France : Les erreurs médicales, 3e cause de décès?

Je vais essayer de faire court concernant ce qu'a dit chanou: je suis entièrement d'accord (jusqu'ici; pour la suite, j'aviserai le moment venu )

Je tiens à apporter pour ma part deux précisions.

La première concernant ceci:

Il y a 4 heures, Quasi-Modo a dit :

simplement constater à quel points règne l'omerta sur ce sujet là (les médecins se soutenant souvent entre eux en cas d'erreur médicale)

C'est totalement vrai (du moins officiellement, car ce qui se dit ensuite entre un médecin et son patient dans le cabinet.....).
C'est vrai pour la simple et bonne raison que:

Article 56 (article R.4127-56 du code de la santé publique)

Les médecins doivent entretenir entre eux des rapports de bonne confraternité.
Un médecin qui a un différend avec un confrère doit rechercher une conciliation, au besoin par l'intermédiaire du conseil départemental de l'ordre.
Les médecins se doivent assistance dans l'adversité.

Source

Je vous conseille de lire la source, car elle explique bien les tenants et les aboutissants de l'article 56.
Il est notamment précisé:

Cette confraternité de principe se traduira par des attitudes, des comportements qui soient clairs, en particulier, vis-à-vis des patients ; lorsqu'un médecin croit découvrir une erreur commise par un confrère, la meilleure conduite consiste à entrer en rapport avec lui. Il en est de même en bien d'autres circonstances. Le patient ne doit jamais être ni l'objet ni même le témoin d'affrontements entre praticiens qui se disent confrères. Le médecin ne doit jamais médire d’un confrère dans l'exercice de sa profession, mais plutôt prendre sa défense s'il est injustement attaqué.

Cette "réserve" auquel il est contraint est la même pour tous les professionnels de santé. C'est un principe moral au même titre que le secret médical.
Que cela soit discutable, je suis entièrement d'accord. Mais légalement, c'est comme ça, y'a pas à discuter.

La seconde concerne ceci:

il y a une heure, l'abbe resina a dit :

Je confirme cette nouvelle tendance, lors d'une visite controle de la prostate, mon bon vieux spécialiste urologue, avant que je le quitte, m'avoue prendre sa retraite, et à ma question de savoir s'il avait trouvé un remplaçant, sa réponse sans ambiguïté : non, je ne suis pas pressé de trouver un jeune chirurgien qui aura le bistouri entre les dents...Bien révélateur non ?

Il ne faut pas perdre de vue qu'un médecin reste bien souvent fidèle jusqu'à la fin de sa carrière au type d'enseignement qu'il a reçu. Tout le monde à déjà entendu parler que pour certaines choses, il y avait "différentes écoles". En médecine, c'est pareil. Pour une même pathologie, un médecin sera plutôt favorable à un traitement médicamenteux, alors qu'un autre suggérera plutôt un recours à la chirurgie en première intention. Lequel des deux aura + raison que l'autre ? Difficile à dire. Déjà parce que chaque patient et unique, ensuite parce que chacun d'entre eux se fiera 1) aux enseignements qu'il a reçus, 2) aux résultats obtenus sur ses propres patients par l'une ou l'autre méthode.

Par ailleurs, il faut voir qu'un médecin proche de la retraite suit beaucoup moins que d'autres plus jeunes d'éventuelles "formations" (colloques le plus souvent) lui permettant de mettre à jour ses connaissances et pratiques.  Même s'il se tient informé en lisant des revues professionnelles, ce ne sont que de simple lectures, et il reste bien souvent le reste de sa carrière sur ses acquis. Cela n'en fait pas un mauvais médecin, loin de moi cette idée, mais disons qu'il n'est plus forcément très au fait de l'évolution des traitements récents. Bien sûr, il reçoit régulièrement la visite de "visiteurs médicaux", qui sont des commerciaux de laboratoires et firmes pharmaceutiques, qui lui font un beau speech et lui filent plus de documentations. Mais bon, chacun d'entre eux défend son beefsteak et n'expose absolument pas ce que font les concurrents, ce qui fait que le médecin n'a qu'une vision partielle des possibilités que lui offre le marché.

il y a 9 minutes, Aldegonde a dit :

Je vais essayer de faire court concernant ce qu'a dit chanou: je suis entièrement d'accord (jusqu'ici; pour la suite, j'aviserai le moment venu )

Je tiens à apporter pour ma part deux précisions.

