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les mauvaises expériences sont elles vraiment utiles?

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micro-onde

les mauvaises expériences sont elles vraiment utiles?  

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 43 minutes, pep-psy a dit :

Mais je pense que c'est par cette comparaison avec les autres que l'on évalue sa propre réussite de vie !

Alors quand on ne sent pas le besoin de regarder chez les autres, c'est déjà très bon signe, cela veut dire que l'on est suffisamment satisfait de sa vie pour ne pas s'occuper de celle des autres !

L'envie c'est primitif comme défaut.

Tout le monde n'est pas au meme niveau d'élévation spirituelle, pour certains réussir sa vie c'est avoir une rolex avant 50 ans.

Et pour ceux qui ont un peu d'empathie le problème est beaucoup plus difficile car tout ne se résume pas a eux.

 

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Animatrice, Dindasse prête à servir !!! V.I.Pintade, 46ans Posté(e)
titenath Animatrice 43 030 messages
46ans‚ Dindasse prête à servir !!! V.I.Pintade,
Posté(e)
il y a 3 minutes, micro-onde a dit :

 

en même temps comme je l'ai déjà dis t'as pas d'autres choix que de positiver pour avancer ou sinon de te tirer direct une balle dans la tête (façon de parler).

 

C'est bien pour ça que Petit Pois parlait de ceux qui n'existent qu'à travers leurs malheurs et qui ne cherchent jamais le positif. A part se plaindre que rien ne change, rien n'avance, et que rien ne va, ils ne font rien non plus. 

La chance ça se provoque et le positif faut aller le chercher. 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 071 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Ceux qui ont tenté leur chance en me provoquant n'ont pourtant pas eu de chance 

Je vais y réfléchir 

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Membre, Chien Fou forumeur, 90ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
90ans‚ Chien Fou forumeur,
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il y a 25 minutes, micro-onde a dit :

bah oui voyons, tout le monde adore galèrer dans la vie :sleep:

Bonjour micro onde poigne de mains.

Bien pas tout le monde, mais il y en a beaucoup qui s'y complaisent dans les galères, même à trois rangée de rameurs, les trirèmes.

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Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)
il y a 52 minutes, Petit pois a dit :

Actes manqués, quand vous nous tenez.......:happy:

Oui bien sûr, mais pas que. Il y a des spirales d'échecs, des répétitions , et même parfois des échecs qui traversent les générations, la personne payant les conneries des ancêtres , etc...:)

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Invité Marpletree
Invités, Posté(e)
Invité Marpletree
Invité Marpletree Invités 0 message
Posté(e)

"Loyauté familiale"

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Invité Petit pois
Invités, Posté(e)
Invité Petit pois
Invité Petit pois Invités 0 message
Posté(e)

Plus que ça :  Anne Ancelin Schützenberger ...."Aïe mes aïeux", et tant d'autres choses ! ( Miss Marple, si tu ne connais pas, vas -y les yeux fermés...heuuuuuu, nan, ouverts, pour lire, c'est mieux ;))

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Invité Marpletree
Invités, Posté(e)
Invité Marpletree
Invité Marpletree Invités 0 message
Posté(e)
à l’instant, Petit pois a dit :

Plus que ça :  Anne Ancelin Schützenberger ...."Aïe mes aïeux", et tant d'autres choses ! ( Miss Marple, si tu ne connais pas, vas -y les yeux fermés...heuuuuuu, nan, ouverts, pour lire, c'est mieux ;))

Mainte fois recommandé ce livre..... pfffffff ..... faut que je prenne du temps :p

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Invité Petit pois
Invités, Posté(e)
Invité Petit pois
Invité Petit pois Invités 0 message
Posté(e)
à l’instant, Marpletree a dit :

Mainte fois recommandé ce livre..... pfffffff ..... faut que je prenne du temps :p

Rapide et facile à lire :)

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Membre, Chien Fou forumeur, 90ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
90ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)
Il y a 2 heures, Petit pois a dit :

Moi aussi, des personnes qui ne vivent que par l'exposition de leurs malheurs, qui finissent par n'exister qu'au travers d'eux. Je ne sais plus quelle étiquette met la psychiatrie là dessus mais c'est un phénomène connu ( 'peux pas faire de recherches : ma wifi mouline toutes les 5' avec l'orage....)

