunal correctionnel de Créteil. Jakie Quartz, de son vrai nom Jacqueline Cuchet, comparaissait pour violences aggravées sur ascendant et en état d’ébriété.

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Une vingtaine de gifles

Après une «dispute qui est partie très vite», la chanteuse aurait asséné une vingtaine de gifles à sa mère, âgée de 88 ans,

http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/19/1821978-quand-la-chanteuse-jakie-quartz-giflait-sa-mere.html

on peut juste se douter que si elle gifle sa mère c'est qu'elle a été elle même giflée enfant ...elle mime juste un comportement qu'elle pense normal ...

il y a 51 minutes, Lucy Van Pelt a dit :

Non, plusieurs abuseurs sont des idiots finis!

Tu es polie 

On a presque tous un jour assisté à une scène dans la rue, dans un bus, dans un parc, qui était anormalement violente. 

Moi en tout cas je n'ai jamais assisté à une telle scène. Souvent aussi à l'inverse les parents n'osent rien dire ou presque à leurs enfants en public de peur d'être jugés sur leur autorité.

il y a 8 minutes, January a dit :

Tu es polie 

On a presque tous un jour assisté à une scène dans la rue, dans un bus, dans un parc, qui était anormalement violente. 

Les violences psychologiques  laissent certainement plus de traces qu'une tape sur les fesses ou les mains!

Ou même qu'une claque dans un hôpital...reste à savoir si elle a été "appuyée, ou retenue"...et si c'était ou non habituel!

L'affaire a été jugée...mais depuis qu'une gamine de 11ans, violée par un adulte de 25ans, a été déclarée "consentante" à son viol ...je me sens un peu déboussolée....

il y a 17 minutes, January a dit :

Tu es polie 

On a presque tous un jour assisté à une scène dans la rue, dans un bus, dans un parc, qui était anormalement violente. 

Et on a presque tous eu un jour envie de coller une mandale à des mômes infects dans un magasin alors que les parents restaient de marbre....

Il y a 2 heures, Morfou a dit :

 

Et on a presque tous eu un jour envie de coller une mandale à des mômes infects dans un magasin alors que les parents restaient de marbre....

Coller une mandale ? Non. Je ne crois pas. Perso j'ai eu ce genre de situation et mon regard a du leur faire peur, puisqu'ils sont restés interdits, scotchés. "L'étranger", n'a pas le même pouvoir que les parents.

Il y a 2 heures, sirielle a dit :

Moi en tout cas je n'ai jamais assisté à une telle scène. Souvent aussi à l'inverse les parents n'osent rien dire ou presque à leurs enfants en public de peur d'être jugés sur leur autorité.

Moi je préfère les lignes à écrire que la fessée ...

Une fois une de mes filles ma testé dans la rue, le big caprice devant tout le monde (du genre je me roule par terre), impossible de lui faire entendre raison, je me suis dit, ok ..tu vas voir ma grande .

Je lui ai mit une fessée pas forte mais suffisante pour qu'elle soit vexée devant les gens , personnes n'étaient choqués , visiblement c'était même l'inverse.

Il y a 6 heures, titenath a dit :

Tu te trompes parce que je ne suis pas contre la fessée. T'es mal tombé

Par contre il faut appeler un chat un chat et donner une claque à un gamin, c'est le frapper, quoi que tu en dises.

Si la claque c'est une frappe sur la joue, alors la fessée c'est une frappe sur les fesses, je ne vois pas la différence non... 

il y a 15 minutes, ZANHARIBO a dit :

Moi je préfère les lignes à écrire que la fessée ...

Une fois une de mes filles ma testé dans la rue, le big caprice devant tout le monde (du genre je me roule par terre), impossible de lui faire entendre raison, je me suis dit, ok ..tu vas voir ma grande .

Je lui ai mit une fessée pas forte mais suffisante pour qu'elle soit vexée devant les gens , personnes n'étaient choqués , visiblement c'était même l'inverse.

 

 

 

 

 

Je pense que les punitions doivent être adaptées au contexte, ce qui n'était pas le cas dans ce fait divers. Mais je crois aussi qu'une fessée dans certains cas particuliers, à condition qu'il ne s'agisse pas d'une violence mais seulement d'un geste modéré exprimant ou rappelant une désapprobation ou un interdit, peut être compréhensible pour un enfant et moins humiliant pour lui s'il n'en souffre pas que de laisser s'éterniser la situation, voire même moins pénible qu'une punition plus laborieuse qui n'est pas non plus adaptée à n'importe quel cas de figure. Cependant l'éducation est parfois un sujet sensible car le bien-être des enfants en dépend beaucoup et les avis divergent couramment.

il y a une heure, ZANHARIBO a dit :

Moi je préfère les lignes à écrire que la fessée ...

Une fois une de mes filles ma testé dans la rue, le big caprice devant tout le monde (du genre je me roule par terre), impossible de lui faire entendre raison, je me suis dit, ok ..tu vas voir ma grande .