La première concernant ceci:

C'est totalement vrai (du moins officiellement, car ce qui se dit ensuite entre un médecin et son patient dans le cabinet.....).
C'est vrai pour la simple et bonne raison que:

Article 56 (article R.4127-56 du code de la santé publique)

Les médecins doivent entretenir entre eux des rapports de bonne confraternité.
Un médecin qui a un différend avec un confrère doit rechercher une conciliation, au besoin par l'intermédiaire du conseil départemental de l'ordre.
Les médecins se doivent assistance dans l'adversité.

Source

Je vous conseille de lire la source, car elle explique bien les tenants et les aboutissants de l'article 56.
Il est notamment précisé:

Cette confraternité de principe se traduira par des attitudes, des comportements qui soient clairs, en particulier, vis-à-vis des patients ; lorsqu'un médecin croit découvrir une erreur commise par un confrère, la meilleure conduite consiste à entrer en rapport avec lui. Il en est de même en bien d'autres circonstances. Le patient ne doit jamais être ni l'objet ni même le témoin d'affrontements entre praticiens qui se disent confrères. Le médecin ne doit jamais médire d’un confrère dans l'exercice de sa profession, mais plutôt prendre sa défense s'il est injustement attaqué.

Cette "réserve" auquel il est contraint est la même pour tous les professionnels de santé. C'est un principe moral au même titre que le secret médical.
Que cela soit discutable, je suis entièrement d'accord. Mais légalement, c'est comme ça, y'a pas à discuter.

La seconde concerne ceci:

Il ne faut pas perdre de vue qu'un médecin reste bien souvent fidèle jusqu'à la fin de sa carrière au type d'enseignement qu'il a reçu. Tout le monde à déjà entendu parler que pour certaines choses, il y avait "différentes écoles". En médecine, c'est pareil. Pour une même pathologie, un médecin sera plutôt favorable à un traitement médicamenteux, alors qu'un autre suggérera plutôt un recours à la chirurgie en première intention. Lequel des deux aura + raison que l'autre ? Difficile à dire. Déjà parce que chaque patient et unique, ensuite parce que chacun d'entre eux se fiera 1) aux enseignements qu'il a reçus, 2) aux résultats obtenus sur ses propres patients par l'une ou l'autre méthode.

Par ailleurs, il faut voir qu'un médecin proche de la retraite suit beaucoup moins que d'autres plus jeunes d'éventuelles "formations" (colloques le plus souvent) lui permettant de mettre à jour ses connaissances et pratiques.  Même s'il se tient informé en lisant des revues professionnelles, ce ne sont que de simple lectures, et il reste bien souvent le reste de sa carrière sur ses acquis. Cela n'en fait pas un mauvais médecin, loin de moi cette idée, mais disons qu'il n'est plus forcément très au fait de l'évolution des traitements récents. Bien sûr, il reçoit régulièrement la visite de "visiteurs médicaux", qui sont des commerciaux de laboratoires et firmes pharmaceutiques, qui lui font un beau speech et lui filent plus de documentations. Mais bon, chacun d'entre eux défend son beefsteak et n'expose absolument pas ce que font les concurrents, ce qui fait que le médecin n'a qu'une vision partielle des possibilités que lui offre le marché.

 

 

 

Excuse moi d'avoir envie de bander encore de très très longues années sans passer par un charcutier qui se fou du bonheur de mon amoureuse...

il y a 1 minute, l'abbe resina a dit :

Excuse moi d'avoir envie de bander encore de très très longues années sans passer par un charcutier qui se fou du bonheur de mon amoureuse...

Je te comprends

De toute manière, tu restes la seule et unique personne a décider si cette opération doit être effectuée ou non.

Définition de prescrire par le dictionnaire Reverso:

Prescrire, c'est donner un ordre ou recommander expressément. Dans le domaine de la médecine, ce verbe est fréquemment employé au sens de "recommander par ordonnance médicale".