C'est simple cela s’appelle névrose d'échec, voici quelque lien sur le sujet

https://fr.wikipedia.org/wiki/Névrose_d'échec

http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie-medicale/nevrose-d-echec

https://www.therapeutes.com/affections/nevroses/nevrose-d-echec

http://psychoweb.fr/articles/psychologie-du-developpement/320-contexte-psychopathologique-de-l.html

 

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 6 heures, Tequila Moor a dit :

Pas mal la névrose d'échec, cela me rappelle une remarque de Cioran : "Rater sa vie, c'est accéder à la poésie - sans le support du talent."

A travers cette citation je vois deux formes de poésie :

- Celle qui célèbre ce qui est beau et désirable dans la vie, il y faut du talent sinon elle est insipide.

- Celle qui ne trouvant plus cette beauté dans le monde extérieur, la cherche dans le monde intérieur, dans le " ça aurait pu etre autrement".

Point besoin de talent, la sincérité et l'intensité des affects suffisent amplement  a le compenser.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 739 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)
Le 26/06/2017 à 07:20, Petit pois a dit :

Pour les exemples que tu cites,certes on peut limiter leur survenue par de la prudence, de la prévention. Mais il est des mauvaises expériences qui te tombent dessus sans que tu puisses rien y faire et sans que tu l'aies provoqué, cherché ni vu venir. Tu peux même le voir venir et n'avoir aucun moyen de le contourner. Touts ces mauvaises expériences qui ne dépendent pas de ton bon vouloir, mais de celui des autres (divorce, licenciements, maladies, accidents hors de ta responsabilité...etc)

Je suis d'accord avec toi, et c'est justement parce qu'il existe des évènements sur lesquels nous n'avons aucune emprise, comme le décès d'un proche, que nous devons faire l'effort de nous prémunir de ceux pour lesquels nous en avons une !

 

Je ne vois pas bien comment un tel traumatisme pourrait être bénéfique ou utile à celui qui est en deuil, tout comme celle ou celui qui perd l'usage de ses deux mains ? On peut certes, encore une fois, se faire une raison ou s'en trouver une a posteriori, mais cette expérience douloureuse n'était pas utile, ni nécessaire... Et comme notre nature nous intime de trouver des raisons à tout, et bien dans une mauvaise expérience, nous allons mettre en œuvre une défense psychologique pour donner du sens à ce qui nous arrive, en rendant utile ce mauvais passage par une trituration cognitive, parce que sans cela, nous resterions dans un stade anxiogène/inconfortable/perturbant, bref nous réécrivons, en mémoire, notre histoire pour la rendre supportable/acceptable !

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Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)

I Je marche le long d'une rue
Il y a un grand trou dans le trottoir
Je tombe dedans
Je suis perdu…je ne sais pas quoi faire
Ça me prend une éternité pour m'en sortir.

II
Je déambule le long de la même rue
Il y a un grand trou dans le trottoir
Je fais semblant de ne pas le voir
Je tombe dedans encore une fois
Je ne peux pas croire que je me retrouve dans le même pétrin
Mais ce n'est pas de ma faute
Ça me prend encore un bon moment avant de m'en sortir.

III
Je redescends la même rue
Il y a toujours un grand trou dans le trottoir
J'ai conscience qu'il est là
Je tombe dedans quand même…par habitude
Je vois clair
Je sais où je suis
C'est de ma faute
Je me sors de là aussitôt.

IV
Je marche le long de la même rue
Il y a un trou dans le trottoir
Je le contourne.

V
Je prends une autre rue.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 739 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)
Le 26/06/2017 à 14:33, pep-psy a dit :

Ce dont tu parles est un processus qui me semble est bien plus complexe et difficilement applicable à toutes et tous...

Peut-être que c'est tout simplement ma présentation qui le donne comme tel, mais qu'en réalité, ce n'est qu'une petite attention de tous les jours, à la portée de tout un chacun.

 

Citation

Une expérience racontée, ne vaudra jamais une expérience vécue, parce que le ressenti qui accompagne le souvenir, aura une influence certaine sur la personne, certaine oui, grande, faible, moyenne ou très légère en seront les nuances !