Je lui ai mit une fessée pas forte mais suffisante pour qu'elle soit vexée devant les gens , personnes n'étaient choqués , visiblement c'était même l'inverse.

 

 

 

 

 

A mon humble avis, il aurait été bien préférable de lui montrer que son truc ne marchait pas, genre je me pose, j'attends, quand tu en a marre fais moi signe.

Je crois qu'on est pas testé par ses enfants. L'enfant teste, et encore je crois qu'il y aurait un meilleur mot, la relation avec l'adulte. Il est par moments dans un délire de toute puissance qui a besoin d'être régulé et dans l'angoisse de son impuissance. Je crois qu'il est important de garder sa propre maîtrise dans ces moments, de ne pas en faire quelque chose qui marque l'enfant mais au contraire de montrer que l'on gère, sans céder.

C'est comme ça que l'enfant va peu à peu apprendre que l'on est parfois frustré, qu'on y survit, que les désaccords sont possibles sans drame ni culpabilité. 

On ne cède pas à l'enfant. On ne l'écrase pas, on n'est pas dans un combat de coqs. Pour sortir de la crise, le truc qui marche souvent c'est d'arriver à proposer un choix à l'enfant, qui ne contrevient pas à l'objectif fixé.

Exemple: Lisette est en train de jouer. Lisette dans 5 mn tu vas faire la sieste. Puis Lisette c'est le moment de faire ta sieste. Non veux pas. Lisette il faut faire ta sieste. Non! Allez au lit! ... crise et larmes ... un temps ... C'est Papy ou Mamie qui te met au lit? l'enfant choisit et c'est gagné. Il perçoit qu'il a son mot à dire sans être toujours obligé de s'opposer.

il y a 17 minutes, hybridex a dit :

A mon humble avis, il aurait été bien préférable de lui montrer que son truc ne marchait pas, genre je me pose, j'attends, quand tu en a marre fais moi signe.

Je crois qu'on est pas testé par ses enfants. L'enfant teste, et encore je crois qu'il y aurait un meilleur mot, la relation avec l'adulte. Il est par moments dans un délire de toute puissance qui a besoin d'être régulé et dans l'angoisse de son impuissance. Je crois qu'il est important de garder sa propre maîtrise dans ces moments, de ne pas en faire quelque chose qui marque l'enfant mais au contraire de montrer que l'on gère, sans céder.

C'est comme ça que l'enfant va peu à peu apprendre que l'on est parfois frustré, qu'on y survit, que les désaccords sont possibles sans drame ni culpabilité. 

On ne cède pas à l'enfant. On ne l'écrase pas, on n'est pas dans un combat de coqs. Pour sortir de la crise, le truc qui marche souvent c'est d'arriver à proposer un choix à l'enfant, qui ne contrevient pas à l'objectif fixé.

Exemple: Lisette est en train de jouer. Lisette dans 5 mn tu vas faire la sieste. Puis Lisette c'est le moment de faire ta sieste. Non veux pas. Lisette il faut faire ta sieste. Non! Allez au lit! ... crise et larmes ... un temps ... C'est Papy ou Mamie qui te met au lit? l'enfant choisit et c'est gagné. Il perçoit qu'il a son mot à dire sans être toujours obligé de s'opposer.

    

J'ai 3 filles dont une de 21 ans , je ne prétends pas avoir les clefs de l'éducation mais je crois ne pas m'en sortir trop mal .Je ne suis pas un adepte de la fessée mais il y a eu des fois ou elle a été utile.

Ma première est infirmière et posée dans sa vie et les deux plus jeunes suivent la même quiétude dans la leur.J 

Pour ce qui de ton exemple ,je n'ai jamais procédé ainsi , quand je dis "pipi dodo" c'est non négociable !

il y a 9 minutes, ZANHARIBO a dit :

J'ai 3 filles dont une de 21 ans , je ne prétends pas avoir les clefs de l'éducation mais je crois ne pas m'en sortir trop mal .Je ne suis pas un adepte de la fessée mais il y a eu des fois ou elle a été utile.

Ma première est infirmière et posée dans sa vie et les deux plus jeunes suivent la même quiétude dans la leur.J 

Pour ce qui de ton exemple ,je n'ai jamais procédé ainsi , quand je dis "pipi dodo" c'est non négociable !

Ce n'était qu'un exemple. Sur le principe, c'est le parent qui décide ce qui est négociable et ce qui ne l'est pas, pas l'enfant. Et il y a effectivement des choses qui ne sont pas négociables. Je n'avais pas ça à l'esprit en rédigeant ma réponse donc merci.

Il y a 2 heures, Fuck Them All a dit :

Si la claque c'est une frappe sur la joue, alors la fessée c'est une frappe sur les fesses, je ne vois pas la différence non... 

J'ai du mal sur le fait de frapper au visage, mais je ne nie pas que mettre une fessée c'est aussi frapper un enfant. Et c'est un mot que tu ne veux pas admettre alors que c'est pourtant le cas