Je trouve cette définition excellente. En te prescrivant quelque chose, le médecin effectue une recommandation. Libre à toi ensuite de la suivre ou pas. Il te prescrit un médicament, libre à toi de le prendre ou non. Idem pour un examen. Et pour une intervention chirurgicale, on ne t'emmènera jamais au bloc de force (sauf bien sûr si un soir de débauche tu t'es pris un platane en rase campagne, que tu es fracassé de partout et que ton état d'ébriété avancé t'interdit tout jugement éclairé; dans ce cas, si une intervention en urgence est le seul moyen de te sauver la peau, on n'attendra peut-être pas que tu sois désaoûlé pour faire quelque chose )

il y a 29 minutes, Mia Adaxo a dit :

Lesquels , parce que moi je vois que les salles d'opérations sont de plus en plus perfectionnées ,

pour autant , il y a toujours des erreurs......erreurs des chirurgiens alors ? de ceux qui aident au bloc ?

ça me refait penser à cette infirmière de bloc opératoire qui ne stérilisait  pas ou mal les instruments

Je pense pour ma part au nombre de personnes disponibles dans chaque corps de métier (infirmière, médecin, etc..) dans une structure hospitalière donnée. J'ai entendu un certain nombre de personnels, en creusant un peu, se plaindre du manque de moyens et de personnel. Alors je me dis que la fatigue, le nombre de consultations qui s'enchaînent, etc.. ça ne doit pas faciliter l'évitement d'une erreur médicale. Mais ce n'est de toutes façons qu'un aspect du problème

il y a 1 minute, Aldegonde a dit :

 De toute manière, tu restes la seule et unique personne a décider si cette opération doit être effectuée ou non.

Comment un patient peut-il savoir s'il doit se faire opérer ou pas ?

C'est compliqué quand même

il y a 6 minutes, Aldegonde a dit :

Je te comprends

De toute manière, tu restes la seule et unique personne a décider si cette opération doit être effectuée ou non.

Définition de prescrire par le dictionnaire Reverso:

Prescrire, c'est donner un ordre ou recommander expressément. Dans le domaine de la médecine, ce verbe est fréquemment employé au sens de "recommander par ordonnance médicale".

Je trouve cette définition excellente. En te prescrivant quelque chose, le médecin effectue une recommandation. Libre à toi ensuite de la suivre ou pas. Il te prescrit un médicament, libre à toi de le prendre ou non. Idem pour un examen. Et pour une intervention chirurgicale, on ne t'emmènera jamais au bloc de force (sauf bien sûr si un soir de débauche tu t'es pris un platane en rase campagne, que tu es fracassé de partout et que ton état d'ébriété avancé t'interdit tout jugement éclairé; dans ce cas, si une intervention en urgence est le seul moyen de te sauver la peau, on n'attendra peut-être pas que tu sois désaoûlé pour faire quelque chose )

Comment sait tu que je bois ? 

il y a 3 minutes, l'abbe resina a dit :

Comment sait tu que je bois ? 

De l' eau bénie m'sieur l'abbé...

dans le Ricard ?

il y a 3 minutes, PapesseJeanne a dit :

De l' eau bénie m'sieur l'abbé...

dans le Ricard ?

Au prix où est l'eau ? elle est folle celle la...

il y a 6 minutes, l'abbe resina a dit :

Comment sait tu que je bois ? 

J'ai dis "SI" un soir de débauche blablabla.
J'ai donc employé le conditionnel.
C'est pas de ma faute si votre conscience vous joue des tours Mais faute avouée est à moitié pardonnée

il y a 11 minutes, Mia Adaxo a dit :

Comment un patient peut-il savoir s'il doit se faire opérer ou pas ?

C'est compliqué quand même

Bien sûr que c'est compliqué.
Moi je dis toujours aux gens qui me demandent: N'hésitez pas à aller consulter pour avoir un second avis.

il y a 12 minutes, Mia Adaxo a dit :

Comment un patient peut-il savoir s'il doit se faire opérer ou pas ?