En intensité certes la plupart du temps il y a une nuance, et il existe de rares fois où le vécu est le seul moyen de savoir et de comprendre, mais en général on peut largement transposer une expérience antérieure dans une autre potentielle, sans la vivre pour s'y projeter et y sentir le déroulement ou le dénouement, ainsi que les implications tant psychologiques, que sentimentales, émotionnelles ou sensitives, notre part animale est suffisamment alerte pour le saisir instinctivement ou intuitivement.

Ce sera plus un problème d'attention, voire d'empathie, que de ne pas se projeter dans une expérience rapportée, mais si l'on est le demandeur et que la personne qui nous fait face est celle qui l'a vécue, je pense que cette rencontre entre quatre yeux, est suffisamment vivifiante pour nous conduire à l'intérioriser ou à le vivre par procuration, pas aussi intensément en tout point comme la douleur physique ressentie par exemple - et encore on peut sans doute faire un rapprochement avec une autre en mémoire - mais en tout cas suffisamment proche sur les effets parallèles, comme la tristesse, le dégoût, la colère, la rancœur, etc...   

 

Citation

J'avais lu dans un livre: "Même s'il ne se passe rien, il se passe toujours quelque chose"... Ceci parlant de l'influence de ce que nous subissons au travers de nos expériences, rencontres, etc...

On peut, via l'imagination, anticiper et vivre déjà pas mal de choses sans avoir à les vivre ou à les subir en vrai !

Oui, dans son coin, seul, on le peut bien sûr, mais face à un interlocuteur qui nous conte son expérience, cela prend déjà une toute autre coloration et intensité, comme il peut il y en avoir une, entre lire le synopsis d'un film d'épouvante et voir ledit film en plein jour ou dans une salle obscure, l'ambiance participe grandement à notre mise en condition psychique, d'un côté on peut comprendre par la raison froide, et de l'autre on le saisit aussi par notre corps si je puis dire, et c'est bien le concours des deux qui nous en apprend le plus... sans être passé par la phase expérimentation réelle ( vivre une scène de torture/mutilation soi-même ), c'est suffisamment riche d'enseignements.

 

 

Citation

Ce que tu dis me fait penser à la "Force"... Dans Starwars... Assumer, affronter, ne pas se simplifier la tâche sinon c'est passer du côté obscur !

Je ne sais pas si l'on peut faire l'analogie, toutefois, cela dépend aussi de la condition mentale dans laquelle on se trouve, celui qui croit en l'influence d'une main invisible, ne sera bien évidemment pas dans le même trip que celui qui n'y croit pas, et donc dans une interprétation de cette expérience différente, et par voie de conséquences, les remèdes si tant soit peu qu'il faille en mettre en œuvre, différents également.

Je pense pour faire simple, qu'il faut déjà commencer par, si possible, éviter autant que faire ce peut, les désagréments, et ensuite, cerise sur le gâteau, s'attarder à rendre nos vies joyeuses, et non camoufler dans notre insouciance par le divertissement, l'amusement et le rire ! D'abord réduire le négatif, ensuite mettre du positif dans notre existence, et non pas s'engouffrer corps et âme dans l'hédonisme en supputant que cela compensera les effets antagonistes, car notre psychologie étant bien plus subtile que ça, notre esprit plus malin ou rusé, nous nous mentons à nous même en procédant de la sorte, en croyant que cela ira comme ça. Un peu comme avec l'usage sociétal ou conjugal nauséabond du smartphone, un refuge par abandon parce que c'est plus facile ainsi, nous choisissons presque toujours la voie de la facilité, au détriment du reste pourtant primordial...

 

 

Citation

C'est une philosophie de vie, je choisis de passer par les difficultés et de les accepter, car une fois traversées, je me sens grandi par l'accomplissement !

Mais la solution est dans la formulation du problème !: Tu choisis !

Or la question n'est pas toujours tournée vers un choix délibéré d'endurer, de passer par des challenges, mais aussi de subir ce que nous n'avons pas véritablement décidé, ou pas complètement, ce sont toutes ces situations intermédiaires auxquelles il faut faire face. Ce que tu décris ressemble à une sorte de satisfaction d'avoir bien agi, d'être fier de ce que l'on a fait/accompli ( comme ça peut arriver dans son travail ), malheureusement, les choses ne sont pas toujours aussi constructives que cela, j'en ai bien peur !

Il y a des expériences qui détruisent au lieu de rendre plus fort, l'adage " tout ce que ne nous tue pas, nous rend plus fort " ne peut en aucun cas représenter toutes les situations, ni pour tout le monde, parfois oui, parfois non. Celui qui ressort vivant d'une thérapie contre le cancer, et qui est physiquement affaibli, condamné à prendre des médicaments toute sa vie, avec un risque non nul de rechute, n'est pas plus fort après qu'avant, il est bien plus faible, comme ce peut être le cas aussi de l'ancien alcoolo ou drogué, le spectre de la descente aux enfers est comme l'épée de Damoclès au-dessus de la tête, on ne peut pas être plus fort quand on est/se sent plus faible.

Mais je conçois très bien que dans certains cas, l'on puisse ressortir grandi d'une épreuve ou difficulté, ce n'est juste pas systématique. Je pensais un peu près comme toi, il y a quelques temps encore, et puis d'expériences en expériences, je me rends compte que c'était plus de l'ordre de l'idéologie que de la dure réalité, et le point de rupture se trouve être le moment où je suis devenu père pour la première dois, j'ai soudain découvert que j'avais un talon d'Achille... qui n'a fait qu'enfler ensuite !

 

 

Citation

Et quand on se retrouve face à quelque chose de trop grand sur l'instant, cela nous force à penser, à réfléchir, à imaginer, pour y revenir mieux armé !

Bien sûr, mais ça dépend de ton état d'esprit, un grain de sable pour un dépressif est une montagne qui s'érige devant lui, et puis l'âme d'un guerrier quant à elle, ne se sent vivre/exister que dans justement l'adversité !

Tout dépend donc de qui, de quoi.

 

Citation

Un peu comme un RPG où on se fait fracasser par un boss et qu'il faut aller faire de l'expérience, chercher des "outils" pour être prêt lorsqu'on sera à nouveau face à l'autre !

C'est voir la vie comme une sorte de compétition, or tel n'est pas le cas en tout, perdre un enfant n'est jamais, ô grand jamais, une bonne chose ! Il n'y a pas toujours un adversaire à combattre, parce qu'il n'est pas identifié ou qu'il n'y en a tout bonnement pas.

Par exemple, lorsque l'on divorce ou se sépare, on ne peut pas traiter l'autre comme son ennemi, la personne avec qui on a passé tant d'années de complicité ne doit pas être traitée comme un adversaire à abattre, alors que pourtant la situation, les évènements nous y poussent avec force, il faut aussi savoir tolérer, endurer, même des injustices patentes, il faut savoir rester " clean dans ses baskets "... C'est une épreuve dans laquelle on se ne bat contre personne en particulier, alors même que notre corps est on ne peut plus près à tout dévaster, à tout détruire, cette force furieuse ne trouve pas de cible où se déverser, compliquant sacrément la problématique, raison pour laquelle la plupart du temps, cette colère s'exprime malgré tout à un endroit ou moment inappropriés, faute de force pour la retenir.

 

Citation

Je pense que tu as déjà vécu des choses que d'autres doivent traverser et quand tu entends tout ce que leur imagination construit, tu peux soit rigoler en te disant à quel point la personne exagère ou au contraire, à quel point la personne est loin de la réalité et qu'en vrai, elle va ramasser !

On est d'accord, il n'est pas exclu de faire appel à sa propre expérience, mais celle-ci peut être appelée par morceaux en s'appuyant sur une multitude d'autres, pour reconstruire une sorte de patchwork au plus près de ce que l'autre nous enseigne médiatement, il n'est donc pas indispensable d'avoir vécu strictement la même chose, on peut s'approcher suffisamment de ce que autrui a lui-même vécu, non dans tout sa complexité ou intensité, mais au moins sur ce que cela provoque en nous, comme en lui dans la même situation, ce sont donc plus les effets en chaine que nous cherchons à nous approprier/saisir que les causes immédiates, qui elles peuvent être interchangées par d'autres, par exemple se cogner le genou contre le bitume peut être remplacé par le heurt du coude par un rétroviseur de voiture, cela ne change pas le fond et les conséquences du choc, c'est transposable, c'est équivalent, c'est pour cela, que celui qui a subit une chimiothérapie peut se faire comprendre par un autre qui ne l'a pas subit, car il peut faire appel à un pot commun de réactions physiologiques/psychologiques, en disant que c'est comme d'avoir la grippe et une gastro en même temps, mais de manière cyclique à chaque étape, la condition dans ce cas pour celui qui écoute, est d'avoir déjà eu une grippe et une gastro, certes ce ne serait pas rigoureusement identique, mais on peut suffisamment s'en approcher, quoique la partie la plus importante en dehors des souffrances, c'est de savoir que l'on peut mourir très prochainement et non plus dans un hypothétique futur indéterminé, ce point n'est pas transposable en l'état si l'autre n'a pas connu lui-même ce sentiment à un moment ou à un autre. Voilà pourquoi on peut profiter ou pas des expériences des autres, même celles que l'on n'a pas vécu soi-même rigoureusement identiquement.