C'est compliqué quand même

C'est vrai que ce n'est pas simple, mais il faut s'efforcer en tant que patient (autant que possible) d'être un acteur des soins, surtout à l'ère du numérique qui nous permet de nous informer sur nos problèmes de santé (sous réserve d'esprit critique évidemment parce que si vous vous renseignez sur doctissimo vous allez en conclure qu'il vous reste deux jours à vivre pour une écorchure ... ).

Quitte à poser des questions ensuite aux professionnels qui ne pourront pas te reprocher de vouloir des informations.

il y a 40 minutes, Aldegonde a dit :

C'est vrai pour la simple et bonne raison que:

Article 56 (article R.4127-56 du code de la santé publique)

Les médecins doivent entretenir entre eux des rapports de bonne confraternité.
Un médecin qui a un différend avec un confrère doit rechercher une conciliation, au besoin par l'intermédiaire du conseil départemental de l'ordre.
Les médecins se doivent assistance dans l'adversité.

Source

Je vous conseille de lire la source, car elle explique bien les tenants et les aboutissants de l'article 56.
Il est notamment précisé:

Cette confraternité de principe se traduira par des attitudes, des comportements qui soient clairs, en particulier, vis-à-vis des patients ; lorsqu'un médecin croit découvrir une erreur commise par un confrère, la meilleure conduite consiste à entrer en rapport avec lui. Il en est de même en bien d'autres circonstances. Le patient ne doit jamais être ni l'objet ni même le témoin d'affrontements entre praticiens qui se disent confrères. Le médecin ne doit jamais médire d’un confrère dans l'exercice de sa profession, mais plutôt prendre sa défense s'il est injustement attaqué.

Merci, je comprends mieux un certain nombre de comportements!

il y a 3 minutes, Aldegonde a dit :

 Moi je dis toujours aux gens qui me demandent: N'hésitez pas à aller consulter pour avoir un second avis.

Ah , mais c'est encore plus compliqué , quand on demande un 2eme avis , le médecin doit refaire une lettre de recommandation

(Il ne veut pas toujours car il dit qu'un autre dira la même chose)

Puis après , quand  on se présente devant le second chirurgien , il n'est pas content parce qu'on a pas fait confiance à son collègue

en fin de compte , le second avis dit qu'il ferait comme son confrère , pour ne pas le contredire

(Hein , le soutien entre confrère)

il y a 19 minutes, Mia Adaxo a dit :

Comment un patient peut-il savoir s'il doit se faire opérer ou pas ?

C'est compliqué quand même

C’est compliqué. C'est vrai. ( enfin ça dépend, y a des indications chirurgicales qui ne posent pas de question...).
Aldegonde a donné une possibilité ; prendre un deuxième avis,( avec le risque de ne plus savoir lequel suivre s'ils sont très différents.)
Ce que chaque patient devrait faire ; demander au médecin quelle est la balance bénéfices/risques. Quels sont les bénéfices attendus de l'intervention, pour quels risques. C'est  l'information que doit vous fournir le chir ( ou le médecin), en vous fournissant ces explications le plus clairement possible ; exercice parfois très compliqué!
Après, c'est vrai que le choix vous revient et qu'il faut l'assumer, mais ça, pas moyen de faire autrement.

il y a 7 minutes, Mia Adaxo a dit :

Ah , mais c'est encore plus compliqué , quand on demande un 2eme avis , le médecin doit refaire une lettre de recommandation

(Il ne veut pas toujours car il dit qu'un autre dira la même chose)

Puis après , quand  on se présente devant le second chirurgien , il n'est pas content parce qu'on a pas fait confiance à son collègue

en fin de compte , le second avis dit qu'il ferait comme son confrère , pour ne pas le contredire

(Hein , le soutien entre confrère)

Oui malheureusement c'est vrai dans pas mal de cas.

Dans le même sens je suis allé voir un spécialiste en ville avec lettre de mon médecin traitant ,de retour je lui est demandé d'en voir un autre ,mais je suis obligé d'en voir un a l'hôpital ,pourquoi donc que je suis obligé de passer par l'hôpital ?

il y a une heure, Mia Adaxo a dit :

Lesquels , parce que moi je vois que les salles d'opérations sont de plus en plus perfectionnées ,

pour autant , il y a toujours des erreurs.....