 

Citation

C'est en cela que, pour moi, les difficultés sont bonnes à prendre... ;)

 

Juste pour déceler celui qui ment, qui dit la vérité ou qui n'a pas de raison de se plaindre plus que ça, ou qui en a ?

N'est-ce pas très subjectif finalement ? Et qu'est-ce que cela t'apporte en fin de compte dans la conduite de ta propre existence, hormis de savoir que nous ne fonctionnons/réagissons pas tous identiquement ?

 

Es-tu plus sage, plus altruiste, plus humaniste ou philanthrope en procédant de la sorte ? :p

Modifié par deja-utilise
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Membre, Je n'en ai aucun, 51ans Posté(e)
pep-psy Membre 23 493 messages
51ans‚ Je n'en ai aucun,
Posté(e)
Il y a 1 heure, deja-utilise a dit :

Es-tu plus sage, plus altruiste, plus humaniste ou philanthrope en procédant de la sorte ? :p

Ce dont je me rends compte, c'est que plus on expérimente, plus on acquiert du calme...

Nous, enfants, nous agissions comme des curieux, avec une pile pleine qui nous donnait envie de tout... Puis, d'expérience en expérience, le rythme change pour atteindre plus de calme, plus de sérénité...

Ce n'est sans doute pas pour rien que l'on utilise sage pour dire calme et en même temps celui qui sait !

Donc plus on sait, plus on gagne en sagesse dans les deux sens du terme: Calme / intelligence

Voilà ce que j'ai découvert.

J'aurais voulu avoir ce calme en étant bien plus jeune... Donc ceux qui sont jeunes, n'hésitez pas à faire toutes les expériences que vous pouvez, elles vous serviront, bonnes ou mauvaises, pour votre avenir !

:pap:

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  • 2 semaines après...
Membre, Couillon de première, 70ans Posté(e)
Arn Membre 3 801 messages
70ans‚ Couillon de première,
Posté(e)

Bonjour,

 

Je ne crois pas que la réponse soit binaire. L'apport d'une mauvaise expérience dépend des individus, et des circonstances, et peut-être même des cultures.

Un jeune enfant qui fait une mauvaise expérience en se cassant un bras en tirera des bénéfices car après il sera plus attentif.

Une vieillard qui apprend que ce qui comptait le plus pour lui a disparu n'en tirera sans doute que du négatif.

Une personne qui par les hasards de la vie a une jeunesse difficile pourra en tirer un apport négatif en se comportant pareille par une sorte de vengeance, ou un apport positif s'il prend le temps de comprendre la réalité.

La mort d'un proche est rarement une expérience positive.

Une personne qui a encore beaucoup de temps à vivre et qui a beaucoup de mauvaises expériences qu'il regarde parfois cela lui amène une meilleure vie plus tard car il y verra aussi ses défauts à changer et il est plus facile de changer à 40 ans qu'à 60. C'est parfois par de mauvaises expériences que l'on s'adapte mieux à la vie en réalisant ses propres erreurs.

Les personnes hypersensibles ou très émotives n'en tireront parfois que de mauvais bénéfices car leur émotion les guidera davantage souvent.

Donc, oui cela peut-être positif ou négatif. Une expérience négative peut se révéler positive et l'inverse aussi. 

L'idéal est sans doute d'essayer de comprendre la cause d'une expérience quelle soit elle, négative ou positive.

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