Et il y en aura toujours. Faut pas se faire d'illusions. Quelles que soient les précautions qu'on prenne.

Y compris si on utilise un robot chirurgien, comme c'est le cas pour certaines interventions ( prostate entre autres..)

Regardez ces liens ;

http://www.chu-toulouse.fr/-chirurgie-robotique-da-vinci-r-

http://ansm.sante.fr/var/ansm_site/storage/original/application/7bbc135f1a183ab2873686b2175bb8b4.pdf

il y a 15 minutes, Quasi-Modo a dit :

C'est vrai que ce n'est pas simple, mais il faut s'efforcer en tant que patient (autant que possible) d'être un acteur des soins, surtout à l'ère du numérique qui nous permet de nous informer sur nos problèmes de santé (sous réserve d'esprit critique évidemment parce que si vous vous renseignez sur doctissimo vous allez en conclure qu'il vous reste deux jours à vivre pour une écorchure ... ).

Quitte à poser des questions ensuite aux professionnels qui ne pourront pas te reprocher de vouloir des informations.

 

Le problème sur Internet concernant la santé (comme d'autres sujets aussi), c'est que les sites les plus fiables sont en règle générale les sites dédiés aux personnels médicaux ou para-médicaux. Les trouver n'est pas très difficile, mais encore faut-il comprendre ce qui est écrit car se sont des professionnels qui s'adressent à d'autres professionnels.
 

(PS: Il y a pire que Doctissimo ! J'ai vu des trucs hallucinants sur des forums qui mériteraient une place de choix dans les bêtisiers. Ca m'aurait faire rire si certains "conseils" ne s'avéraient pas aussi dangereux.)

il y a 2 minutes, holdman a dit :

Dans le même sens je suis allé voir un spécialiste en ville avec lettre de mon médecin traitant ,de retour je lui est demandé d'en voir un autre ,mais je suis obligé d'en voir un a l'hôpital ,pourquoi donc que je suis obligé de passer par l'hôpital ?

Si ton médecin te fait une lettre pour un second avis (ce qui est rare) tu peux aller où tu veux car

sur l'en tête du courrier , il est normalement écrit "cher confrère"

Une fois , mon médecin m'a joué un sale tour , il m'avait fait une seconde lettre pour 2eme avis ,

je me suis donc présentée à un second spécialiste , arrivée là-bas , j'avais pas fait attention que sur l'en tête il avait écrit le nom du docteur

au lieu du traditionnel "cher confrère"

Ah , cette fois là.....

il y a 1 minute, Aldegonde a dit :

Le problème sur Internet concernant la santé (comme d'autres sujets aussi), c'est que les sites les plus fiables sont en règle générale les sites dédiés aux personnels médicaux ou para-médicaux. Les trouver n'est pas très difficile, mais encore faut-il comprendre ce qui est écrit car se sont des professionnels qui s'adressent à d'autres professionnels.
 

(PS: Il y a pire que Doctissimo ! J'ai vu des trucs hallucinants sur des forums qui mériteraient une place de choix dans les bêtisiers. Ca m'aurait faire rire si certains "conseils" ne s'avéraient pas aussi dangereux.)

Vrai sur les deux points.
Y a quand même un petit truc  ; voir si le site en question porte le label Hon Code. http://www.hon.ch/HONcode/French/

Ca aide à faire un premier tri.

il y a 3 minutes, chanou 34 a dit :

Vrai sur les deux points.
Y a quand même un petit truc  ; voir si le site en question porte le label Hon Code. http://www.hon.ch/HONcode/French/

Ca aide à faire un premier tri.

Je ne voudrais pas faire mon boulet, mais dans l'onglet "Sites de confiance" en France, j'ai cliqué au hasard sur un des sites de la liste et je suis tombée sur ça

Je suis pas allé plus loin c'est mon médecin traitant qui me là dit .on peut en parler d'internet pour les médecins, c'est le diable en personne il n'y a qu 'eux qui savent, il faut surtout pas se renseigner la dessus ,c'est eux qui font la soupe c'est pas internet .